Cela fait bientôt une demi-heure qu’elle est là, assise sur la partie hors d’eau du bassin qui servait à ma grand-mère pour battre le linge. Je n’ai pas bougé de mon lieu d’observation, de peur qu’elle ne m’entende mais surtout par curiosité.
« Bonjour Madame »
Je ne vois pas, d’où je suis, qui vient de prononcer ses mots, mais c’est une voix masculine.
La femme ne lui répond pas mais ôte sa robe et se rassoie sur le rebord du bac. Le jeune homme s’avance, là, je peux le voir, grand, très grand même sans doute 1.9 m , torse nu ,short de sport casquette bleue et tennis . Il fait plus mûr que le précédent mais semble malgré tout jeune.
La femme pose ses mains derrière elle, et se penche tout en relevant ses jambes pliées. Elle est très matte à l’exception de ce que je vois de ses fesses et de ses seins.
« Viens !, je suis toute sèche, occupe-toi de mon minou avec ta bouche ».
Sans dire un mot, le jeune homme s’approche d’elle, la fait s’allonger sur le dos s’agenouille devant elle, place ses jambes sur ses épaules, puis la prenant par les hanches la soulève jusqu’à ce que son entre jambe soit au contact de sa bouche.
Même si je ne vois pas précisément ce qu’il lui fait, il n’est pas difficile de l’imaginer, ce qui est certain c’est qu’elle apprécie. Ses gémissements sont discrets mais continus. Le jeune homme place, ses mains dans le dos de sa partenaire et se relève. Il la maintient avec aisance à l’horizontale tout en continuant de lui manger le minou. Il fait vraiment très chaud et leur petit exercice acrobatique, n’arrange rien. Ils sont tous les deux dégoulinant de sueur. Mais cela ne semble pas les gêner. Les gémissements de la coquine deviennent de plus en plus audibles. Elle se redresse prend le jeune homme par la nuque, courbant ainsi le dos et semble ainsi coller encore plus son intimité au visage de son jeune amant. De mouvements secs du bassin elle accompagne les caresses buccales de son partenaire, jusqu’à s’immobiliser brusquement et jouir en étouffant ses cris.
« Arrête ! Arrête ! . Repose-moi maintenant »
Il l’att**** par la taille et la pose délicatement au sol.
Elle baisse les yeux et constate le signe apparent de l’excitation de son amant.
« Tu n’as toujours pas de préservatifs à ta taille ? »
« Non Madame, mais j’en aurais demain ! »
« Tant pis pour toi, tu ne me baiseras pas aujourd’hui ! « dit-elle d’un ton amusé ! , Bon tu peux y aller, à demain ! »
« Oui Madame » . Il se retourne et s’éloigne.
« Attends ! reviens ! «
Il obéit .
« Aller, je ne vais pas te laisser partir comme cela ,baisse ton short «
« Et, ton slip voyons ».
Quelle érection ! son sexe est on ne peut plus tendu ,il se dresse fièrement. C’est seulement lorsque Madame pose une main sur le phallus du jeune homme que je me rend compte de la taille de son membre ,la main de la dame est loin d’en faire le tour.
Elle se place derrière lui la tête sur le coté et le branle à deux mains jusqu’ à ce qu’il repende en longs jets sa semence.
Cette femme n’a physiquement rien de bien particulier mais son attitude son comportement la rendent intrigante et assez attirante à mes yeux .
Il est midi cela fait une demi- heure qu’ils sont partis , lui d’abord ,elle ensuite, une dizaine de minutes plus tard.
Il fait vraiment très chaud, et c’est uniquement vêtue d’un large caleçon que je me restaure frugalement .
Je fais ensuite une longue sieste ,agitée je dois dire . Des images de la matinée me reviennent sans cesse .
Il est 17 heures ,j enfile un teeshirt et je sors par la porte arrière de l’ancienne étable .Bien que l’ endroit soit à l’ombre c’est la fournaise .Je referme rapidement ,je vais attendre pour sortir .
Je retourne donc dans l’étable à mon lieu d’observation ,mais rien ne bouge à l’extérieur aucun son ,si ce n’est celui de l’eau de la source qui coule par le trop-plein du lavoir .
Je remarque qu’il y a une autre petite fenêtre sur le coté gauche , condamnées à l’aide de planches clouées a même le mur . De là je verrais certainement mieux les ébats de demain matin .
Voila ! Cette vieille penture de volet devrait faire l’affaire. Le bois du volet est complètement vermoulu et part en poussière. En quelques coups je dégage la fenêtre et la vue.
Autant être à l’aise !
J’empile quelques bottes de pailles sur lesquelles je pose une bâche puis une serviette . Je vais pouvoir m’asseoir presque confortablement ,pas comme ce matin ou j’étais sur la pointe des pieds ,bon ca muscle les mollets certes , mais c’est fatigant !
Je passe ma soirée tranquillement ,faisant le tri dans le courrier accumulé, mes comptes à l’ancienne car pas de connexion internet, ni de réseau . J ai laissé la porte qui donne sur l’étable ouverte ,je vais régulièrement jeter un coup d’œil ,mais rien.
Il est 21 heures ,je viens de prendre une douche qui m a fait un bien immense , je remets mon caleçon un chemisier et je retourne faire un petit tour discrètement à l extérieur .
La température a à peine baissé mais c’est tout de même agréable de prendre l’air et de voir le jour tombant sur les collines . Il y a un léger vent ,je déboutonne mon chemisier pour que mes seins en profitent .
Je rentre précipitamment, referme la porte sans faire de bruit, je viens d’apercevoir quelqu’un qui approche .
Je vais à mon poste d’observation.
A SUIVRE
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