Camping
Bien agripper au hanches de ma blonde je la besognais avec la régularité d’un métronome depuis 5 bonne minutes quand je stopper trop exciter, me retenant déjà. Le faire a l’extérieur, sur un ponceau de bois loin en forêt comme maintenant décuplait tout mes sens et accentuait les sensations au niveau de mon pénis.
C’était l’heure du souper, le soleil déclinait et allait bientôt disparaître derrière les montagnes boisé.
L’étroit chemin de terre sur le quelle on étaient menait a des chalets une vingtaine de miles plus loin au grande lac des pins, puis, deux heures de route plus au nord, a d’anciens chantiers de bûcheron abandonner depuis des dizaines d’années. Ici en plein milieux de la forêt sombre et silencieuse a une centaine de miles de Sacré-Coeur si une auto approcherait ou un tout-terrain on l’entendrait de loin et on aurais le temps de ramasser la caméra sur trépieds et de se cacher derrière les arbres.
J’avais une toute nouvelle caméra HD et on filmait nos ébats amoureux comme beaucoup de couple qu’on regardait ensuite en baisant a nouveau. Suzanne aimait sa autant que moi., se regarder, se faire prendre en photo nue en pleine nature. Elle aimait me servir de modèle comme elle l’avait fait avec son ex.
On avaient installer notre petite roulotte un peut plus haut sur le bord de cette même petite rivière de sable qui s’écoulait tout doucement sous le ponceau. Un endroit ou ma blonde, une métis toute en rondeur, moitié Amérindienne, moitié Québécoise, venait camper plus jeune avec sa famille.
Plier en deux bien agripper a la rambarde, jambes écarter, petits orteils replier, elle soupirait et gémissait faiblement aussi exciter que moi de le faire en pleine nature. Depuis quelques années on baisait a l’extérieur partout ou on le pouvait, c’était de loin ce qui nous excitait le plus sa et se filmer. La peur de se faire surprendre ses bandant! On adorait aussi le naturisme mais seul tout les deux et loin de tout. Marcher nue en forêt, se baigner et baisé au soleil sans contraintes comme si on était seul au monde c’était fantastique et ses pas les endroits isoler qui manque au Québec. Chaque été on partait un mois ou deux avec notre petites roulottes a la recherche de tel endroit le long de la cote nord. Des vacances de rêves avec une femme exceptionnel et magnifique qui avait fait carrière comme traductrice au nation unis a New-York. Une femme intelligente, brillante belle et désirable.
Chaque fois que mon bas ventre frappait ses jolie fesses un peut molle elle rebondissait tout comme ses seins lourd, énorme, démesurée et parfaitement rond qui se balançait joliment. Ses seins était vraiment gros une sacré poitrine encore ferme avec de petit auréole pale avec laquelle elle avait apprit a vivre en ignorant les regards et les commentaires idiot.
De par son coté Amérindien Suzanne avait des petit yeux presque noir et brider, des lèvres pale et épaisse a la japonaise et la peau couleur café au lait magnifique. Une très belle femme ronde mais pas trop sauf pour sa poitrine démesurée.
En enfonçant ma bite dans son con détremper j’admirais son dos courber, ses frêle épaules, ses cheveux noir commençant a grisonner pas trop long attacher en queue de cheval et son cul splendide. J’étais tomber amoureux d’elle a 10 ans, la belle petite indienne comme on l’appelait a l’époque, mince avec de longue tresses et elle de moi, le petit timide du cartier. Elle était un vrai garçon manquer et on faisait les cents coups ensembles a l’époque. Puis on c’était perdue de vue et retrouver a l’approche de la cinquantaine, séparer et sans enfants tout les deux. L’amour de ma vie, je n’avait cesser de pensé a elle pendant toutes ses années. Maintenant on était a la retraite et on profitait de la vie.
J’allais accélérer le mouvement pour jouir, un pouce mouiller de salive enfoncer légèrement dans son anus tandis quelle se masturbait, car je savait que ça l’aidait a jouir parfois, quand j’entrevis un mouvement du coin de l’oeil sur la gauche…
Je figer en tournant la tête, la bite enfoncer jusqu’au couilles dans le vagin détremper, le coeur battant a tout rompre et je vit une bicyclette apparaître de derrière les sapins. Un vieux vélo rouiller a l’ancienne avec un panier en osier user au guidon, une lumière fendiller et un klaxon en forme de poire comme on en voit plus. Et au commande de ce vieille engin il y avait une femme magnifique au long cheveux roux, aussi âgé que nous, même peut être plus peut être, en robe d’été blanche légèrement transparente et chapeau de paille. Une femme mince au joue creuse et au lèvres bien dessiner qui agrandit les yeux en nous découvrant nue tout les deux en train de baiser sur ce petit pont sans parler de mon pouce dans le cul de ma blonde bien visible. Et elle sourit sans s’arrêter. Étrangement ce vieux vélo ne faisait pratiquement aucun bruit même si la chaîne était toute rouillé.
Sa robe légère était remonter sur ses cuisses d’une blancheur de neige et quand elle pédalait, sandale au pieds, j’entrevoyais sa petite culotte blanche renfoncer dans sa fente. Doux Jésus me dis-je en levant les yeux tout en sentant un petit courant électrique traverser ma queue. Visiblement elle ne portait pas de soutien-gorge et sa poitrine lourde en forme de poire tombait un peut bas et ondulait doucement et sursautait a la moindre bosse. Ses mamelons bien visible pointaient de plus en plus, sans doute a cause du spectacle quelle regardait du coin de l’oeil, sa me fit déglutir. Elle continua a venir vers nous comme si de rien n’était pédalant tête haute fièrement.
Ce spectacle avait quelque chose de surréalisme ici, perdue au milieux de nulle part.
-Bonjour! Dit-je nerveux quand elle fut tout prêt. Désoler on se croyait seul.
-Ya pas d’offense! Vous déranger pas pour moi, ces beau de vous voir! Dit-elle simplement sans tourner la tête avec une voie légèrement érailler, un peut haut percher mais très sensuelle en passant derrière nous . Juste a penser quelle me voyait le cul et les couilles me donna le frissons et m”électrisa. Je sentit les madriers du ponceau vibrer sous mes pieds en tournant la tête pour la regarder s’éloigner et disparaître au tournant admirant ses cuisses, sa taille fine et son cul. Une grosses chaire de poule couvrit mon scutum durcit et ma bite sembla grossir deux fois plus. Suzanne, la regardait aussi les yeux petit et vitreux.
-A sort d’ou celle la? Fit-elle langoureusement…
-Je sais pas! Répondis-je terriblement éxiter, a doit camper aussi dans le coin ou avoir un chalet par ici.
-Merde! Lâcha ma blonde, sort t’on doigt de mon cul au moins a vas revenir.
Je le fit, surexciter a cette idée.
-Tu veut arrêter?
Un petit silence et…
-Non!
-Sa aurais put être pire! Dis-je malicieux en recommençant a la fourrer furieusement les deux mains enfoncer dans la peau molle de ses hanches lui arrachant des petites plaintes de plaisir. Le bruit de mon ventre heurtant ses fesses devenait de plus en plus fort et résonnait au loin.
-Pourquoi! Demanda t-elle rudement secouer. Elle avait recommencer a se masturber et ses joues rougissait. Le bout de ses doigts heurtait ma hampe dur comme un manche a balais. Ses gros seins sursautait comme si ils étaient remplit de jello pas toute a fait prit.
-Je me préparait a t’enculer.
-Cris, fit-elle, oublie sa…Ouf…Oui, continue…
-Ou sa aurait put être deux vieux pêcheur, ou des gardes forestiers ou un ours…
-Des gardes forestier jeune et séxé! Fit-elle tout sourire. Hum, 3 belle bites… En tout cas, la rousses, a ta éxiter, té plus dure que tantôt mon homme. Pas de brassière en plus, la jupe toute remonter, on y voyait même la craque de plote.
-Toi té toute nue ma belle je te fait remarquer pis entrain de te faire fourrer! Lâchai-je en accélérant mes coups de boutoirs me sentant prêt a exploser.
-Wais! Fit-elle en riant puis soupirant de plaisir. Le vieux garde de bois a lequel elle s’agrippait bougeait, je commençait a craindre qu’il ne lâche.
-Mais toué té plus mouiller que tantôt fait que… Parle pas trop!
Suzanne n’était pas jalouse pour deux cent, comme moi elle aimait bien regarder et ne s’en privait pas avec les hommes.
-Cé ta bite moué qui me fait de l’effet! Vient pas trop vite!
-Désoler mais… Je vient!
-Cris de rousses!
-Plutôt crist de belle métis avec dé grosses boules.
Je sentit l’orgasme arriver, mes couilles rentrèrent, mes orteils se recroquevillèrent sur les madrier tandis que mon sperme montait dans l’urètre. Je stopper en rallant bien enfoncer dans le vagin et j’exploser le coeur battant a tout rompre, le souffle couper, en serrant les fesses, lâchant plusieurs giclées de sperme en elle. Un orgasme puissant qui me fit trembler et serrer les dents, puis, essoufflé, je rester sans bouger pencher sur Suzanne attendant quelle jouisse aussi en reprenant mon souffle et repensant a cette belle rousses bien décider a aller prendre une marche demain matin avec ma caméra au cas ou elle se baignerais nue quelque part. Suzanne se levait toujours plus tard que moi.
Soudain ma blonde gémit un peut plus, ses genoux se plièrent et se frappèrent et elle dodelina du cul. Elle jouissait, je sentait les contraction de son vagin contre ma bite rester dure. Je caresser son dos et ses fesses attendant quelle finissait puis me retirer doucement en grimaçant a cause de mon gland trop sensible et me la secouer. Elle se redressa lentement le souffle cour, les yeux réduit a deux petite fente… Ses rougeurs s’étendait jusqu’au seins a présent. Elle me fixait les yeux rieurs, si belle.
-Quoi, fi-je en pressant ma bite pour en extirper les dernière goutte de sperme.
-A ta vraiment éxiter celle la… Dit-elle en regardant ma queue. Té venue vite! Ta hâte de regarder le film j’imagine.
-Hum! Fit-je en souriant, toi aussi non?
-Wais, Fit-elle malicieuse. On devrait y aller avant quelle revienne.
-Pourquoi, y as pas d’offense, a la dit tantôt!
Suzanne me fit une jolie petite grimace avant de descendre a la rivière pour se laver l’entre jambe tandis que je m’allumait une cigarette toujours bander dur et éteignait la caméra… Je me demandait se qu’avait penser cette femme de ce couple qui se filmait entrain de baiser en plein milieux du chemin.
Nos vêtement était rester a la tente, je n’avait qu’un sac en bandoulières quand on s’en retourna nue tout les deux soulager de nos pulsion le trépied et la caméra a l’épaule.
-Tu sais ce qui est vraiment bizarre avec cette cycliste? Me demanda t-elle en m’enlaçant.
-Non, quoi!
-C’est que je suis sure que ces le vieux vélo de ma mère! A tout cas y est pareil a celui quelle emmenait ici, pis j’ai une sacré mémoire tu le sait.
-Impossible sa fait quoi, 35, 40 ans, y serait tomber en poussière.
J’étais presque débander quand on entendit le vélo derrière nous, ma bite pulsa a nouveau.
On se tassa et elle nous dépassa sans rien dire et puis on entendit avant quelle ne disparaisse dans le détour.
-Jolie fesses!
-Ah! Fi-je, tout sourire. C’est a moi que sa s’adresse ça!
-Pas sure, est peut être lesbienne.
-Ou bis!
-Fantasme pas trop toué la!
-Je te laisse le dernier mots ma belle indienne.
-Ta intérêt mon homme et pis arrive au 20 siècle, on dit Amérindienne maintenant, ou très jolie représentante des premières nation, ou simplement belle autochtone, jolie métisse ou déesse des bois…
-Seigneur, arrête tu m’étourdie. Pis en passant, toué arrive au 21 siècle belle fesses.
La elle me regarda lèvres pincer, consciente de sa petite erreur, elle qui est si fière de sa mémoire.
-Pour ta punition tu fait le souper mon homme!
-Punition! Punition pourquoi?
-Pour être venue trop vite.
-J’ai put 20 ans madame.
-Sa on le sait. Fit-elle en riant, les yeux a demie fermer, si belle avec ses gros seins qui ballottaient. Sa suffit a me faire rebander.
On fit quelque pas et je rajouter.
-Ah, je comprend, t’aurais aimer qu’on est pas fini avant quelle repasse!
-Seigneur sa été long, sé vrai que tu vieillit.
Je jeter ma cigarette en souriant, la prit par la taille heureux comme un roi et on retourna a la roulotte.
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