Il faut commencer par le commencement. Cet été là je vais passer en basse Bretagne quelques jours avec mon chien Ophélie c’était un mâle moitié otarie,moitié chien. Un otachien de belle race. Un corps lisse velu façon taupe, une tête fine passée à l’ai guise crayon ornée de belles babines dissimulant des cros façon grain d’ails déshabillés blui donnant un sourire d’une grâce et d’une préciosité telle que le docker moyen se pissait dans les brailles et là dockerine baraquée laissait filer ses fécalitées par le bord de son string. Orpheline était pourtant charmant et fidèle. Il se déplaçait Comme les otaries sur des moignons avants mais équipés de griffes canines; l’arrière, cuisse et jambe de chien ce qui le condamnait à avoir le cul plus haut que la truffe, mais une certaine élégance était présente d’autant que soulignée par cette ineffable et érotique queue d’otarie. Il faisait bander les chiennes, les otarins pedés et les Cantonnais, ces derniers pour la soupe.
Je devise avec Ophelie à propos du cac40, du dollar D, de l’euro en baguenodant au long de la côte alors que l’eau s’en est allée vers les Amériques, oui nous devisons à propos des devises et de leurs relativistes valeurs car il est très inquiets de savoir ce que deviendra le profit de sa propre vente mort, selon une proposition asiate, ou vif éventuellement avec des adeptes sacrificiaux. Nous avons ces discutions assez souvent issues d’un amour partagé et insondable. Ce que je n’ai jamais avoué et qui tient à ma qualité première, ma cupidité, c’est que rien ne presse car j’ai pour projet secret et inavouable de la faire reproduire. Là ce sera le pactole et je lui garanti une retraite étalonesque chromée, dorée ours moi. Enfin, sauf crise monaitaire d’où le bien fondé de nos solilocations maritimes….qui furent interrompues par des glapissements de joie d’une joyeuse bande d’humanoïdes tous vertèbres à propos de la découverte de cet instant de leur vie qui entrera dans l’histoire et ne manquera pas d’inonder les journaux de la presse visuelle, de la découverte dis-je d’un invertébré d’envergure inopportune, oui car si opportune pas de buzz ! Nous nous approchons, Ophelie totalement amphibie et moi partiellement, chausses et chaussettes à la main pantalon retroussés sur trois tours, orteils en éventails, et viscosités diverses sourdant entre eux, beurk…d’où l’utilité de ces mochetées plastiques fabriquées par des chiné toque qui connaissent pas la Bretagne, affublant les panards des jeunes créatures pécheresses ornant nos côtes dépourvues de flotte dont la position favorite est d’avoir le cul plus haut que la tronche ce qui donne inévitablement aux marsouins pêcheurs le goût irrépressible de bouffer de la moule fraîche …regrettant la sandalette asiate nous découvrons la découverte marine, pas bleue, non marine pas bleue, gris…âtre peut être mais surprisante énormément. C’est un mollusque bivalve commun dans le coin, pour faire chic je dis à Ophelie qu’il s’appelle Pacten Maximus et mon bon compagnon me demande s’il est Romain ? Pas con, avec un nom pareil. Mais aussi à cause de sa taille, au moins 70 à 80 cm d’envergure le bestiau, d’où l’historie du groupe des homo sapiens verticaux, car sapiens ils le sont et nous le font savoir. Il y a a Long Time, oui le Breton a fréquenté le normand qui comme chacun sait a été Roi dans l’Angleterre et a gardé des expressions post colonialiste un peu rosbeaf, donc fut un temps, en gaulois cette fois, des chrétiens maritimes eurent pour projet de pèleriner vers l’Ibere, et surtout à Compostelle pour se faire pardonner des choses que la morale de ta voisine réprouve. Compostelle à pied, ça use les souliers, ça tente les brigands, un navire ça navigue tout seul ou presque, suffit d’amener la bouffe et en plus on peut pêcher, un péché de plus ou de moins ne se verra pas à l’arrivée. En fait de péché ils avaient pris en soute une cochonne pleine sensée lâcher les cochonous en voyage. Y a bon petit cochon comme disait l’évêque éponyme. Avec la grosse ils avaient mis des coquilles dans un baquet dont ils changeaient l’eau et en chemin se réservaient le droit de pêcher de la mère maquerelle én plus. Donc, bateau, tout baigne pour pèleriner sans user ses pompes. Oui, mais l’autre là haut quand il a percuté que cette bande de fainéasses tricheur y voulaient la confesse et le cul de la laitière il te leur fout une tempête d’enfer, infernale quoi ! Toujours est-il qu adieu veau, vaches, cochons de lait, maquereaux et maquerelle sur, Perette et le pot, pas de pot…destroy le boat, toujours ce voisinage normand pour le language, pas un survivant, la cochonnaille et les chrétiens, les requins n’y ont rien vu, tout bouffé, ils ont.
Cette histoire nous est contée par les hystéro-sapiens-pêcheurs-inventeurs de cette, én quelque sorte épave. A ce stade de l’histoire, Ophelie me fait un clin de paupière, én me montrant le mollusque bi-valve énorme, je t’avais dit que Maximus l’était Romain ! Ignare, St Jacques l’avait pas trouvé le bled à l’évoque des envahisseurs exterminateurs de gaulois.
Assez curieux de cette aventure à avatar, je demande à la cantonade, ne connaissant qu’elle, quel âge puissent -ils penser qu’a l’a****l valveux. Une femme sans âge, jeune, pas vraiment, avec une tronche de putois, de furet peut être, me répond qu’ils sont en train de compter les stries sur la coque, sans doute au moins deux cent à trois cent ans. Pour me le faire dans le style confidentiel-inspiré elle s’approche de moi, je ne peux m’empêcher de lui faire remarquer qu’elle est fort gentille malgré sa tronche de fouine qui au départ n’inspire pas de tentative de rapprochement. Elle me dit qu’elle le sait, qu’elle en est heureuse, que c’est elle qui choisit ses possibles coîteurs, que j’ai mes chances depuis qu’elle m’a vu dialoguer avec ma bête qui a aussi une gueule en crayon papier, que je dois être un type bien vu que…elle me prend la main, m’explique qu’après la plage c’est la lande, que la bruyère est douce et parfumée… Attends, suis pieds nus pourris de vase. Pas de pb, elle s’occupe de mes pieds, pendant ce temps ca lui exacerbera l’envie. Dernier argument, Ophélie, je veux qu’il vienne, pas de problème elle viendra, non il, c’est drôle, moi c’était Marthe, le me fais appeler Robert ! Ben oui, parce qu’ils sont gros, alors Marthe t’as de gros roberts, c’était con, mieux maintenant. Mes pieds sont tout propres, grâce à Robert qui les a léchés surtout entre les orteils, c’est bandant une langue fureteuse entre les orteils et ce que voyant Ophélie aussi a essayé. C’est donc avec chaussés et chaussettes que nous progressons vers et dans la lande. A un endroit précis Robert s’arrête, ôté son blouson et me les montre. Belles pièces ! Ophélie, curieux prend appui sur sa queue otarienne et file un coup de truffe dans le robert droite de Robert et celui-ci ne s’ébranle pas d’un pouce, Ophélie par contre s’est traumatisé la tronche et ronchonne. Robert éclate de rire et me dit de toucher. T’as fait bétonner l’intérieur ? Pas du tout, bricole le bout, tu verras ! Je bricole et petit à petit l’affaire se mollit, se fait miche, pâte à pain. Pendant que je malaxe Robert me tapote le biniou lequel fidèle à la bretonne tradition gonfle ses poches. Ophélie agacé file un nouveau coup de truffe sur l’entre jambes de Robert, pile sur son sexe et nous entendons tous un léger mais perceptible couinement semblable à celui d’une souris. Robert dit que c’est rien, c’est mumue qui a été surprise. Moi je suis vautré entre les miches molles, je pétrit, je suce sans cesse de peur que ça re-bétonne. Robert a le souffle court et se débrouille d’extirper mes organes et me propose un massage orbital entre ses miches moles, c’est mieux qu’entre ses meules dures me dis-je et j’acquiesce. Elle se couche sur le dos et je branle mon mat dans l’entre-miche que je continue à malaxer puisaient. Robert s’égosille façon putois, aiguë à te fendre le cristal, j’eructe ma purée dans le détroit des molles-miches avec le râle du mâle. Robert me bouscule et commence à virer son futal de peau de djinn. Il me dit l’avoir ramène du Maghreb où il a été invité à les chasser, bien qu’ils soient petits et invisibles. Le djinn ôté il me propose sodome et rien d’autre. N’étant pas un adepte forcené de la chose je tente de négocier l’autre entrée, impossible, elle loge mumue. Pour me le prouver elle se couche sur le dos, écarte les cuisses, appelle mumue doucement, semble contracter un peu le bide et je vois sortir mumue, petite musaraigne des champs avec moustaches, patounes et longue queue, tout y est. D’abord elle respire un grand coup, l’air pur la change de l’air vagineux de son encagement, puis elle regarde Ophélie bien en détail et fini par lui balancer qu’il a l’air d’un résidu de fausse-couche. Là dessus elle avance de quelques pas entre les jambes écartées de Robert, pipi caca, et soudain d’un bond incompréhensible pour une si petite créature se jette sur un malheureux vermisseau qui pénardait sous la bruyère. Pendant qu’elle continu à casser sa croûte je demande à Robert si elle n’a pas peur des merdouilles et autres pipi dans sa cage à souri. Elle me dit que non y fait souvent le ménage, qu’à la maison mumue est en liberté; qu’elle en profite pour se douche-réginer et que si je la crois pas je peux aller vérifier mais seulement avec le doigt car elle veut rester vierge de bite pour son futur mari. Je pointe donc mon majeur pour visiter la résidence à mumue sans y trouver autre chose qu’une suave viscosité bien naturelle, laquelle augmente relativement vite m’encourageant à mettre deux puis trois doigts. Robert qui n’est sans doute pas habitué à trouver des cons-pâtissant comme moi, pour son con en profite pour réhydrater la lande sous-jacente qui s’imagine encore un grain, Bretagne oblige. Robert joui et fontaine à la fois et me souffle maintenant Sodome moi. Mettant ses genoux au plus près de ses épaules, en vue directe de l’orifice je jacte Sodome and Go… Robert répond bibliquement More…Toujours en langage colonisateur. Peu amateur, j’avance prudemment la tête chercheuse pendant que l’autre m’encourage, Go, Go, More…Ophélie me sentant en détresse en profite pour me glisser sournoisement dans une oreille que je fais moins le malin, que j’ai l’air d’un puceau, que ce soir à la maison il me branchera sur la toile pour m’éduquer sur les variations possibles de la pénétration anale et pour clôturer le tout d’une grande bourrade dans le dos il me fait pénétrer le bignou jusqu’au ras des sacoches pour le plus grand plaisir de Robert laquelle surprise par la fulgurante poussée exhale un soupir dont les vapeurs rejoignent immédiatement la couche du CO2 réchauffeur de la planète. Pour l’heure peu enclin à l’écologie je fouille, farfouille l’étrange caverne qui je ne sais comment se lubrifie toute seule je réfléchirais sur ce phénomène à tête reposée ou bien je demanderais à Ophélie, pour l’instant je ahane comme un bûcheron pour donner la cadence et pendant que je cadence l’arbre de vie s’enfle, Robert me fait écho de sa voix de putois de haut de contre couronnée par une superbe tyrolienne lorsque jailli ma sève. Je libère les lieux et observe avec une certaine fierté le dégueulis spermeux qui s’évade doucement de cet espace infécond.
La suite si les gens, comme dit l’autre mettent des likes et des commentaires sinon je rentre chez moi me asturber dans la cabane au fond du jardin…
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