Avant que Julien ne rentre, je décide de prendre une douche, pour effacer toutes les traces du sperme de Quentin dans ma bouche et mon cul. Je m’aperçois que mon anus est encore dilater alors une idée me traverse l’esprit.
Après la douche, je descends dans notre chambre et ouvre ma petite valise à jouets. Je choisis un plug anal noir de taille moyenne et après l’avoir copieusement enduit de lubrifiant, je profite d’être encore ouverte pour l’introduire dans mon petit trou qui se referme autour de la base du plug.
Je retourne m’allonger nue sur la terrasse, à plat ventre sur le transat, pressée que Julien arrive, lorsque je reçois un sms.
« Le terme salope est un compliment qui te va à ravir. Arrange-toi pour que ton mari te sodomise à quatre pattes sur la terrasse. Je veux profiter du spectacle comme hier! »
Mes convictions sont donc fondées … mon bel amant est aussi voyeur.
Lorsque Julien me retrouve sur la terrasse, il remarque immédiatement le plug. Son sexe se retrouve rapidement à l’étroit dans son pantalon lorsque d’un air coquin je lui dis que j’ai très très envie qu’il baise mon petit cul de salope. Il se déshabille pendant que je pose le matelas du transat au sol et m’installe à quatre pattes de manière à ce que Quentin puisse profiter de la vue. Julien qui bande déjà bien plonge dans ma chatte juste pour lubrifier sa queue avec ma mouille. Il retire doucement le plug et le remplace par son gros pieu qu’il enfonce jusqu’à la garde. A chacun de ses va et vient, Julien se retire complètement de mon petit trou, écarte mes fesses pour admirer mon anus béant avant d’y replonger. Quentin doit se régaler derrière les thuyas. Puis Julien augmente la cadence, me gratifie de quelques tapes sur les fesses. Il me sodomise de plus en plus violemment. Le claquement de son corps contre le mien raisonne à chaque coup de rein. Je gicle, expulsant au passage la bite de Julien. Je reçois encore une fessée et il recommence à me baiser comme un fou. J’inonde à nouveau le matelas. Mes jambes et mes bras flageolent. J’ai du mal à tenir à quatre pattes. Julien ne s’arrête pas pour autant. Pour m’obliger à lui tendre suffisamment mon cul, il m’att**** par les cheveux ce qui a pour effet de m’obliger à me cambrer. Mes seins virevoltent au gré des coups de butoir. Julien explose et jouit dans un grand râle de plaisir.
Nous sommes lessivés autant l’un que l’autre. Après avoir essuyé le sperme, nous passons un peu de temps dans la piscine à discuter.
Le lendemain, je reçois de bon matin un sms de Quentin.
« Merci pour hier tu es une sacré salope ! Je vais être absent les prochains jours et ensuite je pars en vacances. Mais je te réserve une surprise pour notre prochaine partie de baise. »
Je lui réponds simplement que j’ai hâte de le revoir et lui souhaite de bonnes vacances.
Quelques jours plus tard, Julien est enfin en vacances. Nous nous envolons pour 2 semaines dans les îles Canaries. Le séjour se passe agréablement bien. Les plages sont paradisiaques et la piscine à débordement de l’hôtel est magnifique. D’humeur coquine, Julien et moi baisons plusieurs fois par jour, dans le lit, sous la douche, dans la baignoire à remous, et même sur le balcon.
De retour à la maison, j’ai à peine le temps de vider la valise que je reprends déjà le boulot. Je pense à Quentin dont je n’ai pas eu de nouvelles et je me demande quand est-ce qu’on va se revoir et que je vais découvrir ma surprise.
Le dimanche qui suit, alors que Julien vient de s’absenter, je reçois un sms.
« Tu es seule combien de temps ? »
Julien est parti aider un ami à déménager alors il en au moins pour plusieurs heures.
« Au moins 3 heures »
« OK, dans une heure, je te veux à poil, à quatre pattes dans ton salon, avec un bandeau sur les yeux et tes orifices remplis. Si tu veux ta surprise, tu devras m’obéir ma salope. »
Pas de temps à perdre, je file me préparer. J’ai envie d’impressionner Quentin alors je choisis le plus gros plug que j’ai pour mon cul et un gros gode ventouse, copie conforme d’une énorme bite, pour ma chatte.
L’heure fatidique approche alors je noue un foulard autour de mes yeux et attend, intriguée Quentin.
Les minutes passent lorsque j’entends la porte fenêtre donnant sur la terrasse s’ouvrir. Des frissons parcourent mon corps, jusqu’au bout des seins.
La voix de Quentin me rassure. Il me félicite pour le choix de mes jouets, me demande de n’enlever sous aucun prétexte le foulard si je veux ma surprise et note toutefois que je n’ai rien mis dans ma bouche et que je serai punie pour cet oubli.
Mince c’est vrai, je n’ai pas pensé à ma bouche, pourtant j’ai un bâillon boule qui aurait été parfait.
Quentin caresse mon cul, pince les lèvres de ma chatte et remue le gode. Il vient ensuite se placer debout devant moi et m’offre sa queue à sucer en me précisant que je n’ai pas le droit de me servir de mes mains. Habilement, j’enroule ma langue autour de son gland et je la fais descendre le long de sa verge jusqu’à ses couilles puis je remonte. J’entrouvre mes lèvres et lentement j’aspire sa queue le plus loin possible, jusque dans ma gorge. Je reste plusieurs secondes immobile et je recommence mon petit manège plusieurs fois. Quentin me gratifie de quelques petits mots doux : salope, pute, chienne, pompe à bite … ce qui fait mouiller ma chatte, puis m’ordonne de lui lécher les couilles. Pendant qu’il se branle, ma petite langue experte titille ses couilles. Sur le point de jouir, Quentin se recule et me demande d’ouvrir bien grand la bouche pour se vider les couilles. Sa semence épaisse gicle sur ma langue et coule dans ma gorge.
Je suis tellement mouillée que le gode dans ma chatte glisse et tombe au sol. Je reçois une fessée pour n’avoir pas suffisamment contracté ma chatte autour du gode ventouse. Quentin le fixe alors sur la table basse en verre, m’aide à me relever et me positionne juste au dessus du gode. Je m’empale dessus et commence à faire des va et vient. J’imagine que Quentin ne me quitte pas des yeux et que je l’excite.
Pour me punir de ne rien avoir mis dans ma bouche, je reçois quelques claques sur mes gros seins, enfin suffisamment pour qu’ils soient rouges, et Quentin triture mes tétons entre ses doigts. Je ne bronche pas malgré la douleur, l’excitation est plus forte.
Je me retrouve désormais à quatre pattes en train de sucer le gode ventouse qui a le goût de ma mouille pendant que Quentin prépare mon petit trou. Le gros plug a déjà bien dilaté mon anus alors lorsqu’il m’enfonce directement trois doigts enduits de lubrifiant, je pousse un gémissement de plaisir.
Au bout de quelques minutes, j’implore Quentin de m’enfoncer sa grosse bite dans le cul. Je suis soulagée de le sentir s’enfoncer en moi. C’est un peu étrange mais j’ai l’impression que sa queue est moins grosse que la dernière fois. Ca doit être à cause du gros plug qui m’a bien dilatée. En tout cas, les va et vient incessants dans mon cul pendant que je suce le gode me transporte dans un état second.
Quentin se retire et s’allonge sur canapé et m’invite à venir m’embrocher sur sa queue. Il s’accroche à mes épaules et éclate mon anus avec son énorme matraque. Je crie, je n’arrive pas à me retenir. Il m’embrasse, me mord les lèvres.
Il décide subitement de changer de trou alors que j’ai encore envie qu’il défonce mon cul. Si j’aime le sentir glisser dans ma chatte, les sensations sont bien meilleures par derrière. Mais Quentin est doué, très doué et je recommence à crier mon plaisir lorsque je sens quelque chose, ou plutôt quelqu’un s’enfoncer dans mon anus béant.
En l’espace d’une seconde, l’excitation s’estompe pour laisser place à la peur. Mon premier réflexe est de vouloir enlever mon bandeau mais Quentin m’en empêche et me demande de l’écouter un instant. Pendant que les deux sexes commencent à bouger doucement en moi, Quentin m’explique que c’est ça ma surprise, une double pénétration et que je n’ai rien à craindre car celui qui m’encule actuellement est un ami à lui en qui il a confiance. Il me promet que je vais bien prendre mon pied et que si je suis gentille, j’aurai le droit de boire leur foutre à la fin.
L’effet de surprise passé, il est vrai que c’est plutôt agréable de sentir deux bites glisser en moi alors autant en profiter. Ce que Quentin ne pouvait pas savoir, c’est que la double pénétration est un de mes plus gros fantasmes jamais réalisés jusqu’à aujourd’hui. Si l’ami de Quentin bougeait doucement dans mon cul ne sachant pas trop si ce plan à trois allait aboutir, il accélère maintenant la cadence. Je comprends qu’en réalité, c’est déjà lui qui m’a enculée un peu plus tôt quand je suçais le gode ventouse. Je reconnais sa queue qui est moins large que celle de mon voisin. J’incite mes deux amants à me défoncer, à aller encore plus vite, plus loin. Ils mes traitent de pute, de chienne.
Les garçons me font me retourner. Je me retrouve avec la bite de Quentin dans le cul et celle de son ami dans la chatte. Ce dernier, à qui je fais face, mordille mes tétons. Je ne commande plus mon corps qui est emporté par un orgasme. Mes orifices se contractent autour des queues qui me pourfendent. Pour mon amant inconnu, c’est le point de non retour. J’ai à peine le temps de me remettre de ma jouissance que je me retrouve à quatre pattes par terre, la bouche ouverte. Quentin qui a encore envie de profiter de mon cul ne se prive pas m’agrippant par les hanches pour mieux m’enculer pendant que son ami recouvre mon visage et ma langue de sperme. Quentin me demande de ne pas avaler tout de suite. Il veut que j’avale tout d’un coup.
Après quelques coups de queue, Quentin vient se branler devant ma bouche et se vide sur ma langue. Son foutre est chaud et abondant. Il me donne l’autorisation d’avaler.
Je reste ainsi avec mon bandeau sur les yeux pendant qu’ils se rhabillent. Quentin me prévient qu’il me recontactera bientôt. J’entends la porte fenêtre de la terrasse s’ouvrir puis se refermer.
J’ôte le bandeau. Il me faut quelques secondes pour me réhabituer à la lumière du jour. Le bandeau est plein de sperme et en me regardant dans un miroir je vois que j’en ai aussi sur les joues et le menton.
Je prends soin de tout remettre en ordre à la maison avant le retour de Julien et je me fais couler un bon bain chaud.
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