CHAPITRE UN
Nous sommes samedi soir, il est 19h30 quand nous arrivons sur le parking du club. Je stationne mon véhicule. Je sors et je passe de l’autre côté. J’ouvre la portière et j’aide Audrey à sortir. C’est un petite brune aux cheveux mi long et aux yeux noisettes d’un mètre cinquante neuf pour cinquante quatre kilos, la peau bronzée des dernières vacances dans le sud de la France, le corps fuselé et légèrement musclé des restes d’une jeunesse de sportive. Un petit cul à tomber et une petite poitrine toute aussi désirable, bref, une petite bombe sur patte.
Je suis habillé d’un costume sombre et d’une chemise blanche, Audrey porte « juste » une robe noire décolletée jusqu’au nombril, laissant facilement voir qu’elle n’a aucun sous-vêtements. Son dos est quasi nu et le reste de tissu la couvre jusqu’à mi cuisses. Elle est chaussée de talons hauts à lanière, laissant voir ses pieds de petites tailles sexy au possible.
Nous nous dirigeons vers l’entrée du club. Un homme en costume et bien bâti nous ouvre la porte en nous souhaitant une bone soirée. Nous nous arrêtons aussitôt afin de régler notre droit d’entrée et une jeune femme brune, sexy, en talons nous accompagne en direction du restaurant. Lors de ce petit trajet j’ai tout à loisir d’admirer son corps sous sa robe de soirée. Évidement pas de sous vêtements. Elle nous précède, elle n’est ni trop grosse ni trop maigre, des formes là où il faut. Un plaisir pour les yeux.
Elle nous installe à la table que nous avions réservé. J’ai eu le temps de regarder l’effet que produit Audrey sur les autres couples en entrant. Ses petit seins pointant délicatement derrière la fine étoffe de sa robe. Elle ne cache rien de son anatomie et vu le résultat je sais que ça fonctionne autant sur les hommes que sur les femmes.
Nous commençons notre diner tranquillement. Nous échangeons des sourires avec les autres convives. Cela dure environ une heure et demie. Puis le dessert terminé, nous nous levons et nous nous dirigeons vers une double porte en bois qui une fois ouverte nous offre un passage vers le sous-sol du bâtiment. La boite de nuit, nous entendons la musique, nous descendons doucement, je ne veux pas qu’elle perde l’équilibre sur ses hauts talons. Arrivés en bas, il fait sombre, nous voyons des couples, des hommes seuls, nous faisons quelques pas et comme dans le restaurant, certains regard s’attarde sur Audrey. Cela m’excite beaucoup, elle me tient la main, maintenant elle est à moi et je peux faire ce que je veux d’elle et j’envisage de la donner en pâture à qui la voudra.
Nous nous approchons du bar, je m’assoie sur un des tabourets et commande un verre. Audrey se met aussitôt à genoux face à l’assemblée, les mains ouverte sur ses cuisses. En position d’attente. Un homme s’approche mais ne s’arrête pas. J’échange quelque regards complices mais pour l’instant tous sont encore un peu hésitant. Puis un homme d’une quarantaine d’année, seul, s’approche d’elle. Il la regarde avec insistance. Il lui caresse les seins en passant sa main facilement sous sa robe au niveau de son décolleté. Elle croise son regard puis il me regarde. Je lui fais juste un signe de tête et il comprend qu’elle est disponible. Il ouvre sa braguette et sort son sexe encore mou. Audrey ouvre alors la bouche. Il dépose délicatement sa queue sur sa langue et elle s’empresse alors de l’aspirer. Au bout de quelques dizaines de secondes, son sexe est dur à point et il commence à effectuer des va et viens dans sa bouche chaude et humide. Puis il bloque sa tête entre ses mains et accélère ses mouvements. Il ne lui faut pas plus de quelques minutes pour se décharger tout en restant bien au fond de sa gorge. Elle sent chaque décharge de jus couler au fond de sa bouche, a voir son visage, je sais qu’elle apprécie. Elle gémie. Elle n’en perd pas une goutte et avale tout. Pendant ce temps, je n’ai pas vu qu’il y avait d’autres personnes autour d’eux pour admirer le spectacle. L’homme range son sexe devenu mou, ferme sa braguette et s’en va. Puis un autre vient devant le visage de Audrey et sort sa queue déjà raide. Excité, il enfourne son membre dans sa bouche et entame aussi des va et viens rapide. A ce rythme là, il va décharger rapidement. A peine deux minutes après, il maintient la tête sa tête entre ses mains et pousse un soulagement de plaisir. Je vois des couples autour de nous, une femme entièrement nue tient la queue raide sorti de son homme et la branle délicatement, lui, sa main gauche dans une poche et la droite occupée avec un verre ne quitte pas Audrey des yeux. Un homme qui se masturbait s’approche de son visage, et de sa main libre, dirige sa tête vers sa queue. Elle ouvre la bouche comprenant ce qui va suivre. L’homme termine ses va et viens de sa main et décharge son jus sur la langue de Audrey. Rien ne tombe à côté, une fois vidé, elle dégluti et avale tout le liquide gluant. L’homme range son membre et s’en va également.
Encore deux hommes se sont succédé ensuite dans la bouche de Audrey devenu un vide couilles vivant. Puis celui qui se faisait masturber par sa femme s’approche. Cette dernière sans quitter des yeux Audrey, vient enfourner le sexe raide dans sa bouche. Lui, impassible, sirotant son verre, la regarde faire disparaitre sa verge au fond de sa gorge. Sa femme n’en perd pas une miette et regarde Audrey savourer cette queue dur comme du bois. De temps en temps elle me regarde en souriant l’espace d’une seconde puis baisse ses yeux vers ma petite chienne, videuse de couilles.
Cela dur un peu plus longtemps qu’avec les autres, a-t-il plus l’habitude ? Je ne sais pas. S’y prend elle peut être mal ? A priori non, au vu du visage des hommes qui se sont vidé grâce à elle. Puis, la femme pause ses mains de chaque côté de son visage. Elle est prise comme dans un étau. Je regarde l’homme, il ferme les yeux. Il a arrêté de bouger. Puis il enlève sa queue ramollissante. Il a joui mais n’a rien laissé paraître. Audrey, comme pour les autres à senti tout le liquide lui couler au fond de la gorge, un sirop chaud et épais. Elle ne s’en lasse pas m’a t elle dit un jour, elle pourrait faire ça pendant des heures. Une foi vidé, la femme range la queue de son homme et ferme sa braguette. Elle, reste à côté de Audrey. Elle se met à genoux devant elle et se met à lécher les quelques gouttes de sperme posées sur ses joues. Certains n’ont pas pu attendre d’arriver devant sa bouche pourtant ouverte et on lâché leur semence sur son visage.
Ceci fait, elle la prend par la main et l’emmène en direction des toilettes. Je regarde l’assemblée, mater cette femme blonde, entièrement nue emmener ma propriété par la main. Une foi aux toilettes, la femme prend du papier et nettoie délicatement les restes de liquide sur son corps. Elle laisse trainer sa main libre au plus près de son anatomie, lui caresse le sexe rasé de près et doucement la pénètre d’un doigt doux et agile. Elle laisse tomber le mouchoir et tout en continuant de la doigter, l’embrasse dans le cou. C’est la première fois pour Audrey qu’une femme la caresse de cette façon. Puis quand la blonde rapproche son visage du sien et l’embrasse fougueusement, d’instinct elle sort sa langue et la mêle à la sienne. Cela à pour effet de la faire mouiller encore plus. L’étrangère sens bien sa cyprine couler le long de son doigt. Puis s’arrête d’un coup. Audrey se demande pourquoi ? Elle voulait continuer. La blonde dépose un baiser sur sa joue et quitte les toilettes du club.
Un peu après, Audrey me rejoint. Je la prend par la main et je décide de faire une promenade afin de visiter les locaux et de l’exposer à l’assemblée. Nous visitons différentes salles, comme la salle BDSM, la salle gynécologique, et divers endroit plus intime avec de grand matelas. Nous allons voir aussi la salle de bain, où beaucoup de monde s’y retrouve pour se reposer cinq minutes. Nous voyons des corps entrelacés un peu partout. La plupart des femmes sont nues.
Tout en nous croisant, certains laissent trainer leur mains sur elle, sur ses seins, entre ses fesses et ses cuisses mais nous ne nous arrêtons pas. Je cherche une salle en particulier. Après plusieurs minutes, je fini par la trouver. Une salle ronde, éclairage tamisé, avec en son centre un engin en bois avec 3 trous. Il n’y a encore personne. Par la main j’emmène Audrey vers cet objet. Je fais glisser les bretelles de sa robe et cette dernière tombe au sol. Je l’embrasse, je la retourne et la penche en avant. Je l’installe sur le pilori en faisant attention, une fois sa tête et ses mains positionnés dans les espaces prévu, je referme le tout. Puis je ramasse sa robe et je m’éloigne pour admirer le spectacle. Elle est là, emprisonnée, cambrée offrant son superbe cul, dans l’incapacité de bouger, à la merci de tous. Je m’assoies dans un fauteuil et j’attends. Il ne faut pas longtemps pour voir arriver quelques curieux qui nous suivaient depuis un moment.
Deux hommes à peu près du même âge s’approchent d’elle, la caressent un peu partout. Ils laissent balader leurs mains sur son dos, ses fesses, son visage puis l’un d’eux se positionne devant elle. Il déboutonne son pantalon et libère son sexe déjà en demie érection. Et aussitôt le fourre dans sa bouche ouverte. L’autre homme, se positionne derrière elle, pose ses mains de chaque côté de ses hanches après avoir fait tomber son pantalon. Il a pénètre d’un coup ! Je suppose qu’elle devait déjà être humide à souhait. Il commence doucement à rentrer et sortir de sa chatte accueillante pendant que son copain fait de même dans sa bouche. Pendant ce temps d’autres personnes sont entrées dans la salle pour mater. Je remarque le couple qui s’était occupé d’elle tout à l’heure. Ils regardent, ils ont l’air d’apprécier. Tous comme moi qui commence à avoir du mal à contenir mon sexe en total érection dans mon pantalon. Puis l’homme glisse un mot à l’oreille de sa jolie blonde. Elle sourit puis se dirige lentement vers moi. Je suis surpris mais je fais confiance. La femme s’approche de moi, uniquement vêtue de ses talons aiguille, elle n’a aucun mal à marcher, je vois tout de suite qu’elle à l’habitude de porte se type d’escarpins. Je suis toujours assis dans mon fauteuil. Elle s’agenouille, ouvre mon pantalon d’un geste expert et sort ma queue gonflée prête à éclater. Elle sourit, comme un enfant qui s’apprête à manger une pâtisserie sans quitter des yeux mon engin. Si il ne faisait pas aussi sombre, je pourrai sûrement voir sa salive au coin de la bouche. Puis d’un coup, elle l’enveloppe goulument. Pendant ce temps, je vois le premier homme décharger son jus dans la bouche de Audrey en lâchant un râle de plaisir. Aussitôt fini, un autre prends sa place et lui laisse à peine le temps d’avaler le sperme du précèdent. Le second, qui est toujours derrière, accélère le rythme signe de sa future jouissance. Il donne des coups de plus en plus fort, il va craquer ! Puis tout en la maintenant de ses 2 mains puissantes, il lui rempli le con de son jus blanc. Audrey gémie de plus belle, elle aime sentir un mâle jouir en elle. Elle aime servir de vide couilles, d’objet sexuel. Moi j’adore la voir comme çà, désirée, utilisée pour le plaisir d’autres hommes. Une fois bien vidé, l’inconnu se retire laissant s’échapper un filet de sperme dégoulinant de sa chatte. Un autre prend sa place très vite, un homme assez rond mais il arrive à trouver sa place et fourre sa queue comme un mort de faim.
Pendant ce temps la blonde continu de me sucer avec délectation, j’avoue que je ne sais pas combien de temps je vais tenir à ce rythme là. L’excitation du spectacle se mêlant à la douceur de sa langue et de sa bouche vont bientôt avoir raison de moi. Le petit gros jouis très vite, également dans sa chatte, puis s’en va. Le deuxième homme qui s’occupe de sa bouche est toujours là, faisant des vas et viens à un bon rythme. Je me demande si des fois il ne va pas un peu loin dans sa gorge mais de toute façon, elle aime ça aussi. Juste derrière, un troisième vient s’occuper d’elle et la prends comme il se doit en tapant fort dès le début. Et c’est ainsi que peut être une dizaine d’hommes différents se sont succédé en elle, déchargeant leur foutre dans sa bouche et sa chatte. D’autres, ne pouvant attendre leur tour, viennent se soulager et se masturber près d’elle, éjaculant sur son dos ou ses fesses.
Puis ce fût mon tour, la vision de tout ceci à eu raison de moi et sans prévenir, je vide mon jus dans la bouche de cette belle inconnue. Elle n’en perd pas une goutte. Elle se relève, la bouche fermée et se dirige vers Audrey qui est toujours au centre des occupations de ses messieurs. L’homme qui était en train d’utiliser sa bouche jouit, se retire et laisse la place à cette femme qui toujours avec mon sperme dans la bouche, l’embrasse goulûment. Je suppose qu’elle lui fait goûter mon jus. En tout état de cause, je ne vois rien déborder. Elle lui donne tout. Puis s’en va retrouver son homme qui n’a rien loupé du spectacle.
Après une bonne demie heure, la pièce commence à se vider doucement. Le dernier, encore sur Audrey, termine et se vide en soupirant de plaisir comme une bête. Il se rhabille et s’en va. Nous voilà seul tout les deux. Je la rejoins. Je la libère. Son visage est couvert de semence. Certains ont préféré jouir sur son joli visage. Son cul est aussi recouvert de jus, son dos, son entre jambe dégouline tellement qu’il y a une petite flaque de sperme entre ses pieds. Dans cet état je la désire encore plus, je la baiserais là si je ne me contrôlais pas. Mais elle en a eu assez je pense et il est temps pour elle de se reposer. Elle l’a bien mériter.
Nous nous dirigeons vers les toilettes. Elle est nue et en passant devant tout le mode, sur le chemin, certain m’adresse des regards de satisfaction. Je suis fier d’elle. Une fois rafraîchit, je luis tends sa robe que je n’ai pas oublié de ramasser dans la salle ronde. Je la regarde s’habiller, je lui caresse l’épaule et le dos tout en la fixant dans le miroir. Je l’embrasse dans le cou et lui dit merci. Elle me dit qu’elle allait aussi me remercier pour tout ça.
En sortant, l’homme en costume et sa femme nous attendent. Nous nous approchons d’eux car c’est sûrement ce qu’ils veulent. Il me tends une carte avec pour seule inscription une adresse mail. Je le regarde, interrogateur, et il me dit : « J’ai beaucoup apprécié cette soirée avec votre compagne. Elle correspond tout à fait à ce que je recherche. Envoyez moi un message cette semaine, j’ai quelque chose à vous proposer ». Puis il tourne les talons suivi de cette superbe femme toujours nue et se dirige vers les escaliers qui mènent à la sortie.
Je reste là, à regarder cette carte en me demandant ce qu’il va nous demander ou proposer même si j’en ai une petite idée. J’embrasse Audrey sur le front et l’emmène au bar pour un dernier verre. La soirée se termine ainsi. Nous rentrons tout les deux chez nous, sur la route elle m’avoues qu’elle aurait pu tenir encore un peu plus longtemps. Je lui dis que pour une première fois c’est déjà pas mal mais que je prends note de sa remarque pour les soirée à venir.
Voila une histoire qui devrait nous emmener bien loin.
Votre écriture toute en nuance est un regal pour le lecteur, merci