Rebonjour. Ceci est la suite de « La beurette labourée », encore une fois une histoire vécue.
Après notre séance torride durant le voyage d’études, j’avais quitté le groupe, qui s’était dissous, la jeune beurette demeurant sur place pour un stage. Nous échangions par textos et téléphone, et elle m’avait confié se mastuber en pensant à moi, ce qui ne lui arrivait jamais normalement. Inutile de dire que j’étais en feu. Nous décidâmes alors de nous revoir une nuit, je devais prendre un avion pour la rejoindre et elle devait réserver une chambre d’hôtel.Lorsque vint le grand soir, j’arrivai avant elle à l’hôtel et dus l’attendre dans le lobby. Elle arriva, les cheveux ébouriffés, en tenue très décontractée, mais visiblement essouflée et excitée.
Nous sommes montés dans la chambre et nous nous sommes embrassés avec passions, nos mains courant partout, comme des ados en chaleur. Ma main allait entrer dans sa culotte lorsqu’elle m’a repoussé avec difficulté, me disant qu’il valait mieux aller manger d’abord puis revenir pour notre nuit d’amour. C’est ce que nous avons fait. En rentrant à la chambre, je me suis jeté à nouveau sur elle et son pantalon est tombé, suivi de sa chemise. en sous vêtements sexy, elle me dit, ok, laisse moi prendre une douche et après tu pourras faire ce que tu veux de mon corps.
La chaleur était telle que je me suis prêté de bonne grâce à l’exercice, prenant moi aussi une douche après elle, la plus froide possible. la queue raide à en avoir mal. En sortant de la salle de bain, je l’ai trouvée sur le canapé, en petite nuisette, sans culotte bien entendu, sa merveilleuse fente bien visible et luisante de désir. une bouteille de vin nous attendait sur la table, cadeau de l’hôtel (mais c’était de la piquette :-)) et nous trinquâmes, pendant qu’elle me faisait assoir pour m’enjamber et m’embrasser avec passion. Tout en lui rendant son baiser, j’ai commencé à la doigter, ce qui était facile tant sa vulve coulait. J’ai passé à de nombreuses reprises le majeur le long de sa fente, le glissant dans le vagin au bout de chaque mouvement, ressortant en frottant le clito, puis retournant au plus profond de sa féminité. Elle se laissa aller en arrière, cuisses ouvertes, nos langues emmêlées, mon doigt qui la fourrait lentement. Puis, la respiration courte et haletante, elle me fit assoir et m’enjamba, frottant sa grotte enflammée sur mon gland lubrifié par son jus d’amour. En peu de temps, elle se trouva profondément empalée sur ma lance, la tête rejetée en arrière, chevauchant lentement, poussant juste un gémissement lorsque je poussais le gland le plus loin possible quand nos bassins se cognaient.
Cela dura un moment puis elle me dit: baise moi sur le lit s’il te plaît. je me fis un plaisir de lui obéir, la portant sur le lit, sans sortir de sa caverne, puis je tombai sur elle et la pilonnai en missionnaire, tout en l’embrassant avec ardeur. Lorsque je la sentis jouir, je me retirai et éjaculai sur son ventre, un jet brûlant qu’elle étala en me regardant avec tendresse. Je me couchai près d’elle et nous nous embrassâmes doucement, échangeant caresses et mots doux.
A ce régime là, ma queue reprit de la vigueur, surtout que sa main s’en était emparée de nouveau et en quelques instants elle se coucha sur moi, glissant mon érection dans sa vulve gonflée par le traitement qu’elle avait reçu jusque là. Elle se lança alors dans un exercice de torture amoureuse irrésistible, contractant ses muscles internes sur mon engin planté en elle, avec une force et une expertise incroyables. Certaines femmes peuvent faire jouir un homme ainsi, sans bouger les hanches, et elle était en train de m’extraire le sperme avec sa vulve, me fixant des yeux. Je luttai de toutes mes forces pour ne pas cracher en elle, mais c’était incroyablement difficile. Heureusement que j’avais déjà éjaculé une fois.
Prise de pitié, elle se retira, à regret visiblement puis se plaça en 69, me laissant goûter à sa féminité. je ne me fis pas prier et lui servis un cunnilingus plein d’ardeur, un doigt se faufilant dans l’autre orifice, très sensible aux caresses. en peu de temps, je sentis les contractions de son orgasme sous ma langue, continuant jusqu’à ce qu’elles se calment.
Nous nous allongêames et reprîmes nos caresses, le sommeil nous gagnant petit à petit.
Un peu plus tard dans la nuit, je me réveillai car elle se leva pour aller aux toilettes. En revenant, elle vit que j’étais éveillé et grimpa sur moi, m’embrassant de nouveau, ses mains sur mon corps cherchant ma queue qui se dressait de nouveau à son contact. Cette fois-ci, je sentis que son objectif était clair: elle s’agenouilla entre mes jambes et se mit à me lécher et sucer le sexe, agaçant les couilles de la langue, pressant la base du gland: une experte totale. Je sentis ce qu’elle voulait et me laissai faire, impressionné par sa capacité à sucer et aspirer. Elle voulait une giclée et je savais qu’elle allait l’avaler. Je fus surpris de la vitesse à laquelle elle eut raison de ma résistance, aspirant jsuqu’à la dernière goutte l’éjaculation qu’elle avait obtenue avec une incroyable facilité.
Le lendemain matin, nous avons refait l’amour, en levrette puis en missionnaire, très tendrement. Nous savions que c’était notre dernière fois, et nous en avons profité. Ce fut la plus belle nuit d’amour de ma vie, je ne l’oublierai jamais. Elle reste spéciale dans mon coeur et nous nous revoyons de temps en temps, je ne sais pas si elle y pense, mais moi oui …..
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