Je me réveillai le lendemain matin, seul et la tête vaseuse. Les souvenirs revenaient lentement à mon esprit, les caresses de Maria, la révélation sur sa fille et mon oncle, Jessica dans ma chambre… Mon sexe se raidit en repensant à la belle Jessica, nue sur mon lit, offerte à mes sévices.
J’allais devoir affronter la colère de Maria maintenant. Je redoutais sa venue, qu’allait-elle me faire subir ? Je devais me montrer fort, lui tenir tête, mais oserais-je le faire ? J’imaginais la douleur qu’elle pouvait me faire subir, et une partie de moi aimait cela. Maria m’avait révélé une part de sexualité que je ne connaissais pas, que j’avais maintenant envie d’explorer… Je ne voulais pas renoncer à Jessica, à la douceur de ses lèvres, la fermeté de ses seins, à cette joie, et cet orgasme procuré par son doux et chaleureux vagin. Non, je ne voulais pas renoncer à elle, mais je ne voulais pas renoncer à Maria pour autant…
Je descendis dans le salon et découvris Arthur, mon oncle, allongé dans le canapé. La soirée avait dû être aussi épuisante pour lui. Je ne me faisais pas d’illusion, malgré ses dires de la veille, lui et Maria entretenaient une relation sexuelle, et il avait aussi couché avec Jessica !
« Arthur ? J’ai besoin de ton aide. »
Je le secouais légèrement. Il pivota pour se mettre sur le dos, j’observai alors une bosse à son entrejambe.
« Pas maintenant Maria, murmura-t-il encore endormi.
— C’est James, aller debout ! »
Il se redressa et prit quelques secondes pour m’observer.
« Ah, James, alors cette soirée ?
— Je suis dans la merde… »
Nerveux, je racontai l’histoire de ces derniers jours à Arthur. Maria semblait tolérer l’aventure entre lui et sa fille, je devais savoir comment obtenir la même chose. Je commençais par la masturbation à la fenêtre, Maria qui me surprit ainsi et fit de moi son jouet, ses règles envers sa fille…
« La mère et la fille, et bah mon salop tu te gènes pas !
— Toi non plus ! Je sais que tu te tapes les deux. »
Arthur eut l’air gêné par cette découverte.
« Je savais qu’elle avait poussé trop loin hier soir… James, je sais qu’elle te plait, mais elle me tourne autour depuis longtemps. Au bout d’un moment… Tu comprends ? »
Je comprenais, mais l’image d’eux ensemble ne me plaisait pas du tout.
« Hier soir, repris-je, tu as couché avec Maria ? Est-ce qu’elle t’a parlé de ton histoire avec sa fille ?
— Oui pour les deux questions.
— Et ça ne l’a pas dérangé ?
— Maria travaille pour moi, elle s’occupe de la maison et de temps à autre on baise ensemble, c’est que du sexe, elle n’a pas à se justifier et moi non plus. Je ne lui ai rien dit sur son comportement avec toi, elle fait de même avec Jessica. Tu vois, c’est un équilibre ! »
Chacun faisait ce qu’il voulait de son côté en dehors de leur liaison. Je devais trouver un moyen de créer cet équilibre.
Arthur partit travailler en début d’après-midi, il était prévu que Maria vienne faire le ménage, je l’attendais avec impatience.
Elle ouvrit la porte à quatorze heures, j’étais assis dans le salon. Je la vis déposer une boite sur la table de la cuisine.
« Bonjour, Maria. »
Elle me jeta un regard noir en s’approchant de moi. Elle m’agrippa par le col de mon t-shirt et fourra sa langue dans ma bouche.
« Tu as désobéi aux règles.
— Je sais. »
Elle me gifla violemment.
« Tu ne t’en excuses même pas ?
— Non. »
Sa main droite se leva de nouveau, mais cette fois-ci je l’en empêchai. J’attrapai sa main gauche et la fis reculer contre le mur, cette fois ce fut moi qui l’embrassai brutalement.
« J’ai baisé ta fille et tu as baisé mon oncle, on est quitte. »
Elle ne se débattait pas, j’en fus surpris. Elle me rendit mon baiser, me mordilla la langue, les lèvres.
« Tu crois pouvoir t’en sortir comme ça ? demanda-t-elle.
— Pourquoi pas ? J’aime Jessica, je veux l’aimer et la baiser comme je l’entends. Je veux qu’elle m’appartienne, de la même manière que je t’appartiens. »
Je la libérai de mon emprise et reculai de quelques pas. Elle resta appuyée contre le mur, son rouge à lèvres éparpillé sur le visage. Je bandais sous mon jean, je ne pouvais pas le cacher. Maria m’excitait terriblement, je ne voulais pas perdre ça, pas même pour sa fille.
« À genoux ! »
J’obéis aussitôt. Elle retourna devant la table et ouvrit la boite, je l’entendis fouiller à l’intérieur. Elle revint devant moi.
« Lève la tête. »
Je la regardai. Je lus l’excitation dans son regard. Une première gifle arriva, aussitôt suivie d’une seconde. Mes joues étaient en feu, je ne disais rien. Elle recommença de nouveau.
« Tu veux toujours désobéir ?
— Oui, maîtresse… »
Je m’attendais à une nouvelle gifle au lieu de ça elle s’agenouilla et colla son front contre le mien.
« Ça ne peut pas marcher comme ça… Soit tu es à moi, soit à une autre.
— Vous faites bien la même chose avec mon oncle. »
Nous restâmes ainsi quelques secondes. Puis elle m’ordonna de me relever et de me déshabiller. Je m’exécutai aussitôt. Une fois nu, elle vint installer un collier à mon cou, elle me tenait en laisse, réellement cette fois.
Tirant sur la laisse, elle me fit avancer jusqu’à la table. J’aperçus le contenu de la boite, des sex-toys, un martiné, un bandeau pour les yeux, des menottes, un bâillon… L’excitation et la peur se mélangèrent en moi.
« Penche-toi sur la table, les jambes bien écartées. »
J’obéis.
Elle prit ma main droite et la menotta au pied de la table, elle fit de même pour la gauche. Je me retrouvai ainsi dans l’incapacité de bouger. Sa main caressa mon dos, mes fesses, mes testicules… Elle saisit mon sexe et commença à me masturber.
« Qu’est-ce que tu veux ? demanda-t-elle.
— Je veux… être votre soumis, que vous m’éduquiez. Enseignez-moi, maîtresse. Faites de moi ce que vous voulez, tout ce que vous voulez…
— Vraiment tout ? »
Sa voix était sadique, étais-je vraiment prêt à tout ? Je le savais au fond de moi, c’était la seule solution.
« Vraiment tout, confirmai-je, en échange, je ne vous demande qu’une chose.
— Ma fille ?
— Oui, maîtresse. »
Elle cessa la masturbation et me mit plusieurs fessés.
« Et si je ne suis pas d’accord ?
— Si vous refusez, je ne serais plus à vous. Vous ne parlerez de rien à personne, pour que je ne parle de rien moi non plus. Je suis ici pour encore trois semaines, j’en ai rien à foutre que l’épicier me traite de pervers, vous, vous vivez ici, ce sera différent pour vous !
— Du chantage ? »
Elle passa ses doigts sur mon anus, elle tournait autour, comme je l’avais fait la veille sur Jessica.
« De la négociation, répondis-je.
— Je vais te baiser, dit-elle froidement.
— Comme vous le désirez, maîtresse. »
J’avais l’impression de signer un pacte avec le diable, mais je le faisais sans le moindre remords. Si je pouvais la satisfaire, être le jouet qu’elle désirait, alors je pouvais garder Jessica auprès de moi. Voilà la solution, notre équilibre.
Maria sortit un gode-ceinture et le mit à côté de mon visage. Il était long, une vingtaine de centimètres. « Je vais te baiser » avait-elle dit. Je l’entendais retirer ses vêtements, mais dans cette position je ne pouvais la voir. Elle prit le gode et l’agita devant mes yeux.
« As-tu déjà essayé ? Personne n’a jamais visité ton intérieur ?
— Non, maîtresse.
— Bien, je vais marquer mon territoire alors. »
Sa voix était joyeuse, elle commençait à s’amuser de la situation. Une partie de moi était toujours apeurée, mais j’avais fait une promesse, je lui avais demandé de m’enseigner… Je ne pouvais plus reculer.
« Ouvre la bouche. »
J’obéis et la laissa faire glisser son sex-toy contre mes lèvres puis dans ma bouche. Sur le bord d’abord, puis plus profondément ensuite. Je m’étouffai. Elle retira le gode et vint se placer sur mon côté, de manière à ce que je puisse la voir. Elle mit son gode entièrement dans la bouche et s’amusa à le faire entrer et ressortir, l’air de rien.
« Tu vois, c’est facile. Respire lentement par le nez et détends-toi un peu. Tu as confiance en moi, pas vrai ?
— Oui, maîtresse. Je vais essayer au mieux.
— Bien. »
Elle remit son gode dans ma bouche quelques instants.
Elle se plaça derrière moi, je sentis un doigt entrer dans mon anus. La première impression fut désagréable. Je ressentais alors ce qu’avait ressenti Jessica la veille. Une intrusion. Son doigt pivota et fit quelques vas et vient, mon sexe tapait durement contre la table, je n’avais jamais autant été en érection.
Le supplice du gode dans la bouche s’acheva, je le sentis maintenant glisser entre mes fesses.
« Tu es prêt à apprendre ? Tu veux être soumis, tu veux que je t’enseigne ? Je vais t’apprendre comment baiser une femme, mais je vais aussi te montrer ce que ça fait de se faire baiser. Ça te convient ?
— Si vous me laissez continuer à voir Jessica. Je suis prêt.
— En tout cas, t’es bien excité. »
Elle s’empara de mon sexe et reprit une masturbation lente tandis que je sentais son gode frotter contre mon anus. Elle poussa lentement, faisant entrer son gland en moi. J’émis un petit cri. J’eus l’impression de perdre mon souffle.
« Commençons la leçon du jour. Pour une bonne sodomie, il faut que ta partenaire soit relaxée, sinon ça bloque à l’entrée. Tu le sens en toi ?
— Oui maîtresse… je le sens… c’est étrange.
— Bien, maintenant je vais avancer lentement et glisser au plus profond de toi. Comme ça tu sauras ce qu’on ressent dans cette situation. »
Elle planta ses ongles dans mes fesses et fit progresser lentement son sex-toy en moi. Je me sentais étiré, déchiré de l’intérieur. Chaque centimètre supplémentaire de cet engin provoquait de la souffrance en moi, pourtant je ne voulais pas arrêter…
« Maîtresse ? Ça fait cet effet à chaque fois ?
— Ton petit cul est vierge, enfin il l’était. Plus tu vas en prendre et plus tu seras élargie à l’intérieur, tu auras de moins en moins de douleur, et de plus en plus de plaisir. Maintenant, accroche-toi, il reste cinq centimètres. »
Elle enfonça d’un coup sec les derniers centimètres, me faisant hurler de douleur. Je m’affalai sur la table. Ma vision se troubla tandis que je sentis de nouveau l’objet se mouvoir en moi, elle reculait et avançait, des va-et-vient qui accéléraient progressivement. Je me sentais étrange, comme éloigné de mon corps. Je subissais cet assaut de plus en plus sauvage, mais je ressentais de moins en moins les choses. Je compris alors que j’étais au bord de l’évanouissement. Maria prenait plaisir à « me limer le cul » tandis que je sombrais lentement vers l’inconscience.
« Maria, stop… arrêtez… »
J’étais assis sur le canapé, je ne me rappelais pas m’y être assis. Maria était agenouillée, la tête entre mes jambes. Elle me suçait lentement. J’écartai la mèche brune qui cachait son visage. Elle leva les yeux vers moi et retira mon sexe de sa bouche.
« Je t’ai trop poussé pour une première, désolé.
— Ça va mieux maintenant. C’était… c’est plutôt étrange comme sensation. Je vous ai déçu Maria… désolé. »
Elle reprit la fellation sans rien dire. Je me laissai aller entre ses lèvres. Je m’en voulais, je n’avais rien fait de mal, mais je ne pouvais m’empêcher de penser ainsi. Je l’avais déçu…
Arthur entra dans la maison et se figea en nous voyant dans une telle position. C’est Maria qui le remarqua en premier, je sursautai lorsqu’elle lui parla.
« Salut, Arthur.
— Je dérange ? »
Maria me regarda, son regard joueur était de retour…
« Pas du tout, on s’amusait un peu !
— Je vois ça, dit-il en allant dans la cuisine, un gode-ceinture, vraiment ?
— Il fallait bien que je trouve quelque chose pour le punir. Viens donc t’asseoir ! »
Je devenais rouge comme une pivoine, Maria le remarqua, elle sourit avant de reprendre là où elle s’était arrêtée.
Arthur s’assit à côté de moi, il enleva ses chaussures comme si tout était normal.
« Alors James, comment ça va depuis tout à l’heure ? »
Je n’osais pas répondre, c’est à peine si je parvenais à respirer. Maria parla pour moi.
« Il n’a pas très bien supporté.
— Ah, Maria… Tu ne l’as pas casé j’espère ! Ma sœur va se poser des questions si je lui ramène un gamin traumatisé.
— Dit pas de bêtise, il a juste failli tourner de l’œil. Mais regarde, ça va mieux. »
Elle secoua mon sexe en érection, Arthur admira le spectacle.
« Je vois qu’on se ressemble ! rigola-t-il. Je suis un peu jaloux Maria. »
D’un geste rapide et assuré, Maria retira la ceinture d’Arthur et déboutonna son pantalon. Le sexe d’Arthur apparut devant moi, droit comme un poteau. Je ne pus m’empêcher de le regarder à mon tour.
Une belle bite, presque aussi grande que le sex-toy de tout à l’heure, bien large. Maria l’empoigna et le branla aussitôt. Arthur se laissa aller dans le canapé, il plaça ses mains derrière la tête.
« Je veux bien que vous jouiez tous les deux, mais le ménage…
— Ne soit pas rabat-joie Arthur, le coupa Maria, James s’est proposé de le faire pour cette fois. »
Elle me fixa droit dans les yeux, tandis qu’elle avalait mon sexe au plus profond de sa gorge. Visiblement, je n’avais pas le choix…
« Alors James, tu as résolu ton problème ?
— Euh… oui, murmurais-je.
— Il était bien embêté ce matin, entre toi et Jessica, ça le tracassait un peu.
— Toi ça n’a pas l’air de te déranger, répondit-elle, la mère ou la fille, autant prendre les deux. Vous vous ressemblez bien. »
Maria alla s’installer entre les jambes d’Arthur, elle avait un regard féroce.
« Comment c’était hier soir ? Tu m’as regardé droit dans les yeux pendant que ma fille te vidait les couilles. Tu devais être aux anges !
— Elle est douée, comme sa mère. On devrait l’inviter la prochaine fois.
— Peut-être… »
J’imaginais déjà la scène, tous les quatre nus dans la même pièce, s’échangeant nos partenaires…
Maria passa d’un sexe à l’autre pendant plusieurs minutes, elle semblait se régaler, et nous aussi.
« Et si on faisait un jeu, proposa-t-elle.
— Je suis partant, annonça Arthur, tu penses à quoi ?
— Debout tous les deux. »
Nous nous exécutâmes aussitôt. Je me trouvais face à Arthur, nos sexes en érections se touchaient presque. Maria s’agenouilla entre nous deux.
« Celui qui jouit en premier aura une punition. Marché conclu ?
— Prêt à te faire battre James ?
— Prêt à te voir perdre Arthur. »
Maria s’activa et nous branla tous les deux énergiquement, exactement au même rythme. Elle n’en était pas à son coup d’essai. Arthur me regardait, le défi dans le regard. Quant à moi je m’inquiétais de ce que serait la punition…
Mon cœur s’emballait, la respiration d’Arthur également, nous étions tous deux proches de l’orgasme. Maria mit nos deux glands à l’extrémité de ses lèvres, elle voulait récupérer le précieux liquide. Je tentai tant bien que mal de me retenir, mais Arthur avait plus d’expérience que moi dans ce domaine…
Je cédai et expulsai tout le sperme que je pouvais. La bouche de Maria se referma sur mon gland, elle n’en loupa pas une seule goutte. Je m’affalai sur le canapé tandis qu’Arthur éjacula à son tour. La bouche déjà bien pleine, Maria réussit à l’ouvrir tout de même et récupéra le sperme d’Arthur.
Mon oncle s’affala à côté de moi, nous reprenions notre respiration. Maria, les joues légèrement gonflées, s’installa à califourchon sur moi. La punition était pour moi. J’eus un léger haut-le-cœur. J’ai accepté de jouer, et j’ai perdu… Je savais ce qu’il allait se produire maintenant, j’inclinai la tête en arrière et ouvris la bouche.
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