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Laure-Anne 2 ( la suite)

Laure-Anne 2 ( la suite)



Si ce satané coq avait eut la bonne idée de se taire, je remontais ma frange à deux mains et finissais par m’ébouriffer les cheveux vivement, un coup d’œil sur Laure-Anne qui dormait encore
« Une vraie marmotte, celle-là » me dis-je dans ma tête
J’ôtais mon tee-shirt, passais ma robe jusqu’à la taille et sortais de la tente, le soleil m’éblouit instantanément, je rejoins la maison une main au-dessus de mes yeux pour savoir où j’allais, arrivée sur le seuil, je vis ma tante qui s’affairait en cuisine
« Ha les filles sont levées, ça va ma grande »
« Tu nous prépares le coq pour midi, il est venu hurler à côté de la tente, il m’a réveillée » me plaignais-je, et je  pris ma tante dans mes bras pour lui faire un câlin.
« Laure-Anne arrive ? » Me demande-t-elle
« Non la marmotte dort encore » je desserrais mon étreinte et l’embrassais sur la joue tendrement
« Bonjour Marion, bien dormi ? » Mon oncle se tenait sur le seuil un panier rempli de courgettes du jardin
« Oui, mais protège ton coq où il va prendre un coup de fusil » il rit, je l’embrassais sur la joue
« Chipie » et il me donna une tape sur les fesses.
Je me fis un café et allais aux toilettes le temps qu’il coule, les images de la nuit dans la tente me revenaient en mémoire à la vu du fond de ma culotte, elle avait bien ramassé mon excitation nocturne et pendant mon sommeil
Je touillais mon café quand ma tante me dit d’aller réveiller Laure-Anne, il était presque 10h00, je pris une gorgée et prenais la direction de la tente.
J’ouvris à la fermeture, passais la tête et constatais qu’elle dormait toujours, couchée sur le côté, m’offrant ainsi son cul que je n’avais pas encore pu voir et toucher, j’arrachais un brin d’herbe et lui chatouillais l’oreille, le résultat fut immédiat dans un sursaut, elle se tint sur ses bras.
« Ha Marion, bonjour, il est quelle heure ? Me dit-elle, la bouche plus que pâteuse.
« 10h00 ma belle, on visite le château aujourd’hui, à tout de suite, je prépare le petit dej »
« Merci, j’arrive » elle porta sa main sur son sexe et ajouta « j’ai envie de pisser, je peux faire derrière la tente ? »
« Oui, mais évite de faire sur les fourmis, elles n’ont pas de parapluie » lui dis-je en rigolant
« T’es con, toi » dit-elle en faisant la moue
Je laissais Laure-Anne se soulager, et repris le chemin de la maison en imaginant son urine gicler de sa fente dorée par ses poils blonds
Je sortais de la salle de bains, Laure-Anne, la tête appuyée sur sa main le coude sur la table remuait son bol le regard dans le vide
« La place est libre, on se dépêche avant qu’il fasse trop chaud »
Laure-Anne engloutit le contenu de sa bol et partie se préparer.
Le chemin à pied qui nous séparait du château-fort étais distant de cinq kilomètres à travers champs, je portais le pique-nique sur le dos, Laure-Anne le sac photo, à mis chemin, je proposais une halte au bord d’une rivière peu profonde bordée d’arbres, un méandre avait formé une petite plage de sable à l’ombre de saules pleureurs, l’endroit était isolé de tout, je posais mon sac sur la berge, Laure-Anne descendit sur le sable admirer la cour d’eau, se retourna et me vit en train d’uriner.
« Tu pourrais prévenir » me dit-elle
« bin quoi ? Ça te gêne ? » Lui dis-je ?
« Non mais tu pourrais prévenir quand même » fini t’elle par dire un brin gêner
J’attrapais le sac de victuaille et descendais sur le sable après avoir enlevé mes chaussures, j’installais la nappe et me couchais sur le côté, Laure-Anne me rejoint, le contre-jour accentuait le décrochage de son entre-jambes à travers sa robe jaune pale, je trouvais décidément cette fille très belle et m’excitais terriblement, elle prit place en face de moi.
« Tu es vraiment très belle, mon cousin à de la chance » je la fixais d’un regard plein d’envies, elle me répondit d’un léger sourire son regard plongé dans le mien, je m’approchais d’elle.
Ferme les yeux….Laisse toi aller…. Ça va te plaire » et je posais mes lèvres sur les siennes en mettant une douce pression pendant que ma main glissait sur sa hanche pour remonter sa robe, nos langues se mêlèrent avec douceur un long moment, mes doigts parcouraient la peau de son flanc avec délice, je gobais sa lèvre inférieure et la suçais tendrement pour la relâcher dans un bruit de succion. j’admirais son visage ses yeux toujours clos, elle mouilla ses lèvres du bout de sa langue à plusieurs reprises.
J’ai jamais fait ça avec une fille » se confiant elle. « Tu es lesbienne ? »
« Non mais quand on te voit, on a vraiment envie de le devenir » me confiais-je à mon tour
« Mais tu la déjà fait » me dit-elle, certaine que ma réponse allait la satisfaire
« Oui…… Et j’adore ça » lui dis-je et en lui susurrant dans le creux de son oreille « Tu veux bien que je te dévore, ma bouche n’y tient plus et mes mains ne sont pas en reste »
Sans attendre son accord, ma bouche avait repris possession de ses lèvres fine et la longueur délicate de mes baisés ne purent lui faire changer d’avis.
Laure-Anne ferma de nouveau les yeux et abandonnait son corps aux délicates sensations que j’allais lui offrir, sans quitter ses lèvres, j’ôtais un à un les boutons de sa robe qui s’ouvrait par-devant pour m’arrêtais à sa taille, dégageais chaque pan puis posais ma main sur sa cuisse pour remonter sur son ventre en appréciant au passage le choix de sa culotte en coton. Nous émettions l’une et l’autre des soupirs de satisfaction, ma partenaire laissait paraitre enfin son excitation grandir à ma grande joie, je poursuivais son effeuillage et dégageais sa poitrine après le dernier bouton qu’elle n’avait pas pris le soin de cacher par un soutien-gorge, la beauté écarlate de sa peau me sauta encore aux yeux, ses délicieuses rondeurs me firent quitter sa bouche sur laquelle je posais un dernier baisée et lui dit « Ne bouge pas…… Je reviens »
Ma langue descendait sur sa peau rejoindre la blancheur de son sein d’où pointait un magnifique téton rose pale que j’allais tendrement exciter par petites touches.
Elle porta sa main sur sa culotte jaune et commençait à se caresser le sexe, je choisis ce moment pour enlever ma robe et mon soutien-gorge puis remis toute mon attention sur ses seins en caressant le premier et tétant goulument le deuxième. J’étais fortement excitée, un jet d’urine mouilla ma culotte. Laure-Anne n’était plus là, elle gémissait de plaisir et tournait sa tête de droite à gauche, ma main pris la place de la sienne qu’elle posa sur son sein et caressait l’intérieur de ma cuisse de l’autre, ses ongles longs me procurait des décharges dans tout le bas-ventre, je plongeais ma main dans ma culotte et m’introduis deux doigts dans le vagin que je fis goûter à ma partenaire après les avoir moi-même goûtés
Laure-Anne n’était pas en reste, sa culotte était trempée de son excitation, je lui baissais jusqu’au cheville et changeais de position pour me retrouver face a son buisson doré, un liquide laiteux perlais sur son périnée, un spasme fit couler le liquide plus abondamment pour atteindre son anus, j’écartais ses lèvres et collais ma bouche pour boire ce nectar de jouissance, ma langue fouillant son vagin qui s’ouvrait sous mes coups de langue, je retenais ses jambes devenus incontrôlable tant elle me pressait la tête tout en parcourant maintenant toute sa fente couverte de mouille de long coup de langue pour finir par sucer son clitoris sorti de son replis de chair protecteur. Laure-Anne ne se contrôlait plus, d’une main, elle pressait son sein et de l’autre se caressait le ventre et sa toison, je décidais de la branler en introduisant deux doigts dans son vagin tout en massant son clitoris, les vas et viens de plus en plus rapide lui provoquèrent des spasmes de plus en plus violents accompagnés de gémissements et de petit jet de liquide chaud, n’y tenant plus j’enfourchais ma partenaire pour lui offrir mon sexe, elle ôta ma culotte et goûta ma fente poilue délicatement avant de l’investir complètement de sa langue, j’étais comblée par sa façon de me dévorer, elle se délectait de mon intimité avec passion, ses doigts se firent plus curieux jusqu’à pénétrer mon vagin et mon anus, j’apportais le même supplice à ma compagne et son plaisir pris la délivrance que j’attendais, un spasme la raidis et son corps se mis à tremblé rapidement, elle eut un soupir de satisfaction, elle embrassa mon sexe tendrement.
Je revins à ses côtés.
« Tu vois, je suis revenue » lui dis-je avec un grand sourire
« Pfffiou, c’était….. Divin comme le massage d’hier » dit-elle « tu le fait souvent avec une fille » me demanda-t-elle
« Quand l’occasion se présent, je ne dis pas non et quand la fille est jolie, je ne peux pas m’en empêcher » lui dis-je
Je courais à la rivière faire quelques ablutions avant de me rhabiller, Laure-Anne était toujours allongée nue et belle à croquer

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