Chapitre 1
L’appartement d’en face est vide depuis maintenant 1 mois. Il faut dire que la barre HLM dans laquelle il est situé est en piteux état, rien de quoi faire rêver de potentiels acquéreurs. L’appartement en lui même ne souffre d’aucunes tares majeures, et présente l’avantage d’être très lumineux grâces à de grandes fenêtres dans presque toutes les pièces. Depuis mon balcon j’ai une vue imprenable sur la salle de bain et la chambre à coucher et, lorsque je vais dans mon séjour je vois pleinement le salon et la cuisine. Pour moi qui ai un côté un peu voyeur c’est l’idéal, sauf que pour l’instant personne n’habite dedans et les anciens locataires étaient un couple de vieux se baladant en scandale et chaussette toute la journée, rien de très excitant.
Quelle ne fut pas ma surprise un soir en rentrant du travail que d’apercevoir de la lumière dans l’appartement d’en face. Plusieurs meubles occupe maintenant les pièces principales et des cartons sont disposés un peu partout autour. Un couple est assis dans le canapé du salon et un jeune homme leur fait face. Je m’étonne du fait qu’une famille entière emménage dans cet appartement puisque l’endroit n’est composé que d’une seule chambre. En voyant les livres de cours sortant d’un des cartons à côté de la table basse je comprends bien vite que le jeune doit être un étudiant et que ses parents ont certainement du lui prendre un appartement pour qu’ils puissent aller à l’université situé dans le quartier à coté.
Le père de famille est un maghrébin d’une cinquantaine d’années, son teint hâlé et ses dents blanches lui donne un air jeune et vigoureux. La femme elle aussi semble d’origine arabe, elle arbore de superbes cheveux noirs et tout comme son mari a une peau bronzée.
Je n’aperçois pas bien le fils, car il ne me fait pas face. Son dos est large et ses épaules puissantes, il est assis je ne peux donc pas admirer ni ses jambes ni ses fesses. Il a l’air d’être bien musclé, surement un sportif. Comme si mes pensées avaient fait du bruit, le jeune homme se lève et se tourne pour aller vers la cuisine. Je peux enfin le voir de face, et là c’est le choc. C’est une bête de sexe, il est magnifique. Sa peau est superbe, il a hérité du teint hâlé de ses parents, ses cheveux sont coupés très court sur le coté ce qui lui donne un air de mauvais garçon sûr de lui. Son visage est d’une beauté à couper le souffle, il a un facies viril tout en ayant des airs d’adolescent mesquin. Son cou puissant domine un torse finement musclé aux pectoraux apparent, il faut avouer que le t-shirt blanc plutôt ajusté qu’il arbore le met bien en valeur. Il porte un bas de jogging en coton lui moulant les fesses et le paquet. Ses fesses sont fermes et galbées comme c’est le cas chez beaucoup de jeunes maghrébins. Que dire de ses cuisses athlétiques et de son service trois pièces qui semblent vouloir sortir de son pantalon, il faut croire que les légendes sur les arabes sont vraies. En somme, mon nouveau voisin est un magnifique étalon beur d’une vingtaine d’année, je ne pouvais pas espérer mieux.
Le lendemain je fais un détour par le hall d’entrée de l’immeuble d’en face afin de jeter un coup d’œil à la boite aux lettres. Ils n’ont pas perdus de temps et ont déjà changé le nom de l’ancien locataire. Mon jeune voisin se prénomme donc Samir Ben Ahmed, pas de doute c’est bien un rebeu. Lorsque je rentre chez moi je ne peux pas m’empêcher de lâcher un juron en découvrant que mon voisin a mis des autocollants opacifiant sur toutes les fenêtres de l’appartement, plus aucun moyen de distinguer l’intérieur du lieu. Moi qui me faisais une joie de pouvoir observer le nouveau locataire, je suis vraiment déçu.
Ca n’est que lorsque la nuit tombe que je comprends que tout n’est pas perdu, les autocollants fonctionnent parfaitement en plein jour mais lorsque Samir allume la lumière ils ne font plus aucun effet et je peux voir tout ce qu’il se passe en détail en face. C’est finalement un avantage puisqu’il pense que personne ne peut le voir il ne va certainement pas faire attention à ce qu’il fait.
Nous sommes tout deux aux derniers étages de nos immeubles respectifs, je suis donc l’unique personne à pouvoir observer les faits et geste de ce beau musulman.
En jetant un rapide coup d’œil dans sa chambre j’en apprend plus sur le maghrébin. Un d****au de l’Algérie est accroché au mur et des poster de foot sont disposés partout dans la pièce. J’ai toujours trouvé les footeux excitant, je donnerai tout pour pouvoir me rendre invisible au milieu d’un vestiaire et observer les jeunes sportifs dans leurs douches. Samir est donc d’origine Algérienne, cela explique que sa peau soit hâlée mais reste tout de même plutôt pâle.
Je m’installe donc tranquillement sur mon balcon en priant pour que le beau maghrébin se décide à utiliser sa salle de bain, j’ai même apporté des jumelles au cas où une inspection en détail se révélerait nécessaire. J’attends tout de même une bonne demi heure avant que la lumière de la salle bénite ne s’allume. Samir entre dans la pièce, ôte son t-shirt qu’il laisse tomber au sol, et se dirige vers le miroir. Comme j’avais pu le deviner auparavant il est vraiment musclé, mais ça n’est pas la musculature extravagante et artificielle que certains jeunes arborent souvent. Ici, c’est une fine mais néanmoins puissante musculature que l’on devine être le fruit de nombreuses années de sport. Le rebeu n’a pas une pilosité très développée, seul quelques poils entourent ses tétons et une fine ligne sauvage descend de son nombril jusqu’à un endroit qu’il me tarde de voir. Au bas de son ventre une légère cicatrice apparaît, signe d’une appendicectomie. Ses aisselles sont bien plus poilues car même lorsqu’il a les bras repliés certains poils dépassent, cela rend encore plus viril ce jeune homme tout juste sorti de l’adolescence. Samir s ‘asperge le cou d’eau et s’enduit de mousse à raser, il n’a pourtant quasiment pas de barbe, de là où je suis je n’aperçois pas de réelle pilosité faciale. Une fois cela fini, c’est l’heure pour l’étalon de soulager sa vessie, Samir se positionne en face des toilettes, je n’ai malheureusement qu’une vue de lui de dos puisque la cuvette des toilettes est face à un mur opposé. Samir prend une pose virile pour uriner, il écarte les jambes et bombe le torse, cela fait ressortir son petit cul d’arabe à travers son jeans, même lorsqu’il urine chez lui il ne peut pas s’empêcher de jouer le mâle dominant, comme si cela était écrit dans ses gènes.
Puis enfin, le moment tant attendu arrive. Le rebeu semble prêt à prendre sa douche. Comme pour faire durer le suspens, il ôte d’abord son pantalon et ses chaussettes tout en gardant son boxer. Je saisi mes jumelles pour observer cela en détail. Il n’a pas des pieds gigantesques, il doit faire du 43 maximum, cela s’accorde bien avec sa taille car il n’est pas si grand que ça 1m75 tout au plus. Ses mollets et ses cuisses sont très larges, on sent le footballeur régulier. Il est très poilu sur cette partie du corps, les mollets sont recouverts d’un duvet noir, de même pour les cuisses. Le duvet allant en s’épaississant à l’approche du sexe de l’arabe. Je peux d’ailleurs deviner la silhouette de ce dernier au travers de son boxer noir moulant. Il a l’air très imposant, et je peux apercevoir la forme du gland contre le tissu, cela me permet de voir, sans surprise aucune, que comme tous les maghrébins mon voisin est circoncis. J’ai rarement vu de sexe circoncis car j’ai eu très peu d’amants arabes, il me tarde donc de pouvoir apercevoir le bâton du jeune Algérien.
Ni une ni deux Samir baisse son caleçon, je ne peux m’empêcher d’avoir une belle érection. Je m’écrase les yeux contre les jumelles pour avoir une vue parfaite sur l’objet de mes désirs. J’avais raison, le sexe du rebeu est vraiment imposant, il doit facilement faire 15cm sans être en érection. Les légendes sur les arabes se vérifient donc avec ce cas. Sa colonne de chaire est plus basanée que le reste de son corps, il a le sexe brun foncée et le gland rose pâle. Ce dernier a l’air épais et sec, surement une conséquence de l’ablation du prépuce qui d’ailleurs a laissé une fine cicatrice claire à la base du gland. J’ai toujours aimé à penser que le manque de prépuce faisait des jeunes hommes arabes de vraies bêtes de sexe, comme si leurs ainées avaient voulu rendre leur tige toute prête à l’emploi sans avoir à s’encombrer d’un morceau inutile et fragile. Ce beau sexe repose sur deux grosses prunes basanées elles aussi, qui semblent être bien pleine de la semence chaude du jeune oriental. Son paquet a l’air d’être trop étroit pour contenir ses bourse qui doivent être une vraie usine à testostérone, cela ne m’étonne pas qu’il ai des attitudes de vrai mâle dominant. De toute façon j’ai rarement vu un maghrébin n’ayant pas l’air viril. Son sexe est poilu sans trop l’être, je pense que Samir se taille les poils à la tondeuse, son pubis présente une toison finement entretenue reliée au nombril par la ligne de poils dont je parlais auparavant. Lorsqu’il se retourne je manque de m’étouffer à la vue des fesses du jeune musulman. Elles sont fermes et galbées dans la continuité de la puissance de ses cuisses. Là encore il peut remercier la pratique du foot. Un léger duvet noir recouvre le postérieur de Samir, cela donne une touche sauvage à ces deux pommes brunes. Samir se baisse pour ramasser son caleçon ce qui automatiquement ouvre ces deux lobes, et j’ai, un court instant une vue sur l’intérieur de son postérieur. De fins poils noirs entourent son petit trou bronzé. Le rebeu se dirige maintenant vers la douche, sa verge puissante ballottant au rythme de ses pas, en passant devant le miroir il s’arrête un instant et se contemple. La vue que lui renvoie son corps nu semble lui convenir puisqu’il s’envoie un sourire à lui même tout en se grattant nonchalamment le service trois pièce. Ca n’est pas la première fois que je le vois se toucher la queue inconsciemment, son instinct de reproducteur semble fonctionner à plein régime. Le beau maghrébin allume la douche et quelques minutes suffisent pour que la buée provoquée par l’eau chaude ne vienne opacifier pour de bon cette fois les fenêtres. Ca tombe bien je commençais à avoir froid, je décide de donc de rentrer, de toute façon ce ne sont pas les occasions qui manqueront.
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