C’était la veille de Noël. Je venais de rencontrer Claire, celle qui deviendra ma femme, et nous sommes allés tous les deux rendre visite à ses parents, à l’autre bout de la France. Ils nous logeaient dans la chambre qui fut celle de Claire quand elle était adolescente, et ma bien-aimée a retrouvé ses peluches contre lesquelles elle aimait tant frotter son sexe herbu – elle m’a montré, et c’était magnifique comme elle jouissait grâce à la fourrure de Nounours comme avec celle de Tigrou et Cubitus, successivement.
J’avais proposé mon aide pour cuisiner le repas du midi à Rose, ma belle-mère, une femme charmante, en début de cinquantaine, visiblement très bien pourvue sous son chandail. Le père de Claire était parti faire une course, pendant que ma douce moitié prenait un bain. Rose m’a regardé droit dans les yeux et a posé sa main juste entre mes jambes, en murmurant :
— S’il te plaît… Claire n’en saura rien…
Comme je restais muet de surprise, elle a levé son pull et ôté son soutien-gorge.
— Ils te plaisent, a -t-elle repris ? Touche-les ! Ça fait du bien !
J’ai tripoté les seins, comme hypnotisé par ces sphères roses légèrement tombantes, contrairement aux petits mamelons arrogants de Claire. Rose m’adressait un regard incandescent. Son envie d’actions indécentes était contagieuse. Malgré moi, ma bite a bondi dans mon slip. J’ai baissé ma fermeture éclair pour libérer l’oiseau d’où coulait la rosée du désir. La rosée pour Rose. Je l’ai attrapée par les hanches pour qu’elle s’assoie sur le plan de travail où traînaient des épluchures de pommes de terre, puis j’ai relevé un pan de sa jupe. Tout comme sa fille, elle avait la chatte broussailleuse, encore plus abondante ; les poils dépassaient de la culotte noire au tissu fin tâché par les glaires. On est plutôt naturelle dans cette famille. J’ai toujours adoré ça. Sans perdre de temps, j’ai écarté le cache-sexe et je l’ai pénétrée d’un coup de reins, sans préliminaires. J’ai pris les mamelles à pleines mains, les malaxant sans ménagement. Nos têtes se frôlaient à chaque coup de boutoir. C’était un rut plutôt brutal, dénué de tout romantisme.
– Oh oui, continue, a-t-elle murmuré à mon oreille.
Elle se mordait la lèvre inférieure et fermait les yeux, manifestement en proie à une volupté grandissante. Nous avons entendu la baignoire se vider. Je me suis hâté de conclure. Les gros seins m’excitaient à mort. J’ai balancé ma purée directement dans le trou vaginal, en espérant que Rose était déjà ménopausée, ou bien qu’elle prenait une bonne contraception.
Puis, très vite, j’ai caché mon sexe et Rose a remis son pull-over en rabattant sa jupe, juste à temps pour que Claire ne se rende compte de rien. Celle-ci avait les yeux qui brillaient, ce qui se produisait souvent quand elle venait de jouir.
— Tiens, Maman, tu laisses traîner tes soutiens-gorges dans la cuisine, maintenant ?
Je me suis empressé de l’empêcher de penser par un bouche-à-bouche passionné. La fille a eu le même geste que sa mère en posant sa main sur mon sexe, à travers mon pantalon.
— Tu as eu tort de ne pas vouloir prendre un bain avec moi, c’était délicieux.
Puis elle a dit à mon oreille :
— Je me suis envoyée en l’air avec mes doigts, toute seule : dommage pour toi, tu n’étais pas là pour regarder.
— Il est encore temps de nous ratt****r dans ta chambre, avant le déjeuner, ai-je répondu.
— D’accord ! Attends-moi un instant, je vais faire pipi.
Dès qu’elle a eu le dos tourné, Rose a de nouveau relevé sa jupe, abaissé sa culotte jusqu’à ses talons, et m’a demandé un cunni express. J’ai obtempéré. La chatte avait un goût proche de celui de Claire, mais plus épicé. Très vite, nous avons entendu la chasse d’eau, qui nous indiquait que nous ne disposions plus que de quelques secondes. Je me suis relevé et Rose a remis sa culotte, précipitamment.
— Tu viens, mon chéri, a proposé Claire ?
Tout notre séjour de Noël s’est déroulé sur un mode identique. Nous avons même baisé au pied du sapin entouré de cadeaux, très vite, pendant que Claire enfilait sa robe de chambre. Plusieurs fois, nous avons frôlé la catastrophe, mais la chance s’est trouvée de notre côté.
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