Valérie prend des initiatives
depuis que Valérie a franchit le pas, ils ont refait l’amour à de nombreuses reprises et à chaque fois, ils y ont trouvé chacun beaucoup de plaisir, Adrien la trouve transformée, elle est plus libre dans sa tête mais il n’a pas encore essayé de lui suggérer des pratiques un peu plus osées comme la fellation ou ne serait ce que de porter des vêtements un peu plus sexy en soirée. Il n’a jamais non plus essayer de s’imposer dans le lit conjugal et ils ont toujours fini leurs nuits chacun dans sa chambre.
Cette soirée s’est déroulée comme toutes les autres, ils ont longuement fait l’amour puis après une discussion assez longue, Valérie est partie dormir dans son lit, laissant Adrien dormir seul dans la chambre d’amis, il s’est endormi. Valérie s’est endormie, elle aussi, elle est pleinement satisfaite par la prestation d’Adrien et elle est très détendue. Au petit matin, son corps se rappelle à elle, elle a très envie de faire l’amour, elle est seule et aller rejoindre Adrien qui dort dans la chambre voisine n’est pas une solution qui lui semble raisonnable, alors elle glisse une main entre ses cuisses et essaie de calmer son clitoris tout gonfler de désir, elle le frotte longuement entre deux doigts, son souffle se raccourcit, elle gémit de plaisir puis s’introduit deux autres doigts dans le vagin, elle a un petit orgasme qui suffit à la calmer pour l’instant mais la laisse insatisfaite.
Au matin quand Adrien vient la rejoindre pour le petit déjeuner, elle fait comme si de rien n’était, l’embrasse longuement et surtout ne lui parle pas des événements de la nuit, ils plaisantent, Adrien lui rappelle leurs activités nocturnes,
Adrien : as tu aimé ?
Valérie : oui, je prend beaucoup de plaisir en faisant l’amour avec toi,
Adrien : n’as tu pas envie de mettre un peu plus de piquant, un tout petit piment d’Espelette au milieu des poivrons ?
Valérie : je sais que je suis encore très passive mais tu m’as dit que tu aimais et je n’ai pas encore le courage de me lancer dans des initiatives de peur de me louper,
Adrien : ne te fait pas soucis, si tu essaies, je te guiderai vers mon plaisir et sauf si tu me faisais mal, je me laisserai aller entre tes mains, enfin tes mains étant une façon de parler,
Valérie : qu’est ce que tu entends par façon de parler,
Adrien : je voulais juste dire que le terme « tes mains » était générique et que tu pouvais utiliser d’autres parties de ton corps,
la discussion s’arrête là et ils vaquent à leurs occupations, l’après-midi, ils débutent une sieste assez agitée. Adrien la caresse longuement comme d’habitude mais quand elle se sent prête, plutôt que d’attendre qu’il veuille bien la pénétrer, Valérie prend le sexe d’Adrien dans sa main et le caresse doucement, puis les bourses dans l’autre main, les malaxe, elle commence quelques mouvements d’avant en arrière sur le sexe, Adrien la laisse faire et il approuve par de petits gémissements puis quand elle sent le sexe assez gros, elle prend un préservatif dans le tiroir, l’enfile sur le sexe puis guide celui-ci en elle, leur plaisir est intense et Valérie ratt**** largement ses frustrations nocturnes.
Dans la soirée, après la douche, ils regardent un film à la télévision tendrement enlacés sur le canapé, Adrien en profite pour dégager le peignoir, Valérie se retrouve en chemise de nuit, elle n’est pas beaucoup plus découverte mais le toucher est plus doux et quand Adrien la caresse, il sent mieux la peau à travers le tissu, ils échangent quelques doux baisers et les mains d’Adrien se baladent sur le corps de Valérie, elle ne tarde pas à réagir et se colle encore plus contre lui, ils ont hâte que le film finisse pour faire à nouveau l’amour, d’ailleurs ils n’en attendent même pas la fin, Adrien a glissé sa main sous la chemise de nuit et la relève, Valérie se retrouve en culotte,
Valérie : j’ai un peu froid, tu ne veux pas aller au lit,
Adrien : d’accord, je te suis,
Adrien suit Valérie, elle est en culotte et il peut apprécier ses formes, elle ondule légèrement les fesses sous l’effet de l’excitation et cela lui donne encore plus de charme, contrairement à l’habitude, elle se dirige vers sa chambre et non pas vers la chambre d’amis, quand elle y pénètre, Adrien a un petit mouvement de surprise mais elle le prend par la main et l’attire vers son lit,
Adrien : j’ai droit à ta chambre conjugale maintenant ?
Valérie : et tu auras même le droit d’y rester après l’amour, j’ai décidé que maintenant nous passerions nos nuits ensemble, ça ne te gène pas ?
Adrien : pas du tout, au contraire, sauf qu’il faut que j’aille chercher les préservatifs dans le tiroir maintenant c’est toi qui en sera la gardienne,
Valérie : oui, mais c’est quand même toi qui continueras à les acheter, je n’ai pas envie que mes voisins me voient avec un paquet de préservatifs dans mon caddie au supermarché du coin,
Adrien : quand on parle de préservatifs, ça fait maintenant plus de trois mois que nous sommes ensembles et je ne pense pas que nous ayons eu des relations sexuelles avec d’autres personnes, nous pourrions peut-être faire le test contre le SIDA et nous en passer,
Valérie, en souriant : je suis vieille, d’accord mais pas encore ménopausée, il va falloir trouver un autre moyen de contraception,
Adrien : je n’ai pas pensé à cela, je continuerai à acheter des préservatifs,
Valérie : en attendant je vais essayer d’avoir un rendez-vous chez mon gynécologue pour me faire marquer la pilule, j’aimerai bien te sentir en moi sans ce plastique,
Adrien : ce n’est pas encore fait donc je reviens de suite avec mes préservatifs,
Valérie : je m’installe au lit et je t’attend,
Adrien arrive, s’allonge à coté d’elle et commence à la caresser, elle se laisse aller contre lui, ils échangent de longs baisers et font longuement l’amour puis après une courte discussion s’endorment pour la première fois l’un contre l’autre,
Au petit matin, les mêmes émois secouent Valérie, son corps a très envie du sexe d’Adrien, celui-ci dort à coté d’elle, elle n’a pas vraiment envie de le réveiller mais se branler alors que son amant est là est au-dessus de ses forces, alors doucement elle se rapproche de lui, sa main glisse en direction du sexe d’Adrien, elle le caresse, celui-ci gonfle, Adrien a la respiration légèrement plus courte, le sexe se durcit mais pas suffisamment rapidement pour satisfaire son désir alors Valérie se glisse sous les draps, elle regarde cet engin qui lui donne tant de plaisir, elle continue à le caresser puis prend les bourses dans sa main, les pétrit délicatement, elle approche sa bouche du gland, l’odeur est un peu forte, il a jouit en elle le soir précédent mais elle a tellement envie que ça ne la rebute pas, elle commence à lécher le gland à petits coups de langue, le goût du sperme d’Adrien lui plaît, un petit peu salé mais pas vraiment désagréable, Adrien commence à réagir, sa respiration devient de plus en plus courte, quelques gémissements s’échappent de sa bouche, Valérie s’enhardit, elle prend le gland dans la bouche, effectue quelques aller et retour très courts puis va de plus en plus loin
Adrien : oui ma chérie, c’est bon,
le sexe grossit dans la bouche de Valérie, le sentir comme ça accentue son excitation, elle mouille de plus en plus fort et son vagin s’entrouvre, Adrien lui caresse les cheveux, il est maintenant pleinement éveillé, elle se redresse, l’enfourche entre ses cuisses prend le sexe maintenant bien dur et le guide vers son vagin, elle se pénètre d’un seul coup, va bien au fond et frotte sa chatte contre les poils d’Adrien, elle se jette en arrière, pose ses mains sur les genoux d’Adrien et continue ses mouvements avec de plus en plus de vigueur, elle jouit très fort puis se laisse aller contre le corps d’Adrien, elle l’embrasse,
Valérie : excuse moi de t’avoir réveillé mais j’avais tellement envie de faire l’amour,
Adrien : je dois reconnaître que je dormais bien mais ce réveil m’a particulièrement plu,
Valérie : merci mon cœur,
Adrien : tu m’a bien mis en forme et c’était très bon, j’ai beaucoup aimé ta bouche,
Valérie : c’est gentil,
Adrien : tu pourras recommencer quand tu veux
Valérie : Mon petit Don Juan aime bien se faire sucer ?
Adrien : oui, et j’ai même remarqué que le goût de mon sperme ne te rebutait pas ?
Valérie : c’est un peu fort mais j’étais si excitée,
Adrien : ce qui veut dire que si tu es très excitée, je pourrai jouir dans ta bouche ?
Valérie : cochon, je préfère que tu jouisses dans ma chatte mais dans certaines circonstances, ça pourrait s’envisager,
Adrien : en attendant, tu peux me prendre dans ta bouche pour me faire bander, j’aime ça et tu le fais très bien,
ils se donnent un petit bisou et se retournent chacun de leur coté pour de beaux rêves
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