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KIDNAPPING ET SOUMISSION

KIDNAPPING ET SOUMISSION



I. Le k**napping
Vendredi soir, dans un restaurant gastronomique du nord de la France, un couple se délecte des mets proposés par le maître d’hôtel.
La femme est habillée en latex, une mini-jupe noire à liseré or, un top en tulle montrant son soutien-gorge par transparence, un blouson type motard noir également en latex. Ses jambes sont gainées par des collants noirs et elle est chaussée d’escarpins noirs vernis à talons métalliques. Son visage est bien maquillé. Elle porte autour du cou un collier en acier inoxydable poli avec un anneau. Les yeux avertis auront tout de suite vu les atours d’une femme soumise à son Maître.
Son Maître n’est autre que son mari qui se tient en face d’elle, la dévorant du regard. Elle, Sweet Pussy, c’était son nom de soumise, souriait parce qu’elle le subjuguait. Mais aussi parce que certains regards se portaient sur elle.
Mais ce couple sans histoire n’a pas toujours connu une vie radieuse faite d’amour et d’eau fraîche. Mariés en 1990, un garçon en 1993, le métro, boulot, dodo, et les ébats amoureux classiques ont eu tôt faits d’installer une routine amoureuse qui semait le doute dans l’esprit de Manu. L’arrivée d’internet à la maison et les nombreux sites internet pornographiques, les films X à canal l’amenèrent à demander plus à Isa. Manu souhaitait sodomiser Isa, voulait qu’elle suce et avale son sperme.
Les refus incessants d’Isa installèrent de la méfiance et une animosité palpable dans le couple qui commença à se désagréger. Les disputes se firent nombreuses, parfois violentes. Des séparations momentanées furent nécessaires pour évacuer les ressentiments l’un envers l’autre.
Une discussion franche et ouverte sur leur relation et surtout sur leurs pratiques sexuelles amena Manu à demander à Isa de faire des concessions pour le bien de leur couple. Manu désirait qu’elle s’habille en « pute » comme il disait, lorsqu’ils sortaient et en « pute soft » lorsqu’ils étaient en famille. Les séances SM firent leur apparition à la maison lorsque leur fils était en vadrouille. Des punitions pour faute furent infligées à Isa. Manu organisait parfois des week-ends SM dans un hôtel chic dans une autre région, et Isa devait réaliser des missions, comme les appelait Manu. Isa, habillée en pute, devait entrer dans un point presse et acheter des magazines, dans une pharmacie pour acheter des préservatifs. En vacances à Malaucène, Isa jouait à la petite clémentine et portait une robe rose bonbon avec des chaussettes, le tout en latex, avec des chaussures roses à semelles compensées et devait acheter du pain dans une boulangerie. Manu acheta différents uniformes tous en latex : une robe de religieuse, un uniforme d’écolière, un uniforme de soubrette.
Mais ce soir, Manu offrait le restaurant à Isa pour voir ses jambes et sa mini-jupe virevolter sous sa marche.
Le maître d’hôtel leur proposa un café qu’ils acceptèrent avec joie. Ils se rendirent donc au salon pour le prendre. Manu et Isa buvaient leur café en toute quiétude lorsqu’un couple vint à leur table :
« Je n’ai pu m’empêcher de regarder votre soumise Monsieur » dit la femme.
Ils furent stupéfaits de cette approche si soudaine.
« Pardon ? » fit Manu interloqué.
« Oui, c’est bien votre soumise, enfin si elle ne l’est pas, elle en a tous les attributs vestimentaires et corporels. Nous souhaiterions vous inviter à prendre une coupe de champagne, nous résidons à quelques kilomètres. »
« Eh bien c’est-à-dire que….qu’en penses-tu Sweet Pussy ? »
Isa était gênée d’être appelée par son nom de soumise devant des inconnus.
« Oui, je veux bien. »
« Alors ok, je paie à la réception et nous vous suivons ! »
« Non laissez, je connais très bien le gérant de l’établissement, je réglerai cela avec lui. »
« Je suis gêné, je ne me permettrai pas ! »
« J’insiste ! »
« Soit ! »
« Je me présente : Alexandre et voici mon épouse Aurore. Vous me suivez ?»
Les deux couples prirent chacun leur véhicule et Manu suivait la Porsche d’Alexandre, puisque c’était son nom.
Ils arrivèrent donc dans un beau petit village et prirent une ruelle à la sortie de celui-ci. Ils arrivèrent devant une grille en acier entourée par deux piliers en pierre taillée. La grille s’ouvrit et les deux véhicules avancèrent sur le chemin légèrement éclairé. Isa et Manu regardaient de chaque côté du chemin pour voir le paysage et le parc fleuri. Ils arrivèrent devant un manoir type 17 ème avec une entrée grandiose.
Les deux couples descendirent de voiture et montèrent l’escalier d’entrée. L’intérieur n’était qu’enluminure et féérie de couleur, de tableaux de maîtres, de tapisseries, de meubles d’époque. Isa avait leurs yeux qui scrutaient le moindre centimètre carré de mur car elle aimait l’art et l’agencement des pièces.
Alexandre les invita à le suivre dans un petit salon et tira un fauteuil pour qu’ Isa s’installe convenablement.
« Que désirez-vous boire ? »
« Une coupe de champagne. » répondit Isa.
« Ce sera un whisky pour moi, sans glace. » dit Manu.
« J’ai un excellent tourbé, si vous appréciez le bon whisky. » dit Alexandre.
« Parfait ! » dit Manu.
Alexandre alla chercher le champagne et le whisky. Aurore dévisageait Isa qui semble être bien gênée par ces regards soutenus.
Alexandre revint avec un plateau et servit les coupes de champagne et les whiskys.
« Trinquons à notre rencontre. »
Les verres s’entrechoquèrent et chacun but.
Isa et Manu apprécièrent leur alcool.
« Très bon votre whisky. »
« Votre champagne aussi, il est délicieux. »
Ils discutèrent de choses et d’autres et Alexandre demanda si un second verre ne les dérangeait pas. Manu et Isa répondirent que non. Après quelques minutes, Alexandre demanda à Manu de le suivre pour lui montrer sa cave à whisky. Ils laissèrent donc les femmes ensemble et partirent à la cave.
Isa ne tarissait pas d’éloge sur leur magnifique demeure et de la décoration. Isa commença à avoir la tête qui tourna et commença à avoir la vue trouble. Aurore lui demanda ce qui n’allait pas. Isa essaya de se lever mais ne fait que trébucher sur le tapis du salon. Aurore posa son verre sur la table et tira Isa par les bras vers le vestibule. De leur côté les hommes dégustaient les whiskys à la cave. Alexandre prit une bouteille poussiéreuse :
« Vous m’en direz des nouvelles de celui-ci, c’est un glenfarclas 50 ans d’âge. »
Alexandre tendit à Manu un verre et le remplit. Il fit de même pour lui.
« Alors ? »
« Excellent !, un régal en bouche »
« Oui n’est-ce pas ? »
Après quelques compliments sur sa cave, Manu regarda l’heure :
« Ohh mais il se fait tard, je pense qu’il va falloir rejoindre ces dames. »
« Oui vous avez raison, elle vont commencer à s’inquiéter et dire que, comme d’habitude, les hommes les délaissent ! »
Ils rirent aux éclats et s’en retournèrent au salon. Alexandre suivait Manu. Lorsqu’ils arrivèrent dans le vestibule, Manu commença à tituber, perdit l’équilibre et s’affala sur le sol.
Alexandre prit les bras de Manu et l’amena à l’ascenseur situé derrière une porte cachée du vestibule.
II. La préparation
Lorsqu’Isa reprit ses esprits, elle voulut se lever mais elle comprit vite qu’elle ne pouvait pas bouger en voyant ses poignets et ses chevilles fixés à une sorte de chaise de gynécologie. Elle regarda autour d’elle et vit une pièce vide aux murs blancs. Elle se regarda et fut surprise d’être nue. Elle se débattait sur sa chaise pour essayer de se libérer lorsque la porte s’ouvrit. Aurore entra dans la pièce :
« Ah enfin, on émerge Sweet Pussy. »
« Pourquoi m’avoir attachée, libérez-moi de suite Aurore ! »
Pour toute réponse, elle reçut une gifle qui la stoppa dans son élan pour répondre.
« Ici, tu ne parles que lorsque l’on te le demande. Compris esclave. Et appelle-moi Maîtresse Aurore »
« Libérez-moi et laissez-moi partir, que me voulez-vous ? »
« Tu voulais du SM, et tu jouais avec ton petit mari pour lui donner des sensations, ici tu vas connaître les vraies sensations du SM. Je vais tout d’abord te parer de quelques apparats. »
« Je n’ai pas entendu la réponse. »
« Laissez-moi partir et détachez-moi tout de suite. »
Isabelle tirait sur ses poignets et se débattait pour s’extirper de ses liens.
Isa reçut une seconde gifle qui la fit taire.
« Je n’ai pas entendu la réponse, esclave ! »
« Oui, Maîtresse Aurore. »
Un homme, que dire, un colosse entra dans la pièce, le torse nu. Très grand, musclé, tatoué sur les bras et la poitrine, des piercings aux oreilles et sur les tétons.
Isa prit peur et commença à s’agiter sur la chaise.
« Calme-toi Sweet Pussy, tu vas être très désirable après cela. »
Maîtresse Aurore prit la sangle du repose-tête et ceintura la tête de Sweet Pussy. Elle sangla aussi son cou pour l’immobiliser complètement.
L’homme sortit ses pinces et ses anneaux. Isa, Sweet Pussy, respirait très fort. Sa respiration emplissait la pièce. Elle comprit ce qu’on allait lui faire subir.
« Non, je vous en prie, ne me faites pas de mal. Pas ça !!! »
« Silence esclave ou je ferme ta gueule avec un ball-gag ! »
« Perce-lui la lèvre d’abord. »
« Oui Maîtresse. » répondit l’homme.
L’homme prit un crayon et fit un point dans l’axe de sa lèvre inférieure, un peu en dessous. Il prit sa pince et serra la lèvre de Sweet Pussy qui gémit lorsqu’il serra la pince. L’homme prit une aiguille et l’approcha de la pince.
« Prends une grande inspiration chienne ! » lui dit l’homme et il enfonça l’aiguille dans sa peau. Un cri étouffé sortit de sa bouche. L’homme prit un anneau et le passa dans sa peau. Il prit une petite bille qu’il fixa à l’anneau. Maîtresse Aurore caressait le front et les joues de Sweet Pussy pour la soulager de sa douleur et embrassait aussi son front.
Elle fit un signe de la tête à l’homme, qui acquiesça. Il prit une pince spéciale à trois ouvertures.
« Ouvre la bouche et tire la langue, esclave. »
Sweet Pussy serra les dents et fit non de la tête en protestation mais l’homme lui pinça le nez pour l’empêcher de respirer. Dès qu’elle ouvrit la bouche pour happer de l’air, l’homme prit un anneau pour lui bloquer la mâchoire en position ouverte. Avec la pince, il lui prit la langue et la tira vers l’extérieur. Sweet Pussy vit alors trois aiguilles entre les doigts du pierceur et il lui enfonça les trois aiguilles dans la langue en triangle. Puis il lui planta les trois tiges et serra les boules. Il lui retira le ball-gag anneau.
« On continue. » dit Maîtresse Aurore
« Bien Maîtresse. »
Maîtresse Aurore serra la tête de sa nouvelle esclave entre ses mains. Le pierceur reprit son crayon et pointa minutieusement les narines et le septum de Sweet Pussy. Il prit une autre pince spéciale à trois branches mais dont une est ouverte sur le bout, celle du centre. Il serra la pince et Sweet Pussy gémit de nouveau. Sweet Pussy poussa un cri vite réprimé lorsqu’elle vit la longue aiguille que son bourreau présenta à ses yeux avec un sourire sadique.
Il plaça l’aiguille sur la narine droite et transperça celle-ci, puis il pointa le septum et positionna un labret puis poussa l’aiguille pour percer le cartilage. Il continua pour passer l’aiguille dans la narine gauche. Sweet Pussy s’arcbouta sous la douleur. Le pierceur passa alors une tige dans l’aiguille puis retira celle-ci. Il fixa un anneau à chaque extrémité de la tige pour la bloquer à chaque narine. Maîtresse Aurore se plaça devant Sweet Pussy et regarda son esclave. Elle examina son nez. Satisfaite du résultat, elle demanda au pierceur de continuer.
« Passons maintenant aux choses sérieuses. Tu vas être belle avec cela, bandante même ! »
Le pierceur prit le téton droit de Sweet Pussy, l’étira et le vrilla sous ses doigts. La nouvelle esclave se crispa sous ce traitement Il pointa son crayon à la base du téton, il reprit sa pince. De nouveau, Sweet Pussy vit une aiguille s’approcher d’elle. L’homme la regarda un instant dans les yeux et enfonça l’aiguille au travers du téton. Un nouvel anneau venait d’être posé. Il fit de même avec le téton droit.
« Bien, c’est pas mal mais ta chatte m’a l’air nue maintenant, on va la décorer aussi. Trois anneaux pour chaque petite lèvre et trois autres anneaux pour les grandes et un pour le capuchon. Pour un début cela suffira. »
Le pierceur fit donc son office pour les demandes de Maîtresse Aurore.
Les lèvres du sexe de Sweet Pussy furent ornées de trois anneaux chacune et le capuchon d’un seul anneau.
Isa « Sweet Pussy » était tremblante et exténuée par les multiples perçages qu’elle venait de subir ; son corps n’était que douleur.
« On revient au visage. » dit Maîtresse Aurore.
« Un anneau placé de chaque côté de la bouche, comme les crocs d’un cobra. »
Le pierceur reprit ses outils et officia selon les ordres.
« Tu vas aller te reposer maintenant dans ta cellule, ce sera ta nouvelle pièce à vivre maintenant.»
Maîtresse Aurore détacha Sweet Pussy. Elle l’aida à se lever et Sweet Pussy se vit dans le miroir. Son corps mutilé par les anneaux la fit pleurer.
« C’est pour ton bien que l’on fait tout cela pour toi. »
Elle l’amena dans sa cellule, une cellule sans fenêtre, cellule blanche du sol au plafond. Maîtresse referma un collier en inox avec 4 anneaux autour de son cou et attacha Sweet Pussy à un des pieds du lit, referma la porte et laissa sa nouvelle esclave seule. Isa regarda son corps avec tous ces anneaux et se remit à pleurer et se demandait si elle ne faisait pas un cauchemar. Elle se coucha sur le matelas du lit picot et s’endormit tout de suite.
La porte s’ouvrit et on la réveilla par des coups sur le pied du lit.
A 08h00 du matin, on vint la réveiller subitement. Un homme entra dans la cellule.
« Debout esclave, aujourd’hui c’est dimanche, ton jour de repos suite à tes piercings mais tu dois prendre l’habitude de te réveiller à cette heure-ci! »
Sweet Pussy émergea de son sommeil et vit l’homme. Elle eut le réflexe de se couvrir le sexe.
« Ah ah ah !! Mais tu crois que tu vas pouvoir me cacher cela longtemps ! Descend du lit et mange cela à terre et à quatre pattes comme la chienne que tu es. »
L’homme lui mit à terre une écuelle remplie d’une bouillie de céréale et de lait. Et il sortit aussi vite qu’il fut entré dans la pièce.
Isabelle avait tellement faim qu’elle prit l’écuelle et mangea sa bouillie assise sur le lit. L’homme entra précipitamment, il fit sursauter Isabelle.
« J’ai dit à quatre pattes comme une chienne, obéis ou je vais personnellement m’occuper de toi ! »
Isabelle descendit du lit, posa son écuelle à terre, se mit à quatre pattes et mangea sa bouillie comme un a****l.
« C’est mieux ! Nous te surveillons, alors tu as intérêt à obéir ! Et mange car ce sera ton seul repas du jour. »
Isabelle mangea son écuelle même si la nourriture ne ressemblait pas à celle qu’elle avait dégustée ce vendredi au restaurant ! Mais elle n’arriva pas à tout avaler et laissa de la nourriture au fond de son écuelle.
Elle essuya son visage avec ses mains et se remit au lit. De toute façon, je n’ai rien d’autre à faire qu’attendre mon sort pensa-telle intérieurement. Elle pensa à Manu. Où était-il, que lui était-il arrivé ? Le même sort qu’elle ? Elle s’endormit avec ses interrogations et se recroquevilla comme un bébé cherchant la sécurité dans un monde inconnu d’elle.
III. L’entraînement
Isa n’avait pas vu passer la nuit, des images lui revenaient sans cesse à l’esprit, elle ouvrit les yeux et se demandait quelle heure il pouvait être. La porte s’ouvrit soudain.
« Debout esclave, aujourd’hui ton entraînement va commencer mais d’abord la collation! »
Le même homme que la veille lui apporta une écuelle avec la même bouillie de céréales au lait.
« Mange, tu en auras besoin. Et qu’il ne reste rien dans ton écuelle sinon je te gave comme une oie avec cet entonnoir ! » L’homme montrait en effet un entonnoir rouge avec un flexible à son embout.
Isa émergeait doucement, elle n’eut pas le temps de bailler qu’on la prenait sans ménagement par le bras pour manger à même le sol. Elle mangea sa bouillie tant bien que mal. L’homme se positionna derrière elle et la regardait manger. Il fixait ses fesses et son trou bistre et les lèvres annelées recroquevillées de sa chatte. Lorsqu’elle eut fini de manger sa bouillie, Sweet Pussy se releva le visage maculé de céréales, du lait coulait sur son menton.
« Tu es bien belle comme cela, une belle petite chienne ! »
Ensuite on l’emmena dans la même pièce que deux jours auparavant, seule la chaise gynécologique n’était plus là. A la place, une chaise métallique trônait à sa place, une chaise faite de tubes de fer.
On la fit s’asseoir sur la chaise, ses poignets et ses chevilles furent attachés aux pieds et aux accoudoirs de celle-ci.
Son cul était dans le vide mais l’arrière de ses cuisses qui reposaient sur un tube l’empêchait de basculer. Elle sentit une sensation de froid sur son anus, une main venait de lui appliquer du gel. Un tube fut enfoncé dans son cul et elle sentit de l’eau tiède l’envahir. Son ventre gonflait avec l’eau.
« Vide-toi. » lui dit une voix. Elle poussa et de l’eau brunâtre gicla dans un bassin. 5 lavements profonds lui furent administrés ; jusqu’à ce que l’eau soit claire.
Maîtresse Aurore, habillée d’une combinaison noire en latex, de cuissarde à talon vertigineux entra dans la pièce.
« Bien dormi, Sweet Pussy ? »
« Libérez-moi Maîtresse Aurore, je vous en prie, je veux voir mon mari, lâchez-moi ! »
« Tu es mon esclave désormais, et tu vas m’obéir sinon, il va t’en cuire. Et tu le verras prochainement ton mari si tu travailles bien, ne t’inquiètes pas. Je vais aussi m’occuper de lui. Pour l’instant, tu vas t’entraîner. »
Maîtresse Aurore passa derrière la chaise, prit un gode en latex qu’elle enduisit de gel et enfonça délicatement celui-ci dans l’anus de Sweet Pussy. Celle-ci gémit, même cria pour refuser l’engin mais rien n’y fit et le gode de 4 centimètres de diamètre s’enfonça dans son cul. Maîtresse Aurore bloqua celui-ci avec une ceinture qui couvrit son sexe et une autour de la taille.
« Tu as un plug de 4 centimètres de diamètre dans ton cul. Celui-ci équivaut à une bite normale. Tu le garderas pendant une semaine complète, on te l’enlèvera uniquement lorsque tu iras chier. Compris ? »
« Oui, Maîtresse Aurore. » dit Sweet Pussy résignée.
La semaine sembla très longue pour Sweet Pussy. Le plug lui bouchait les entrailles pendant une semaine. Une esclave venait l’ôter de temps à autre pour ses besoins, puis le remettait de suite dans son cul. Parfois, Maîtresse Aurore lui mettait aussi un plug dans la chatte. Sweet Pussy avait les orifices dilatés, elle pensait même qu’elle allait être déchirée de toute part. Elle passa les journées de la semaine assise sur la chaise les orifices remplis par les plugs. On la détachait vers 20h00 pour marcher un peu dans le couloir des cellules puis on la mettait au lit mais le plug, lui, ne la quittait pas d’un centimètre. Elle se retrouvait seule dans sa cellule d’un blanc immaculé attachée comme un fauve dans sa cage.
Le lundi suivant, Maîtresse Aurore vint lui mettre un plug de 5 centimètres de diamètre. Elle travailla longuement le cul de son esclave pour qu’il s’ouvre et que le gode lui pénètre le cul. Ce gode fut en elle pendant une semaine aussi. Un mois passa et le gode prit une dimension de 7 centimètres de diamètre. Pendant cette semaine, on lui stretcha les piercings qu’elle avait aux seins, sur les grandes et petites lèvres de la chatte et sur son capuchon. Les anneaux sur le lobe de l’oreille aussi furent stretchés. L’épaisseur de ceux-ci passa de 1.6 mm à 2.9 mm. Sweet Pussy sentit un à un les barres qui lui écartaient les chairs et les anneaux passaient un à un dans sa peau.
Pendant cette semaine, le lendemain du stretching, Maîtresse Aurore apparut dans la cellule.
« On va faire un petit peu de peinture pendant cette semaine. »
Le pierceur apparut dans la pièce et Sweet Pussy crut qu’elle allait encore subir la douleur des aiguilles. Maîtresse Aurore donna à l’homme un dessin sur une feuille A4. Ce dessin représentait Melona, un personnage d’anime manga dans un décor lunaire et d’une carpe koï avec des fleurs.
Le pierceur dessina à son tour sur une feuille puis appliqua celle-ci sur le pourtour du bras gauche de Sweet Pussy et la décolla. Le motif était inscrit sur son corps. Puis elle entendit derrière elle un grésillement et vit le pierceur s’approcher d’elle avec un outil de tatouage. Sweet Pussy pleura lorsqu’elle comprit que son corps aller encore être mutilé. Pendant 4 heures, le tatoueur s’appliqua à suivre les contours du dessin, puis donna rendez-vous dans un mois le temps que la peau cicatrise.
Maîtresse Aurore lui donna un jour de repos suite au stretching de ses anneaux mais pas pour son cul qui travailla le dimanche.
Le lundi arriva et Sweet Pussy, après avoir déjeuné sa bouillie matinale, fut emmenée sur sa chaise métallique. Elle fut attachée comme tous les matins depuis plusieurs semaines et sentit l’application du gel sur son orifice anal. Un plug de 8 cm de diamètre en latex s’enfonça dans son rectum pour la semaine. L’intromission devenait difficile avec l’augmentation de diamètre. Le visage de Sweet Pussy se crispait chaque lundi lors de l’introduction du plug. Mais Maîtresse Aurore travaillait son cul chaque lundi avec habileté et détermination. Il n’y avait aucune alternative. Le plug devait entrait dans son cul pour élargir ce passage. Un écran digital avait été installé dans sa cellule. Sitôt le plug enfoncé et fixé dans son cul, l’écran s’alluma. Maîtresse Aurore en quittant la cellule lui dit :
« Je t’ai installé un écran télé pour que tu ne t’ennuis pas. Regarde bien les films diffusés, et instruit-toi ! »
Des films SM furent diffusés sur l’écran qu’elle devait regarder sous peine de punition. Ces films étaient des anthologies de stars du porno. Il y avait des heures et des heures de fellation, de sodomie, de double pénétration, de double pénétration et de fellation, une femme était prise en sandwich et suçait une bite pendant que ses deux mains branlaient deux autres bites, des scènes de porno latex. Des femmes se faisaient dilater le cul et la chatte par des plugs en latex qu’un homme gonflait et dégonflait selon son humeur. De pauvres femmes se faisaient enculer par des blacks aux membres disproportionnés et entendaient leur gémissements et leur cul dilatés. Sweet Pussy vit aussi des scènes de lavement profond, de l’eau pleine de colombins s’échappaient des culs de femmes mais aussi de culs d’hommes, de bondage. Elle vit aussi des scènes de pissing, des femmes se faisaient arroser d’urine par plusieurs hommes. Certaines de ces femmes ouvraient la bouche pour recevoir cette urine. Dans une scène, des hommes pissaient dans un saladier tour à tour puis la femme prenait ce saladier et buvait leur pisse comme si s’était une bonne citronnade.
Parfois, il y avait des scènes de piercings : Des femmes ligotées se faisaient piercer le nez, la bouche, la langue, les seins, les oreilles, le sexe. Sweet Pussy reconnut la chaise métallique et la cellule dans laquelle elle avait subi pareilles sévices. Elle se reconnut dans la seconde scène de piercing. Elle revit le piercing complet de son nez et s’entendait couiner sous la pénétration de l’aiguille dans ses narines et sa cloison nasale. Puis elle vit l’enfoncement de la barre et la pose des anneaux. Le caméraman fit alors un gros plan de son sexe et on vit ensuite les anneaux posés sur ses lèvres et quelques gouttes de sang qui perlaient. Elle regarda ensuite des hommes se faire piercer le sexe, les couilles, les seins. Certaines scènes lui donnaient des hauts de cœur.
Deux semaines supplémentaires passèrent, le cul de Sweet Pussy recevait maintenant un plug de 10 cm de diamètre. Sweet Pussy avait l’impression que son cul restait ouvert lorsqu’on lui enlevait le plug. Elle se demandait même si elle n’allait pas devenir incontinente avec ce traitement à long terme.
Elle vit de nouveau le pierceur car les piercings de ses seins, son sexe au niveau des lèvres et le capuchon et ses lobes d’oreille furent de nouveau stretchés le lundi. L’épaisseur était maintenant de 3.6 mm.
Les lèvres commençaient à pendre sous le poids des anneaux. D’ailleurs Maîtresse Aurore fit une remarque qui gêna intérieurement son esclave.
« Les lèvres de ta chatte pendent un peu et commencent à ressembler à des babines. Ta chatte commence, je dis bien, commence, à ressembler à une chatte de soumise. Tes seins tombent Sweet Pussy, il va falloir remédier à cela car c’est disgracieux !
Et le dimanche passa…
IV. Première épreuve
Lundi 08h00 :
Maîtresse Aurore entra dans la cellule de Sweet Pussy et la réveilla et libéra le collier de la chaîne qui le reliait au lit.
« Alors Sweet Pussy, aujourd’hui tu vas subir ta première épreuve, debout en position d’inspection. »
« Qu’allez-vous me faire subir encore. »
« Tu verras et d’abord tu n’as pas à poser de question. Ne pose plus jamais de questions de la sorte compris ! »
« Oui, Maîtresse Aurore. » dit péniblement Sweet Pussy.
« Mais avant je vais te mettre quelques équipements. Tu mangeras après ton épreuve. Mets-toi à quatre pattes, esclave. »
Maîtresse lui mit un plug en métal dans le cul et un dans son vagin et une bande de latex épais vint les bloquer. Maîtresse Aurore demanda à son esclave de se relever et de se remettre en position d’inspection. Elle lui posa aussi des patches sur les seins. Elle passa derrière son esclave.
« Mets les bras derrière le dos, tire bien tes épaules en arrière et serre tes bras. » Maîtresse lui enfila un armbinder en latex et serra les lacets pour emprisonner les bras de Sweet Pussy.
Maîtresse Aurore relia les fils électriques des ustensiles à une boîte qu’elle inséra dans l’armbinder, regarda Sweet Pussy dans les yeux et appuya sur le bouton de la télécommande qu’elle tenait dans la main avec un sourire sadique. Sweet Pussy reçut une impulsion électrique qui traversa le corps et les muscles de son anus, de son vagin et de ses seins qui se contractaient. Sweet Pussy se courba pendant la décharge électrique comme pour la bloquer dans le bas de son ventre et éviter qu’elle ne monte dans son corps.
« Si tu n’obéis pas lors de ton épreuve, je te promets un feu d’artifice. »
Maîtresse prit « le bras » de Sweet Pussy et l’amena dans une pièce sombre puis l’a força à ses mettre à genoux. Une lumière tamisée éclairait la pièce. Maîtresse Aurore tira un rideau et 10 hommes masqués, mais nus, apparurent devant elle.
« Je sais que tu ne veux pas tromper ton cher petit mari, mais comme dit le proverbe : « sucer n’est pas tromper ! Tu vas donc sucer ces 10 bites, et tu as une heure pour les sucer et avaler leur liqueur. Passé ce délai, tu seras sévèrement punie. Et j’exige de vraies pipes, c’est pour cela que tu as les bras derrière toi. »
« Non, jamais je ne ferai ça ! » répondit Sweet Pussy.
Pour toute réponse, une impulsion lui traversa le corps par ses orifices génitaux et les seins. Puis une autre encore, Sweet Pussy était prise de convulsions et se tordait de douleur.
« Pitié, arrêtez, je n’en peux plus. »
« Alors, suce ces bites, petite pute. »
« Je vous en prie, laissez-moi libérez-moi ! »
Une autre décharge fut envoyée et sa chatte, son cul et ses seins recevaient des électrostimulations.
Sweet Pussy s’approcha du premier homme en pleurant et emboucha sa bite. Ne pouvant pas s’aider de ses bras, elle passa sa langue sur la hampe de la bite, joua avec les piercings de sa langue pour faire monter le plaisir. L’homme commença à gémir et Sweet Pussy sentit la bite se convulser dans sa bouche et lâcher son sperme gluant et visqueux. Elle eut des spasmes de dégoût lorsque le sperme tapissa sa gorge et elle eut toutes les peines du monde à avaler cette liqueur âcre. Sweet Pussy avait à peine avalé le sperme du premier homme que Maîtresse Aurore lui intima l’ordre de sucer la seconde bite.
Sweet Pussy s’affaira sur la seconde bite et fit glisser sa langue sur toute la longueur du chibre. L’homme avait une bite noueuse et d’un diamètre conséquent qui distendait les lèvres de Sweet Pussy. Après 3 minutes, la bite libéra sa liqueur et l’esclave avala la giclée. Les minutes s’égrainait et Sweet Pussy en était à sa sixième bite, il ne restait plus que 10 minutes avant l’échéance. Sweet Pussy avait de plus en plus de difficultés à sucer les bites qui se présentaient devant elle. Cela n’allait pas assez vite pour Maîtresse Aurore qui appuya sur la télécommande. Son esclave fut parcourue par des secousses. La dixième bite se présenta à elle et elle la suça. Sweet Pussy suça cette dixième bite et avala sa dixième giclée de sperme non sans mal avec la quantité qu’elle venait d’ingurgiter.
« Une heure, quatre minutes et trente secondes. Cela fait 27. »
« Emmenez-là dans la salle de soins. »
Sweet Pussy fut littéralement décollée du sol par deux des hommes qu’elle venait de sucer et emmenée dans la salle de soin où elle fut attachée sur la chaise.
« Je te disais donc que cela faisait 27 fois dix secondes de dépassement. »
L’homme qui l’avait piercé il y a quelques semaines entra dans la pièce. Sweet Pussy poussa un cri lorsqu’elle le reconnut.
« Non, pas ça non, non ! »
« 10 sur chaque oreille. »
« Bien Maîtresse. »
Le pierceur prit son crayon et plaça ses marques sur le lobe à égale distance, puis pierça les oreilles sans aucune pitié.
« Le bridge aussi et trois sur le milieu du front en alignement du nez. »
La pince se serra sur le haut du nez et l’aiguille s’enfonça dans la peau. Puis ce fut le front qui fut orné d’anneaux.
« Bien, tu es magnifique comme cela. Tu ressembles à une extraterrestre mais bien humaine. Il ne reste plus qu’à placer les trois derniers piercings. Où va-t-on bien pouvoir les placer ? » dit Maîtresse Aurore.
« Je vais réfléchir à cela, pour l’instant cela suffit. »
Maîtresse Aurore appuya sur un interphone et demanda à une esclave de conduire Sweet Pussy à sa cellule. Sweet Pussy eut le temps de se voir dans le miroir et vit son front avec trois anneaux dans son milieu.
V. Du côté des hommes
Pendant ce temps, Manu se trouvait dans l’autre aile du château.
Lorsqu’il reprit connaissance, il était attaché à une chaise chevilles et poignets liés à la chaise, nu comme un ver.
Un homme entra dans la pièce suivi de maîtresse Aurore.
« Pourquoi suis-je attaché, libérez-moi ! »
Manu reçut une gifle pour toute réponse et Maîtresse Aurore lui dit :
« Tu voulais jouer au Maître avec ta femme, et bien on va jouer ensemble mais avant de devenir un bon Maître, tu seras d’abord mon esclave et pour ce faire, je vais t’équiper de quelques bijoux. »
L’homme ouvrit une valise et étala des outils : pinces, crayons, pansements.
L’homme prit son crayon et prit entre ses doigts le téton droit de Manu. Il tira dessus et le vrilla entre ses doigts. Il pointa son crayon de chaque côté du téton puis prit une pince et serra le téton. Manu se crispa sous la douleur. L’homme prit une aiguille et transperça le téton. Un anneau fut placé sur son téton. L’homme fit de même avec le sein gauche. Puis l’homme prit dans sa main la bite de Manu qui fut stupéfait de sentir un homme touché son sexe.
Le pierceur retroussa le prépuce du sexe de Manu qui grossissait dans les mains du pierceur. Celui-ci ricana.
« Alors esclave, on bande quand un homme te touche ! Fais ton office pierceur. » dit Maîtresse Aurore.
Celui-ci prit une aiguille et approcha celle-ci de la bite de Manu et la perça sans ménagement. Manu se crispa sous la douleur. Puis l’homme approcha son crayon du nez de Manu et pointa sa narine droite puis la gauche. Il prit une pince et serra sa narine. Il prit une aiguille et perça sa narine, l’homme prit un labret qu’il plaça au septum et poussa l’aiguille dans celui-ci. Manu se contractait sous la douleur sur sa chaise. L’homme perça la narine gauche et une tige avec un anneau de chaque côté fut placée sur son nez.
« Ouvre ta gueule et sort ta langue ! »lui dit Maîtresse Aurore.
Manu ouvrit lentement la bouche et tira la langue. L’homme prit sa pince spéciale trident qu’il plaça sur sa langue. Trois aiguilles vinrent transpercer son organe et trois barres y furent plantées.
« Maintenant, tes couilles vont être percées. » dit Maîtresse Aurore.
L’homme pointa sur le scrotum dans l’axe du sexe 10 points, et par 10 fois l’aiguille vint percer sa peau, et 10 anneaux ornèrent ses couilles. Manu était exténué et n’avait plus les forces de lutter pendant les piercings. Il ne réagissait plus à la douleur.
Maîtresse Aurore et l’homme disparurent et laissèrent Manu seul sur sa chaise. Il ne tarda pas à dormir vaincu par tant de douleur.
Manu s’éveilla, toujours attaché sur sa chaise. Il regarda son corps encore endolori et vit ses seins percés, sentit le piercing sur son nez.
Maîtresse Aurore entra dans la pièce : « Alors, comment va mon petit maître esclave, ce matin ? »
« Livérez-moi fil vous plaît. » dit Manu.
« Tu m’appartiens maintenant tout comme ta soumise de femme. Vous vouliez de l’action et du SM, et bien vous allez en avoir ! Je vais vous faire connaître le plaisir et la douleur du SM. »
Manu sentit le froid sur son anus…puis un tube fut introduit dans son fondement et il sentit un liquide le remplir et gonfler son ventre. Le flot s’arrêta.
« Pousse et vide-toi ! »
Manu poussa et le liquide sortit de son cul.
Il subit le lavement jusqu’à ce que le liquide soit clair.
« Bien, maintenant on va te garnir l’orifice. » Maîtresse Aurore prit du gel qu’elle appliqua sur le cul de Manu. Elle prit un plug d’un diamètre de 5 centimètres qu’elle introduisit dans son cul. Manu gémit sous la poussée mais le plug fut introduit jusqu’à la garde et attaché par une sangle épaisse en latex.
« Alors, on a du mal lorsque l’on se fait enculer ? …mais ça ne te dérange pas d’enculer ta soumise de femme ! »
Manu garda le plug pendant 5 jours et 5 nuits. Le plug n’était retiré que lorsqu’il avait besoin d’aller aux toilettes. Puis Maîtresse Aurore entra dans la pièce et lui retira le god du cul.
« Bien, ton cul a bien travaillé mais il te manque un petit artifice pour être un Maître et donc une petite opération s’impose. Après un claquement de doigt, deux esclaves virent et prirent Manu pour l’installer sur un brancard et le ligotèrent dessus. Il fut amené dans une salle d’opération.
« Je vais te donner des burnes de Maître et donc les gonfler un peu en t’ajoutant des coques pour les rendre plus grosses. »
Manu essaya de se débattre une nouvelle fois mais ce fut bien inutile.
Maîtresse Aurore mit des gants de chirurgien sur ses mains, un masque d’opération sur la bouche. Elle prit une seringue pour anesthésier le bas ventre de Manu et piqua son scrotum.
Quelques minutes plus tard, Maîtresse Aurore prit un scalpel qu’elle montra à Manu. Elle regarda fixement son nouvel esclave. Elle incisa le scrotum à la jointure de l’aine. Deux coques blanches attendaient sur une table visible de Manu. Maîtresse Aurore prit une coque qu’elle fit pivoter légèrement pour la séparer en deux. Elle écarta le scrotum et positionna la coque autour de sa couille droite. Manu sentait que Maîtresse s’affairait sur son sexe mais ne voyait pas ce qu’elle lui faisait subir. Après avoir fait de même avec sa couille gauche et recousu son scrotum. Maîtresse Aurore lui montra à l’aide d’un miroir comment il était équipé. Son scrotum était distendu, pleins d’agrafes et de couleur marron suite à l’application de bétadine. Son scrotum était dilaté et à la place des couilles qu’il connaissait, il y a avait deux grosses boules de billard !
«Dans quelques semaines tu pourras de nouveau éjaculer et baiser mais pas pour l’instant repos. Je te donne un numéro de passage, le numéro 30 et je le colle sur le mur. Quand le moment viendra, je t’ordonnerai et tu obéiras. »
S’adressant à ses esclaves : « Emmenez-le dans sa cellule pour que cet esclave se repose pendant sa convalescence. N’oubliez pas de mettre le plug N°6 dans son cul ! Ce n’est pas parce qu’il doit se reposer que son cul d’esclave ne doit pas travailler ! »
« Bien Maîtresse. » répondit les deux esclaves qui emmenait Manu dans sa cellule. Une des esclaves lui mit le plug N°6 dans son cul après l’avoir enduit de gel. Celui-ci entra dans son fondement facilement sans qu’il le sente passer du fait de l’anesthésie. Au bout d’une heure, Manu commença à ressentir quelques douleurs sur son sexe. Le produit anesthésiant ne faisant plus effet, le poids des boules dans son scrotum étirait durement celui-ci.
Fin du tome I

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