Chapitre 2 : Retrouvailles familiales
Arrivé près de Courtrai, je demande au chauffeur de me déposer à la station des cars. Une ligne passe juste à côté de la maison de ma mère et il pourra rentrer plus tôt. Il aurait bien voulu continuer de me mater dans le rétro, mais j’insiste. Faut dire que j’écartais complaisamment mes cuisses pour qu’il garde un bon souvenir de la maîtresse d’un soir de son patron.
Dans le car, presque vide, qui m’emmène vers maman et grand-père, je me mets au fond comme d’habitude. Je somnole un peu et je me remémore le même trajet, il y a peu de temps, ou j’allais voir papy qui s’était fait hospitalisé pour sa hanche. Il faisait nuit, je m’étais assise comme aujourd’hui au fond du car en face d’un homme âgé et assez gros. En le dévisageant et voyant ses petits yeux vicieux qui lorgnaient dans le décolleté de mon pull, je fus pris d’une envie incontrôlable de me masturber devant lui. J’adore m’exhiber et exciter les hommes, surtout plus âgés que moi. Le noir de la nuit est propice à ces jeux érotiques. De plus, j’avais enfilé pour le voyage un pantalon spécial, complétement ouvert à l’entre-jambe, en me disant « on ne sait jamais ».
Je me place bien en face du bonhomme, j’écarte les cuisses et je me paluche la chatte ouvertement. Ça ne loupe pas, il se touche aussi tout en me regardant caresser ma chatte.
Comme nous n’avons pas de voisin, je m’allonge de façon qu’il ait la meilleure vue possible de mes doigts qui passent sous mon slip pour l’écarter et, la bouche ouverte, il m’imite en dégrafant son pantalon pour sortir sa bite en érection. S’il n’est pas très gros, sa bite est de belle taille, dans la bonne moyenne pour satisfaire une femme en chaleur. J’aime bien les hommes gros, c’est mon péché mignon et ça me donne moins de complexe. De plus ils sont souvent plus vulnérables car ils ont du mal à lever des filles pour les baiser rapidement.
Je plonge deux de mes doigts dans ma chatte déjà bien humide et je me doigte. Il fait de même en branlant sa queue. Quand je soulève mon pull pour lui montrer mes gros seins qui dépassent largement de mon soutien-gorge, il accélère ses vas et viens sur sa queue et il se met à jouir en essayant de contenir un flot de sperme dans ses mains mis en coupe.
En le voyant jouir, je me masturbe plus vite en frottant mon clito et j’ai un petit orgasme. Ma chatte coule tellement que je mouille la banquette et lui, il fait tout son possible pour contenir son sperme qui gicle dans ses mains.
Je me lève après avoir rabaissé mon pull pour que les autres passagers ne voient mon dos blanc et, profitant d’un mouvement brusque du car, je « perdre l’équilibre », ma bouche va directement sur sa bite, et en faisant des « efforts » pour me relever, je lèche et nettoie sa bite tandis qu’il frotte ses mains pleines de sperme sur ma bouche et mes seins.
En revivant ce souvenir je sens ma chatte qui s’humidifie et je passe ma main sous ma robe pour recueillir un peu de cyprine pour sucer mes doigts. En les mettant dans ma bouche, je rouvre mes yeux et j’ai la surprise de voir devant moi le même bonhomme qui me regarde en souriant avec sa bite à l’air. Je n’ai même pas le temps de réagir qu’il s’avance sur son siège, att**** ma nuque, et tire mon visage vers son entre-jambe. Je ne sais même pas si d’autres passagers peuvent nous voir, et je m’en fous complétement, comme de l’odeur forte qui se dégage de son sexe. J’ouvre la bouche pour avaler sa bite et je la suce avidement jusqu’à ce qu’il propulse son sperme dans ma gorge. Rien que de sentir du sperme qui frappe mon palais et qui coule sur ma langue, je pourrais jouir.
La fin du voyage est plus calme et j’apprends qu’il travaille sur cette ligne de car comme chauffeur. Quand il m’a vu monté dans le car, il s’est empressé de demander à un collège qui rentrait chez lui de prendre sa place au volant pour monter dans mon car.
Quand je descends du car, le chauffeur m’interpelle.
– Madame, votre reçu.
C’est bien la première fois qu’on me donne un reçu et machinalement je le prends. En passant devant le car, je lis ce reçu qui n’est qu’un bout de papier ou le chauffeur a écrit dessus.
« J’aimerais aussi profiter de vos services. Appelez-moi. Suivi d’un N° de portable. »
Je lève la tête et le chauffeur me fait un clin d’œil égrillard en passant sa langue sur ses lèvres.
Je suis sûre qu’il me prend pour une pute en congé !
Quand je suis arrivé chez ma mère je devais sentir le bouc en chaleur et j’avais encore le goût du sperme dans la bouche. Maman m’a dit qu’elle partait faire des courses et que je devrais aller dire bonjour à mes grands-parents en attendant qu’elle revienne.
Je vais donc m’enquérir de savoir comment se porte papy… et je me demande s’il va sentir le goût particulier dans ma bouche. Quand j’arrive chez lui, il est encore tôt et mamy me dit qu’il prend sa douche. Je bavarde un peu avec elle qui tend l’oreille car elle est un peu sourde. Rien que de penser que je vais revoir papy et qu’il va me prendre dans ses bras, je mouille comme quand j’étais gamine.
Il sort de la salle de bain, juste revêtu d’un peignoir et quand il m’aperçoit, il est heureux de me voir et je vois dans son œil qu’il n’a rien perdu de sa perversité…
– Regarde qui est revenue ? Bon je vous laisse. Il faut que j’aille aussi faire ma toilette. Dit mamy
C’est la phrase qu’ont attendaient!! Surtout que ne vais pas rester longtemps et que je ne sais pas quand j’allais pouvoir encore « profiter de son amour inconditionnel ».
Dès que mamy c’est enfermée dans la salle de bain, je me jette sur lui et je l’embrasse à pleine bouche. Sa langue est toujours aussi agile pour att****r la mienne et il sent tout de suite cette saveur particulière que ma bouche a quand il me la remplissait de son foutre i****tueux. Quand il lâche mes lèvres il passe sa langue sur sa lèvre supérieure et me dit.
– Toujours aussi salope ! Tu as déjà sucé une bite ce matin. J’espère que tu vas aussi prendre soin de ton papy. Comme une gentille et bonne petite fille.
J’adore quand il me dit cela car je sais ce qu’il a envie.
– Assieds-toi dans le fauteuil papy. Ta petite fille va s’occuper de toi comme je l’ai toujours fait.
Il se laisse tomber dans le fauteuil, son peignoir s’ouvre, et je vois qu’il bande comme un fou!! Je me sens transportée dans une sorte d’ivresse… sexuelle et je tombe à genoux entre ses jambes. Je caresse sa grosse bite en la prenant de mes deux mains et je constate qu’elle est toujours aussi dure que lorsque qu’il m’apprenait à bien sucer une bite. Je prends son gland entre mes lèvres et je le titille avec ma langue avant d’avaler entièrement son sexe pour faire passer le bout dans ma gorge.
Papy gémit de plaisir et comme ma grand-mère est sourde….et dans la salle de bain fermée, je peux aussi m’en donner à cœur joie.
– Papy ! Elle est toujours vaillante ta queue et je reconnaîtrais son odeur entre mille tellement je l’ai sucé depuis mon enfance. Je l’adore !
– Alors ne t’en prive pas, ma chérie. Il n’y a que toi qui me fais autant bander. Fais-toi plaisir ma puce.
Ça me fait toujours rire qu’il m’appelle « puce ». La puce est plutôt devenue une belle pouliche aux formes opulentes. Mais j’ai l’impression qu’il me voit toujours comme la gamine qu’il a dévergondée et initiée aux perversions sexuelles les plus diverses et les plus crades. Et avec mon consentement, car j’adorais qu’il me fasse des choses cochonnes, très cochonnes…
– Je ne vais pas me gêner Papy ! Mais ma petite chatte est en feu et il faut vite faire quelque chose pour me calmer.
Je grimpe sur lui et prenant sa queue d’une main, je la guide pour m’empaler d’un seul coup sur elle.
Sa queue bien au chaud au fond de mon vagin, il soulève mes gros seins et aspire dans sa bouche mes longs tétons dressés pour tourner sa langue dessus comme moi je fais quand j’ai son gland entre mes lèvres.
Je sautille sur sa bite en criant presque.
– Ouiiii, mon papy ! Baise-moi ! Fais jouir ta petite fille !
Lui, il me traite de tous les noms.
– T’es vraiment une sale pute, Manon. Une salope qui ne pense qu’à se faire baiser ! Et par son papy en plus. Tu n’as pas honte d’être une garce de la pire espèce ?
– Aaaahhhh, nooonnn, papy ! C’est encore meilleur ! Ooooh qu’elle est bonne ! Et ne jouis pas avant moi !
Je me suis déchaînée comme une folle sur sa bite, j’allais de plus en plus vite en entendant ses mots salaces et dégradants. Quand j’ai senti mon orgasme sur le point d’éclater, je me suis retirée de son sexe pour grimper sur les accoudoirs et mettre ma chatte sur sa bouche en gémissant.
– Tiens Papy ! Bois mon jus de jouissance comme quand j’étais petite !
Et il boit ma cyprine qui coule pendant que je jouis en écrasant ma chatte sur son visage, et il me maintient ainsi avec ses deux mains sur mon cul pour avaler jusqu’ à la dernière goutte mon jus intime qu’il adore.
Comme chaque fois que je fais ça avec mon grand-père je suis en extase !!
Quand il a bien léché ma chatte, il me tire vers le bas et je retombe sur sa bite humide et bien tendue. Je fais des mouvements de rotation avec mon cul, je glisse sur ses cuisses d’avant en arrière et il ne tarde pas à jouir en moi.
Rien que de sentir la semence de mon papy remplir ma chatte, ça me rend dingue. Ma chatte s’affole, mon ventre se crispe, ma langue cherche la sienne et quand ses mains écartent mes fesses et que ses doigts se posent sur mon trou du cul et sur le bas de ma chatte comblée par sa queue, je jouis une nouvelle fois.
Nous venons de nous dire bonjour à notre façon, comme nous le faisons depuis mon adolescence et c’est divin.
Dans l’après-midi, en fouillant dans mon sac, je tombe sur le papier que m’a laissé le chauffeur de car. Sans même réfléchir, je l’appelle et nous convenons d’un rendez-vous à 22 heures. Il viendra me prendre près de l’arrêt du car.
Pour ne pas trop faire pute, j’enfile une jupe BCBG sur un slip en dentelle noire, un chemisier transparent qui laisse deviner ma poitrine avantageuse et des chaussures à talon haut sexy qui affinent les jambes un peu fortes en les rendant plus longues. Un manteau habillé par-dessus pour cacher la salope qui va assouvir son besoin en sexe, mais qui s’ouvre largement quand j’écarte les cuisses pour montrer mon intimité et attirer des mains fureteuses.
Quand je suis entrée dans sa voiture, il ne perd pas de temps. Il m’att**** par les cheveux et m’embrase à pleine bouche…. et je reconnais une saveur particulière. Soit il s’est masturbé juste avant et il a léché tout son sperme qui a maculé ses mains, soit il vient de faire une pipe à un autre mec et il a reçu tout son foutre dans sa bouche !
Du coup je commence déjà à bien mouiller de la chatte car j’aime les gros cochons comme lui. Il est parfait ! Vieux, mal rasé avec une barbe de plusieurs jours, grand, gros, presque adipeux, avec des lunettes de myope qui rend son regard plus encore vicieux, un air très sévère, dominateur.
Après m’avoir salement embrassé en fourrant sa langue partout, je me rends compte que sa bite est sorti de son pantalon et déjà bien en l’air. Il me prend par la nuque et il presse ma bouche dessus sans me demander mon avis et il démarre.
Pendant que je suce sa bite et qu’il m’appuie sur la tête pour que je la gobe entièrement jusqu’aux couilles, il va dans un coin tranquille du petit bois à la sortie du village.
Dès que la voiture s’arrête, il recule son siège à fond et il retire mon manteau pour me voir, la jupe retroussée et le chemisier qui arrive tout juste à contenir ma grosse poitrine.
– Putain ! J’étais sûr que tu étais une belle pute ! Même avec de belles fringues, on devine que tu dois être une sacrée salope !
Il me pousse un peu, remonte ma et il tire comme un fou sur ma culotte pour qu’elle se place entre mes lèvres de chatte et mes fesses. Il la tire tellement fort qu’il me fait mal. Mais je ne dis rien, je ne veux pas qu’il s’arrête car j’aime être dominée et je me sens entièrement sous son emprise….
– Suce- moi encore ! Tu es douée pour la turlute comme beaucoup de pute !
Tout en maintenant ma tête sur sa queue, il s’amuse à tirer mon slip entre mes fesses en le faisant bouger pour limer ma chatte et mon trou du cul.
Il me claque les fesses en grognant.
– T’as une sacrée paire de fesses ! Il faudrait être deux pour s’en occuper ! La prochaine fois, je dis à mon copain de m’accompagner.
Sa main glisse sur mes fesses et ses doigts cherchent ma chatte pour fouiller dedans et triturer mon clito qui ne se cache plus depuis un bon moment. Je suis tellement excitée que je jouis d’un seul coup en essayant de ne pas vraiment bouffer sa bite qui remplit ma bouche.
Dès que j’arrête de gémir sur sa queue, il baisse les deux dossiers pour se mettre dans la position d’un 69 mais de telle façon que je ne puisse pas, sans de pénibles efforts, extraire sa bite de la bouche. J’ai la tête coincée sur le bord du siège entre ses grosses cuisses poilues, le cul et les jambes sur le dossier incliné. Il commence à me bouffer littéralement le cul…Du haut de ma chatte à mon trou du cul en utilisant sa langue comme une tête chercheuse pour sonder mes orifices.
Je hurle presque de bonheur. Ce gros pervers est doué avec sa bouche et c’est un gros gourmand de sexe trempé de cyprine après un bel orgasme. Mes cris sont étouffés car il baise en même temps ma bouche et il donne des coups de reins si forts, que j’ai l’impression que je vais avaler sa bite qui descend dans ma gorge.
Je sens un de ses doigts qui s’enfonce dans mon trou du cul et sa bouche dévore mes lèvres de chatte gonflées d’excitation. Quand il se focalise sur mon clito et qu’il baise mon cul avec deux doigts, je jouis de nouveau. Comme il ne me lâche pas, mon orgasme est entretenu par sa bouche et ses doigts fureteurs, et je n’arrête pas de jouir. A tel point que ma vessie se relâche et je lui pisse dans la bouche ! Et il ne se retire pas le salaud ! Il avale tout ! Plus cochon ça n’existe pas ! Mon papy, peut-être…
J’adore tellement ça que je manque de perdre connaissance quand il m’envoie des jets de sperme dans mon gosier et ma bouche alors que mon corps tout entier est encore secoué par mon orgasme qui continue de me dévaster.
Son sperme est épais, abondant et chaud. Putain que c’est bon ! J’adore le sperme depuis que j’ai goûté celui de mon frère. Je m’en délecte en pompant bien sa bite pour tout lui extraire de ses couilles et j’avale tout, s’en en perdre une seule goutte.
Mais ce gros pervers n’en a pas fini avec moi. Quand il s’est bien vidé dans ma bouche, il me sort de sa voiture et je sens le froid sur mon cul à l’air.
– A genoux sale pute ! Et ouvre bien ta bouche !
J’obéis et cet enfoiré me rend la pareil ! Il me pisse dessus ! J’ai l’impression de prendre une douche, ça n’en finit pas ! Finalement il s’approche de moi et m’enfonce sa bite dans ma bouche pour finir de se soulager.
J’ai des frissons et le froid de la nuit provoque une réaction naturelle. J’ai encore envie de faire pipi. Quand il aperçoit un filet de liquide sortir de ma chatte, je reçois une claque.
– Stop ! Arrête de pisser !
La surprise est telle que j’arrête et il me relève et m’ordonne en se mettant à genoux.
– Pisse dans ma bouche ! J’adore l’urine des putes !
Je ne me prive pas de faire ça. Avant que je finisse de vider ma vessie, il me demande d’arroser son ventre et ensuite il frotte son corps sur le mien à moitié dénudé et il m’ordonne de ne pas me laver et de me coucher comme ça pour ne pas l’oublier.
Plus dégueulasse que lui, je n’ai pas encore trouvé.
Il en a fini avec moi et il me jette comme une pute devant chez moi après m’avoir glissé 50 Euros dans mon corsage pour mes bons services. Un peu radin le bonhomme !
Au final il ne m’a pas pénétrée avec sa bite, juste avec sa langue et ses doigts et il m’a fait jouir intensément.
Ce fut vraiment délicieux mais j’ai quand même été frustrée de ne pas me faire prendre par sa grosse bite. Mais…c’était lui qui décidait…
Dans mon lit, je revis cette scène plus que pornographique. Avec cette odeur forte que dégage mon corps et avec mes doigts enfoncés dans ma chatte, je jouis une nouvelle fois avant de m’écrouler dans un sommeil réparateur.
De retour dans mon appartement, le lendemain soir, on sonne à ma porte. Je vais ouvrir et sur le palier un homme, d’une cinquante d’année me regarde fixement et me dis.
– Bonjour Manon…
Et j’ai le choc de ma vie.
– Papaaaaaaaa !!!
A suivre
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