Mon corps souillé de sperme, suite…

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Il est 22h00, la nuit est définitivement tombé, mais la soirée ne fait que commencer…
Après être sortie du mobile-home où ma bouche a soulagé 8 hommes, mon mari me guida jusqu’à la douche du camping afin de me débarrasser de tout le foutre sur mon corps.
Une fois sortie de cette douche salvatrice, je remis mon maillot de bain et ma fatigue disparue ce que mon mari remarqua immédiatement.
Il me prie la main pour faire un tour du camping avec un grand sourire.
Il avait une idée derrière la tête.
La tension commence à monter en moi.
Mon mari s’arrête devant une tente avec 2 jeunes rebeus et leurs lances :
« C’est 50 chacun ! »
Voilà son idée, que je sois une pute, oui sa pute…
Pour bien se faire comprendre, mon mari écarta mon maillot afin de laisser voir à ces 2 lascars ma belle petite chatte.
Avant que les jeunes n’aient eu le temps de répondre mon mari m’ordonne de retourner à la tente et d’attendre.
22h40, je suis dans la tente depuis 10 bonnes minutes, je suis nue.
La tension monte d’un crans dans mon corps, un mélange d’excitation et de honte.
Vais-je devenir un sale pute au service de mon mari ?
La fermeture de la tente s’ouvre.
Le temps s’arrête.
Les 2 jeunes rebeus rentrent, enlèvent leurs shorts et me présente leurs grosses bites sans un mots.
Comme une vulgaire pute, je les prends en main et les suces mécaniquement chacun leurs tours.
« Oh que c’est bon salope, va y accélère » me lance l’un des deux.
Je m’exécute et donne le meilleur de moi même.
Leurs mains commencent à courir sur mon corps.
Mon excitation augmente de plus en plus et ma chatte devient trempé.
A ce moment, l’un deux par pendre des capotes dans son short.
Puis, après s’être couvert, il me pénètre brutalement.
Un crie m’échappe mais le second lascar l’étouffe on me mettant sa bite au plus profond de ma gorge.
A partir de là je me fais pilonner comme jamais, encore et encore.
Je cries, je gueule de plaisir, ce qui ne fais qu’amplifier l’ardeur de mes amants.
Je prends un pieds monstre à me faire labourer sous leurs insultes.
Je suis leurs sale chienne, leurs traîné, leurs pute de bas étage.
Régulièrement, ils échangent de place, mais au final j’ai toujours une bite dans la chatte et une autre dans la bouche.
Je jouis encore et encore, à ne plus savoir où je me trouve.
Puis dans un état second, je sens une profonde douleur.
L’un des deux m’encule, je cries de douleur mais une nouvelle fois l’autre rebeu fourre sa bite dans ma gorge.
Des larmes coulent sur mon visages, mais les deux lascars ne me laisse pas une minute répit et me prenne de plus belle.
J’ai honte, je me sens salie, j’ai mal mais un orgasme d’une rare intensité me foudroie.
Mes deux amants se retirent, puis se branlent avant de ce vider copieusement sur mon visage.
Je les entends rire, prendre leurs affaires et partir.
Je reste allongé, le foutre coulant sur mon visage.
Mon mari rentre dans la tente avec un grand sourire, me jette 5 billets de 20 euros en me disant « Voila pour toi sale pute »
Mon mari ma humilié une nouvelle fois, mais j’aime être sa chienne, l’objet de ses délires sexuels.
Il est 0h35, je m’endors, le visage encore plein de foutre…