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Une revanche sur le sexe [Part02]

Une revanche sur le sexe [Part02]



Le réveil fut brutal. Tiraillé par une violente douleur dans les côtes, la première image que je vis en ouvrant les yeux était celle de mon patron, accroupit au dessus de moi, le regard furieux. Alors qu’il m’attrapait par le bras pour me relever, je constatais en émergeant petit à petit, que j’étais toujours nu, et qu’il en était de même pour Sab qui dormait toujours.
– Je ne te paie pas pour faire de cet endroit un baisodrôme, Lou. Me dit-il d’un ton cinglant. Rhabille toi et file, je ne veux plus te revoir dans les locaux !
J’attrapais alors mes vêtements en constatant que ma nouvelle amante émergeait à son tour. Elle essaya en vain de cacher le peu de dignité qui lui restait en se recouvrant de sa chemise. Mon patron sortit de la pièce en me laissant 5minutes pour partir.
– Bon… Bah on a joué et j’ai perdu. Dis-je en enfilant ma chemise.
– Il se passe quoi la ?! C’est quoi ce bordel Lou ?
Elle peinait à se réveiller. Il fallait dire que la pièce était encore baigné par la nuit. Enfilant ma montre, je constatais que nous n’avions pas dormis longtemps et j’aidais la jolie brunette à se relever.
– Il vient de me virer… J’imagine que je le mérite. Deux erreurs en deux jours !
– Parce que tu trouve que coucher avec moi était une erreur ? Protesta-t-elle, sérieuse.
– Non, mais pas ici, on aurait dû être plus discret…
– Dis aussi que c’est ma faute !
– Oh ! Tu me fais chier, je me casse ! Appelle moi quand tu te sera calmé…
Parfaitement réveillé et agacé je sortis d’un pas, pour tracer jusqu’à la sortie, évitant mes collègues. Je récupérais ma voiture en vitesse pour foncer chez moi. Arrivé dans ma chambre, je m’effondrais sur le lit pour couper le réveil et m’endormir rapidement.

Je fus réveillé par une de mes collocs qui frappait à la porte. Après lui avoir dit d’entrer, je découvris le minois de Liloo, comme je m’en doutais. Le soleil étant déjà très haut dans le ciel, elle devait tout juste revenir de l’université. Elle s’assit sur le bord du lit pour me regarder longuement avant de prendre la parole.
– Soit tu as pris une sacré cuite, soit elle devait franchement être gourmande ?! Déclara-t-elle en riant.
Je m’aperçus alors que j’étais encore totalement habillé, oubliant jusqu’à mes chaussures. Je lui expliquais rapidement ma situation et elle resta stupéfaite. Je finis par trouver la force de me lever enfin et lui indiqua que j’avais besoin de me laver. Elle se retirait alors, me laissant libre d’aller jusqu’à la salle d’eau pour prendre une bonne douche bouillante. Lavé, séché et rhabillé, je me dirigeais vers le salon où Liloo m’avait préparé deux pancakes que j’avala en peu de temps. Elle prit la parole.
– Et tu compte faire quoi maintenant ?
– Je ne sais pas… Avouais-je, dépité. A vrai dire, j’ai de très grosses économies sur lesquelles je pourrais me reposer aisément, le temps de me refaire.
– L’argent n’est pas le soucis Lou… C’est de toi dont je parle, je ne te reconnais plus depuis lundi ! Tu débauche complètement alors que tu étais le mec le plus sérieux que je connaisse, tu perds tes deux boulots alors que tu es un bosseur invétéré…
– Ouais je sais… C’est pas la joie dans ma tête, mais je vais me refaire. Ça va me laisser le temps pour mon projet de site multimédia par exemple ! Ça fait un moment que j’en parle !
– C’est pas faux, ça fait au moins deux ans que tu y pense… J’espère pour toi que ça te fera remonter la pente ! Ça me fait vraiment beaucoup de peine de te voir ainsi…
– Si d’ailleurs tu pouvais me filer la main, l’aide d’une étudiante en génie informatique ne serait pas de trop non ?
– Oui, bien sur ! J’entends bien t’aider, j’imagine que mes compétences te seront utiles ! Puis ça m’aidera aussi pour mon master de travailler sur un projet concret.
On se mit alors à discuter sérieusement de ce projet et nous jetions sur le PC pour en réaliser une rapide ébauche, dans l’otique de nous motiver.

Le temps passa, mon projet avançait rapidement avec l’aide de ma comparse, mais je restais désespérément seul chez moi. Je ne sortais que pour faire les courses. J’appris quelques jours après mon renvoi que Sabrina avait récupéré ma place au studio, promettant de ne plus me voir et ma vie social se limita petit à petit à mes collocs et aux utilisateurs de mon nouveau site internet. Ma vie sexuelle était par conséquent au point mort, se limitant à de vulgaires masturbations lorsque mes collocs s’envoyaient en l’air, la pornographie n’étant pas ma tasse de thé.
Cette période de ma vie dura presque un mois. Grâce aux visites et à la publicité, notre site généra rapidement de généreux revenus qui me permirent de récupérer mes économies perdues. Mais j’avais l’impression de tourner en rond, perdu entre la déprime et le désir de nouveauté. La déprime me poussant à rester casanier pour ne déranger personne alors que ma soif de curiosité me poussait à commettre l’irréparable un beau vendredi de novembre.

Comme à son habitude, le vendredi, Liloo finissait les cours très tôt, avant même que je ne me réveille. Une fois tout les deux mis au travail, je ne pouvais m’empêcher de voir que quelque chose la stressait.
– Un tracas ? Demandais-je.
– Un cas de conscience plutôt. Me répondit-elle en mâchant chacun de ses mots.
– Tu sais que tu peux tout me dire ! J’espère que ce n’est pas trop grave ?
Elle réfléchit un long moment, faisant mine d’être concentrée sur l’écran. Puis se tourna vers moi, très sérieuse.
– Bon écoute, je sais qu’en ce moment c’est difficile pour toi sur le plan sentimental, mais je trouve ça triste que tu t’enferme comme ça…
Je restais surpris, ne pensant pas qu’elle parlerait de moi.
– Ne t’en fais pas Liloo, je gère mes sent…
– Je sais que ça ne va pas, tu ne peux rien nous cacher… Me coupa-t-elle. Mais venons en à mon cas de conscience.
Je me tus et lui laissa le temps de trouver ses mots.
– Bon… J’ai du mal à croire que je vais dire ça. Commença-t-elle timidement. Il se trouve que tout va bien avec Annaëlle, ne te méprends pas la dessus ! On s’aime à la folie et tout et tout… Mais j’ai réalisé une chose.
Sa voix s’étrangla.
– Je sais que je peux paraître pour une pure lesbienne parce que je n’ai connu qu’Annaëlle et que c’est le grand amour… Mais je me dis aussi qu’elle connait la différence entre, le faire avec une fille et un mec, alors que moi non…
Je restais perplexe et commençais à entrevoir une idée à travers ses propos. Je fis mine de ne rien comprendre.
– Et ? C’est quoi le rapport avec mon côté casanier ?
– Bah… Maintenant, tu es libre, et je me doute… En manque. Je ne l’aurais jamais demandé autrement mais… Je t’apprécie énormément Lou et tu es le seul mec sur terre à qui je pourrais demander ça… Tu ne voudrais pas me montrer ?
Je resta bouche bée et refusa net.
– Désolé mais je ne cautionne pas cette expérience Liloo…
Je me leva de mon siège pour partir vers la cuisine.
– Ne fais pas l’enfant Lou. Je sais que tu es à bout et je pourrais soulager ça. C’est gagnant-gagnant. Tu te vide sans même quitter l’appart et moi… Bah, je pourrais enfin me faire un avis sur la question.
– Et comment je fais pour regarder Annaëlle en face après ça moi ? Ça se fait pas Lindsay !
– Ca ne remet pas en cause mon amour pour Annaëlle ! Je l’aime plus que tout et ce n’est pas toi qui me fera changer d’avis ! Je veux juste dire que tu es mon meilleur ami et… Tu serais le seul en qui j’ai assez confiance pour experim…
– Trompe ta femme avec un autre… La coupais-je en me dirigeant vers la sortie de l’appart.
– Mais non Lou, c’est pas trom…
Je claqua la porte derrière moi en sortant et descendis les marches deux par deux dans l’escalier, de peur qu’elle me suive.
Je passa ensuite le restant de mon après-midi dans un café où je revis deux anciens amis qui me changèrent les idées. Nous finissions la soirée en faisant la tournée des bars et, n’étant décidément pas habitué à boire, je finis rapidement par perdre le contrôle…

Mon téléphone se mit à sonner et je peinais à le retrouver, totalement dans les vapes. Une fois en main, je raccrochais la sonnerie qui me tiraillait le cerveau, sans même regarder qui était le correspondant. En le reposant, je constatais avec surprise que je n’étais pas chez moi. Instant de panique. J’étais totalement nu dans un lit qui n’était pas le mien. Je me tournais alors pour apercevoir à ma gauche une sublime blonde de 25ans à peine. La fin de soirée avait du être bonne, me dis-je, avec le sourire. Mais en m’asseyant sur le bord du lit, je l’entendis se réveiller. Elle m’attrapa alors le bras.
– T’es déjà debout ? Me dit-elle d’une voix enrouée.
Je ne répondis pas à cette question rhétorique et pris quelques secondes, avant demander à mon tour.
– Je suis désolé pour hier, je ne sais même pas comment tu t’appelle…
– Mélanie ! Me dit-elle en ricanant. Faut avouer que t’étais vraiment mal quand je t’ai amené ici !
– J’espère quand même avoir pu te satisfaire. Dis-je, le regard espiègle.
– Tu rigole, on a rien fait ! Tu bandais qu’à moitié malgré mes efforts, et je ne sais pas si c’est moi ou l’alcool, mais j’avais beaucoup de mal à mouiller… Alors bon, je t’ai laissé écraser.
Une légère déception s’empara de moi et je tenta alors une dernière carte, me disant que je n’avais rien à perdre avec elle.
– On peut toujours se ratt****r, si ça te tente ? Proposais-je, l’air joueur.
– J’aimerais vraiment mon bel étalon. Me répondit-elle, en prenant ma bite à pleine main. Tu as l’air d’avoir du potentiel, mais cette nuit m’a difficilement rappelée que j’étais une femme. Après, si vraiment tu veux, les mecs me disent que je suis douée avec ma langue !
Ma déception fut palpable et j’entrepris de me rhabiller, plutôt que de la laisser continuer de me masturber pour rien, me demandant combien de mecs avaient pu se trouver à ma place. Nous déjeunions ensemble et j’appris à mieux la connaitre. Pas mon type de fille, une gamine, pourrie gattée qui avait lâchée ses études pour finir vendeuse, se cherchant à travers trop d’hommes. Elle me raccompagna jusque chez moi et je ne pris même pas la peine de récupérer son numéro de téléphone. Arrivé à l’appart, je constatais que Liloo était toujours sur le PC. Je lui fis un rapide bonjour, sans même la regarder, pour fondre dans ma chambre me mettre sur mon PC portable. Personne ne vint me déranger tout du reste de la journée. Lorsqu’Annaëlle arriva le soir, le dîner fut néanmoins légèrement électrique sans qu’elle ne comprenne pourquoi. Je partis me coucher sans dire un mot.

Le lendemain, Annaëlle travaillait exceptionnellement le matin, et Liloo me prit à part après ma douche pour parler.
– Ecoute Lou, ça peut pas durer, hier elle m’a posé une myriade de question pour savoir si on s’était engueulé et il va falloir qu’on mette les choses au clair. Que tu respecte mon couple, apprécie, mais avec mes conneries et ton comportement, on met en péril notre colloc et même notre amitié à se faire la gueule. J’ai eu une écart de conduite, et c’était mal te connaitre que de te demander un truc pareil. Alors, oublis ça, et reprenons comme avant !
J’acquiecais la proposition en lui serrant la main qu’elle me tendais, et au retour d’Annaëlle, l’ambiance était nettement plus détendue. Nous travaillions même ensemble durant l’après-midi. La soirée se passa dans la bonne humeur jusqu’à ce que tout le monde finisse par partir au lit. Enfin… Jusqu’à ce qu’elles se remirent une nouvelle fois à jouer. Mon sexe se raidit alors en quelque secondes à peine et le manque se fit gravement ressentir. Je commençais à me masturber lentement, tout en imaginant ce qu’elles devaient être en train de s’infliger. Tout en accélérant, je me remis à réfléchir à la proposition de la belle rousse qui se faisait prendre tendrement à coté. L’imaginer en train de s’agiter à la place de ma main ! Ces pensées obscènes me firent surprenament éjaculer en un rien de temps. Il était temps de remettre le couvert, peu importait avec qui, j’avais une faim urgente à assouvir.

Deux jours plus tard, le réveil d’Annaëlle me sortit de mon sommeil vers 6h. N’arrivant pas à me rendormir, je partis prendre une douche et à la sortie, je croisais la brune, seule, parée à partir.
– Tu n’amène pas Liloo avec toi le mardi normalement ? Demandais-je, curieux.
– Normalement oui, mais son prof de micro-circuitagjesaispastropquoi est absent et elle préfère rester à la maison pour réviser, elle prendra le bus pour aller à l’université cet aprem, à moins que tu consente à sortir la déposer.
Je lui répondis positivement et lui souhaita une bonne journée. Elle récupéra son manteau, ses clefs et ferma derrière elle en sortant. Je me retrouvais ainsi seul, caleçon T-shirt, assis à la table du salon, mon café à la main. Une idée malsaine me vint alors à l’esprit tandis que j’imaginais Liloo toute aussi seule dans son grand lit. J’essayais de la chasser tant bien que mal, mais elle me tournait dans la tête. Je finis mon café cul-sec, pour partir dans la cuisine et laver ma tasse d’un geste. Je me retourna ensuite vers la porte de sa chambre.
Je l’ouvris doucement, pour découvrir la rousse allongée de tout son long dans son nid douillet. Elle était alors dos à moi, et sa nuisette souffrant d’une nuit agitée, ne cachait plus son magnifique fessier. Je m’avançais alors, prenant grand soin de ne pas la réveiller. Je m’assis ensuite sur le bord du lit et ma main droite ne pu se retenir de courir le long de ses hanches. Sa peau blanche était ferme et ses formes, très féminines. Le contact de ma main lui fit inconsciemment relever les jambes, pour laisser à ma vue ses petites lèvres serrées. Ma main gauche se chargea alors de caresser très lentement son intimité dormante, ce qui ne la réveillait toujours pas. Sa vulve s’humidifia alors légèrement quand je la sentis soudain bouger. Elle se coucha sur le dos et, ne m’y attendant pas, ma main resta coincée sous ses fesses.
Elle ouvrit un œil et je tirais mon bras d’un coup sec, ce qui la réveilla totalement. Elle remit sa nuisette correctement, pour se réfugier sous la couette, avant de s’assoir, appuyée sur le dossier du lit.
– Quesque je peux faire pour toi Lou ? Me dit-elle sans savoir ce que je venais de lui faire.
Je peinais à trouver mes mots, et je devinais sa main se plaquer sur son minou humide. Elle fronça alors les sourcils et je compris qu’il me fallait rapidement répondre. Je ne sais alors toujours pas ce qui me pris de lui demander, le sourire crispé.
– Je me demandais juste si ta proposition tenait toujours…
Elle me regarda, l’air sévère, pour finalement comprendre que je venais de la toucher sans son accord.
– T’es pas chié Lou ! S’exclama-t-elle. Tu me fous un vent monstre, tu pourris l’ambiance, tout ça pour revenir sur tes belles paroles parce que tu n’as pas trouver un trou à ta convenance. Et tu as même le culot de venir faire le pervers de bon matin ?!
Je ne répondis pas, vexé et sortis du lit pour me diriger vers la porte. Arrivé dans le salon, je l’entendis hurler.
– Mais oui, je… La proposition tiens toujours ! Lou, reviens s’il te plait !
Je fis alors demi tour et, m’appuyant l’épaule dans l’encadrement de la porte, je me mis à la regarder. Elle poursuivit alors.
– De toute façon, je n’ai confiance en personne d’autre que toi pour faire ça…
Je ne pipa pas mot, me contentant de la fixer.
– Bah viens, rejoints moi au moins !
Elle retira alors tout naturellement sa nuisette, comme une femme s’offre facilement à son homme. Le tissus retiré, sa petite poitrine bardée de grains de beauté s’offrit à ma vue, pour mon plus grand plaisir. Elle tira ensuite la couette pour s’allonger face à moi, nue de toute sa longueur. Ca devint alors la fête dans mon boxer, qui laissait aisément deviner la place de mon engin. Tout aussi simplement qu’elle, je descendis mon tissus jusqu’à mes pieds, pour lui dévoiler mon intérêt. Je me mis à genoux sur le lit, le sexe remuant de gauche à droite, bandé de tout son long, sous ses yeux intrigués.
– Si tu veux jouer avec, il ne faut pas hésiter à le prendre dans tes mains ma belle ! Lui dis-je, en la voyant hésitante.
Timidement, elle enroula ses longs doigts froid autour de mon énorme piquet à apogée de son excitation et commença de maladroits mouvements de bas en haut. Je finis alors par poser ma main sur la sienne, afin de lui montrer le mouvement à adopter et elle se débrouilla seule, ce qui l’amusait beaucoup, jouant avec mon gland pour mon plus grand plaisir. De mon côté, je commençais à l’embrasser dans le cou, mais elle me repoussa d’un bond.
– Désolé Lou, réflexe, pas l’habitude de la barbe. S’excusa-t-elle.
Elle reprit sa douce masturbation, tandis que je récupérais sa nuque. Ma main libre lui caressa la cuisse quelque minutes, avant de s’engager dans son entrejambe. Elle poussa alors un léger soupir, qui me confirmait son plaisir partagé. Mes doigts s’humidifièrent vite et je rentrais timidement mon majeur entre ses lèvres, ce qui lui fit pousser un petit râle. Je cherchais à m’enfoncer délicatement dans sa caverne humide, jusqu’à ce qu’elle m’arrête.
– Attends Lou, là ça me connais, je vais t’apprendre de petits secrets. Quand tu rentre ton doigt comme ça, [elle guidait ma main en souriant] arrivé quelque centimètre dans le vagin, appuis légèrement sur le haut de la paroi.
Je lui demandais alors pourquoi.
– C’est le point de Gräfenberg, chez les femmes, c’est LE point G ! Tu peux la faire monter au créneau en un rien de temps, comme ça..
Je retirais mon doigt pour lui demander de m’en montrer d’autres. Elle s’amusa alors à faire la prof, tout en me laissant la toucher à des endroits improbable de son corps. Elle adorait ça et moi aussi. Ainsi, avec son propre enseignement, elle joui au moins une demie douzaine de fois sans même que je ne la prenne. Au bout d’une heure de douces caresses, elle reprit fermement ma queue en main, qui n’avait toujours pas débandé. Elle me demanda ensuite ce qu’elle pouvait faire de plus pour mon plaisir et, voulant éviter une fellation maladroite d’une novice, je lui indiquais timidement que l’on était parés pour les choses sérieuses, si elle le désirait. Son visage se crispa alors.
– Ne t’en fais pas ma belle, tout va bien se passer. Ça va peut-être te faire un peu mal lors des premières pénétrations mais j’imagine que tu a perdu ton hymen depuis longtemps, alors ça va aller tout seul.
Elle me le confirma d’un geste contrit de la tête. Je l’allongeais sur le dos le plus confortablement possible en ajustant les oreillers un par un, et me fit un large sourire en remarquant mon application.
– Tu ne fais pas les choses à moitié, dis moi !
– Ce n’est pas tout les jours que j’initie une des femmes qui compte le plus pour moi au passionnant monde du rapport inter-gendre. J’ai envie que tu prenne ton pied au maximum, que l’on ai pas bravé les interdis pour rien.
– J’espère tout de même que tu me convertira pas. Me dit-elle en enroulant ses bras autour de moi.
Alors que je finissais notre installation, me trouvant entre ses jambes largement écartées, mon engin se frotta sans trop le vouloir sur son bas ventre et un peu de liquide séminal s’échappa du bout de mon gland. Elle ne pu s’empêcher de me dire, surprise.
– Tu éjacule déjà ?
– Non ma belle, ça c’est l’équivalent masculin de ta mouille, ça signifie que je suis en pleine excitation.
– C’est moi qui te fais cet effet ? Me demanda-t-elle curieuse.
– Oui. Avouais-je timidement. A vrai dire, rien que le fait que je sois en érection prouve que tu m’attire…
– Ah, merci. Enfin je crois.
Ayant fini, je me redresse sur mes genoux. Le sexe droit comme un i balançant de gauche à droite.
– Merci ?!
– Je suis contente de le faire avec toi. T’es plus qu’un ami pour moi et je suis vraiment heureuse de te faire cet effet même si mon amour va à une autre. Ça fais du bien de se sentir un peu plus proche de toi…
– Et bien merci à toi de t’offrir à moi. Lui dis-je, tout en frottant ma longue queue le long de ses lèvres émoustillées.
Je fis de très nombreux allés retour pour humidifier au maximum mon gros bout de chair, ceci afin de faciliter la première pénétration. Elle couinait légèrement, puis finit par ne plus rien dire, attendant le moment fatidique. Ses jambes tremblaient et je ressentais son stress quand je commençais à entrer dans son vagin qui se contractait à mon contact. J’enfonçais alors presque la moitié de mon sexe dès la première pénétration et nous fusionnions totalement, après quelques allés retours seulement. Elle restait immobile la bouche ouverte, se coupant la respiration volontairement, alors que je ressortais totalement pour rerentrer aussi sec. Elle lâcha un violent cri de jouissance et je la sentais alors partir après seulement un mouvement, sa cyprine dégoulinant le long de ses cuisses pour venir ensuite salir les draps.
– Oh mon dieu Lou, c’est énorme. J’adore continu ! Me dit-elle, les mains harnachées aux draps.
Mes coups de hanche furent le plus doux possible, la laissant même mener la cadence avec ses jambes, recroquevillées sur mes cuisses. Elle jouit une nouvelle fois plus discrètement, mais ses soubresauts la trahissait. Le rythme cardiaque s’accellerait avec celui de notre rapport et elle finit par hurler de tout son fort. Je priais pour que les voisins ne soient pas chez eux. Plus je remuais rapidement, plus elle me donnait l’impression de se laisser aller, au point de perdre le contrôle de son corps, que je possédais alors complètement, lui caressant le ventre avec mes pouces, mes mains lui entourant presque sa taille de guêpe. Ma bite profondément ancrée en elle, je ne tardais pas à jouir au bout d’une petite demie heure. Mon râle arriva en échos à ses cris et ma jouissance fut longue, pour qu’une bonne dizaine de jets de sperme l’emplisse. Mon orgasme fut si fort, que j’en sentais quelques gouttes mêlées de cyprines, ruisseler le long de ses fesses pour perler sur le lit, alors que j’étais encore en elle.
Lorsqu’elle me sentis enfin fini, elle voulut se retirer pour constater les dégâts, mais je la retins, mes mains sur ses hanches.
– Tu ne crois pas que je vais te laisser partir ? Lui murmurais-je.
En effet, après un léger coup de mou, mon sexe retrouva rapidement sa pleine érection. Liloo fut surprise, mais elle se laissa prendre de nouveau, cette fois plus sauvagement. Mes coups de hanches étaient plus secs et je sentais qu’elle aimait ça. Sa tête en arrière, ses soupirs intenses mêlés de longs hurlements à chaque orgasmes me rassuraient sur le fait qu’elle était en extase.
Je me redressais alors, et toujours en elle, je chevauchais sa jambe droite pour la prendre en ciseau. Ma bite s’enfonça tellement, que j’avais l’impression de lui caresser l’utérus à chacune de mes longues pénétrations. Son corps se raidit alors et elle entra dans une succession de violents orgasmes.
– Ooooooooooooooooh mon dieu, Lou t’arrête pas ! Hurla-t-elle. Je jouis en continu, j’en peux plus, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Mes va et viens devinrent aérien, plus rapides que jamais et je me vidais une nouvelle fois, me noyant dans ses cris qui ne s’arrêtaient plus. Je finis de me relâcher dans son minou avant de me rouler à coté d’elle, épuisé. De sa petite chatte s’échappait des dizaines de centilitres de crème blanche et ça semblait ne jamais s’arrêter de couler. La petite rouquine ne bougeait plus, tout aussi exténuée. Au bout de quelques minutes, durant lesquelles nous tentions de reprendre notre respiration, elle lâcha alors.
– Oh mon dieu, c’était trop bon… Beaucoup plus physique qu’avec Annaëlle, mais juste teeeeeeeeellement bon !
Elle se pencha vers moi et attrapa mon sexe qui se remit à gonfler dans sa main malhabile.
– On m’avait dit qu’après une éjaculation les mecs étaient finis, mais toi tu tiens la route pardi ! Ajouta-t-elle.
Elle me branlait comme elle pouvait avant de le prendre dans sa bouche. C’est à ce moment que je me souvint qu’elle avait un piercing sur la langue. Le contact de la boule de métal chaude et humide sur mon gland me procura une immense sensation de plaisir et mon sexe se raidit au maximum, me laissant sentir quelques gouttes de liquide séminal s’en échapper. Liloo prenait la chose au sérieux. Elle n’était pas performante dans ses léchouilles, mais elle me procurait énormément de bien. Le contact de son piercing me laissait transit de sensations inédites et je n’osais pas lui dire que j’adorais ça. De mon coté, je lui caressais son dos et ses petites fesses, tout en lui glissant un doigt ou deux dans son intimité.
Elle continua ainsi une bonne dizaine de minutes, avant que je ne craque. Ses coups de langues étaient si bons que je finis par me vider dans sa bouche, dans un long râle de plaisir. Elle fut surprise, mais avala tout le liquide sans recracher, tout en continuant de jouer de sa langue pour ne rien laisser. Elle se retourna alors vers moi, l’air satisfaite de son oeuvre, sa langue passant sur ses petites lèvres rose pour en récupérer les dernières gouttes.
– Je pensais que ce serait plus degeu que ça ! C’est juste chaud et salé. M’instruit-elle. Tu as aimé ?
– J’ai adoré ma belle. Lui répondis-je, me redressant pour l’embrasser dans la nuque. Pour tout t’avouer, c’est la première fois que je jouis dans la bouche d’une femme.
Elle parue surprise, mais je ne lui laissa pas le temps de cogiter. Je me mis à genoux et la souleva pour la mettre les fesses en bûche, dos à moi, la tête en direction des oreillers. Elle gémit alors.
– Non Lou, s’il te plait je ne veux rien dans mon arrière train !
– T’en fais pas, je n’en ferais rien ma belle, je n’ai jamais trop apprécié ça avec Alex, y’a que dans les films que c’est agréable. On va juste poursuivre dans la position la plus naturelle du monde…
Elle semblait alors se détendre, jusqu’au moment où je m’introduisis en elle, en levrette. Ses lèvres contractées ne facilitèrent pas la tâche, mais une fois mon pieu au plus profond d’elle, elle lâcha un long soupir avant de se relâcher. Je me mis alors accroupis, les mains fermement accrochées à ses hanches. Mon excitation était telle que mes coups de reins devenaient presque bestiaux. Je sortais presque entièrement d’elle pour me réintroduire de toutes mes forces, lui faisant lâcher de long cris de jouissance à chaque coup. Elle adorait ça et moi aussi, dois-je avouer. Notre coït n’était pas agressif, ni violent, mais presque a****l. Aucunes insultes, aucuns coups, pas un sévisse, juste le plaisir de la communion de deux êtres au paroxysme de leur plaisir.
Sa tête s’enfonçait de plus en plus dans les coussins et elle essayait tant bien que mal de se contrôler mais hurlait tellement à chaque orgasme que sa voix devenait de plus en plus rauque. Nous tenons alors ainsi pendant près d’une demie heure au bout de laquelle je jouis de tout mon être. L’éjaculation la plus intense de toute ma vie. Je m’appliquais à bien remplir sa cavité avant de m’écrouler à côté d’elle, qui peinait à s’allonger.
– Mon dieu ma belle, j’ai jamais connu ça ! Lui avouais-je. Même avec Alex… Et pourtant…
– L’abstinence, mêlée au sentiment de l’interdis peut-être… Me dit-elle entre deux soupirs. Mon dieu, j’en veux encore, mais je suis complètement vidée… Enfin je suis pleine de toi, mais vidée d’énergie.
Je lui offris mon plus beau sourire, avant de me lever et m’assoir sur le bord du lit.
– Je vais te préparer ton thé, va te doucher ma belle. Lui dis-je en lui caressant le ventre, du plat de ma main.
Elle acquiesça et sortit même de la chambre avant moi, emportant avec elle un T-shirt et un caleçon. J’enfilais mon boxer et mon T-shirt et passais un coup de désodorisant dans la chambre en m’assurant de laisser la fenêtre ouverte pour évacuer les odeurs de sperme avant le retour d’Annaëlle, le soir. Je commençais à préparer le petit-déjeuné sur le comptoir, alors que l’heure avoisinait midi. La rouquine sortit de la douche et je m’empressais de me laver à mon tour, lui indiquant que son encas était en place. Elle me remercia d’un baiser furtif sur la joue comme à son habitude.

Sortis de la douche, j’arrivais derrière Liloo qui lisait le journal, assise sur une chaise haute. Son petit cul bombé dans son petit short me remis une mi-molle, mais de mon côté, je m’étais rhabillé. Je me mis derrière son épaule pour lire un article d’un œil. Lorsqu’elle sentit ma présence, elle leva la tète vers moi et me fit de nouveau un petit baiser dans le cou.
– Merci pour tout Lou. Merci de m’avoir offert ça.
– C’est plutôt à moi de te dire merci, tu me sors d’une longue période d’abstinence. Puis bon, comme ça tu aura eu ton test…
Je la sentais hésitante, mais elle finit par me dire.
– D’ailleurs… Si jamais tu as d’autres envies, n’hésite pas à me…
– Je ne pense pas que ce soit raisonnable Liloo. Lui dis-je. T’es en couple avec Annaëlle et ça va déjà être lourd à porter comme secret tu ne pense pas ? Puis en plus avec un gars comme moi tu ne tiendrais pas longtemps sous mes demandes. Concluais-je avec humour.
– Oui tu as raison… Avoua-t-elle penaude.
Puis elle réfléchit une seconde.
– Hey ! Mais tu insinue quoi la ! Gros pervers. Ajouta-t-elle, accompagné d’un fou rire.
– J’insinue qu’à une fille comme toi, je lui fais des choses n’importe où, n’importe quand.
– N’importe où ? Même là maintenant, alors que je déjeune. Me demanda-t-elle intriguée.
Je la regardais de haut en bas assise sur sa chaise, ses longues jambes nues et ses petits seins qui pointaient au travers son fin t-shirt.
– Surtout maintenant… Avouais-je timidement.
Elle riait doucement avant de reprendre son sérieux.
– Tu me prendrais là où l’on fait la cuisine ? Sur le comptoir, à sec comme ça ?
Agacé et gêné par ses questions, je finis d’un ton nerveux.
– Tu ne vas pas me dire que vous ne l’avez jamais fais en dehors de la chambre avec Annaëlle peut-être ? J’étais si peu souvent à la maison normalement, j’imagine que vous avez déjà désacralisé toutes les pièces de la maison !
– Oui, mais avec elle on parle de caresses, avec toi on parle de quelque chose d’un peu plus… Violent quoi.
Elle s’arrêta un instant, voyant mon état fébrile.
– Mais perso, ça ne me dérangerais pas. Chuchota-t-elle, en trempant ses lèvres dans son bol.
Je me retournais alors vers la cuisine en signe de désaccord. Elle n’insista pas et se réinstalla sur son journal. Mon sexe à demi mou réclamait ses chaires disponibles, mais mon cerveau ne pouvait oublier que je couchais avec une femme amoureuse… Que m’arrivait-il ? Ce n’était pas juste mon instinct ! Pourquoi avais-je autant faim de sexe ?
– Je suis désolé de te mettre mal à l’aise, je n’aurais pas du… Ooooooooooooooooh.
Je me retournais et sans lui laisser finir sa phrase, je glissais ma main sous son short, lui caressant la vulve avant même qu’elle ne comprenne ce qui lui arrivait. Mon autre main se chargeait alors de lui malaxer ses seins. Je me collais dans son dos, mais d’une main agile elle retira la boucle de ma ceinture. Je retirais ma main de son intimité pour me déboutonner et elle se laissa glisser de son siège pour se mettre debout face a moi. Une fois la bite à l’air, elle voulut retirer son caleçon. Je l’arrêtais dans son mouvement.
– Garde le, ce sera plus drôle. Lui dis-je entre deux baisers.
Elle me fit alors l’accolade et me sauta dessus d’un bond, en enroulant ses jambes autour de ma taille. De ma seule main disponible, je guidais mon sexe entre ses cuisse en écartant le tissus pour venir trouver son antre de désir, déjà très humide. Je la pénétrais d’ailleurs sans difficultés et nous nous retrouvions l’un dans l’autre, dans un équilibre précaire, debout dans la cuisine. Je la posais alors délicatement sur un plan de travail, avant de passer aux choses sérieuses. Mon membre puissant la pénétra fougueusement, alors qu’elle était déjà en train de mugir de plaisir. Dans cette position quelque peu inconfortable, ma queue entrait en elle dans son entièreté et je sentais même mon scrotum frapper sur son anus à chacun de mes coups de reins.
Il ne lui fallut qu’une petite minute pour jouir, sous l’effet de l’excitation et sa cyprine se répandit par grosses gouttes sur le plan de travail. Je m’amusais alors à me retirer en totalité, le temps qu’elle finisse de trembler pour la reprendre délicatement juste après, la limant presque amoureusement. Je sentais mon gland impatient et libre lui caresser le fond du vagin à chacun de mes mouvements et ses chaires serrées contre lui me procuraient des sensations fortement érogènes. Elle hurla une nouvelle fois son plaisir avant que je ne jouisse à mon tour, assez bruyamment. En me retirant de son nid d’amour, une grande quantité de sperme et de mouille inonda le meuble en bois, sous les yeux amusés de ma compagne. Elle reposa les pieds par terre pour reprendre son souffle, tandis que je peinais à retrouver mes esprits, toujours dans l’euphorie du moment.
Liloo passa un rapide coup d’éponge avant que je ne la porte pour la jeter dans le canapé, ayant repris mes forces.

Nous passions ensuite plus de quatre heures dans l’apres midi à nous unir dans tout l’appartement. Nous finissons tout de même de jouer, forcés par le retour d’Annaëlle, se faisant de plus en plus proche. Une dernière pénétration dans la salle de bain marqua la fin d’une journée riche en découverte de nos corps. Nous ouvrions ensuite toutes les fenêtres de l’appartement malgré la fraîche température de novembre et passions du désodorisant partout. Nous sommes allés jusqu’à changer mes draps ainsi que les leurs, endroits où nous avions coïtés une bonne partie de la journée et nous hésitions même à envoyer quelques coussins du salon à laver, mais le temps jouait contre nous, et nous nous disions sans parler que cela paraissais trop louche.

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