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une soirée comme je n’en ai pas assez

une soirée comme je n’en ai pas assez



Il y a peu, j’ai pu me faire, une stagiaire, d’une vingtaine d’années, peut être 25 ans mais pas plus, elle était ordinaire physiquement, un tout petit peu ronde, rien de plus, mais d’ordinaire elle ne m’aurait pas intéressé.

Je suis invité à déposer du matériel dans ce bureau, j’y découvre une jeune stagiaire, pas forcément sublime, mais très loin d’être repoussante, cette dernière, je sens bien que je l’ai dérangée, et me rends compte qu’elle rougi à vu d’œil.
En fait je ne peux m’empêcher de jeter un rapide coup d’œil sous la table, sous sa robe entrouverte, je remarque alors un petit boitier de contrôle, manifestement de vibreur qui pend de la chaise, un peu foufou, et émoustillé par cette découverte j’att**** le boitier et fait pivoter le bouton, j’avais donc raison.

Il s »agissait bien du gadget sexuel avec elle s’amusait, se croyant tranquille, je lui fait donc ainsi vibrer un bon moment, puis je tire dessus assez fort, le petit objet jaillit de son entre-jambe, tout humide, et l’entend laisser échapper un petit cri d’orgasme contenu du mieux qu’elle le pu.
Voilà comment notre rencontre s’est déroulée.

Quelques heures plus tard, à la fermeture, je remarque qu’elle part vers l’arrêt de bus, je m’arrête à sa hauteur, et lui propose de la ramener. Il est évident que j’espérai aussi une petite et douce pipe. Elle hésite un instant, puis accepte, elle monte et on part dans un endroit discret, son ancien appartement, qu’elle est en train de déménager pour le quitter. Une fois sur place, au beau milieu des cartons nous nous somme enlacés, embrassé, et comme je l’espérai, elle commença par me caresser le sexe avec sa langue sur toute sa longueur. Elle jouait de la langue sur mon gland, sorti de son sac des pastilles de menthe, et les mâchât un court instant, et se mit alors à me sucer bien profondément, lentement, et en comprimant mon sexe entre sa langue et son palet, cette fraîcheur menthe rendait mon gland
particulièrement sensible, et avait presque la sensation que l’on ressent juste avant de jouir, à chaque remontée. En prime cette petite vicieuse, me mordillait subtilement le gland deux ou trois fois avant de me ravaler la perche.

Puis soulevant sa petite robe elle frotta mon gland à son sexe, avant de se laisser pénétrer. ce fût alors un bon moment de bonheur, tous les deux, je sentais la pression monter, car il y avait fort longtemps que je n’avait pas fait l’amour à une femme si jeune. Je lui dit de ralentir un peu pour que je ne jouisse pas trop vite, trop tôt, elle se calme un peu, et se retire de moi, puis pour me calmer moi même, je lui propose de lui lécher le sexe, ce que j’entreprends, sans trop savoir si elle à dit oui, ou autre chose, manifestement ceci lui donne grand plaisir, je continue, longuement. Tout en massant sa poitrine.

Pendant ce temps là la pression retombe bien, très bien même, je me sens prêt à remettre ça.

Mais voilà que la belle, se retourne et semble vouloir arrêter là, je suis vite rassuré en la voyant sortir de son sac à main un tube de gel, et ses lèvres me susurrant que c’est le moment pour elle de se faire « enfin », pénétré le cul, je commence donc par le lui lubrifier, par l’écarter doucement avec des doigtés agiles, rythmés, et progressifs, 1 d’abord, puis de plus en plus profond, et puis un deuxième, et très vite, voyant qu’elle y prend plaisir, je lui présente mon gland contre son anus, et là surprise, elle se recule d’elle même pour l’avoir plus vite en elle, je compris très vite pourquoi, elle était en fait sur le point de jouir, je lui offrait un rapide et profond va et vient, je jouis en elle, je continu un peu, et elle jouis à son tour…

On continu un bref instant, avant de se désolidariser et l’aide à se nettoyer et se rhabiller, tout en la caressant encore. Puis un dernier baiser et on remonte en voiture, en se souriant, n’échangeant pas même quelques mots, satisfaits l’un l’autre.
Puis je la dépose au métro.

En rentrant, je me suis senti seul, et en repensant à ce qui s’était passé avec cette jeune fille, j’avais qu’une envie, me trouver pénétré, et sentir quelqu’un jouir en moi, malheureusement seul, j’ai sorti mon jouet sexuel habituel, il s’agit en fait d’un manche de pompe manuelle en bois, avec l’embout bien rond et un diametre bien large puis se reduisant à meusure qu’il revient en son centre.

Je l’ai alors demonté, salivant à l’avance sachant ce que j’allait en faire.
Je me suis masturbé un peu, puis me suis tilillé l’anus, et enfin doigté, j’ai alors approché le manche me le suis doucement tourner sur l’anus, puis l’ai doucement enfoncé, l’ai fait sortir, et entrer à nouveau, trois à quatre fois, avant d’augmenter la profondeur et le ryhtme..

Me suis ainsi amusé longtemps, alternant avec de moments de masturbation classiques, et enfin j’ai jouis avec un petit cri, une ejaculation énèrgique et j’ai recu le tout sur le bas du visage, et peu en bouche, j’ai pris plaisir à lecher mon propre spèrme, qui pour une fois avait atterit pile sur le bas de mon visage… Puis suis allé prendre ma douche.

Cette soirée fût intense, longue, et diversifiée, une soirée comme il n’y en pas assez….

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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