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LES DELICES DE MARIANNE LIBANNAISE DE 46 ANS MARIE

LES DELICES DE MARIANNE LIBANNAISE DE 46 ANS MARIE



Marianne G. (46 ans) libanaise.

Nous vivions depuis une dizaine d’années dans un pays d’Afrique centrale où mon époux, fonctionnaire international, avait été affecté. Notre séjour dans ce pays a été un délice. La résidence où nous logions était située dans un quartier chic bordant le fleuve O. je me suis recyclée dans l’enseignement, dispensant des cours d’arabe et de commerce dans une université de la ville.

Après un début difficile, mon expérience dans l’enseignement avait finit par être passionnée si bien qu’avec le temps, je tombai sous le charme de H un étudiant d’origine soudanaise qui devint peu de temps après mon amant.

Ma première rencontre avec H avait eu lieu le jour de la prise de contact avec sa classe. Il était arrivé en retard et j’ai dû lui demander de se présenter. Son éloquence et sa stature athlétique m’avaient très vite séduites. Aussi beau qu’élégant, il émanait de lui une telle autorité, une telle sensualité.

Chaque séance avec sa classe me faisait découvrir les facettes de ce jeune homme brillant et plein de charme. Le voir à chacun de mes cours me procurait une sensation de bien être. Je commençais réellement à éprouver une attirance pour H dont j’ai choisi de faire un interlocuteur privilégié. C’est à lui que je laissais les consignes pour la classe bien qu’il y avait un délégué. Avec le temps, j’avais remarqué que H me désirait aussi. Il m’arrivait très souvent de surprendre son regard sur mon cul, ma poitrine opulente ou mes cuisses. De nombreuses fois, il restait (à la fin des cours) après le départ des autres étudiants pour discuter avec moi. J’acceptais ses compliments et flatteries de plus en plus osés.

Un soir, alors que je dispensais mon cours, l’électricité coupa. Les étudiants, visiblement, soulagés que la séance fusse abrégée avaient rangé leurs effets et filé me laissant seule me dépêtrer dans l’obscurité. H vint me proposer son aide, éclairant la pièce avec des allumettes. On réussit quand même à rassembler mes affaires éparpillées sur le bureau. L’obscurité dans laquelle on baignait avait attisé notre excitation. On se frôlait, se touchait, se parlait à voix basse. Je plaquais de temps en temps mon cul contre sa braguette et lui en profitait pour s’y frotter. Voyant que j’étais excitée et disposée, il vint m’étreindre par derrière. Je sentais le souffle chaud de sa respiration dans mon cou. Il y déposa un baiser. J’ai frémi, parcourue par d’agréables ondes de plaisir qui m’enflammèrent instantanément. C’était si doux et agréable que j’ai émis un long soupir de satisfaction. Voyant que j’apprécias ses avances, H s était mis à me caresser partout : les seins, le ventre, les fesses, les cuisses…Il m’a fait asseoir sur le bureau et m’administra un baiser passionné. J’ouvris largement les cuisses pour lui faciliter la tâche car ses doigts avaient commencé à fouiller ma chatte toute inondée de mouille. Je me laissais aller au plaisir tandis qu’il me déculottait. Mais avant que je ne réagisse, H m’avait pénétré d’un seul coup puissant par un membre d’une taille impressionnante. De toute ma vie de femme, je n’avais jamais encaissé un sexe aussi épais. H savait s’en servir car je commençai à râler, incapable de contenir le plaisir qui m’irradiait. J’ai jouis de nombreuses fois, serrant de la taille H avec mes jambes comme pour l’empêcher de s’enfuir. Mon amant me traitait de salope, de pute. Je psalmodiais que j’étais à lui et le suppliais de me baiser plus fort encore. Bientôt H accéléra ses pistons et avec un cri de rage se vida les couilles en moi. Le jet de sperme contre mon col me fit jouir instantanément. Il est resté quelques secondes fiché en moi essayant de reprendre son souffle. J’étais allongée de travers sur le bureau, ivre morte de plaisir.

Passé le moment des délices, je me suis nettoyée avec des kleenex du flot dégoulinant de la liqueur de H dans ma chatte. J’étais satisfaite, mais j’éprouvais tout de même de la honte. Puis nous sommes sortis de la classe, H me tenait par la taille et arrosait mes oreilles de douces paroles d’amour. Tout l’établissement était toujours plongé dans le noir. Le vieux gardien de l’université fut surpris de nous voir ici dans cette attitude équivoque. Il marmonna un truc dans la langue du pays que je ne comprenais pas. H traduisit. Au fait, le vieux me prenait pour une étudiante dévergondée qui baisait avec le premier venu. Heureusement qu’il ne m’avait pas reconnu. Les conséquences auraient été désastreuses. Rassurés par la pénombre, nous avions marché en toute quiétude, nous tenant par la main jusqu’à ma voiture. J’ai proposé à H de le raccompagner à la maison après lui avoir fais connaître chez moi. Nous disposions encore de deux heures avant l’heure normale de la fin des cours. Donc je pouvais encore savourer les délices de H. j’avais honte, estimant m’être conduite comme une dévergondée envers lui, mais je le remerciai pour le plaisir reçu. H m’a rassuré d’un long baiser passionné.

Le trajet jusqu’à ma résidence a été mouvementé. Mon jeune amant m’a caressé les cuisses et les seins qui dressaient nus sous ma chemise à moitié déboutonnée. Je réussi quand même à nous conduire jusqu’à la maison. Comme toutes les nuits à cette heure, elle était très calme. Ma sœur regardait la télé et fus surprise de me voir accompagnée par ce jeune noir. H commençait à être agacé tellement elle le dévisageait. J’ai fais les présentations et prié H de s’asseoir dans le salon le temps que je me changeai. Elle me balança en arabe que mon amant était assez super, bien que noir et jeune. L’éternel préjugé négrophobique. Son instinct de femme avait décelé la nature de la relation qui me liait à cet homme. Je ne répondis pas et disparus dans ma chambre me changer.

En ressortant, j’ai été surprise de les voir en grande conversation. Elle n’était plus qu’à quelques centimètres de lui. Il aurait suffit de peu qu’ils s’embrassèrent. Je me doutais bien que H l’intéressait. La rage m’envahit instantanément et sans m’en rendre compte, je la manifestai ouvertement, ordonnant d’un ton sec à H de me suivre. Excédée elle aussi, ma cousine me cracha une injure en arabe. H était très embarrassé d’avoir causer cet incident. Je ne me suis pas gênée de lui rappeler que je ne pouvais pas cautionner qu’il commence à regarder ma cousine alors qu’il venait de me baiser. Touché il ouvrit la portière et sortit de la voiture en silence. Je sentais la rage le tenailler, mais par politesse il s’abstenait de m’engueuler bien que je le méritais pour m’être conduite comme une gamine. Je réalisai que tout pouvait se jouer en cet instant. Je pouvais le perdre pour si peu. J’ai garé la voiture et couru après lui le supplier d’excuser ma conduite idiote. Je l’enlaçai en cherchant sa bouche. Il accepta mon baiser en me conseillant de ne plus recommencer. De retour à la voiture, la tension était encore palpable. H semblait encore affecté. Je l’ai pris dans mes bras et le serra très forte contre mon cœur tout en le berçant de belles paroles. Peu de temps après, il m’a caressé entre les cuisses puis fouillé ma chatte. De nouveau mon ventre était en feu.

Arrivés devant l’entrée du campus où il logeait, j’hésitai à le suivre comme il le souhaitait car je craignais qu’on me reconnaisse. Il me conseilla de me couvrir la tête avec l’écharpe. Mais grâce au délestage, je me sentais plus calme. On a marché vite jusqu’à sa chambre qu’il ferma à double tour. J’ai sauté sur son lit pendant qu’il cherchait une bougie pour éclairer la pièce. H était surpris de me découvrir toute nue, l’attendant allongée sur le dos, les cuisses largement ouvertes. En une seconde il était nu et me pénétra. J’ai passé une nuit formidable. Mon amant m’a baisé plus d’une heure, me faisant changer de position à son aise. Il aimait me prendre en levrette car disait il, mon cul se présentait bien ainsi. Le plaisir était intense. Je mordais dans l’oreiller pour éviter de gueuler et griffais le drap. Le lit tanguait et grinçait sous nos ébats. Je me sentais chienne ne m’offrir ainsi sous ses puissants coups de bite dans mon ventre. Nous étions trompés de sueur, ivres de bonheur. Je perdais toute notion de temps. J’aurai bien aimé passer la nuit avec mon amant. Hélas.

On s’est séparé vers 20 heures.

De retour à la maison, je trouvai mon mari et ma cousine entrain de dîner. Je lui déposais un baiser sur la bouche et filais sous la douche. Ma cousine souriait sournoisement.

Deux jours s’étaient écoulés après les ébats avec mon amant. J’appréhendais la retrouvaille en classe. H n’avait pas changé d’attitude envers moi comme je le craignais. Mais durant toute la séance, j’ai eu droit à des œillades. La seule vue de ce garçon éveillait tout mon désir. A la fin des cours, il m’avait rejoins comme les autres fois. Nous nous sommes embrassés longuement.

Lors des multiples séances de TD, j’ai réalisé que H peinait à résoudre les exercices. Je lui suggérai des séances de répétition qu’il acceptait avec joie. Pourtant il subsistait un problème délicat : le lieu du travail. J’avais beau repensé la question, je n y trouvai pas de solution. La maison restait l’endroit idéal, pourtant ça n’allait pas être facile. Il me fallait trouver une stratégie pour faire accepter H dans ma famille, car à cette unique condition je pouvais espérer le recevoir sans créer d’incidents avec mon mari. Pendant toute la semaine qui a suivi, je me suis livrée à un véritable lavage de cerveau sur mon mari, vantant les mérites de cet étudiant assez particulier. Je comptais en faire un interlocuteur privilégié avec la classe car il avait toute l’estime des autres. De plus il pouvait me souffler quelques informations sur les réactions des autres à mon égard. Mon mari a trouvé l’initiative intéressante et accepta désormais que H vienne très souvent à la maison.

Ainsi le dimanche, H fut invité à déjeuner avec ma famille. Je l’ai fais asseoir à mes côtés. En quelques heures, il avait finit par gagner le cœur de tous par ses plaisanteries, sa connaissance du Liban notre pays. Mes enfants le bombardaient de questions auxquelles il répondait toutes. Mon mari était visiblement fasciné par ses qualités. J’étais si fière de H que je me suis mise à le caresser sous la table. Il rentra rapidement en érection. Pour le soulager, j’ai ouvert sa braguette et le masturbai lentement, tout en douceur. Ma main arrivait à peine à contenir son membre énorme. Personne en cet instant ne se doutait de ce qui se passait sous la table. H ne parlait déjà plus depuis un moment, concentré sur le plaisir que je lui donnais. J’étais toute aussi surexcitée par cette expérience inouïe : masturber mon amant sous la table en présence de ma famille. H semblait dans un état second. Je compris aux nombreuses contractions de son membre qu’il allait bientôt éjaculer. Alors soigneusement, j’ai rangé sa bite sa bite dans le pantalon et refermai la braguette.

A l’heure de la sieste, mon mari est monté se coucher. J’ai renvoyé les enfants dans leur chambre en leur interdisant de me déranger dans le bureau où j’allais travailler avec H. ils m’ont fait la bise avant de disparaître à leur tour. Tout était parfait. Mon plan avait fonctionné plus facilement que je ne le pensais. Prenant H par la main, je l’ai conduit dans le bureau et refermai la porte à clé. H m’a enlacé aussitôt et nous nous sommes embrassés fougueusement. J’étais joyeuse de me retrouver seule avec lui. Le feu qui couvait dans mon ventre explosa. Nous avons tourné dans la pièce et avons chuté dans le canapé. En quelques secondes, H m’avait enflammé. Il m’a traité de salope en réalisant que j’étais toute nue sous ma robe. Et dire que c’était depuis le déjeuner. Il ne me déshabilla pas, se contentant de sortit mes seins pour les malaxer. Je me suis mise à genoux pour le sucer. C’était la première depuis qu’il me baisait. H me caressait les cheveux à mesure que le plaisir montait puis commença à remuer se servant de ma bouche comme d’un vagin. Je lui ai léché les couilles aussi. N’en pouvant plus, il m’a relevé pour me placer en levrette. Il a relevé le pan de la robe sur mes hanches et d’un coup s’était enfoncé en moi. Sa grosse bite me remplissait la chatte à éclater. Je me suis agrippée fermement au canapé, car il avait commencé à me pilonner de puissants coups de reins. J’ai râlé sans relâche, incapable de contenir la jouissance qui m’irradiait à chaque coup porté dans mon ventre. H décrivait comment mes fesses étaient ouvertes et offertes. Il me traitait de salope et j’aimais cela. Du canapé nous sommes passés sur le bureau. J’étais cette fois accoudée sur la table, offrant de nouveau mon cul à mon étalon. H me tenait fermement par les hanches et me baisa. Il s’était servi de moi à son aise. Dans l’euphorie des ébats, j’ai balancé toutes les affaires qui se trouvaient sur le bureau à terre. Bientôt nous n’arrivions plus à nous retenir. Dans un râle, mon amant s’était vidé les couilles. Je suis restée couchée sur la table, le souffle coupé en sueur, rassasiée.

Depuis ce jour et durant les mois qui ont suivi, H m’avait honoré sous le toit de mon mari dans ce bureau qui accueillait désormais nos ébats adultères passionnés. H était devenu un membre à part entière de ma famille. En gentil man il n’avait jamais laissé paraître la moindre impression sur la véritable nature de notre relation. Je le couvrais de cadeaux et d’attentions. On alternait toujours répétitions et baises et le résultat était visible. Il étonné tout le monde par ses excellences notes.

Il arrivait par moment que nous prenions rendez vous dans un café pâtisserie ou un restaurant pour manger. Ensuite si le temps le permettait, on prenait une chambre d’hôtel pour une heure ou deux. Il faut reconnaître que les nombreux déplacements de mon mari aux États-Unis me laissaient une grande marge de liberté avec mon amant. Une autre fois aussi, nous sommes allés en boîte de nuit.

J’ai attendu les vacances avec impatience car cette fois, la maison se vidait. Ma famille passait toutes ses vacances au Liban. Cette fois ci j’allai y renoncer sous le prétexte que la routine me rongeait toujours et ternissait finalement mon séjour au pays. Comme prévu, tout le monde était parti sans moi. De retour à la maison, j’ai appelé H. il est quelques temps après et me découvrit allongée toute nue sur un transat sur le bord de la piscine. Le silence lourd qui pesait dans la cour lui fit comprendre que nous étions vraiment seuls, absolument seuls. Avant qu’il n’ait ouvert la bouche, j’ai ouvert les cuisses en caressant mes poils assez fournis. Il ne suffisait que de peu pour allumer H. Ce fût un véritable étalon. Je vous laisse imaginer comment j’ai passé mes quatre mois de vacance avec mon amant, seuls dans une superbe villa livrée à nos passions charnelles.

De retour en C, ma famille me trouva bien rayonnante et rajeunie. Mon mari aussi car la taille de mon sexe s’était considérablement agrandie. Il n’osa pas me poser de question. Tout lui semblait clair. Nous nous sommes expliqués une seule fois. Apparemment, il acceptait la situation. Une chose m’intriguait dans la réaction de ma cousine. Elle était aux petits soins pour mon mari. D’ailleurs l’attitude des enfants à son égard laissaient paraître ce qui les liait désormais. Ils étaient devenus tout simplement amants. Je n’éprouvai plus de contrainte à m’afficher avec H. Mon mari s’en foutait totalement. Ma cousine lui apportait un plus.

Les fréquentations de H n’avaient pas changé, mais cette fois, il venait souvent m’emmener à bord de sa voiture. Nous passions des heures entières à baiser et je rentrai que le soir, ivre.

La nouvelle cohabitation avec ma cousine se passait sans encoches et les enfants semblaient s’en accommoder.

Après quelques années, le contrat de mon époux arriva à son terme. Il était question de rentrer au Liban. Cela n’allait pas être une tâche facile. Beaucoup d’intérêts étaient en jeu ; mes rapports avec mon mari étaient réduits à leurs plus simples expressions : ce n’était plus que le père de mes enfants, sans plus. Il s’intéressait à ma jeune cousine qui l’aimait. Les enfants entrés à l’université ne seraient plus là pour encaisser toute la tension que pourrait engendrer le labyrinthe impossible dans lequel nous étions fourrés. Après une ultime discussion, je décidai de rester en C et mon mari allait repartir au pays avec ma cousine et les enfants continuaient quant à eux en Angleterre.

Une semaine après, la maison se vidait définitivement cette fois. H a tenu à raccompagner ma famille à l’aéroport. D’une certaine façon il est un membre à part entière. Il emménageait le soir même et depuis lors nous y vivons notre bonheur.

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