Tant pis, j’y vais !
le sex-shop
* * *
Tous les matins cette pensée me harcelait : j’avais envie d’aller dans un sex-shop… mais je n’osais pas. Je m’imaginais plein de trucs là-dessus mais je me demandais bien ce qui pourrait se passer dans ce genre d’établissement. Probablement qu’il n’y aurait que des types, le genre de vieux vicieux que je commence à apprécier. Comment réagiraient-ils face à une femme BCBG… mais plutôt sexy ? Sûrement que ce serait excitant!
Enfin, un matin (en fait la veille et pendant la nuit) je me décidais. Cela faisait quelques jours déjà que j’étais à court d’imagination et que la décision faisait peu à peu son nid. Ce matin-là, je pus me préparer en toute quiétude car j’étais seule pour m’habiller: je mis donc des vêtements sexy dessous, un ensemble soutien-gorge, slip noir en dentelle et tulle transparente (et j’emportais le porte-jarretelles et les bas noirs dans mon sac). Afin de ne pas risquer de me faire assaillir dans le métro ou dans le bus, ni de trop attirer l’attention au bureau, je rangeais tant bien que mal mes escarpins vernis noirs à talons hauts dans une sacoche; enfin, je mis un ensemble noir très BCBG mais avec une jupe courte et assez moulante, plus un caraco en nylon gris brillant.
Dans la rue, dans le métro, dans le bus, des dizaines de paires d’yeux me reluquèrent avec insistance mais j’avais déjà l’esprit ailleurs et je ne répondis pas à ces » avances ”. Tout au plus, pour ne pas perdre mes bonnes habitudes, j’offris quelques vues.
Toute la journée, la perspective de me rendre dans cet endroit m’obséda, surtout que mon patron et mes collègues me complimentèrent sur ma tenue mais, vu le boulot qu’on avait, ils ne purent trouver l’occasion de m’asticoter.
A dix-sept heures, je m’éclipsais rapidement du bureau et j’allais m’enfermer dans les toilettes de l’étage en-dessous, où je ne risquais de rencontrer personne. De mon sac, j’extirpais les bas noirs à couture et le porte-jarretelles et, tremblante d’excitation, j’enfilais le tout à la place de mon collant, ajustant parfaitement les coutures et le talon des bas sur mes jambes. Dernière touche, avec une nouvelle pincée de rouge à lèvres brillant, je chaussais mes délicieux escarpins vernis noirs à talons hauts.
Discrètement, je quittais l’immeuble de mon bureau par la sortie de derrière qui donnait sur les petites rues, que j’empruntais pour me rendre à pied -dans le bus, avec tous les habitués, j’aurais déclenché une émeute- dans le quartier chaud où se trouvaient les sex-shops que j’avais repérés. Malgré le peu de monde, je pus me rendre compte que quelques hommes se retournèrent sur mon passage pour admirer mes jambes gainées par les bas à couture.
* * *
C’est ainsi vêtue, femme BCBG mais sexy, que j’entrais seule dans ce lieu de luxure! Mon incursion apparemment très inhabituelle fit l’effet d’une bombe. Un lourd et profond silence accompagna mon entrée. Tous les yeux des hommes -il n’y avait que des hommes, bien sûr- convergèrent vers moi. En premier lieu, très surpris, ceux, goguenards, du tenancier de cette boutique du sexe, une espèce de chinois d’une cinquantaine d’années aux bras tatoués. Mais surtout, que dire des regards des clients de tous âges qui s’arrêtèrent de fureter dans les revues, les innombrables cassettes vidéo et les gadgets en tout genre, pour me reluquer et détailler ostensiblement ma belle tenue vestimentaire.
Ils étaient cinq ou six et tous, sans exception, me regardaient sans dire un mot et m’observaient, se demandant sans doute s’ils n’étaient pas l’objet d’une hallucination. Aussitôt, je dus adopter une contenance et je me dirigeais vers un rayon désert où s’étalaient des romans et des revues, que je fis semblant de détailler comme pour un achat.
Personne n’avait l’air d’être dupe mais aucun de ces hommes n’osait m’aborder. Je sentais leurs regards envieux et lubriques. Il y avait un vieux binoclard à cheveux blancs qui lorgnait avec insistance mes bas et mes escarpins, avec une esquisse de petit sourire aux coins de sa bouche fine. Un balourd plus jeune, plutôt du type agriculteur, rougeaud et aux traits grossiers, avait les yeux exorbités et globuleux comme s’il contemplait une apparition. De l’autre côté de l’étalage, je pouvais apercevoir les trois autres types, qui, jusqu’à mon entrée, fouinaient dans les cassettes video. L’un d’eux, assez bien mis, la quarantaine, était plutôt du style représentant et me détaillait à la dérobée… il devait me prendre pour une pute payante sûrement. Plus loin, un petit gros à la cinquantaine assez marquée, du style ouvrier, avec un de ces visages hideux de bande dessinée, affublé de moustaches fines et de grosses lèvres charnues, avait pour moi un regard vicelard plongeant et tentait de se rapprocher un peu. Enfin, un arabe (difficile de lui donner un âge, disons entre cinquante et soixante) sec et noueux avait l’air de ne pas en croire ses yeux et guettait comme un fou dans ma direction.
Comme il était le plus proche de moi, le vieux binoclard à cheveux blancs s’enhardit en me souriant plus franchement comme pour engager une conversation. Je croisais son regard fièrement comme pour l’inviter à me parler, alors que je m’aperçus que le petit gros, les yeux soudés à mon cul bien moulé par ma jupette, se passa une langue gourmande sur les lèvres et que l’agriculteur balourd haussa encore plus les sourcils quand, ayant changé d’angle de vue, il découvrit mes bas noirs à couture, mes escarpins et mon cul moulé par ma courte jupe. Je me rendis compte aussi qu’ils se regardaient entre eux tous les quatre, s’interrogeant mutuellement du regard sur l’attitude à adopter mais aucun n’osait approcher vraiment, n’osait esquisser une attaque.
Seule à mon rayon, assez près de l’entrée comme si je voulais fuir à la première attaque, je contemplais les revues très suggestives sur les premières pages desquelles de belles bites s’enfonçaient dans des chattes en gros plan ou étaient la proie de bouches gourmandes. Le binoclard, qui imperceptiblement s’était approché de moi sous les regards attentifs des quatre autres, regardait les mêmes couvertures de revue que moi puis scrutait mon visage. Alors, je me tournais vers lui et je fis une mimique avec ma bouche et mes sourcils, comme si j’étais épatée, comme si c’était la première fois que je voyais ce genre de photos et de livres.
Prenant à son tour la revue que je venais de poser, d’une voix douce et tremblotante -de l’excitation et de la timidité sans doute-, il engagea la conversation :
» c’est chaud ces revues…hmm? ”
Je ne répondis rien tout de suite, pour mieux rendre la situation ambigue et affirmer ma supériorité, puis, presque nonchalamment:
» Hmm, hmm… oui, c’est … heu, ouais, ouais, très très suggestif ” en hochant la tête et me rapprochant de lui.
Un court instant, je tournais la tête et je vis que les quatre autres types, l’air affamé et vicieux, n’avaient pas osé bouger d’un pouce mais, au lieu de regarder les cassettes et le reste, zyeutaient la belle femme qui hantait ce sex-shop.
Le binoclard poursuivit la conversation :
» çà vous plait? ”
Et là, comme pour mieux le surprendre, je répondis aussitôt:
» oui, j’aime bien mais c’est bête tous ces livres sont scotchés et on ne peut pas les feuilleter pour voir ce qu’il y a dedans ”
» Ouais, ils le font exprès, sinon il y a des types qui resteraient des heures à les feuilleter et n’achèteraient rien ”
» Ahhh! ” fis-je comme quelqu’un qui apprenait une leçon.
» Ouais, reprit-il aussitôt, et c’est aussi pour faire que les clients aillent plutôt visionner des cassettes video dans les cabines ou dans la salle de projection ”
Faussement ingénue : » Ah? il y a une salle de projection? ”
» Ouais, vous ne savez pas? ”
» Non, non, c’est la première fois que je viens … ”
Prudent, il emboîta :
» c’est cool, c’est comme une petite salle de ciné,… c’est bien ”
» c’est-à-dire? qu’est-ce qu’ils passent? ”
» Tenez, regardez, voilà le film, et puis c’est moins cher que dans les cabines” et il me montra l’affichette près de la caisse sans équivoque » Chattes en Chaleurs ” et, en saisissant le broîtier vide, il me montra la jaquette où quelques photos montraient des queues et des chattes.
Petit silence… je regardais les photos de la video.
Puis, il se lança :
» Si ça vous tente, tiens, je vous offre l’entrée ”
Je lui souris, marquais une brève (fausse) hésitation, puis :
» pourquoi pas, allez d’accord ”
Alors, le type alla illico vers le tenancier, paya deux places et revenant vers moi, il me tendit mon billet d’entrée.
Souriante et faussement naturelle, je lui emboîtais le pas en faisant claquer les talons de mes escarpins sur le carrelage de la boutique, sous le regard médusé et incrédule des quatre autres vicieux.
Alors que j’arrivais au petit escalier qui conduisait à la salle de projection, j’eus le temps de les voir se ruer vers le caissier comme une nuée de moineaux. » Bonne recette, tiens aujourd’hui pour ma salle de ciné! ” dut se dire le tenancier.
Dans l’escalier sombre, le binoclard me prit délicatement par la main en me conduisant : » attention, on n’y voit pas grand chose et les marches sont étroites ”. Sa main chaude et moite me procura une drôle d’impression; vers où m’emmenait-il ? dans quel guêpier m’étais-je fourrée ?
Il entra le premier dans la petite salle : il devait y avoir quinze à vingt sièges disposés assez bizarrement sur trois mini-rangées de deux, trois, quatre sièges, séparés par des allées et placés en arc-de-cercle autour d’une grande télé sur l’écran de laquelle deux jeunes éphèbes nordiques pinaient par les deux trous une belle blondinette en bas et porte-jarretelles qui gémissait.
La salle était presque vide. Je devinais la présence de deux types dans deux coins opposés mais dans le noir, je ne pus voir à quoi ils ressemblaient. Il faisait assez chaud dans ce mini-ciné et je suivis mon » guide ”. Il s’assit à la rangée du milieu, celle où il y avait quatre sièges. Faussement naturellement, je m’installais à ses côtés. Devant nous, il y avait trois sièges vides et derrière une rangée de cinq autres sièges placés en quinconce (pour la vision sans doute). Deux petites allées encadraient cette partie centrale et, de chaque côté, il y avait deux petits rangs de deux sièges chacun: c’était là où étaient déjà affalés deux types, dont un semblait se masturber. Je pus voir, au fur et à mesure où je m’habituais à la pénombre et parce qu’il était au premier rang sur notre droite, sa bite sortie de son pantalon sur laquelle sa pogne montait et descendait lentement. Un moment, il tourna la tête et me vit. Interloqué, il arrêta sa branlette et, cachant sa pine sortie, chercha à me détailler mais, sans doute que la pénombre le gênait.
Mon vieux binoclard, toujours digne alors que je percevais chez lui un léger tremblement d’excitation, regardait l’écran sagement.
Moi, je ne pouvais voir l’autre type qui était complètement dans l’ombre sur ma gauche, mais lui avait dû me voir rentrer dans mon ensemble jupe et avec mes escarpins fiers et sexy.
C’est alors qu’on entendit descendre le premier des quatre autres affamés vicelards. Dignement, je ne me retournais pas mais je sentis qu’il vint s’asseoir à la rangée derrière nous, bientôt imité par un des autres.
Nous entendions également un brouhaha de voix, alors que les bruits de pièces de monnaie indiquaient que les deux autres n’allaient pas tarder à arriver et je perçus la voix du tenancier :
» aujourd’hui, il y a du monde en bas… il y a même une super belle femme… je crois qu’elle est toute seule ”.
Il devait s’adresser à des nouveaux clients!
En tout cas, les deux autres entrèrent à leur tour et l’un d’eux vint s’installer à mes côtés, -c’était le petit gros laid!- alors que l’arabe prit place sur le siège devant le binoclard. Peu à peu le silence se fit, une fois tous les mecs installés mais les souffles retenus des mâles autour de moi pesaient, alors que la blonde gémissait de plus en plus fort à la télé.
Deux autres types, que donc je n’avais pas eu le temps de voir, entrèrent à leur tour et l’un d’eux vint s’asseoir à la gauche du binoclard. En s’asseyant, il resta quelques instants en suspension et se pencha en tournant la tête de mon côté pour mieux voir mes cuisses généreusement découvertes car ma jupette serrée remontait haut lorsque j’étais en position assise.
L’autre nouveau client vint se placer dans mon dos, à la droite du représentant, mais je ne pus voir à quoi il ressemblait.
Dans ma tête, je fis rapidement les comptes et je me dis que j’étais entourée de neuf ou dix hommes, seule dans cette petite salle de projection de sex-shop. Qu’allait-il donc pouvoir se passer?
Ce qui devint une certitude c’est que pour ces types le spectacle n’était pas sur l’écran mais dans la salle. En effet, aucun d’eux ne regardait la télé, sauf peut-être le binoclard pour continuer à la jouer serré. Tous ces vicelards lorgnaient dans ma direction.
Le type qui se masturbait lorsque j’étais entrée avait rangé sa queue dans son pantalon mais, carrément tourné de biais, m’observait, cherchant à voir mes jambes. Le petit gros – l’ouvrier moche, sur ma droite- me détaillait. Je sentais son regard vicelard plongé sur mes cuisses et, du coin de l’œil, je pus voir qu’il continuait à se passer la langue sur les lèvres. Je ne pouvais me retourner mais je percevais que dans la rangée de derrière les types tiraient la tête pour » voir ” ce qui se passait dans notre rangée. Le représentant plongea un instant sa tête presque à me toucher l’épaule pour mater mon décolleté et mes cuisses de côté: il avait sûrement pu zyeuter jusqu’au liseré plus foncé du haut de mon bas car ma jambe droite était croisée par-dessus l’autre; cela dégageait ma cuisse sur une bonne longueur que le masturbateur et le petit gros détaillaient en salivant.
Ce fut d’ailleurs de là que vint la première attaque. Je sentis la pogne de ce manant effleurer mon bas, ce qui m’électrisa, puis me caresser le côté de la cuisse par-dessus l’arachnéen tissu du bas. Cela me fit sursauter. » Çà y est, la fête va commencer! ” me dis-je dans ma tête et je n’eus aucun geste pour l’arrêter. De toute façon, une femme seule dans une salle de projection d’un sex-shop, cela ne devait pas prêter à confusion!
En effet, mon vieux guide binoclard s’aperçut que le gros porc avait commencé à me palucher un peu et il posa sa main droite sur mon genou. Cela n’échappa pas au vieil arabe devant nous, qui se retourna carrément pour voir les avancées.
Alors, je décroisais mes jambes sans faire fuir les pognes baladeuses. La main du petit gros saisit ma cuisse droite, alors que les doigts du binoclard remontaient lentement et doucement (que c’était agréable sur mes bas!) le long de ma cuisse gauche en glissant imperceptiblement vers l’intérieur plus chaud. Quand il atteint le haut des bas et que l’extrémité de ses doigts toucha ma chair, je me raidis trois secondes en ravalant ma salive. Retenant mon souffle, je guettais la progression de ces doigts doux vers ma culotte, alors que de son côté la pogne du gros remontait sur le dessus de ma cuisse et s’approchait de la jupette.
Bougeant très légèrement, c’est le binoclard que je choisis en ouvrant à peine ma cuisse et cela facilita l’exploration de ses doigts qui touchaient le fin tulle de ma culotte. A ce contact, j’eus un soupir haletant et je me cambrais vers l’arrière. Mais, oh! surprise, je reçus les deux pognes en même temps sur ma chatte à travers ma culotte. Je poussais un petit » ah!!! ”. Cela n’avait pas échappé aux trois de la rangée de derrière. Je sentis le visage de l’agriculteur qui avançait dans la rangée entre l’épaule du binoclard et la mienne. Puis, ce fut la main du représentant qui plongea dans mon décolleté et, s’immisçant sous le caraco, commença à palucher mon sein droit par-dessus le soutien-gorge.
Devant nous le masturbateur avait rejoint l’arabe retourné et tous deux mataient la progression des deux pognes qui avaient relevé ma jupette jusqu’au-dessus de la limite des bas, dévoilant mes jarretelles et un peu de ma chair blanche. Ces deux mains tournoyaient sur ma chatte à tour de rôle. Des doigts s’enfilaient sous la culotte et s’enfonçaient dans ma vulve humide tandis que les autres fourrageaient ma toison ou agaçaient mon clito. Ils commencèrent à me masturber en règle, sous les applaudissements silencieux des autres, qui avaient envie d’en faire autant.
Sous cet assaut, je m’offrais encore plus à eux. Mes cuisses s’ouvraient plus généreusement. Je renversais ma tête en arrière, me prêtant en cela à la pogne du représentant toujours sur mon sein droit, bientôt imité par l’agriculteur qui s’attaquait à mon téton gauche. Je sentis aussi les doigts fins de l’arabe courir sur mes bas le long de mes mollets et remonter doucement. Les masturbations sur mon clitounet et dans ma chatte m’affolaient peu à peu et, la tête un peu chavirée, je commençais à gémir doucement bouche entrouverte. Alors, je reçus la langue et la bouche du représentant qui me roula une galoche d’enfer. Tenue de partout, je ne pus que lui répondre et je fus à la merci de tous ces salauds. Alors là, toutes les pognes redoublèrent d’activité sur mon corps. J’en avais partout. Il devait y avoir les autres qui s’y étaient mêlés car j’étouffais un peu. Ma veste fut enlevée et mes cuisses étaient prises d’assaut, tandis que l’agriculteur penché sur moi, suçait mon téton dégagé au ras du balconnet noir. Ils étaient tous ou presque sur moi. Des dizaines de mains exploraient les moindres recoins de bas, de porte-jarretelles, de seins, de culotte, de chatte, de nylon, de cuisses, de mollets et même d’escarpins! Je me régalais d’avoir toutes ces mains sur moi. Alanguie, je me laissais peloter de toutes parts. A partir de ce moment, je perdis la notion de savoir qui me touchait et j’étais heureuse de m’offrir à toutes ces pognes de manants. De temps en temps, j’apercevais le visage hideux du petit gros moustachu, celui sexuellement affuté de l’arabe ou, dans la pénombre, les yeux globuleux de l’agriculteur; le reflet de l’écran sur les lunettes de « mon ” vieux.
Ceux de devant avaient plongé par-dessus les dossiers et profitaient de mes gambettes qui avaient été soulevées. Je sentis des langues qui léchaient et embrassaient mes bas et mes escarpins, j’étais aux anges.
Une main saisit la mienne et l’amena au contact d’une bite que j’empoignais aussitôt avec douceur. Je savais que même les plus salopards de vicieux étaient toujours surpris par la douceur d’une caresse sur leur queue. Mes doigts fins allaient et venaient lentement sur cette colonne de chair que je sentais vibrer. D’ailleurs, mon autre main ne mit pas longtemps pour trouver une deuxième queue à branler.
Dès cet instant, toutes les bites sortirent des braguettes car je sentis un fort mélange d’odeurs de queues en rut m’entourer. Bien vite des glands commencèrent à se rapprocher de moi et à se promener sur mes dessous dévoilés, à s’astiquer contre mes bas.
De derrière un mandrin tendu me tapota la joue et un autre vint se caresser avec mes cheveux. Je sentis aussi des pines tendues venir heurter le haut de mes cuisses et mes hanches, se frottant soit à ma chair au-dessus des bas, soit sur mes bas, soit contre le tissu de ma culotte ou mes tétons durcis apparents au ras de la dentelle de mon balconnet. Cela sentait la queue et l’odeur m’enivrait.
A tour de rôle, je touchais la plupart des queues. J’exultais! Je n’arrivais pas à flatter toutes ces grosses paires de couilles qui m’entouraient mais je sentais la douce caresse des poils sur mes bas et ma chair.
C’était une belle bousculade et c’était moi qui l’avais provoquée, en fait j’étais fière de moi… de quoi faire se pâmer de jalousie ma copine Aline qui se prétend la reine des pines.
L’un des mecs profita de cette » curée ” sur la belle bourgeoise pour plonger entre mes cuisses écartées et commença à me bouffer la chatte avec application. Je sentais sa langue darder au plus profond de mon vagin et sa bouche aspirer mes lèvres trempées. Il me lapait avec amour et cela m’excita de plus belle, surtout lorsqu’il titilla mon clitoris. Je me trémoussais tout en serrant mes cuisses contre ses joues. Il continuait, sentant le doux nylon de mes bas contre sa barbe, jusqu’à me rendre folle.
C’est ainsi, presque étouffée par tous ces types qui s’étaient jetés sur moi que je reçus le premier gland dans la bouche. Forcée par un mec de la rangée de derrière, le représentant (?), je commençais à avaler une bite tendue. Mais bien vite, je fus assaillie. Devant moi, sur les côtés, des braguettes ouvertes, des ventres gros et mous et dénudés, des hauts de cuisses poilus me présentaient des bittes à sucer. Comme j’aime sucer les types, je ne m’en privais pas mais cette fois, j’étais servie. J’avais du mal à gober tous ces dards qui me sollicitaient de tous côtés en s’enfilant dans mes cheveux, tapant mes joues, se branlant contre mes seins.
Entre mes cuisses, d’autres types se succédaient pour me bouffer la chatte; ces langues me procuraient de plus en plus de plaisir et je me trémoussais en tous sens, paluchée, léchée et assaillie par les queues bandées.
J’étais maintenant aux anges de lécher ces méats puants, de pomper ces glands rouges et luisants, j’arrivais même un instant à en engloutir deux en même temps. Respirant comme je pouvais, reniflant ces salopards en rut, peu à peu je sombrais dans une folie de stupre. Pendant au moins une demi-heure, je suçais tout ce qui passait à ma portée, sans que mes menottes restent vides de queues, sollicitant mes doigts pour des branlées de mise en attente. C’était pour moi une ivresse de fellations et je m’appliquais sur ces bites inconnues comme sur celle de mon amant, de mon patron quoi. Avidement, délicatement, consciencieusement je pompais ces dards turgescents et odorants. Je sentais les veines gonfler à la commissure de mes lèvres enflammées, les types s’enfonçaient profond, des pognes caressaient ma tête les doigts enfoncés dans ma chevelure de lionne, pour accompagner mes succions. A un moment un ventre bedonnant envahit mon visage et la queue de son propriétaire s’enfonça jusqu’au fond de ma gorge sans ménagement… jusqu’à m’étouffer, je la pompais quand même!
Soudain, un dard gros et tendu, que je venais de sucer un peu plus longtemps que les autres car sa douceur de velours me plaisait et il vibrait bien dans ma bouche, cracha sans prévenir un quart de litre de foutre. J’en eus partout. Je dus avaler quelques gorgées et fus copieusement arrosée car une deuxième queue venait d’imiter la première et m’aspergea le visage et les seins.
La décharge commença alors à se généraliser. Les mecs se régalaient de me viser et de m’envoyer leur foutre en pleine figure. Je ne sus combien ils furent à spermer, cinq? six ? … en tout cas j’étais devenue poisseuse de foutre.
Il y avait des râles, des » ahhh! ” des » hrrtch! ” des » ouaouh, quelle suceuse !”, » putain, qu’elle est belle, qu’elle m’excite, ahhhhhhhhhhhhhhh! ”. Ce commençait à être un brouhaha indescriptible où les jets de foutre se mêlaient aux cris étouffés de salauds déversant leur semence sur leur petite bourgeoise sexy et salope que j’étais entre leurs mains et leurs bites:
» Je l’arrose, hmmm! Elle me fait décharger, ouhhhhhhhhh! ”
» J’en peux plus, tiens, prends ça, salope ”
Et une nouvelle giclée s’écrasa sur mon visage, dégoulinant dans mon cou et décorant aussi ma chevelure.
Alors que je reléchais une bite dégoulinante, je me sentis happée par plusieurs mains, soulevée par les mollets et une pine se présenta à l’entrée de ma chatte sans préliminaires excessifs. Mes escarpins devaient flotter à un mètre au-dessus des sièges car des pognes soutenaient mes cuisses vers le haut et tous les corps des hommes autour de moi formaient un matelas de chair poilue. J’eus tout juste le temps de sentir le gland tutoyer les lèvres humides de ma chattounette et la bite s’enfonça sans problème car, bien sûr, j’étais trempe de mouille d’avoir sucé et de m’être fait lécher et doigter la chatte par tous ces manants. Le mec commença à me limer mais l’étroitesse des sièges ne favorisait pas trop sa bourrée. J’avais un peu mal et j’étais pliée en deux.
Alors, comprenant que le moment était venu de me faire prendre, je me dégageais et voulus me mettre en position plus favorable. Mon binoclard, qui était toujours sur ma gauche, me dit :
» Viens, lève-toi et mets-toi sur la rangée de devant ”
Subjuguée, j’obéis, je me levais et je contournais les sièges pour venir en première ligne et subir les assauts de toutes ces bites. Campée sur mes escarpins, en bas et porte-jarretelles, jupette retroussée à la taille, d’une démarche chaloupée et sexy, je m’installais au premier rang et ainsi je fis comprendre à tous les mecs qu’ils allaient pouvoir tous me baiser à tour de rôle. Ils avaient bien compris oui, d’autant plus qu’un des types m’avait bien éclairée avec une lampe de poche.
Ce fut une nouvelle bousculade car des gars qui n’avaient pas trop pu user de moi jusque là en profitèrent pour se replacer. Je pus voir qu’il y avait bien une quinzaine de mecs autour de moi. D’ailleurs, deux autres types encore tout habillés, probablement aiguillés par le tenancier du sex-shop, qui devait faire une bonne recette, avançaient vers l’amas de queues qui me cernaient.
Le gros moustachu s’agenouilla devant moi et, profitant de mes cuisses ouvertes par les pognes des autres, m’enfila sans coup férir. Sa pine épaisse me remplissait bien. Le mec était assez moche; je voyais son visage heureux et béat de me piner. Il m’avait empoignée par les cuisses et me pilonnait. Je me souvenais l’avoir sucée celle-là; lui aussi probablement car il ne put se retenir longtemps et, se retirant prestement, il déchargea sur mon porte-jarretelles et ma toison.
Je n’eus pas le temps de contempler ce foutre qui me décorait car une autre pine prit immédiatement sa place, alors que de nouvelles queues se manifestaient pour se faire sucer.
Deux ou trois dards entouraient mon visage, j’allais de l’un à l’autre, butinant les glands, pompant les hampes veineuses, pendant qu’un type que je ne voyais pas m’enfilait sous les encouragements des autres.
» Vas-y, bourre la à fond, elle aime la bite, elle remue la salope ”
Et le mec ne se faisait pas prier, il tapait fort en grognant :
» Oh! putain, qu’est-ce-que je lui mets, qu’elle est bonne cette chatte, han! han! tiens,… hmm! Salooope ”
Je me faisais traiter de salope et cela ne me choquait plus. Cette baise sauvage me plaisait de plus en plus et le mec s’affolait en moi de plus en plus vite. J’avais du mal à répondre à ses coups de pine car les autres qui emplissaient toujours ma bouche me gênaient avec leurs bedaines ou leurs cuisses.
» Les mecs, je vais décharger, hmm, c’est bon , j’en peux plus, hmm, je vais lui remplir la chatte…”
» Salaud, non, ne lui en mets pas dedans ” dit un type;
» Si, si, vas-y, au contraire remplis-lui la foufoune, après je vais la prendre, je vais nager dans le foutre ” dit un autre.
» Agrgnnnnch, je déchaaaaaaaaarge, putain qu’est-ce que je lui mets, ouh! je te remplis salope, saloooooooooooooooope ”
Et je sentis un torrent de sperme s’écouler dans mon vagin; alors que le mec se vissait au fond de ma chatte en beuglant, ses doigts crispés sur le haut de mes cuisses et de mes bas.
Il ressortit dans un flotch significatif et l’autre, comme promis, entra aussitôt dans ma chatte détrempée qui clapota fort. Les odeurs de stupre commençaient vraiment à remplir le lieu. Lui aussi me pina longuement en caressant mes bas, puis rajouta sa propre dose de foutre qui fit déborder ma chatte.
Puis on me retourna; à genoux sur le fauteuil, je me fis prendre en levrette par des queues que je ne voyais plus, alors que devant moi, le défilé de glands continuait. Je fus baisée à la chaîne : » passe-moi la ” … » allez! Je vais me la faire ”
» que ça glisse, qu’elle est bonne !”
» Je te la repasse, remets-lui en un coup et repasses moi la ”
» Putain, elle aime les queues, qu’est-ce qu’elle le bouge son cul! elle en veut encore” » Ouaouh! ce cul! ”
Je tendais le cul en arrière, sentant les couilles taper le haut de mes cuisses. Certains pilonnaient en force, d’autres glissaient en silence. Je sentais les pognes sur mes fesses. Les bites se succédaient dans ma chatte dilatée avec un rythme soutenu.
Je sentais le foutre de temps en temps asperger mes fesses ou mon dos, certains préféraient faire le tour et venir m’arroser le visage, d’autres me remplissaient la chatte.
J’étais entourée de bites, j’avais du foutre partout; je sentais des pognes étaler ce sperme sur mes fesses. Puis, des doigts s’immiscèrent dans mon petit trou badigeonné et visqueux. Je n’eus pas le temps de réagir quand une pine s’enfonça lentement dans mon cul, au lieu de limer ma chatte dilatée.
» Les mecs, je l’encule cette salope, elle est étroite là, elle aime ça, regardez, elle le bouge son cul ”
La queue me faisait un peu mal dans ce conduit étroit. Mais cela faisait pas mal de temps maintenant que j’avais commencé à me faire » prendre au petit ” par mon patron. Le mec bourrait en profondeur et il éjacula à l’intérieur m’inondant et lubrifiant le conduit : « je lui inonde le cul à cette salope, ahhhhhhh ! ».
Alors, ce fut la fin du défilé. Les pines se succédaient tantôt dans mon cul, tantôt dans ma chatte. Les mecs éjaculaient de tous côtés. Certains me remplissaient un peu plus, d’autres étalaient leur sperme sur mes fesses et mes vêtements; je sentais des glands venir se finir sur mes bas. Un des mecs enleva un moment un de mes escarpins, déchargea dedans et me le remit au pied tout visqueux. D’autres préféraient revenir vers mon visage et se finissaient avec leur pogne pour m’asperger le visage ou m’enfournaient brutalement leur gland affolé dans la bouche et déchargeaient. L’un d’eux me tira par les cheveux pour que je fasse bien face à sa pine qui m’aspergea copieusement, les jets saccadés de son sperme me massaient la bouche et les joues.
Epuisée, repue, je m’effondrais sur les fauteuils lorsque la dernière bite se retira. Les mecs partirent petit à petit et je me retrouvais toute seule dans cette salle de projection. Mon corps, mes vêtements, mon visage, mes cheveux étaient poisseux de foutre: j’en avais partout. Je pensais que je n’avais pas d’habits de rechange, si ce n’est des bas et cette pensée me paniqua.
Doucement, après m’être un peu réajustée, je remontais l’escalier et revint dans la salle du sex-shop. Heureusement pour moi, il n’y avait plus de clients. Le tenancier me regarda avec un regard goguenard, détaillant les longues trainées de sperme sur mon ensemble et aussi sur mon visage et dans mes cheveux.
» Vous avez des toilettes? ” lui demandai-je, un peu gênée.
Il sourit, resta silencieux un moment en m’observant, puis :
» Vous avez pris votre dose ? hein?… ” Je ne répondis rien.
» … oui, oui, j’ai des toilettes, là-bas au fond à gauche après les cabines video, le couloir en face… je vous y conduis.” Il ferma la porte d’entrée à clé et m’accompagna aux toilettes, s’engageant dans le long et étroit couloir entre les nombreuses cabines.
Un client -peut-être intrigué par le claquement saugrenu en ce lieu des talons de mes escarpins sur le carrelage- entrouvrit la porte d’une cabine et me regarda avec un intérêt non dissimulé.
Le salaud de tenancier chinois s’arrêta un instant, me bloquant dans le couloir et se retournant vers ce client, lui fit un petit signe comme pour lui indiquer de nous suivre.
J’étais coincée, je ne pouvais rien faire. Ce visage vicelard de ce tenancier me déplaisait. Il reprit sa marche en avant et je dus le suivre. Il ouvrit une porte, alluma une lumière blanchâtre :
» c’est là, ma jolie… refaites-vous une beauté ”.
J’entrais en hésitant, le frôlant au passage… mais il ne fit aucun geste. La lumière blafarde de ce néon me fit un choc : les lézardes de sperme étaient encore plus visibles ici. J’en étais maculée. Mon visage luisait de foutre et mon tailleur noir BCBG était tâcheté de tous les côtés; des perles blanches décoraient ma chevelure.
Voyant cela, le client de la cabine me suivit dans les toilettes, bientôt imité par le tenancier, qui se tenait sur le pas de la porte.
Je m’approchais du lavabo, presque comme s’ils n’étaient pas là et j’entrepris de me nettoyer un peu avec un mouchoir imbibé d’eau, tentant d’effacer les tâches les plus visibles sur mon ensemble noir. Le client me regardait, intéressé et intrigué par tout ce sperme mais un peu hésitant.
Alors le chinois abusa de sa position :
» cela fait deux heures qu’elle s’est fait mettre cette salope dans la salle de projection; il y a au moins quinze types qui se la sont enfilée et qui lui ont déchargé dessus ” dit-il au client héberlué… » C’est une vraie salope, celle-la… tu veux te la faire ? ”
Ce dernier, le premier moment d’étonnement vite passé, ne se le fit pas dire deux fois. Il s’avança vers moi et me troussa la jupe jusqu’à la ceinture, tout en me plaquant contre le lavabo. Il pelota l’intérieur de mes cuisses et vérifia l’état marécageux dans lequel se trouvaient ma chatte, mes fesses et mes bas.
» Putain, mais c’est vrai! Elle est pleine de foutre cette salope! ”
Il se débraguetta vite et m’enfila aussitôt, me pilonnant sauvagement, aidé par le gros chinois qui me souriait toujours.
Appuyée au lavabo, je dodelinais de la tête pour accompagner ses coups de boutoir et je regardais les deux visages laids dans la glace. Comment pouvais-je en être arrivée là. Me faire prendre dans des WC de sex-shop par un type moche et boutonneux, qui me traitait comme une vraie pute, sous les yeux archi-vicieux de ce tenancier à moitié chinois de cinquante ans, petit et gros.
» Elle est bonne, elle est pleine de foutre! ” et il limait.
» Passe-moi la un peu ” dit-il
L’autre se retira et le chinois m’embrocha à son tour sans coup férir avec un énorme engin noueux qui me fouillait bien malgré l’élargissement qu’avait subi ma chatte après les passages répétés de toutes ces queues qui m’avaient prises.
Etait-ce le côté sordide? Je sentais de nouveau monter la jouissance en moi. Le chinois avait dû le comprendre car il redoublait de force pour me baiser. Ses pognes crispées à ma taille, serrant ma jupe, il donnait des grands coups avec son bas-ventre qui m’écrasaient contre le lavabo. Je devais tendre mon cul en arrière pour ne pas avoir mal au contact de la pierre et donc cela me faisait sentir encore plus la profondeur de ses coups de pine. Je commençais à gémir. Le client s’extasia:
» elle va jouir la salope, vas-y bourre-la bien, et repasse-moi la ”
Le chinois semblait d’accord car il accéléra et m’acheva; je me mis à geindre de plus en plus fort en faisant des » oui, oui ” de la tête et entre mes dents serrées. Le client salace s’approcha, son boudin était devenu énorme et violacé. Il prit la place du chinois. Ce changement soudain m’arracha des hurlements de plaisir car sa queue me faisait du bien aussi.
» Putain, quel beau cul! Hmmm! Qu’elle est belle cette salope !”
Et il me bourrait bien à fond; continuant à prolonger ma jouissance par ses coups de treuil démentiels. C’était l’apothéose!
Je voyais son visage hagard dans la glace, la bouche ouverte, haletant comme un affamé. Et il me besognait sans vergogne, alors que le chinois se masturbait sur le côté.
Dans un râle bestial et affreux, il me cloua au lavabo; je ne pouvais plus bouger. Je sentis son foutre se répandre en moi, alors qu’avec des » hgggn ”, » achhrchh ”, il se vidait en me regardant les yeux exorbités : » je te remplis chérie, tiens… tiens , hanngggn! prends mon foutre salope… putain qu’est-ce que je lui mets!… hmmm… elle est bonne! Tu les aimes les queues hein salope? Tiens, tiens!”
Lorsqu’il se retira, j’étais chancelante sur mes jambes qui ne me tenaient plus et m’appuyais au lavabo pour reprendre mon souffle. Le chinois m’attira violemment vers lui. Passant sa main sur ma nuque, il me força à me pencher vers son dard démesuré pointé vers moi. Je dus le gober; il me l’enfonça dans la gorge en m’étouffant à moitié et je sentis ma bouche se remplir de foutre, ne pouvant me dégager car il me tenait fermement par les cheveux. » Bois mon foutre, salope, c’est le dessert! Avale, salope !” Il déchargea longuement entre mes lèvres. Et je dus tout avaler, au risque de ne plus pouvoir respirer.
Ils me laissèrent enfin seule. Je me changeais les bas, j’essuyais au maximum les trainées de foutre sur mon ensemble, me lavais le visage, changeais de chaussures et je sortis enfin de ce sex-shop après trois heures de luxure totale.
Dehors, il faisait nuit noire et je ne croisais pas trop de monde. Je rentrais chez moi à pied car j’avais peur de me montrer enfoutrée de la tête aux pieds dans le bus ou le métro. Heureusement que mon mari n’était pas encore rentré car s’il m’avait vue ainsi…!
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