Je lèche…. je lèche la fente de ma femme. Cette fente dont je ne suis plus le seul à en profiter. La semence qui s’écoule me ramène à ma condition de soumis.
Je m’étais fait un plaisir d’héberger Manon, espérant baiser une petite oie blanche qu’elle semblait et au final, c’est moi qui me suit fait avoir. En manque de sexe, les bourses pleines, j’ai trop envie, n’importe quel palliatif à une jouissance du moment que la luxure est présente, alors lécher le sperme de l’amant de ma femme devient naturel.
Manon me regarde, je me sens petit face à elle, faible face à sa détermination. Elle m’a amené où elle voulait, je me suis soumis à ses désirs, ses caprices. Manon a manœuvré pour Sophie, j’ai suivi, aveuglé par mon orgueil de mâle, je me suis laissé enfermé par ma vanité. Maintenant mon sexe est sous clé, Sophie a la clé, ma jouissance ne m’appartient plus.
Le carillon de l’entrée me sort de mes pensées, machinalement, tout en continuant à lécher Sophie, je cherche son regard.
Tu vas ouvrir mon chéri – me dit-elle en souriant
Même plus la force de protester, de me rebeller. Nu, le sexe en cage, je me relève et je vais ouvrir.
-Salut !
Cédric, mon meilleur copain….accompagné par un type que je ne connais pas…
Les deux hommes font deux pas à l’intérieur et s’arrêtent net. Me scrutant de la tête au pied, Cédric est surpris, il jette un regard vers Sophie.
Euh c’est space tout ça ! Je te croyais seule…je ne savais pas que….
Sophie s’était avancée sans un mot, elle se colla à Cédric et l’embrassa à pleine bouche. Ma femme, ma petite femme prude et réservée, se conduisait comme une salope juste devant moi. Et moi, je reste debout nu comme un con à tenir la poignée de la porte.
– Tu avais envie de me baiser ?! Non ? Alors viens
Sophie prit Cédric par la main et l’amena dans le salon.
– Euh, salut, moi c’est Laurent. Tiens j’ai ramené une bouteille.
Je pris la bouteille, ferma enfin la porte et partit la mettre au frais.
A mon retour au salon, Sophie était assise sur les genoux de Cédric, il me regardait en souriant.
Ben dis donc mon gars, tu m’en as caché des trucs.
Je ne répondis pas. Sa main de boutonna deux boutons de la robe de Sophie et disparut dans l’ouverture. Sous la fine étoffe, je la voyais caresser le ventre de ma femme.
– Nous sommes un couple très ouvert – répliqua ma Sophie en direction de Cédric.
Il sourit, sa main progresse sous la robe, elle saisit un sein libre, le caresse puis passe au suivant.
– Un couple libre avec une sexualité débridée – rajouta Sophie en posant sa main sur la bosse de l’entrejambe de mon ami.
Manon se leva, pris l’autre gars par la main qui la suivit.
– Nous on monte, à plus !
Un regard vers nous et le gars encore tout étonné de la situation colla Manon dans la montée de l’escalier. Le couple disparut à l’étage, la porte de la chambre se ferma.
La main de Cédric avait glissé sur le corps de Sophie, passant de ses seins à son ventre.
– Tu n’as pas de culotte…. Toute lisse aussi….hum….j’adore…
– J’ai pas le choix, c’est mon mari qui aime que je sois rapidement accessible.
Sophie m’allumait en prononçant ces mots, elle ouvrit largement ses cuisses en finissant sa phrase. Sous le tissu, la main avait profité de l’aubaine. Cédric ne me regardait plus, il était absorbé par le corps de ma femme. Sa main sortit de sa cachette, elle remonta sur la robe et défit les boutons un à un de haut en bas. Au fur et à mesure qu’elle s’ouvrait, les pans de la robe s’écartaient et laissaient apparaitre le corps nu.
Plus que deux boutons et elle serait entièrement ouverte….Un petit mouvement d’épaule à droite, puis le même à gauche, les deux bretelles de la robe étaient tombées, entrainant tout le tissu avec.
Cédric avait les yeux exorbités, le dernier bouton ouvert, Sophie était nue, assise sur les genoux de mon copain, face à moi. Les cuisses écartées, je voyais parfaitement cette main étrangère qui jouait avec l’intimité de ma femme.
-Salop ! C’est trop bon ce que tu me fais…..tes doigts….humm…
Cédric ne disait rien, caressant le sexe offert, léchant le sein proche de sa bouche.
– T’as envie te faire sucer ?
Pour seule réponse à Sophie, Cédric lui enfonça deux doigts dans la fente et mordit son téton.
Un regard sur moi, un petit geste de la tête, j’avais compris.
Sous le regard plein de vice de ma femme, je m’approchais et je me plaçais à genou devant mon copain qui semblait ne pas comprendre.
– Euh je ne suis pas pédé moi….
-Chut, laisse-toi faire, il faut bien qu’il ait lui aussi sa part de sexe….
La main de Sophie ouvrit la ceinture, puis le bouton et la tirette du pantalon.
-Enlève….
Cédric tira tant bien que mal sur son pantalon et son caleçon, Sophie s’assit à côté de lui, tenant sa queue dressée dans sa main.
Je me penchais sur lui, sans un regard et je pris son sexe en bouche.
– Putain, si tu m’avais dit ça…
Cédric n’en revenait toujours pas. Sophie posa ses lèvres sur ma joue délicatement et me susurra
– Suce le bien pour qu’il ne parte pas trop vite quand il va me baiser….fais ça pour ton copain..
Ecartant bien les cuisses, Cédric m’offrait un accès facilité à son sexe. Je le suçais avec ardeur, l’avalant tout du long puis passant ma langue sur toute la longueur. Sophie me regardait, Cédric lui pelotait les seins sans vergogne, je suçais.
– C’est bien mon chéri, tu fais ça comme un pro. Je suis presque jalouse de ta technique. Tu aimes Cédric ?
– Ca fait bizarre de se faire sucer par son pote mais il suce comme une reine….trop bon, je ne vais pas tenir longtemps.
-Te retiens pas, il n’attend que ça, vide toi dans sa bouche et après tu pourras me baiser plus longuement….
Les soubresauts de la queue de Cédric ne laissaient pas de doute sur son excitation, il allait jouir. Deux sucions de sa tige, la main de Cédric se crispa, les doigts enfoncés dans Sophie, il se déversa abondamment dans ma bouche en plusieurs jets.
J’avalais tout. La queue perdait de sa rigidité mais je la gardais en bouche, continuant à la sucer, la lécher, attendant un ordre de ma femme. La queue totalement flasque, Cédric voulait se lever pour aller uriner mais Sophie l’en empêcha.
-Il faut vraiment que j’aille pisser, je vais exploser sinon.
-Attend, regarde comme il est amoureux de ta queue, il ne l’a pas lâchée.
Sa bite était redevenue toute flasque, Cédric me regardait incrédule.
-Tu ne veux quand même pas que je lui…..dans la bouche….
Sophie lui sourit, elle se colla à Cédric en lui disant qu’elle était bien avec lui, la sur le canapé. Elle l’embrassa à pleine bouche. Leur baiser ayant à peine débuté qu’un petit jet d’urine tiède gicla dans ma bouche. J’avalais, me préparant à recevoir la suite.
-Non, ça je ne peux pas.
Cédric se leva et partit aux toilettes. L’entendant se vider, Sophie me sourit.
-Alors mon chéri, pas trop déçu ? T’aurais pas voulu le boire.
Je ne répondis pas, la regardant de haut en bas, scrutant tout son corps superbe avec lequel j’avais pris tant de plaisir. Cédric ne tarda pas et se rassit au même endroit.
A l’étage, le silence était revenu, Manon et son amant avaient fini. Levant la tête, je voyais les deux accoudés à la rambarde de la mezzanine. Sophie s’en apercevant également, elle demanda à Manon de lui ramener son vibromasseur.
Cédric ne disait plus rien, il regardait Sophie, Manon, ma queue dans sa cage. Tout cela lui semblait irréel, être à poil chez moi, se faire sucer par son copain sous le regard de sa femme. Voir ce même copain nu à genou devant lui, le sexe emprisonné dans une cage pendant que lui profite des charmes de sa femme.
Manon arriva, elle donna le vibromasseur à Sophie et s’assit à côté de Cédric. Du sperme coulait de son sexe, elle accrocha mon regard et l’amena à son entre jambe. Ses cuisses s’écartèrent, le message était clair. M’approchant à quatre pattes, je m’installais entre ses jambes sous le regard toujours pressant de Cédric et je me mis à lécher cette semence. Me voir lécher ma belle-sœur ne laissait pas de marbre Cédric, son sexe commençait doucement à durcir.
Sophie se pencha vers lui et lui dit
-Il t’a tiré ton jus, on va lui tirer le sien.
Sans arrêter de lécher consciencieusement Manon, j’essayais d’être attentif à ce qu’il allait se produire. Sophie allait me faire jouir, elle allait enfin me libérer et au moins me branler ou me sucer.
Manon me prit la tête et me la plaqua bien sur sa fente. Le ronron du vibromasseur se mit en marche, allait elle aussi se branler en même temps que moi ? Je n’eus pas le temps de trop y réfléchir, en un instant je sentis les vibrations contre la paroi de la cage de chasteté. Sophie le tenait bien au niveau de mon gland, les vibrations se propageaient à travers le métal, ma queue essayait désespérément de gonfler. Terrible sensation, ma queue semi molle qui vibrait, toute mon entrejambe réagissait, je ressentais des choses que je n’avais jamais encore ressenti.
Du plaisir, pas vraiment, plutôt comme une envie d’uriner montait entre mes cuisses. Mon sexe cherchait à échapper au supplice mais à chaque fois Sophie réajustait l’appareil et le repositionnait au bon endroit. Je tremblais à moitié, je ne pouvais plus tenir, vaincu par les vibrations, je me lâchais et ne me retenais plus d’uriner. Un lent filet blanc s’écoula de mon sexe en cage, ce n’était pas de l’urine mais du sperme qui s’écoulait dans un flot continu. Je n’avais pas joui, aucune sensation de ce côté-là mais Sophie m’avait vidé de mon sperme, quelle frustration.
J’avais arrêté de lécher Manon, je regardais ma coulée de sperme qui formait une petite flaque sur le carrelage. Je n’avais pas joui, je m’étais vidé mais j’avais pas joui. J’avais toujours une grosse envie de sexe mais j’étais vidé de mon sperme.
– Lèche et nettoie bien !
L’ordre de Sophie avait déchiré le silence dans la pièce. Je m’exécutais…
-Putain ! Incroyable ! T’es une loppette ! Si on m’avait dit ça….
Cédric n’en revenait pas. Ayant tout léché, je relevais la tête, voyant la queue bien dure de mon copain entre les mains de ma femme. Tout en me regardant, une main avait glissé entre les cuisses de ma femme et l’autre entre celles de ma belle-sœur. Le choix du roi, il se faisait palucher par ma femme et doigtait simultanément les deux femmes assises à ses côtés. Toutes deux, les cuisses bien écartées pour lui offrir le meilleur accès mais aussi pour que j’ai une vue imprenable.
Sophie tenait la queue bien droite, Manon se pencha et la pris dans sa bouche, lui prodiguant une pipe très sensuelle, son regard accroché dans le mien. Ne pas s’exciter, j’avais du mal à ne pas réagir à ce spectacle cruel, ma queue cherchait à se dresser dans son écrin mais impossible. Voyant mon inconfort Manon cessa sa fellation et se redressa.
-Tiens la droite ! – m’ordonna Sophie en me désignant la queue dure.
Je pris le membre chaud et dur dans ma main et le maintenais comme le voulait Sophie.
Elle passa une jambe par-dessus Cédric, s’installa face à moi au-dessus du mat dressé et descendit doucement tout en me regardant. Je m’appliquais à bien positionner le sexe pour qu’elle puisse s’emmancher dessus.
-Bien mon chéri, tu me l’as mise du premier coup.
Le gland écarta les lèvres et il disparut absorbé par la fente de Sophie. Doucement, centimètre par centimètre, la queue de mon copain disparaissait au fond de l’intimité de Sophie.
-Elle est plus grosse que la tienne mais tu vois, elle rentre quand même sans problème.
Sophie était complètement empalée sur le sexe de Cédric. Caché par le corps de ma femme, il n’était plus qu’une bite sur laquelle ma femme coulissait et des mains qui jouaient avec sa poitrine.
-Je le sens bien, il me remplit complètement, c’est bon un homme. Après ça si je prenais ton sexe dans le mien, je ne le sentirai pas tellement il m’élargit.
Sophie montait et descendait doucement sur ce sexe, ma femme se faisait baiser par mon copain sous mes yeux et je regardais.
-Mon chéri, je t’aime, tu ne peux pas savoir comme je t’aime….mais cette queue me rend folle. J’ai envie de partager avec toi, j’ai envie de baiser avec toi, tu veux bien….
L’excitation montait dans les propos de Sophie, ses doigts écartaient ses lèvres pour bien me montrer cette queue qui la remplissait. Je m’avançais et ma langue se posa sur son sexe, léchant cet accouplement, aussi bien le sexe male que féminin. Au contact de ma langue Sophie soupira puis gémit.
-Oooh mon chéri, c’est bon ce que tu me fais, ta langue bénit notre union, c’est bon…. Viens, fais l’amour avec nous aussi.
-Je ne peux pas, mon sexe est sous clé !
Sophie allait craquer et me libérer, j’allais retrouver ma liberté, une érection et baiser.
-Aaahh, c’est trop bon, je ne peux pas arrêter…. Manon….
Sophie fermait les yeux et écoutait son plaisir, la clé de ma soumission était toujours accrochée au pendentif autour de son cou. Cette clé me semblait si proche et si loin, mais Manon allait la récupérer et me libérer enfin.
Manon avait disparu de mon champ de vision, elle se trouvait comme son amant derrière moi. Un liquide froid coula entre mes fesses, un doigt entra dans mon cul. Sophie ne voulait pas faire l’amour avec moi mais elle voulait que je baise en même temps qu’elle. Je sentais Manon qui me doigtait, un puis deux, puis trois. Des mains d’hommes qui tiennent mes hanches, un gland qui se pose sur mon sphincter et pousse. Je résiste, il pousse à nouveau, je résiste toujours. Manon me tire brutalement sur les couilles, mon sphincter cède, le gland entre, je me fais enculer. Sans ménagement, en deux coups, l’amant de Manon m’enfile complètement, il me déchire, j’en arrête de lécher Sophie.
Sophie est surexcitée, elle reprend ma tête et la colle à son sexe, reprenant ses mouvements de plus belle. Derrière, l’homme ne me laisse pas trop de répit, son sexe coulisse dans mes fesses, la brulure du début s’apaise mais il s’en fiche, il me baise, je ne suis qu’un trou pour lui.
Sophie jouit bruyamment, s’extasiant sur le sexe de Cédric, moquant le mien en comparaison, Cédric la suit dans la minute, le couple resta soudé un moment, un filet de sperme suintant de leur accouplement.
Derrière moi, l’autre continuait à baiser mon cul, à quatre pattes, face aux deux femmes et mon ami, seuls les bruits du bassin cognant mes fesses remplissaient la pièce. L’excitation retombait, la queue de Cédric se ramollissait, elle s’échappa du corps de Sophie et pendait devant moi pleine de semence. Au-dessus, de la fente de ma femme coulait le sperme, il glissait sur la queue de Cédric.
Sophie avait les yeux fermés, Cédric la serrait contre lui, lui caressant les seins à pleine main. D’instinct, je pris ce sexe dans ma bouche, léchant toute trace de semence, suçant le bout pour en tirer les dernières gouttes de jus d’homme.
-Putain, ton mec il en veut toujours plus !
La remarque du copain de Cédric avait fait ouvrir les yeux de Sophie, me voyant le sexe dans la bouche, elle sourit.
Un cri de jouissance, les hanches tenues fortement, collé à mon cul, mon amant se vida en moi en me disant que mon cul était un bonheur.
-Il en veut toujours plus et je vais lui en donner toujours plus – répondit Sophie avec un sourire malicieux au coin des lèvres.
Le sexe se retira de mes fesses, j’étais bien ouvert par cette sodomie.
-Chéri, tu es trop ouvert, tu vas couler sur le tapis, je ne veux pas que tu le salisses.
J’avais à peine levé mon regard vers Sophie, que je sentais les mains de Manon sur mes fesses. En un instant, je sentis à nouveau mon anus s’écarter et cette fois-ci encore plus qu’avant. Elle allait me déchirer.
-T’inquiète Sophie, je lui ai mis un bouchon, il va tout garder et va bien rester ouvert au cas où.
Un claque sur les fesses et Manon me demanda de me tourner. Je présentais mes fesses à Sophie…
-Oh putain….il a pris ça !!!
Sophie semblait surprise par la taille mais le cul défoncé par la sodomie, je ne savais plus très bien si la douleur provenait de la pénétration ou de la taille de l’objet.
A suivre….
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