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Julie ou Julien (21)

Julie ou Julien (21)



J’arrive au domicile avec effectivement une petite heure d’avance sur mon programme. Tant mieux, je n’aime pas être en retard. Je monte à l’appartement et rentre. A peine la porte entre ouverte j’entends la petite famille discuter très fort, sans doute chacune dans une pièce différente. Dans le couloir, une montagne de sacs des achats qu’elles ont passées la journée à faire. Je me fais discret, n’ayant à priori pas été repéré. Je m’approche de la chambre de Julie à pas de loup. Glissant discrètement la tête par la porte je la voit affairée à ranger dans son armoire la pile de vêtements qu’elle a acheté et qui s’entasse sur le lit. Je l’observe ainsi quelques minutes sans qu’elle ne s’aperçoive de ma présence.
Il n’y pas grand-chose à dire sinon qu’elle semble heureuse. Elle chatonne, toute guillerette, tout en rangeant ses affaires et en répondant à sa sœur ou à sa mère qui semblent chacune dans leurs chambres. Lorsqu’elle finit par se rendre compte de ma présence, elle se fige et me fixe d’un petit regard timide, le rouge lui montant légèrement aux joues. Elle m’observe ainsi, remontant une mèche de cheveux derrière son oreille. J’entre alors dans la pièce, elle me suit du regard, restant face à moi. A mon approche elle se trouve adossée à son armoire, toujours le regard bas.
– N’aie pas honte ma puce, montre-moi ça
Elle redresse alors la tête et je peux mieux l’observer. Une partie de mes instructions a bien été respectée car c’est une nouvelle coupe qu’elle porte. Sa mignonne tignasse blonde, un peu longue du matin, a laissée place à une coupe bien plus féminine encore. Sans doute le résultat de quelques extensions je suppose, mais le résultat est à couper le souffle. Un balayage, blond châtain, des mèches modelées en pointes dans un effet désordre organisé. A ça se rajoute sans nul doute le passage chez l’esthéticienne car, ses sourcils déjà ajustés le sont encore plus. Ce n’est à présent vraiment plus qu’un fin filet qui surmonte ses yeux. Son maquillage est lui aussi différent, bien que dans l’ensemble léger, il est plus appuyé qu’à son habitude. Il accentue l’effet de ses pommettes déjà naturellement bombées, souligne la finesse des traits de son visage. Ses yeux, un peu plus sombres que je ne l’ai déjà vu, de part une touche plus prononcée de noir autour. Ses lèvres, colorées d’une rose brillant sont d’une gourmandise sans fin. Ce visage ne laisse plus voir le moindre trait de sa masculinité passée. De mon index que je pose sous son menton, je lui fais à nouveau relever le visage qu’elle a baissé par gène de mon regard appuyé. Sa main se place sur la mienne dans une douce touche affectueuse alors que son regard se replonge dans le mien. Je remarque alors sa manucure, elle aussi remise à neuf. Là aussi, sans doute le miracle de quelques faux ongles, bien qu’on n’y voie rien je sais qu’elle ne les avais pas si longs ce matin. Ils sont colorés d’un rose pastel, loin d’être aguicheur ou façon tigresse, il finissent avec raffinement le bout de ses doigts fins. Je remarque aussi l’apparition de bijoux, à ses doigts quelques bagues dorées, un fin bracelet scintillant orne sons poignet menu, une petite chaine avec une sorte de solitaire au cou, des boucles d’oreilles. Cette étape supplémentaire de transformation me subjugue car, là où je voyais certes un potentiel à exploiter, se dévoile ce qui aurait toujours dû être, une jeune fille des plus ravissante, séduisante, mignonne et sexy. Toujours de mon index soutenant son menton, je rapproche son visage du mien, lentement, plongeant mon regard dans le sien scintillant. Mes lèvres viennent se poser sur les siennes délicatement. Sa bouche s’entrouvre, appelant ma langue au contact de la sienne. Je m’y plonge avec passion déclenchant chez elle aussi un sursaut. Son corps vient se coller au mien, ses bras s’enrouler autour de mon coup, ses mains plongeant dans mes cheveux. Mes mains viennent enserrer sa taille, se posant juste au-dessus de ses fesses, je presse un peu plus son corps contre le mien tandis que notre baiser s’éternise. Une de ses mains quitte ma nuque et glissant le long de mon torse vient se poser sur ma queue qui a pris à nouveau sa taille de compétition dans mon pantalon. Elle me masse au travers de mon jean tout en poursuivant son baiser. La  »magie » du moment est interrompue alors qu’Isabelle et Sophie arrivent dans la chambre, s’adressant à Julie au sujet de je ne sais quoi. Elles se figent alors me découvrant dans la pièce et nous observe d’un regard plein de passion. Je quitte la bouche de Julie délicatement, laissant trainer mes lèvres
– Pardonnez-nous Maître, dit Isabelle, nous ne savions pas que vous étiez rentré.
– ce n’est pas grave, ne t’inquiètes pas, j’ai été discret volontairement. Alors dites-moi votre journée ? A en juger le bazar partout je constate que vous avez trouvez votre bonheur ?
– Ho, heu, oui… Pardon, mais comme vous nous aviez donné jusque 16h30 c’est vrai qu’on a pas terminé de ranger.
– Je sais je sais, détends toi ma belle. Et donc, qu’avez-vous trouvé de beau ?
– Ho, je crois que pour Julie, elle a une garde-robe des plus complète. On a répondu je penses à toutes vos attentes. A dire vrai, il y a un magasin où on a certainement pris une exemplaire de chaque modèle qu’ils avaient hihi.
Je remarque effectivement déjà que l’armoire de Julie est au trois quart pleine alors que sur le lit il y a encore une véritable montagne tout comme au sol des piles de boites de chaussures, des sacs etc. Je farfouille dans l’armoire et sur le tas et y vois des robes, jupes, pantalons, hauts, chemisiers, top, brassières, de la lingerie à n’en plus finir, de tout genre, style et autre. Je ne doute pas que dans tout ça il y ait de quoi enfin donner sa liberté vestimentaire à Julie.
– c’est très bien, et pour vous ? Vous en avez profitez toi et Sophie je supposes ?
– Ho oui on s’est fait plaisir aussi. Je dois encore une fois vous remercier car c’est vraiment la toute première fois que toutes les trois on fait les boutiques comme ça ensemble. On a passé une journée fantastique, vraiment. Je n’ai jamais été aussi proche de mes enfants que depuis que vous êtes entré dans nos vies.
– Allons, contrôle ton émotivité. Mais bien, je vous ai demandé d’être là à l’heure car j’ai prévu deux surprises pour vous. Je veux vous féliciter de votre dévouement, et vous encourager dans votre voie. Pour la première surprise, on va pouvoir profiter de notre avance et partir d’ici peu. Je veux que vous prépariez des sacs de piscine, toutes les trois.
Je sens alors sans la voir, Julie se tendre et se décomposer à côté de moi. Son regard est passé de la passion à l’affolement
– Qu’y a-t-il ma puce ?
– Je.. enfin… Passer pour une fille en étant habillée et tout ça ne pose pas de problème, mais je… enfin, en maillot de bain… Je…On a fait des essayages et on en a acheté comme vous l’avez demandé mais je… je vais jamais être crédible…
– calme toi ma puce, calme toi. Moi je suis persuadé du contraire, et encore une fois je crois pas m’être trompé une seule fois, non ? Pour preuve, qui que ce soit a-t’il remarqué quelque chose aujourd’hui ?
– Non…
– Bon, donc laisses moi croire en toi si toi tu n’y arrives pas. Et de toute façon, tu sais que je ne te laisses pas le choix non ?
– Oui
– Donc, la question est réglée. Pour le reste de la journée, comme on va être en grand public, vous êtes autorisées à me tutoyer et à m’appeler par mon prénom. Isabelle, pour nous permettre de profiter de cette fin de journée sans déclencher de scandales ou je ne sais quoi, tu seras pour l’occasion ma compagne affichée. Les filles, Isa reste votre mère bien entendu. Je ne suis que le beau-père pour vous mais avec qui vous avez une très grande complicité, ok ?
Isabelle, toute fière, affiche un immense sourire
– Moi ça me va à merveille ! lance-t-elle
– Bien, Isa, Sophie, aller préparer vos affaires, vous finirez de ranger demain. Moi je reste avec Julie pour la rassurer et l’aider à se préparer.
Isa et Sophie quittent la chambre tandis que Julie, toujours stressée au maximum attends à mes côtés.
– Allons ma puce, ça va aller. Et je suis là, ais confiance. Aller, montre-moi les maillots de bain que tu as acheté
Elle se lance alors en quête du bon sac dans lequel se terrent ses achats. Elle finit par le trouver et en sort une dizaine d’ensemble bikinis différents. Tous sont colorés et paraissent de bonne qualité. Je remarque qu’il y a dans le lot, au moins trois bikinis string
– T’as pas pu résister on dirait, petite coquine
– Hihi, oui, c’est vrai qu’avec Sophie quand on les a vu on n’a pu s’en empêcher
– c’est bien, j’adore, mais pour aujourd’hui on va rester plus sage.
Je lui tend donc l’ensemble noir que j’ai repéré. Et lui fait comprendre qu’elle doit l’enfiler. D’un geste habille elle retire rapidement sa robe, laissant apparaitre sa délicate lingerie noire qui elle aussi disparait. J’en profites et la fait tourner sur elle-même, profitant de la vue de son corps nu sur lequel n’apparait que sa petite cage et son piercing de nombril. Je constate que sa pilosité générale, jambes, aisselles, pubis a été ajustée.
– Bien, enfile le ma puce
Elle enfile en premier le bas. C’est bien la première fois que je lui fais porter autre chose qu’un string et que je vois son petit cul moulé dans un  »slip ». Le résultat est des plus agréables. je lui tend le haut qui est en fait un simple bandeau noir aussi, enserrant son torse. Une fois enfilé je me lève, posant ma main sur son ventre et fait le tour d’elle, me plaçant dans son dos. Je me rapproche de son oreille et lui dit tout en la plaçant face au miroir de son armoire
– Regarde toi ma puce, tu es superbe
– Mais… j’ai pas de poitrine, et puis, là, je … ça se voit un peu.
Le ‘’ça’’ qu’elle désigne est son entrejambe où on distingue une très légère bosse. Je pose me mains sur sa poitrine
– Oui, tu n’as pas de poitrine, enfin, encore que, on dirait une toute petite non ?
– Ben c’est vrai ça fait quelques jours que j’ai comme l’impression qu’elle pousse et que je suis sensible. Mais ça doit être psychologique je pense, je dois me faire des films
– Peut-être, mais tu sais, nombre de filles n’ont pas plus que toi, et ce haut de maillot de bain est fait pour ce type de poitrine. Regarde, juste de par son serrage il accentue ton tout petit renflement.
Tout en lui parlant, le joue avec ses tétons qui pointe légèrement au travers du haut de maillot. Nul doute qu’elle apprécie, je le sais, car sa respiration s’accélère
– Et pour ça, dis-je en posant ma main sur son pubis, je sais comment peaufiner.
De ma poche, je sors un accessoire que j’avais prévu en prévision de ce moment. Je m’assied sur le lit tout en la gardant devant moi debout. Je la fait tourner sur elle, la mettant dos à moi.
– Penche toi bien en avant ma puce.
Ce qu’elle fait bien sûr. Je baisse alors son bas de maillot, dévoilant son cul et le rosebud qui y loge. Je le retire, délicatement. Ainsi positionnée, pendouille bien sa cage. Dans l’ouverture du bout de la cage, je fais passer la fine ficelle que j’avais en poche. L’autre bout de la ficelle, je le noue solidement au rosebud. Le rosebud retrouve sa place au chaud, il ne me reste plus alors qu’à tendre la ficelle, faisant ainsi venir vers l’arrière son clito encagé et plaque donc le tout entre ses cuisses. Un petit nœud au bout de la ficelle et la cage reste en place. Je remonte alors le bas de maillot de Julie et la fait se tourner face à moi. Elle ajuste sa tenue et constate avec une joie immense non dissimulée que plus rien ne parait. Elle se jette alors littéralement à mon cou et me couvre de baisers, entrecoupés de merci répétés. Elle se laisse glisser au sol et se retrouve entre mes cuisses, à genoux par terre. Naturellement ses mains viennent se poser sur mon entre jambe, tandis que son regard se plonge dans le mien, plein d’un mélange d’arrogance et de gourmandise. Au travers de mon pantalon elle me masse et ouvre délicatement ma braguette, le bouton du jean. Toujours dans un mouvement continu, elle écarte les pans de mon jean et me le tire vers le bas, entrainant par le même mouvement mon caleçon. Elle se retrouve alors nez à gland avec ma bite
– Bonjour toi, tu m’avais manqué hihihi
Sa main fraichement manucurée se saisit de ma queue et démarre un mouvement de haut en bas, lent et souple.. Son autre main vient me masser le couilles tandis que sa bouche vient déposer un baiser sur le bout de mon gland. Sa langue vient me le caresser avant de descendre tout le long de ma hampe, passant sur mes couilles. Elle me les lèche, les gobe l’une après l’autre, puis les deux en même temps, les caressant dans sa bouche avec sa langue. Elle vide sa bouche et remonte de sa langue bien appuyée jusqu’à mon gland avec de gober ma queue et de se l’enfiler dans la bouche, allant d’une traite jusqu’à la base. Démarre alors une de ses pipes fabuleuse telle qu’elle sait désormais les pratiquer, faisant se marier habillement les mouvements de sa bouche et ceux de ses mains, l’une me branlant, l’autre me massant les couilles. Sa langue ne reste jamais inactive, soit elle me caresse la tige dans sa bouche, soit me la titille lorsqu’elle en est sortie, jouant avec mon méat ou mon frein. Elle a bien appris les zones sensibles et s’amuse à me faire tressauter la bite de plaisir. Le pré-sperme qui s’échappe ne tarde jamais sur mon gland, sa langue s’empressant à chaque fois de tout venir récupérer pour qu’elle s’en délecte. Lorsqu’elle engouffre ma queue jusqu’au bout dans une gorge profonde dont elle est devenue experte, elle force avec sa langue pour en même temps tenter de me caresser les couilles avec.
Quel délice de voir cette jeune femme naissante, sa nouvelle coiffure ondulant au mouvements de sa tête, ses mains fines encore plus féminines maintenant qu’elles sont délicieusement manucurées, son visage encore plus féminin de part cette touche de maquillage supplémentaire. Tout d’elle à présent respire la féminité, d’apparence mais aussi dans ses mouvements. Tout cela évidement vient s’ajouter aux talents de suceuse extrême qu’elle développe un peu plus chaque jours. Son expertise et l’excitation ajoutée par la nouvelle étape de sa transformation me font venir rapidement au fond de sa bouche qui se fait gourmande. Quand mes giclées vient taper le fond de sa gorge, elle grogne de plaisir et de satisfaction, se délectant de mon nectar.
– Humm, ma dose de sperme ! j’étais presqu’en manque moi !!
– Gourmande va. Aller, finit de t’habiller
Elle enfile sa robe par-dessus son maillot et nous quittons la chambre ensemble retrouver Isa et Sophie qui nous attendais patiemment au salon
– Ha quand même, vous vous faites désirer les amoureux, lance Isabelle
– Très drôle. ceci dit, à partir de maintenant je te rappel que c’est toi, mon « amoureuse »
– oh ça j’avais pas oublié, me répond-elle en s’approchant et venant m’embrasser à pleine bouche.
– bien, je fais un détour par chez moi chercher mon maillot. Isabelle, prépare moi une serviette et on y va.
Le temps d’aller chez moi et ressortir les filles m’attendaient sur le palier. Je glisse mon maillot dans le sac que tient Isabelle et alors que je me dirige vers les escaliers elles s’accroche à mon bras. Nous rejoignions la voiture et prenons la route direction un hôtel qui a une annexe SPA et balnéo. Comme dit, je veux récompenser les filles, ce sera un moment sympa en plus du fait de faire passer un cap supplémentaire à Julie. A l’accueil, nous sommes accueillis avec le standing du lieu et rien ne transparait à priori.
Nous rejoignons les vestiaires pour nous changer. Je prends la même cabine qu’Isabelle. Elle retire sa robe et dévoile ainsi un mignon bikini bleu azure. Le haut, assez échancré, redresse sa poitrine généreuse sans en cacher beaucoup. Le bas de même, échancré couvre à l’avant comme à l’arrière le strict minimum permettant de conserver une forme de décence. La nuance du bleu sur sa peau ambrée a un côté flashy attirant l’œil, nul doute que les regards vont se porter sur elle et déguster sa plastique. Isabelle sourit en me voyant la détailler ainsi, satisfaite je penses de me plaire. J’enfile mon propre maillot et nous quittons la cabine.
Nous retrouvons Julie que je sens un peu tendue et stressée, bras croisés sur l’avant de son corps tentant en vain de se dissimuler, ainsi que Sophie. Pour elle le choix est un tantinet moins sage, elle a opté pour un bikini également en effet dentelle, brodé de  »diamant ». Plutôt modèle plage, le haut est composé de deux triangle couvrant l’avant de sa poitrine tout en la redressant mais en laisse deviner les côtés. Une ficelle au coup et dans le dos le maintienne en place. Le bas, coupe brésilienne, couvre à l’arrière ses fesses en n’en dévoilant que le strict nécessaire, mais à l’avant plonge relativement bas sur son pubis, dévoilant clairement l’absence de toute pilosité pubienne, et au final ne couvrant quasiment que sa délicieuse vulve pulpeuse.
– C’est un poil osé, lui dis-je. J’espère pour toi que personne ne va te refouler, c’est un endroit un peu prestigieux. Tâche de pas trop d’exhiber ainsi pour pas nous gâcher l’après midi
– Ho… pardon maître, heu, Jérôme. J’ai pensé que ce serait à votre goût
– Ça l’est, mais je vous ai dit ne pas vouloir créer d’incident. Aller, allons-y
Nous nous dirigeons donc vers les douches. Normalement il y a un côté femme et un autre hommes, mais Isabelle décide de me suivre côté hommes tandis que Julie et Sophie se dirige de l’autre côté. C’est main dans la main que nous prenons une cabine pour nous rafraichir. Sous l’eau Isabelle se fait louve, se collant en moi tout en me savonnant. Ses mains se font inquisitrices à la base de mon maillot. Je repousse sa main
– Soit sage ma chérie, profitons de ce moment de détente
– hummm… Bon ok, mais j’aurais bien profité de ça, moi, dit-elle en posant sa main sur ma bosse naissante
– T’en fait pas, tu profiteras, mais plus tard ma chérie
Nous quittons les douches et croisons le chemin des filles en direction des bassins. Toutes les trois attirent les regards de plusieurs hommes déjà à l’eau. Notamment un groupe de jeunes qui ne se cache pas de reluquer Julie et Sophie. Nous entrons dans le bassin
– Aller les filles, filez, laissez-nous votre mère et moi
Tout en papotant, elles s’écartent de nous marchant vers un autre coin du bassin proposant plusieurs bancs de bains à bulles entre autre. Isa et moi allons vers un de ces coins où il y a deux places libres. On s’installe côte à côte.
– C’est une belle surprise, merci. Pendant toutes ces années de mariage, Pierre n’a jamais songé à nous sortir comme ça, nous faire des petites surprises…
– Cesse de penser au passé et à lui. Profites du moment, laisses l’avenir t’apporter de nouvelles réjouissances et combler les manques du passé. Tiens, regardes tes filles
Elle tourne la tête à la recherche des filles et s’arrête lorsque son regard se pose sur elles. C’est un regard plein de tendresse qui s’affiche sur son visage alors qu’elle les observe.
– Elles sont si heureuses, si belles…
Effectivement, assises côte à côte elles papotent comme deux sœurs, complices et sûrement confidente l’une de l’autre. Les éclats de rires s’enchainent de leur côté, montrant à quel point Julie s’est totalement détendue. C’est une vraie complicité naturelle entre sœurs qui se dégage d’elles.
– Belles en effet, regarde les gars là-bas qui les reluquent. Elles leurs ont tapé dans l’œil si tu veux mon avis
– haha oui on dirait, mais ça m’étonne pas. Entre Julie la canon réservée et Sophie la canon presque à poil, faut pas chercher… Si ces gamins savaient à quel point elles sont salopes en plus hahaha
Nous partons dans un éclat de rire tous les deux et discutons de tout et rien. Au fil des minutes qui s’écoulent Isabelle s’est collée à moi, sa tête posée sur mon épaule, une main se promenant sur mon torse affectueusement. Nos regards se croisent à un moment et tout son visage appel un baiser que je m’empresse de lui donner, à pleine bouche. Nos langues se câlinent tendrement puis plus sauvagement, ne tenant plus compte des personnes autour de nous. D’instinct, la main d’Isabelle a glissé sous l’eau et s’est naturellement posée sur ma queue. Au travers du maillot, sous l’eau elle me la masse provoquant inévitablement une érection chez moi qu’elle ne se prive pas de flatter de ses doigts. Délicatement, Isabelle se hisse sur mes genoux, en travers de mes jambes, gardant une main sur ma queue et l’autre bras enroulé à mon cou. Sa bouche vient se coller à la mienne et sa langue investit ma bouche en quête de la mienne. Sous l’eau, sa main dégage ma queue se mon maillot pour mieux pouvoir me branler. D’un geste lent qui se veut surtout discret, Isabelle me masse la bite sur toute sa longueur, me caressant par la même les couilles. Elle finit par relâcher ma queue sans pour autant la remballer. Elle s’assoie cette foi sur mes genoux, dos à moi et, ayant certainement écarté sur le côté le bas de son maillot, me fait lentement pénétrer en elle. L’air de rien, très naturelle, elle prend mes bras et me fais l’enserrer, elle se blottissant contre moi comme si de rien était. Je penses qu’aux yeux de tous rien ne parait, ses gestes se veulent discrets et précis et qui plus est, personne ne nous regarde plus que ça. Ma queue logée en elle, en butée au fond de son antre humide et chaude, elle lève les yeux vers moi et me murmure
– laisses moi faire mon amour. Je m’occupe de tout
Alors, subtilement je commence à sentir les contractions qu’elle imprime sur ma queue par sa chatte. Habillement et efficacement, je sens ma queue massée par ses muqueuses. De très légers mouvements de son bassin viennent aider à l’acte mais en ne générant quasiment aucuns mouvements de l’eau autour de nous qui ne puisse être décelé grâce aux remous des bulles. Je me laisse glisser un peu pour mieux profiter de son massage et gagner un peu en profondeur dans son vagin. Lovée contre moi elle entretien minutieusement mon érection et fait monter ma pression. Elle se dévoile un véritable talent dans cette pratique.
Sans s’arrêter et le regard langoureux, plongé dans le mien elle me dit d’une voix douce
– je crois que je suis amoureuse de toi. Non, je ne crois pas, je le suis. Je suis si heureuse, si épanouie… On m’aurait il y a quelques jours de ça que je serais un jour, dans une piscine publique, avec un autre homme que mon mari, à faire l’amour de la manière la plus délicate que je n’ai jamais connu, aux yeux de tous, jamais je n’y aurais cru. Et pourtant, là maintenant, je ne voudrais en rien être ailleurs…
– Ma chérie, tu es belle, intelligente et la reine des petites salopes. Je n’ai aucun mérite tu sais, je n’ai fait que réveiller ce qui sommeillait en toi. Le mérite te reviens à toi, tout comme à tes filles…
– Mes filles… Comme c’est encore étrange en partie de dire ça. Il y a peu de temps encore, je disais mes enfants, je parlais de mon fils et de ma fille… Mais aujourd’hui, il est clair que c’est deux filles que j’ai. Quand je compare Julie à Julien, c’est le jour et la nuit. D’un garçon introverti, avec peu voire pas de relations sociales, muet à la maison, qui se tenait toujours à l’écart de nous, on est passé à une magnifique jeune fille, resplendissante, souriante, ouverte aux autres, surtout du cul d’ailleurs hahaha. Et je crois qu’elle aussi, tout comme Sophie, est amoureuse de toi. Nous sommes toutes les trois amoureuses de toi. Et le plus surprenant dans tout ça c’est que ça ne dérange aucune de nous, au contraire. On en a parlé pendant notre séance shopping, cette histoire à quatre nous plait. On aime la façon dont ça nous rapproche, on aime baiser avec toi, on aime baiser ensemble aussi, quand bien même c’est tabou au possible.
– Ma chérie, tes mots me touchent, sincèrement, mais tu te doutes j’espère que vos épreuves ne sont pas terminées. Tout ne sera pas facile à l’avenir, l’ambiguïté de cette relation tout comme les future épreuves que je vous réserve.
– Ho oui, mais je suis prêtes à repousser mes limites encore plus loin. Nous le sommes toutes les trois.
– C’est parfait alors, profitons-en ensemble. Et maintenant que dirais-tu de me faire jouir au fond de ta petite chatte ?
Pour toute réponse elle accentue au-delà de ce que je pensais possible la pression exercée par sa chatte sur ma queue. Ses mouvements de bassin s’amplifient un peu également et au bout de quelques minutes je me repends en elle par de puissantes saccades de foutre, déclenchant son propre orgasme qu’elle s’efforce de retenir en se mordant la lèvre inférieur. Le pic de plaisir passé, elle se précipite à nouveau sur ma bouche et m’offre à nouveau un baiser plein de passion et de sensualité. Lorsque nos bouches se décollent enfin, elle pose sa tête sur mon épaule à nouveau ce qui lui permet de voir ses filles. Je les regardent également et nous voyons que trois des gars que nous avions repérés plus tôt sont en train de discuter avec elles. Julie, le rouge au joue et le regard un peu bas semble très embarrassée et tendue mais, malgré ça, discute avec un des gars qui s’est assis à côté d’elle. Sophie quant à elle papote avec les deux autres qui, comme celui discutant avec Julie, a de la gourmandise plein les yeux. Nuls doutes sur le fait que ces trois lascars se les taperaient volontiers, et je les comprends. Julie nous surprends à l’observer, ce qui fait rougir d’avantage ses joues, le regard plein d’embarras. D’un regard d’approbation, je lui fait comprendre qu’elle n’a pas à être gênée et qu’elle peut librement continuer. Son visage s’illumine alors d’un sourire et elle retourne à sa discussion, non sans me jeter un petit coup d’œil en coin par moment. Je réalise seulement que bien qu’à moitié débandée, ma queue est toujours logée dans la chatte d’Isabelle. Mes bras l’enserrant, je remonte mes mains, et profites du fait que son torse est immergé pour me saisir de ses deux seins généreux. Je les masses avec passion, jouant avec la pointe de ses tétons que j’ai fait glisser hors du maillot. Je les roulent entre mes doigts tandis que je lui parle
– tu dois savoir quelque chose, notamment parce que je compte te mettre à contribution. Depuis plusieurs jours, je fais ingérer à son insu à Julie un traitement hormonal. Tu as noté que ça fait plusieurs fois qu’elle fait la remarque que sa poitrine est un peu plus sensible. Je crois même qu’elle a légèrement déjà pris du volume.
– Ho je comprends. Oui en effet, elle l’a dit plusieurs fois, et c’est vrai que pendant les essayages ce matin je me suis fait la remarque aussi. C’est comme quand Sophie était petite et que ça poussait tout doucement.
– très bien, c’est un traitement qui est axé sur la croissance mammaire en particulier. Il y aura d’autres effets avec le temps, mais peu importe. Là où je veux que tu interviennes c’est t’assurer qu’elle prenne ce traitement, pour le moment sans le savoir. Ensuite il faut qu’on surveille son état psychologique. Ces traitements peuvent avoir des effets et je veux m’assurer qu’elle va bien.
– D’accord, je veillerais.
– regarde les, qu’elles sont belles. A se faire draguer comme ça par ces petits mâles en puissance.
– c’est vrai, et elles semblent aimer l’intérêt qu’ils leur porte
– Et toi, un p’tit jeune comme ça, t’en dirais quoi ?
– heu, non, je crois pas. enfin, je sais pas
– T’es plus à une nouvelle expérience prêt maintenant…
– Pas faux… Mais je doute qu’une vielle comme moi puisse intéresser des p’tits jeunots !
– Je te pari le contraire. Je suis certains d’ailleurs qu’ils perdraient leurs moyens face à toi. Toute leur arrogance et leur assurance disparaitrait aussitôt.
– Peut-être mais ils n’ont sûrement pas ton savoir-faire.
– Ne me surestime pas plus que nécessaire… Tiens, regarde donc, un des trois va sortir de l’eau. Suis le et… laisse la nouvelle Isabelle prendre les commandes
Un peu blême Isabelle me regarde puis se décide à m’écouter. Elle en oublie l’espace d’un instant de rajuster son maillot, exhibant ainsi, bien que personne ne semble regarder, ses tétons. Vite corrigé, elle ajuste aussi son bas tout en se dirigeant vers la sortie du bain.
Je sais la suite par ce qu’elle m’en a raconté.
Elle a suivi discrètement le gars qui en fait se dirigeait au WC. Elle a attendu discrètement et à sa sortie l’a à nouveau suivit, ne sachant trop comment agir. Il s’est avéré qu’il est repassé par la douche (au moins il a de l’hygiène). Elle s’est faufilée dans la cabine avec lui juste avant qu’il ne referme la porte, fermant elle-même la porte.
– Mais, vous faites quoi ?
D’un ton assuré qui l’a elle-même surprise,
– Rien de déplaisant à mon avis
En disant ça, les mains dans le dos elle a défait son haut de maillot, dévoilant au jeune homme sa sublime poitrine. Le gaillard n’a eu d’autre réactions que de faire des yeux aussi gros que des boules de pétanques. Isabelle s’est alors approchée de lui
– Ben quoi, la vue ne te plait pas mon mignon ?
Toujours se rapprochant de lui jusqu’à frôler son torse du bout de ses tétons pointus, elle lui saisit les mains qu’elles pose sur ses seins.
– Je.. enfin, vous faites quoi ?
– Rien que tu ne vas pas apprécier je pense
Sa main droite à elle glisse le long du torse pour venir se plaquer contre la queue du gars déjà tendue. Fébrile, les mains toujours posées sur les seins d’Isabelle mais sans bouger, il ne réagit pas. Au travers de son short de bain, Isabelle démarre une lente masturbation sur toute la longueur de la bite du gars qui d’après ses dire était de taille plutôt respectable
– Tu as un peu d’expérience ?
Heu, ben heu..;
– Quoi ? oui ou non, c’est pas compliqué ? t’as une copine ? Tu la saute ?
– Heu non, je.. j’ai jamais fait, enfin…
– ho, c’est mignon, laisses moi t’apprendre alors
Délicatement, elle écarte le short et le fait glisser vers le bas, faisant jaillir sa queue vierge qu’elle s’empresse de saisir pour reprendre sa masturbation
– joli morceau, tu vas en combler plus d’une avec ça, moi la première
Se laissant glisser au sol, à genoux, Isabelle engouffre la queue de jeune gars et démarre sa première pipe. Les jambes molles il a vite commencé à gémir son plaisir non dissimulé. Comme l’a pensé Isabelle sur le moment, histoire de lui donner une première expérience complète et de taille, elle a glissé sa queue entre ses seins et lui a prodigué une branlette espagnole ce qui a aussitôt fait craquer le gars le faisant gicler son jus au visage d’Isabelle.
– Bien, t’es un peu moins tendu maintenant, on va pouvoir passer aux choses sérieuse.
Sans relâcher la pression, Isabelle a fait couler l’eau de la douche pour se rincer et rincer la bite du gars tout en reprenant sa branlette d’une main. La jeunesse aidant il n’a jamais débandé totalement et a vite retrouvé une forme de compétition. Quand il est revenu à sa taille maximale, elle s’est relevé, lui a roulé une galoche à laquelle il a répondu timidement, puis elle s’est mise face au mur, croupe tendue, pour faire glisser son bas de maillot à ses pieds. Ainsi tendue, sa croupe exhibait sa chatte au puceau qui voyait pour la première fois de sa vie une chatte de en réel.
– Et si tu t’occupais un peu de moi mon choux ?
Le menant par la bite, elle l’a fait se placer derrière elle, plaçant son gland à l’entrée de sa chatte, caressant ses muqueuses et son clito avec. Sentant l’impatience du gars, elle a pointé son gland contre son ouverture avant le faire rentrer en elle. Novice en la matière et attiré par le besoin primaire de se soulager, le gars a pousser et s’est retrouvé au fond d’elle d’une traite, à bout de souffle, tenant Isabelle par les hanches
– Vas-y doucement mon choux, sinon tu vas pas tenir longtemps. Et quand tu sens que ça vient retire toi
Ondulant de son bassin, Isabelle a donné les premiers mouvements de va et vient à cette bite novice. La gars, toujours les mains sur ses hanches, a alors commencé à lui aussi à jouer de son bassin. Maladroitement, de façon saccadée, il a commencé à aller et venir en elle, se laissant rapidement emporté par sa fougue. Isabelle l’a calmé afin de faire durer
– Doucement, doucement, c’est pas un sprint mon choux, c’est un marathon. Le sexe, c’est pas juste jouir dans son coin, c’est jouir à deux, c’est là où c’est meilleur. Tes partenaires futures apprécierons que tu te préoccupes de leur plaisir au moins autant que du tiens, sinon plus.
A ces mots, le gars a baisser la cadence, respirant profondément pour se contrôler. Tant bien que mal, il aurait cherché à s’appliquer, mais novice qu’il était n’a pas tenu longtemps avant de se retirer
– Je.. je vais venir
Isabelle s’est alors vivement retournée, à genoux pour le branler et après deux trois coups de poignet l’a fait gicler sur ses seins tout en grognant de plaisir.
– Voilà mon choux, t’es un homme à présent. Tu dois encore apprendre à mieux te contrôler et à ne pas laisser tes partenaires sur leurs faims comme tu l’as fait avec moi, mais tu as un avenir prometteur.
Tout en finissant de lui purger le poireau, de son autre main elle est passé sous ses couilles et est venu lui titiller l’anus. Autant surpris par le geste que par les sensation il s’est crispé mais ne s’est pas retiré
– Tu devrais te détendre et t’ouvrir à tous les plaisir que les corps peuvent offrir
– j’suis pas pédé, qu’il lui a répondu
– Ha faut être pédé pour aimer se faire enculé ? Donc les nanas que tu rêves d’enculer dans tes fantasmes les plus fous sont pédé ?
– Heu, non mais heu c’est pas pareil quoi
– c’est tout pareil mon choux, tu l’apprendra. Aller rince toi et rejoins tes potes. Et attention je te surveille, ne fais pas trop de drague à mes filles
– Quoi ? c’est vos filles ??!!
– Oui oui
Ne sachant plus ou se mettre le gus s’est rapidement passé sous l’eau avant de se diriger vers la porte
– Heu, merci, je heu, c’était vraiment bon… au revoir
– Bye mon choux
Isabelle s’est elle aussi abondamment rincée avant de se rhabiller et de me rejoindre.
– Alors ?
– Miam, trop mignon, un p’tit puceau
– Coquine va, et donc ?
– ben, je devrais dire ex-puceau hahaha
– t’as aimé ?
– en fait, oui, il m’a pas faite jouir malheureusement, trop rapide, mais c’était fun, il avait une sacrée belle queue
Isabelle collée à moi, je jette un œil du côté des jeunes, dont notre gus, qui discutent toujours. Lui aussi jette un regard vers nous, regardant Isabelle lovée contre moi, puis vers moi. Je lui lance alors un clin d’œil, explicite sur le fait que je suis au courant de ce qui s’est passé dans cette cabine de douche. Embarrassé, il a rapidement détourné le regard vers les puces et ses potes.
Nous avons profité avec Isabelle le reste du temps des installations. Les jeunes aussi, nous les avons perdus de vu un moment, puis nous avons retrouvé les filles que nous avons rejoins
– Alors mes chéries, ça va ? leur lance isabelle. Contentes de votre séance de drague ?
– Maman !!! répond Sophie.
Julie elle ne réponds pas, légèrement la tête dans les nuages
– Que t’arrive-t-il ma puce, je lui demande ?
Alors qu’une petite larme coule sur sa joue
– Rien, je suis juste… je sais pas, heureuse. Je me sens si bien. Je me sens tellement… fille ! A part à de rares moments, je n’ai pensé à aucuns moments à ma condition. Et le fait qu’on se fasse aborder comme ça par des garçons, qui effectivement (là elle regarde Sophie façon de dire  »contrairement à ce que tu fais croire ») nous ont dragués mais sans être lourds. Je me sens tellement flattée et ça me fais encore plus croire en moi-même, en mon avenir. Je comprends encore un peu plus à quel point tu avais raison de me pousser dans cette direction. Là, ça là, dit-elle en se désignant elle-même, c’est vraiment MOI
– Tu es aujourd’hui telle que je t’ai vu dès le premier jour derrière ton costume de jeune mec. Il t’a plus le gars ?
– ho, oui, il était mignon, ils l’étaient tous les trois en fait, hein So ? canon, bien gaulés, même si à mes yeux il n’y a qu’un homme qui compte, dit-elle en me faisant un clin d’œil
– ouais trop canon les gars. Perso j’en aurais bien croqué un, dommage qu’il ait disparut et quand il est revenu il était plus pareil. J’sais pas ce qu’il a eu.
– Hahah, tu veux savoir ?
– Heu oui ?
– ta mère l’a dépucelé dans les douches
– Maman, tu fais chier ! t’es obligée de me piquer mes plans, sérieux !!
– mais ma chérie, je savais pas que tu le voulais pour toi, fallait le croquer la première
Et là nous éclatons tous les quatre dans un énorme fou rire, réalisant à quel point la situation est cocasse.
– bien, mes chéries, il est temps de filer. A la douche, rapidement, vous devrez vous refaire belle à la maison pour la deuxième surprise. Ne trainez pas, et pas de galipettes avec qui que ce soit. Ça compte pour toi aussi chérie, dis-je à Isabelle. Cette fois tu prends ta douche seule ! haha
Rapidement comme demandé, nous quittons le bassin, passage par les douches, les cabines pour se changer et nous nous retrouvons devant la sortie pour rejoindre la voiture et prendre la route, assez courte, vers le domicile. Arrivés à l’appartement
– Mes chéries, ce soir sortez vos plus belles tenues de soirée. Faites-vous les plus belles possibles. Pour ma part je vais me préparer chez moi. Ne trainez pas, départ dans une heure
– une heure !?! s’exclament-elles
– une heure, ne trainez pas
Je quitte l’appartement pour me prendre une vraie douche et m’habiller d’un costume, pas du style coincé, mais très bien habillé. Je retourne à l’appartement au bout d’une petite demi-heure. Quand j’entre, les filles parlent entres elles d’une pièce à l’autre. Isabelle semble être sous la douche, les filles dans leurs chambres. Je vais voir Sophie
Bien, tu es bien avancée
– Oui enfin, y’a encore du boulot hihi, on a gagné du temps en se douchant ensemble avec Julie. Est-ce que cette tenue vous iras ? heu t’iras ?
Elle me montre une robe encore sur son cintre, noire.
– Comme ça difficile de juger. Enfile là.
Par habitude, elle s’apprête à l’enfiler sur son corps nu, je l’interrompt
– Ce soir tu as droit de porter de la lingerie, mais de la belle uniquement.
Surprise, elle se bloque, mais rapidement se tourne vers son armoire où elle plonge dans son tiroir à dessous. Elle en sort un soutiens gorge sans bretelle, en fine dentelles, noir ainsi qu’un string, de la même dentelle. L’ensemble semble de très bonne qualité, je crois deviner le logo d’une grande marque. Elle les enfiles rapidement, le soutiens ayant pour effet de redresser et mettre avantageusement en valeur sa poitrine de faible volume. Le string vient délicieusement séparer ses deux fesses, dans un V plongeant, tant à l’arrière qu’à l’avant. Son petit cul de rêve, commun à la famille est du coup merveilleusement mis en valeur. Elle att**** ensuite la robe et se la passe, dos à moi. elle se rapproche de moi et me demande de lui fermer la tirette ainsi que le bouton. La robe, noire, offre un dos nu, sur le haut sauf le lien au cou fait d’une dentelle fleurie. Cette dentelle lui couvre en partie les omoplates et se poursuit en manche, couvrant jusqu’un peu après les poignets, finissant dans un petit volant. Du milieu de son dos, la robe descend jusqu’à mi-cuisses, finissant la aussi en volant, gonflé par un jupon de dentelle qui donne du volume. Elle se tourne face à moi dévoilant son décolleté, certes peu fournit du fait de sa faible poitrine, mais encerclé par la même dentelle. cette robe, type tenue de cocktail est ravissante et comme souvent, ce noir contraste bien avec son teint de peau et ses cheveux blonds. Elle me regarde, dans l’attente de ma réaction.
– délicieuse ma chérie
Je ponctue ce compliment d’un petit baiser du bout des lèvres.
– Pour les chaussures j’ai pensé à celles-ci
Elle me montre un pair d’escarpins beige clair, comme toujours à très hauts talons, que je lui valide.
– Parfait, ajuste ta coiffure et ton maquillage, je penses que des touches de rouges sur tes lèvres, seraient parfaits.
Je rejoins à présent la chambre de Julie, qui est en train de peaufiner sa coiffure. Un peu plus de volume, un coup de gel de ci de là pour ajouter un côté désordre ordonné. C’est dans le plus simple appareil, nue, en dehors de sa cage rose toujours tirée vers l’arrière et de son piercing de nombril qu’elle se pomponne. En me voyant elle me sourit, puis se précipite vers son lit
– Mon cœur regarde, c’est la plus belle robe que j’ai jamais vu, et que je vais pouvoir porter, elle te plait ?
Elle place la robe toujours sur cintre devant elle, comme un essayage. Il s’agit d’une robe blanche sur laquelle sont brodés de multiples cristaux scintillants.
– Mets là, je te dirais.
Sur le lit, elle att**** d’abord sa lingerie, là aussi de nouvelles pièces. L’ensemble est en très fine dentelle blanche et a l’aspect d’une lingerie de mariée. Le haut, un soutiens gorge sans bretelle, le bas, un string bien entendu. A mon regard approbateur, elle enfile le string. Le maillage de la dentelle laisse transparaitre les nuances clair de sa peau au travers. Très étroit à l’avant il lui recouvre tout juste ce qu’il faut, à l’arrière, la partie string faite d’une mince bande de tissus se loge entre ses petits valons sexy et vient se terminer sur la base de ses hanches, assez haut. La forme en V assez accentué augmente comme pour Sophie la délicate courbure de ses hanches et de ses fesses. Le haut est fait de la même matière et, si elle disposait d’une poitrine, la recouvrirait suffisamment tout en la maintenant dressée. Elle gonfle son soutiens gorge de son habituelle prothèse afin de donner un peu de volume. La lingerie enfilée, elle passe la robe. Elle lui arrive à mi-cuisse et se compose de deux épaisseurs de matières différentes, l’une, juste un voile, dépasse légèrement et par jeux de transparence dévoile sa peau. L’autre, plus opaque accorde la pudeur due à la jeunesse qu’elle porte. Le haut de la robe à bras nus se termine par une encolure du même fin voilage, lui aussi orné de strass ou cristaux. Par transparence on distingue le haut de sons torse, dévoilant le haut de sa poitrine pulpée par la pression exercée par son soutiens et de sa prothèse. Rien n’y parait malgré tout. Une fois enfilée, elle me regarde, anxieuse de ma réaction, avec son air mutin, enfantin. A la vue du sourire de satisfaction que j’affiche elle se réjouie de me plaire
– Ho, et regarde les chaussures que j’ai prises pour aller avec
Elle att**** au sol une paires de sandales, comme à l’habitude à talons hauts, je dirais bien douze centimètres, toutes argentées et scintillantes de strass. La fine bride qui enserre la cheville est ornée d’une rivière de strass. Elle les enfiles rapidement, et l’effet est remarquable. La rivière de strass a pour effet d’attirer le regard sur ses pieds fins et si féminins, aux ongles manucurés et colorés du même rose que ses doigts. Mécaniquement le regard ne peut que continuer sa route le long de ses jambes finement galbées, vierge de toute pilosité, au grain fin et soyeux. Quand le regard monte on ne peut qu’être déçu que la vue soit soudainement brisée par la présence de la robe, mais ce voilage et la délicatesse du vêtement rajoute malgré tout un surplus de sensualité et de mystère. Tandis que je la mange du regard, elle me regard les yeux pétillants autant que sa robe, plein d’affection. Elle se précipite alors vers sa commode et en reviens avec un main des bijoux. Une paire de boucle d’oreilles, longue et toute en strass aussi, un bracelet très fin, lui aussi scintillant, et deux bagues, toujours dans le même effet. Ces bijoux, tout en accord avec sa tenue accentue la finesse autant de ses poignets, doigts et de son visage angélique.
– Tu es superbe ma puce, vraiment. Comment tu te sens ?
– Je me sens… moi ! J’ai l’impression d’être une princesse dans cette robe ! et j’adooooore hihii
– Tant mieux, je suis vraiment heureux de te voir aussi épanouie. Termine de te préparer, un peu de maquillage et tu seras la perfection incarnée
Je quitte sa chambre la laissant toute souriante et les yeux rêveurs pour rejoindre Isabelle que j’ai entendu quitter la salle de bain. Je la retrouve dans la chambre, déjà coiffée de façon assez simple mais raffinée. Accrochée à la porte trône une robe de soirée rouge scintillante. Je m’assieds sur le lit et la regarde faire. Avant de s’occuper de la robe, elle se saisit de sa lingerie, en l’occurrence pour commencer d’un string en dentelles noires. Alors qu’elle l’enfile, dos à moi, d’une façon exagérément sensuelle pour jouer l’allumeuse qu’elle est au fond d’elle, je vois l’arrière disparaitre dans le vallon de son entre fesses superbe, pour venir se poser haut sur ses hanches. Elle se tourne pour me faire face, d’abord jambes serrées, puis délicatement en fléchissant juste une jambe, les écartent légèrement. Je découvre alors qu’il s’agit d’un string ouvert à l’entre jambe. Sa petite fleur onctueuse est ornée de fines bandes de dentelles noir, mais est totalement à l’air libre
– Tu m’as dit de mettre de la lingerie, pas qu’elle devait tout recouvrir, me lance-t’elle avec un clin d’œil.
Elle se remet dos à moi, et, en se penchant sans fléchir les jambes, elle ramasse au sol le porte jarretelle assortis qui est par terre. A nouveau face à moi, et de mouvements volontairement exhibant, elle passe une et puis l’autre jambe, faisant remonter lentement la pièce de dentelle sur ses hanches. Six fixations pendent et attendent les bas prévus qui pour le moment sont à côté de moi sur le lit. Isabelle s’approche du lit et, bien face à moi pose un de ses pieds sur le lit, écartant ainsi bien les cuisses à ma vue, et m’exhibant sa chatte accueillante. Son premier bas à très fines résilles et sans coutures s’enfile à son pied, et de la manière la plus sensuelle qu’il soit elle le fait remonter le long de sa jambe. Je remarque alors qu’elle a pris le temps de se vernir les ongles dans un rouge vif tape à l’œil, rajoutant, par contraste avec le noir du bas, une sensualité supplémentaire. Le bas arrive à hauteur souhaité et toujours par de doux mouvements, du bouts des doigts elle le fixe aux six accroches prévues. Scénario identique pour la seconde jambe, elle fait tout son possible pour m’allumer au maximum. Les deux bas accrochés, elle se redresse et me tourne le dos, et dans un déhanché exagéré elle va chercher sa robe, roulant de son petit cul de rêve. La robe, d’un rouge scintillant, mais un peu mat en fond est longue. Elle l’enfile, dos à moi. Le haut ne tient que par une bande de tissus passant sur son épaule. Vous l’aurez noté, elle n’a pas mis de soutiens gorge, qui en effet se serait vu puisque du côté ou il n’y a pas de bretelle, une bonne partie du galbe de son sein est visible, sans pour autant être outrancier. A la façon qu’elle manœuvre, la robe doit avoir des bonnet afin de soutenir et surtout redresser sa généreuse poitrine afin de lui donner toute la mise en valeur qu’elle mérite. La robe arrive jusqu’à quelques millimètres du sol, mais est fendue sur une grande hauteur sur un côté, jusqu’à mi-cuisse. Aussi, selon ses enjambées, la lisère de son bas apparait aux regards attentifs. Pour s’accorder à sa tenue, elle chausse de très jolies sandales de couleur chair brillante, comportant une très fine bride au niveau du coup de pieds, et un subtile laçage remontant sur la cheville. Evidemment, les talons sont d’une hauteur respectable d’au moins 15 cm en comparant ceux de Sophie.
– Tu es resplendissante ma chérie. Cela va être très honorant pour moi de t’avoir à mon bras et encore plus d’avoir les filles à nos côtés. Les regards vont se noyer dans vos beautés.
– merciii, ça me touche
– Je te laisse finir ta préparation, ne traine pas, les filles sont quasiment prêtes
– Mon amour, que dirais tu de profiter des costumes de Pierre. Je pense qu’ils t’iront et vu le prix qu’il a mis dedans, il te mettrons en valeur
– Ho tiens, bonne idée
Je vais donc farfouiller dans le dressing et les affaires de Pierre. Ça me fait penser qu’il faudra en virer une grande partie. Ceci dit, en regardant les costumes j’en trouve effectivement plusieurs de très grandes marques et de belle facture. Je porte mon choix sur un de la maison dont les initiales sont HB, d’un bleu marine sombre qui selon moi s’accordera à merveille avec les tenues des filles. Je mets bien moins de temps à m’habiller que les filles à finir de se préparer, je vais donc patienter au salon. Heureusement, je n’ai pas à attendre trop longtemps, malgré leur avoir donner de la liberté aujourd’hui, leur discipline n’en souffre pas. Je les suspect de s’être accordées, car elles arrivent toutes les trois ensemble au salon, et se place face à moi, dans des poses très sensuelles. Superbe brochette de canons en puissance offerte à mes yeux. Je me lève pour venir constater les derniers ajustements. Sophie a effectivement opté pour un rouge à lèvre rouge satiné, donnant l’impression que ses lèvres sont en velours. Un maquillage coloré autour de ses yeux vient accentué le bleu pâle de ses iris. Elle a orné ses oreilles de grands anneaux dorés et agrémenté son poignet d’un bracelet en fines mailles dorées. Julie a opté elle pour un gloss (je suppose) rose pale, pailleté. ses yeux, encerclé de noir, peut-être un peu lourd, vient malgré tout en raccord avec le style qu’une fille de son âge pourrait porter. Isabelle pour sa part a que peu coloré ses yeux, surtout souligné le bas d’un trait vert, rehaussant le bleu de ses yeux, et ses lèvres sont couvertes d’un rouge scintillant. Je dois reconnaitre que je suis bluffé du soin qu’elles ont porté sur leur tenue et leur apparence en général. Encore une fois, la gente féminine me surprend car l’accord de leur tenue est travaillé jusqu’à avoir assortit leur petit sac à mains à leurs tenues. Curieux, je tends la main pour regarder celui de Julie, surtout son contenu. Cette petite pochette de soirée également pailletée, contient un nécessaire pour retoucher son fond de teint, et son rose à lèvre. Un mouchoir et ho surprise, une capote.
– Aurais-tu des projets par hasard ?
– Heu… non, mais Sophie m’a fait la leçon sur quelques habitudes à prendre et a trouvé judicieux que comme elle j’ai ce qu’il faut au cas où…
– Haha, ok, la leçon pour être la salope parfaite hein ?
– ouiii
– Bien, allons-y mes chéries
Direction la voiture en bas de la résidence où nous montons, Isabelle à côté de moi, les filles à l’arrière. Julie et Sophie papote comme les deux jeunes filles qu’elles sont. Tendrement, Isabelle pose sa main sur ma cuisse très naturellement.
– On peut savoir où nous allons ? me demande-t-elle d’une petite voix
– Maintenant oui. Un de mes gros clients m’a proposé des places pour une soirée opéra précédée d’un buffet dinatoire. C’est une soirée privée, un poil mondaine, d’où ma demande quant à vos tenues. Ce soir, vous devrez contribuer à me faire briller. J’attends que votre présence suscite jalousie et envie, mais également respect et ceci au travers du savoir être que vous allez montrer. Soyez aussi belles, cultivée et intelligentes que vous savez l’être, un soupçon charmeuse, mais gardez en tête que c’est mon image qui sera impactée par vos actes.
– En gros, intervient Sophie, on est tes poules de luxe bien élevées qui doivent prouver ta supériorité ?
– C’est un peu exagéré, mais l’idée est là
– Je crois que s’il s’agit de te faire honneur, reprend Isabelle, nous serons toutes les trois motivées pour faire notre nécessaire.
– Bien, j’en attends beaucoup de vous ce soir, soyez à la hauteur et ne me décevez pas
Le reste du trajet se déroule sagement, au rythme de discussions banales. Ma main a rejoint la cuisse d’Isabelle, sans être plus aventureuse que de raison, ne remontant pas plus haut que la lisère de son bas. Arrivés à destination, je nous stationne et nous quittons la voiture. C’est un beau bâtiment qui accueille la soirée, un Opéra d’un autre siècle, pas le principal de la région, mais au combien classe. Nous arrivons dans le hall d’entrée où nous somme accueillis par un majordome auquel je suis invité de présenter notre invitation. Plus que l’invitation, ses yeux se portent sur mes compagnes, et c’est presque baveux qu’il les détails, à mon plus grand plaisir. L’invitation contrôlée et validée, il nous conduit vers le salon où se déroule la réception. Je sens, à la pression de la main d’Isabelle sur la mienne une petite montée de tension.
– Que t’arrive-t-il ?
– C’est que, c’est la première en dehors de cette après-midi que je me montre ainsi au grand jour au bras d’un autre homme que mon mari…
– Et ? ça t’ennuie ?
– Ho no, au contraire, je suis fière d’être à ton bras ainsi, mais pour commencer il est visible que je suis plus âgée que toi, donc je risque de passer pour un cougar
Je l’interrompt dans sa phrase
– Vu l’âge du p’tit jeune de cette après-midi je crois que c’est le cas ma chérie
– hihi, oui, pas faux, mais aussi je stress de peut-être croisés des personnes que je connais. Je… ma situation nouvelle est secrète pour le moment…
– En as-tu honte ? As-tu peur de t’officialiser comme mienne ?
– Ni honte ni peur, juste un crainte du regard et des jugements
– ceux qui te jugeront ne mériteront plus ta considération. Ceux qui te respectent accepterons ton choix
– c’est vrai
– dans ce cas profites simplement
Sur ces mots nous arrivons dans la salle de réception. Salle ancienne au style baroque très classe, remplie de moitié par les convives de cette soirée. Toutes tranches d’âge et catégorie physique sont mélangées, dont de belles femmes aux toilettes très raffinées. Le majordome nous mène jusqu’à notre hôte
– Bonsoir Monsieur Martin, ravi de vous voir !
– Jérôme, mon cher, je vous ai déjà dit, appelez-moi Michel. Ravi que vous soyez venu.
– C’est un plaisir pour moi, encore miles merci pour votre invitation. Michel, permettez-moi de vous présenter ma compagne Isabelle et ses ravissantes filles Julie et Sophie.
Je m’écarte un peu alors pour mieux présenter mes femelles. Michel se saisit prestement de la main d’Isabelle pour la saluer
– Ma chère, vous êtes délicieuse. J’ignorais à quel point Jérôme à bon gout, mais votre vision me permet d’affirmer à quel point c’est le cas.
– Monsieur Martin, c’est trop, merci. C’est un plaisir pour moi de vous rencontrer. Jérôme m’a fait vos louages plus d’une fois
– Ho, il sait mener sa barque et amener les gens là où il le veut. Il m’aurait vendu des chaussures quand bien même je serais cul de jatte !
– Oui c’est vrai, je vous l’accorde, il a un don pour influencer l’avis des gens
– Je vois que je ne suis pas sa seule victime donc. Et donc, ce sont vos filles ? Toutes aussi ravissantes que vous, elles ont pleinement hérité de votre charme ma chère
– Arrêter donc vilain flatteur. Oui, voici Sophie, mon aînée, et Julie
Monsieur Martin serre les mains des filles, l’une après l’autre en ne pouvant s’empêcher d’avoir un regard gourmand à leur vue. Je remarque même son regard se perdre un instant dans le léger décolleté de Sophie qui, non loin s’en faut, ne se dérobe pas à sa vue. La longueur des salutations est interrompu par l’irruption d’une ravissante femme vêtue d’une superbe robe de soirée azur.
– Michel, tu me présentes à tes invités ou tu préfères t’éterniser à tenter de les séduire ?
– ma chérie ! Jérôme mon ami, laissez-moi vous présenter mon épouse, Charlotte. Charlotte, voici Jérôme, l’un de nos fournisseur dont je t’ai déjà parlé
– Voici donc l’homme qui devine les besoin de mon époux avant même que lui-même les saches ? C’est un plaisir de vous rencontrer, Michel ne tari pas d’éloge à votre égard
Je me saisis délicatement de la main qu’elle me tend et par la même en profiter pour la détailler. La robe bleue qu’elle porte n’est retenue par aucune bretelle, et c’est un bustier qui vient recouvrir une poitrine plus que généreuse et au premier regarde qui semble retouchée. Plongeant généreusement on distinguerais presque ses mamelons tant il y a peu de tissus qui les couvrent. La robe en elle-même est un bien maigre morceau de tissus qui lui arrive juste en haut des cuisse. pour donner de la consistance, elle est agrémentée d’une voilage du même bleu qui lui vient recouvrir de façon très amples l’arrière de ses jambes, laissant l’avant pleinement visible et frôle le sol à quelques centimètres. Ses jambes, malgré les sans doute 45 années qu’elle porte derrière elle, sont tout aussi ravissante et fermes que celle d’Isabelle, bien que plus longue. Ce ne sont pas ses talons qui malgré tout doivent atteindre les douze centimètres et qui sont surmonté par des sandales ouverte argentées, laissant au passage entrevoir des orteils fin et manucurés d’un rouge pétant, ses jambes donc, sont longues et semblent ne jamais prendre fin. Cette femme est un appel au viol sur pied. Après m’avoir salué elle se tourne vers Isabelle qui est plus petite qu’elle d’une bonne demi-tête. En femme habituée au cérémonial, elle se montre polie mais néanmoins un peu hautaine. Peut-être a-t-elle vu à quel point son mari l’a mangé des yeux
– Charlotte, enchantée de faire votre connaissance ma chère
– Isabelle, c’est moi qui suis enchantée. Et voici mes filles, Sophie et Julie
– Mesdemoiselles, que vous êtes ravissantes.
Elle salue en premier Sophie, non sans la toiser des pieds à la tête, puis Julie.
– Ma chérie, tu es exquise, mon dieu. As-tu déjà songé à être modèle photo ? regardes-toi, un véritable petit mannequin
Plus que gênée, Julie a le rouge qui lui monte aux joues
– Merci Madame, non, jamais en fait, mais je ne pense pas que je sois tout à fait celle que les photographes recherchent
– détrompes toi, tu es ravissantes.
– Mes amis, nous coupent Michel tout en faisant signe à un serveur portant un plateau plein de coupes de champagne, trinquons
Nous sommes tous servis en champagne et trinquons. Alors que ces dames discutent ensemble, Michel me prend à l’écart
– Mon ami, vous ne vous refusez rien, quelle douceur que vous avez là
– merci Michel, merci. Oui je dois avouer qu’Isabelle est une femme délicieuse, à tout point de vue. Mais votre épouse est elle aussi séduisante, vous n’avez rien à m’envier !
– Ho mon ami, vous savez, quand on a mon âge et une épouse aussi jeune il ne faut pas de faire d’illusions, c’est avant tout mon compte en banque qui l’intéresse. Ceci dit, il est vrai que c’est fort agréable au quotidien comme paysage, même s’il y a longtemps que je n’ai pas pu voir sous les vêtements coutants une fortune que je lui achète. Votre Isabelle est votre ainée, je ne me trompe pas ?
– Oui effectivement
– Donc elle doit trouver en vous plus qu’un intérêt financier, j’en suis sur
– Ho, j’ai bien peur que oui mon ami.
– Ho, tenez, regardez qui voilà. Paul !
S’approche alors un jeune homme, charmant, d’une vingtaine d’année. Blond, assez grand, corpulence correcte, très classe dans son costume sombre.
– Jérôme, voici mon fils Paul.
– Enchanté jeune homme
– de même monsieur, ravi de vous rencontrer
Les présentation de tout le monde sont faites et je ne manque pas de remarquer à quel point les regards de Paul et Julie s’accrochent. Je crois que ma puce a fait une touche. D’ailleurs rapidement les deux se lancent dans une discussion à laquelle personne ne semble être conviée.
– Michel, dites-moi, Charlotte a dû l’avoir jeune je me trompe ?
– Ho, ce n’est pas le fils de Charlotte, j’ai eu Paul avec ma défunte première épouse.
– Ho, pardonnez-moi, je l’ignorais
– Pas de soucis, elle nous a quitté il y a longtemps maintenant, Charlotte a bien remplit le vide de nos vies, elle s’est merveilleusement occupée de Paul dans son enfance.
Nous discutons un moment avec Michel, d’affaires et d’autres sujets tout en étant occasionnellement interrompu par certains de ses convives. Les coupes de champagnes se vident rapidement aux lèvres de mes douces. Michel est à un moment happé à nous par des invités, je me rapproches alors des filles, du moins de Charlotte, Isabelle et Sophie, car Julie est toujours en longue discussion avec Paul. Sophie se rapproche de moi et me dit à voix basse
– Ces deux là semblent bien s’entendre
– En effet, tu ne la trouve pas belle ainsi ?
– Si faut avouer, je suis presque jalouse, il est mignon en plus, j’y croquerais bien. Ca me donne envie de baiser ça moi
– Moi aussi. Et je suis sûr que Julie aussi.
Je fais signe à Julie de nous rejoindre un instant. Elle vient se placer face à Sophie et moi.
– Il te plait on dirait
– Heu, oui, il est mignon et vraiment très gentil. Bien qu’il ne soit pas toi je cache pas que je jouerais bien au docteur avec lui hihihi
– Bien. Tu te doutes que vu ta condition il est préférable pour toi d’être prudente et discrète. Ceci dit, ta bouche ne trahirait rien de ton secret. Débrouilles toi comme tu peux, mais avant le début du spectacle je veux que tu lui ais dégorgé le poireau. Par principe de précaution, tu vas pouvoir mettre à profit le conseil de ta sœur quant au contenu de ton sac
Julie, un peu interpellée et paniquée bredouille tant bien que mal
– Mais heu je… C’est que j’ai jamais initié la chose moi… enfin je veux dire, c’est jamais moi qui ai pris les devants quoi
– tu plaisantes ? Et quand tu fais ta petite pute en chaleur avec moi ? Quoi qu’il en soit, je ne crois pas t’avoir demandé ton avis
Sans répondre Julie retourne vers son séducteur tandis que je reprends la discussion avec Sophie. Au bout de quelques minutes, Julie et Paul s’éloignent. Je saurais, la suite décrite ci-dessous, par ce que Julie m’en a rapporté.
Paul lui a fait part de son envie d’aller au WC après toutes ces coupes bues. Julie s’est proposée de faire le petit trajet en sa compagnie. Arrivés à la porte, tandis que Paul rentrait aux petits coins, Julie l’a suivi et sans lui laisser le temps de réagir l’a poussé dans l’une des cabines. Elle m’a dit avoir pris ce petit air mutin qu’elle sait si bien pratiquer avant de venir poser ses lèvres sur celles de Paul, lançant ainsi le début d’un long baiser tendre et sensuel. Paul, en gentlemen semble-t-il est resté sage jusqu’à ce que Julie positionne d’elle-même ses mains sur ses fesses qui du coup se sont montrées plus câlines. Julie quant à elle a exploré la bosse qu’elle sentait pointer du nez au travers du pantalon de Paul. Au bout d’un baiser assez long, elle s’est laissé glisser à genoux et a entrepris d’ouvrir la braguette d’un Paul subjugué par ce qui lui arrivait
– Tu… tu fais quoi ?
– laisses toi vivre, faut profiter de la vie
Sans perdre de temps comme elle sait le faire, la bite de Paul a rapidement pointé son nez hors de son pantalon, droite comme un I. A priori gabarit moyen, sans plus, ce qui a un peu déçu Julie. De sa main habille elle a terminé de lui donner toute la dureté qu’il fallait avant de sortir de son sac à main la capote qu’elle avait prise sur les recommandation de sa sœur.
– Désolé mon mignon, mais pour vivre heureux faut sortir couvert. Et puis encore désolé, c’est pas ma bonne semaine, faudra se contenter de ça, dit-elle en se léchant le pourtour des lèvres.
Paul n’a pas pipé mot et s’est laissé encapuchonné. Sans perdre de temps Julie l’a pris en en bouche et, jumelant mains et bouche, s’est aventurée dans une des pipes dont elles est experte. Elle me dit avoir fait son p

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