Le lendemain, et sur l’autorité de ma femme, nous avons encore passé la soirée chez son amant avec nos trois amis. Nous avons bu de la bière et joué la comédie. A la troisième bouteille, je me suis assoupi sur la table (faisant semblant) et les trois hommes et ma femme ont rejoint la chambre où, pendant plus d’une heure, ils ont satisfait leurs zobs sur la chatte et la terma de mon épouse. J’ai presque tout entendu, de leurs gémissements et de leurs cris, de leurs remarques salaces, même celles de ma femme et de leurs déplacements de temps en temps, l’un après l’autre aux toilettes. Puis, au bout d’une heure, fatigué par ma position, je me suis réellement endormi, la tête sur la table.
J’ai été réveillé par ma femme qui me secouait avec énergie. Alors, je suis allé aux toilettes pour pisser et me rafraichir. Et, à ma montre, j’ai constaté qu’ils se sont amusés pendant plus de trois heures, donc, deux heures de plus, après m’être réellement endormi. Trois heures complètes de baises et de sodomies ont certainement satisfait la chatte et la terma de ma femme ainsi que les gros zobs des messieurs, pendant que le mari cocu était étourdi par la bière. Ils ont du venir me contrôler plusieurs fois durant ces deux longues heures suivantes.
Ensuite, nous les avons quittés, avec promesse, bien entendu, de revenir le lendemain pour le même projet, selon les désirs de ma femme. Mais, comme promis hier soir au troisième homme qui m’avait fait des propositions pour me sodomiser chez lui, je me suis rapproché de lui et il m’a soufflé qu’il m’attendrait dans la rue. Ensuite, ma femme et moi, nous avons rejoins notre maison. J’ai proposé à ma femme de finir la soirée avec les musiciens, à la plage, mais elle a refusé car trop fatiguée, mais moi j’ai décidé d’y aller. En réalité c’étais pour rejoindre mon gars qui en voulait à ma terma et moi à son gros zob. J’étais déjà excité et mon cul mouillait de désir.
Ma chance, c’est que l’homme m’attendait à quelques mètres de notre maison, dans un coin assez sombre et discret. Immédiatement, n’obéissant qu’à son désir sexuel, l’homme m’a pris par la taille et a commencé à m’embrasser le cou et les lèvres, tout en me pelotant avec énergie le derrière. Il était excité et pressé et j’ai immédiatement senti son zob gonflé contre mon ventre. Il m’enlaçait et me serrait contre son ventre, contre son zob, puis me retournant, il s’est collé à mon dos, plutôt à mon derrière. Il a du sortir son zob du pantalon car je l’ai tout de suite ressenti, dur et pointu, contre mon cul. Il voulait me descendre mon pantalon et me niquer tout de suite, dans ce coin obscur de la rue, mais j’ai refusé, craignant le scandale. Alors, il a remis son zob dans sa cage puis il m’a pris par la main et m’a entrainé, presque en courant vers chez lui deux ou trois ruelles plus loin.
Dès qu’on a pénétré sa maison, il s’est débarrassé de son pantalon et slip et m’a aidé à en faire autant, puis, sans hésiter, il m’a collé, dos au mur, et a cherché mon anus avec la main. L’ayant trouvé, il l’a ouvert et branlé avec son doigt, puis avec l’aide de son autre main, il m’a enfoncé son zob avec v******e dans le cul. La pénétration a été un peu douloureuse malgré l’élasticité de mon anus habitué aux enfoncements vigoureux de gros zobs. J’ai crié de douleur mais il m’a dit qu’il aimait cela et m’a incité à crier encore plus fort pour l’exciter.
Et, dès que son zob s’est enfoncé jusqu’aux couilles, je n’ai plus eu de douleur, au contraire, je me sentais enfin bien rempli. Toute la soirée, entendant les autres, jouir, cela m’avait excité par devant et par derrière. Et j’ai attendu cet instant promis par l’homme pour, enfin, gouter son gros zob dans mes entrailles. Je commençais à jouir du cul et du bas ventre. Penché au maximum, les jambes et cuisses écartées, je me donnais à cet homme qui semblait affolé par le plaisir sexuel. En effet, il me secouait de tout mon corps et ses vas et viens étaient de vrais pilonnages dans mon cul.
Il gueulait autant que moi. J’entendais les claquements de mes fesses sur ses cuisses et son ventre ainsi que les clapotis du zob qui se mouvait dans mon cul. Ces bruits érotiques augmentaient mon excitation et mes jouissances. Même mon zob bandait lui aussi automatiquement et j’ai commencé à me branler par dessous. Je criait à l’homme de s’enfoncer encore plus dans mes entrailles car ses poussées étaient de véritables jouissances. Même dans ma tête, j’imaginais ce gros zob qui m’ouvrait et s’enfonçait dans mon corps avec force et virilité. Ma chair s’enflammait de plaisirs et je coulais de jouissances qui me faisaient trembler le bas ventre de frissons agréables.
Hélas, l’homme devait être chaud depuis qu’il m’a pénétré et son agitation a accéléré son plaisir. Alors, n’y tenant plus, il a éjaculé puissamment et en hurlant de plaisir. Il devait attendre cet instant depuis hier soir, comme moi, car la quantité de sperme qui m’a rempli les entrailles était phénoménale. A chacune de ses salves de sperme, j’ai été, moi aussi, secoué de plaisir. Après s’être vidé les couilles, il est resté un long moment dans mon cul pour apaiser nos souffles affolés. Puis, il m’a embrassé le cou et a retiré son zob de mon cul. Le vide qu’il a laissé était presque intenable.
Le sperme de mon amant suintait entre mes fesses et coulait sur mes cuisses. J’en ai recueilli un peu avec mes doigts pour les sucer. Puis, j’ai introduit ce même doigt dans mon anus pour me branler encore le cul. Je savais, par expérience, que ces frottements dans mon cul aidaient mon zob que je continuais à branler par devant. Pendant que je m’astiquais le zob face à lui, comme un défi, mon homme rigolait et, m’imitant comme pour aider à la situation érotique, il commença, lui aussi à se branler en me fixant des yeux et avec un sourire complice.
Tout en se branlant, il sortait et entrait sa langue dans un mouvement érotique. Je savais, depuis mon enfance, que ce geste avait de lourdes significations sexuelles. Sa langue signifiait son zob et sa bouche signifiait mon cul, ma terma. Et ces gestes voulaient dire qu’il voulait que son zob pénètre encore dans mon cul. Alors j’ai accéléré et immédiatement j’ai éjaculé ma jouissance. Et Lui, il continuait à se branler le zob déjà assez gonflé, en me provoquant avec ses gestes de la langue. En lui tournant le dos et en lui proposant encore une fois, ma blanche et chaude terma, je l’ai supplié, car il m’a excité et j’avais encore envie de son zob. Et il a rigolé en m’ordonnant de m’allonger par terre, le dos sur la moquette et j’ai obéi. Je savais que ma terma allait encore jouir ce soir.
En effet, le gars s’est agenouillé entre mes cuisses et m’a soulevé les jambes, assez haut pour avoir mon cul bien découvert et à la portée de son zob. Et Immédiatement, et en force, il a plongé son pieu de chair, doux et dur à la fois, dans mon anus et l’a enfoncé jusqu’aux couilles. C’était si fort, si rapide et si jouissif que j’ai crié de plaisir. Les restes de sperme aidant, il glissait avec facilité dans mes entrailles. Mettant un genoux et un pied par terre, l’homme me dominait et pouvait ainsi plonger son gros zob presque verticalement dans ma terma et s’enfoncer pour me fouiller les entrailles.
Il m’a pilonné le cul des dizaines de fois et à chaque fois qu’il enfonçait son zob, il gueulait, je crois, « kahba ! kahba ! kouli zébi ! » (putain ! putain ! bouffes mon zob !). J’entendais les clapotis des mouvements de son zob à cause des restes de sperme dans mon cul et ça m’excitait encore plus. Je soulevais le derrière et le cul pour bien enfoncer son zob et jouir à chaque poussée encore plus que la précédente. Enfin, alors que j’étais presque étourdi de plaisir, j’ai senti les jets de son jus. En effet, il a éjaculé pour la seconde fois dans mes entrailles malgré la quantité énorme déversée la première fois. Puis, satisfait d’avoir sailli sa femelle et l’avoir ensemencée, il s’est relevé avec un cri de victoire, presque un rugissement.
Moi, je suis resté, presque ko, allongé sur la moquette et le sperme me coulait sur les fesses et sur le sol. Lui est allé à la salle de bain et il m’a hurlé de le rejoindre immédiatement « ya kahba ! aroua7i moussili zébi ! » ( ô putain ! viens me sucer le zob !). Alors, comme une femelle assoiffée de zob, je l’ai rejoins en vitesse, malgré le sperme qui coulait maintenant le long de mes cuisses. Il m’attendait avec impatience et il m’a enguelé et m’a claqué plusieurs fois les fesses et le derrière avec ses mains puis il m’a battu les hanches et les fesses avec son zob, certes un peu ramolli mais assez lourd et maculé de sperme blanchâtre.
Je l’ai sucé avec plaisir et en rigolant. Il croyait me punir alors que c’est avec jouissance que j’ai accepté ses coups et son zob. Puis, il m’a entrainé sous la douche. Je croyais que j’allais le laver, mais en réalité, c’est mon corps qui l’intéressait. Il m’a savonné tout le corps, par devant et par derrière, en ne se privant pas de caresses et de pelotages. Il m’a introduit, à plusieurs reprises, ses doigts dans l’anus et frotté l’intérieur de mon cul. Il m’a lavé et peloté les seins en me faisant mal express, mais cela m’excitait et j’en redemandais.
Ensuite, il m’a rincé à grandes eaux. Puis il m’a dit que j’avais un corps de déesse et une terma de tonnerre, large et lourde, blanche et douce. C’est peut-être parce que nous n’avions pas eu auparavant le temps pour admirer nos corps. On était occupé à nos plaisirs sexuels pendant les deux sodomies. Et maintenant, il regardait avec envie et pelotait mon corps avec excitation. Pour moi, c’étais juste son zob et sa puissance et son sperme qui m’intéressaient. Alors, j’attendais vivement la prochaine pénétration de son gros zob.
Il m’a léché le derrière, les fesses et introduit sa langue dans mon cul. Tout cela m’excitait mais pour lui, il m’a fallu le sucer et le branler. C’était certes agréable car son zob était lourd et épais, toutes choses que j’aimais beaucoup voir, toucher, palper et branler. De plus, pendant qu’il me lavait et que son corps bougeait, les mouvements de son zob, qui balançait verticalement et de droite à gauche de façon érotique, m’ont affolé le cul et même le zob. Donc, j’ai branlé son zob et je l’ai serré plusieurs fois pour l’exciter et du regard, j’ai supplié l’homme de m’offrir encore une fois son mandrin si doux et si dur dans mon cul. Maintenant c’est moi qui était impatient malgré les deux sodomies.
Il a rigolé et, m’aidant à me retourner et me courber, il a satisfait à ma demande. Mais cette fois ci, comme pour me faire un cadeau, il a pénétré son zob dans mon anus, très lentement, très doucement, en faisant même parfois le geste de le ressortir mais sans le faire. Ces mouvements m’excitaient au maximum et du derrière, j’essayais de m’enfoncer sur son zob. Il rigolait encore plus bruyamment. Enfin, il enfonça son zob jusqu’aux couilles.
Et c’est ainsi, que sous la douche, et à ma demande et selon mes désirs et procédures, il m’a niqué pour la troisième fois, avec parfois une sorte de v******e retenue, calculée, juste pour augmenter ma jouissance. En tout cas, son zob n’a rien perdu de sa vigueur et de sa puissance comme les deux fois précédentes. Cependant, j’ai remarqué que la sodomie durait plus qu’auparavant. J’ai pensé qu’il faisait durer le plaisir pour nous deux ou que ses couilles se sont vidées de sperme. J’étais donc persuadé qu’il ne pourra pas éjaculer, alors je lui ai dis que j’avais encore envie de le sucer.
Ainsi, il a sorti son zob de mon cul pour l’offrir à ma bouche. J’ai fait le maximum en le suçant mais surtout en aspirant son gland avec vigueur tout en manipulant, avec plaisir ses couilles. Puis j’ai eu l’audace de rapprocher ma main de ses fesses et je lui ai touché son anus avec un doigt. D’abord timidement, car j’avais constaté qu’il aimait la v******e et qu’il ne me tabasse, mais comme il ne réagissait pas, j’ai poussé et enfoncé mon doigt dans son cul et je l’ai vrillé doucement. A moi, cet attouchement aidait mon zob à se gonfler, à tressailler de plaisir et surtout à éjaculer en puissance.
Et effectivement, j’ai tout suite senti, dans ma bouche son zob qui tressautait. Après quelques minutes de ce traitement, tout son corps commençait à se crisper. Alors, j’a laissé tomber son zob pour me retourner et lui offrir encore une fois mon cul. Il s’y est enfoncé en vitesse en poussant un hurlement hystérique, puis il démarra une série accélérée de vas et viens en me secouant sans ménagement, c’était formidable.
Par deux fois, à cause de ses gestes brusques, son zob sortait de mon cul mais il le renfonçait immédiatement en hurlant et, à moi aussi, ces gestes amplifiaient mes désirs et je reculais du cul affamé, vers son zob. Quant il se remettait dans mon cul, c’était comme un choc et j’y allais moi aussi d’un hurlement de plaisir. Et au bout d’une dizaine de pilonnage, ses couilles ont enfin lâché leur jus que j’ai ressenti avec bonheur, accompagné des tressautements et trépidations de son zob qui éjaculait dans mes entrailles. Quant il a fini, il s’est retenu au mur de la douche, totalement épuisé. Je me suis redressé et me retournant vers lui, j’ai sucé les derniers restes de sperme de son zob et ses couilles. Avec un faible sourire, il m’a avoué que j’étais une véritable putain insatiable, une diablesse de la terma.
Ensuite, nous nous sommes bien nettoyés et lavés et repris nos habits. Enfin, je l’ai quitté, en lui promettant de revenir le visiter demain soir. Et, pour satisfaire ma terma, je lui ai conseillé de se retenir avec ma femme demain soir. Qu’il la baise ou sodomise une fois c’est d’accord mais pas plus car il doit réserver son zob pour moi, pour la suite de la soirée. Il s’est vanté en disant qu’il pouvait nous niquer dix fois, moi et ma femme la même nuit, et chiche, venez chez moi tous les deux et vous verrez. Je n’ai pas relevé le défi, car, ce n’est pas que l’idée ne me plaisait pas, mais parce qu’à l’heure actuelle, je ne suis pas sensé savoir que ma femme me trompait. Peut-être qu’un jour…
A la maison, ma femme dormait à point et ronflait à cause de sa fatigue. Elle était à moitié nue, allongée sur le ventre, ce qui fait qu’elle me présentait son gros derrière et son cul. Malgré que j’avais éjaculé chez mon amant, et que je savais que mon épouse s’est fait baiser et sodomiser par trois hommes et pendant trois bonnes heures, mon zob s’est réveillé pour elle. Car ma femme est très belle, en tout cas pour moi, et qu’elle avait un derrière, des fesses et un long et profond sillon de cul à affoler un énuque. Alors, j’ai léché et fouillé son cul avec ma langue puis j’y ai enfoncé un doigt.
Ma femme s’est un peu réveillée, à demi, mais sans se retourner, donc sans me voir. Puis, en gémissant de plaisir, elle a légèrement soulevé et arrondit son derrière pour m’offrir encore mieux son cul. Elle ne savait même pas qui voulait la sodomiser, faire plaisir à sa terma insatiable. Peut-être qu’elle était, dans son demi sommeil, dans ses rêves même, encore avec les trois hommes qui l’ont baisés et sodomisés cette soirée.
Moi, en tout cas, et sans hésiter, je l’ai sodomisée et j’ai pris ma vengeance et mon plaisir au maximum jusqu’à l’éjaculation. Elle a gémis un peu au moment de mon éjaculation, mais elle n’a pas beaucoup bougé. Elle était vraiment exténuée de fatigue et de plaisir sexuel, jusqu’à l’indifférence. Ayant satisfait mon égo et mon zob, je suis allé me nettoyer dans la salle de bain et bu un verre de lait à la cuisine. Ensuite, j’ai rejoins notre lit, tout content de ma soirée, et de ma lâche vengeance.
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