A l’époque, j’étais marié à une femme de mon âge qui avait déjà eu une fille d’une précédente union, que j’appellerais ici L. Au moment des évènements, elle avait 15 ans, les cheveux ondulés qui lui arrivaient jusqu’aux épaules, les yeux verts une poitrine naissante et des petites fesses pour 1m60 environ.
Avant de commencer à raconter, il faut que je décrive plusieurs points. Avec ma femme, nous dormons nus sous une couette, été comme hiver, et il nous arrive de profiter très souvent de mon érection matinale. Ma femme n’étant des plus discrètes lors de nos ébats (ma faute), nous savons que L nous entends depuis sa chambre qui est pourtant de l’autre côté de l’appartement. Je dois préciser aussi que nous avons mis les ordinateurs dans notre chambre pour que L ne soit pas à longueur de journée dessus et que ceux-ci sont assez silencieux lorsqu’ils fonctionnent.
Ce matin-là, ma femme devait partir très tôt pour prendre un train pour une conférence à la capitale. Je n’étais même pas réveillé lorsqu’elle est partie. Je reste donc à dormir seul et, comme je bouge pas mal dans le lit, je me retrouve rapidement sans la couette sur moi. Je me réveille doucement tout en ayant encore les yeux fermés, une forte érection et une grosse envie de la soulager. Je me retourne donc sur le dos et, me croyant seul, je ne remets pas la couette sur moi, surtout que l’on est en plein mois de Juillet. Tout d’un coup, je me rends compte que l’ordinateur fait du bruit. Dans ma tête, tout ce met en marche et je devine la situation. Je suis nu sans la couette sur moi, le sexe en érection, devant ma belle-fille qui est sur l’ordinateur. Une idée lubrique me vient alors en tête, allumer L. J’entrouvre les yeux afin de voir si elle s’est déjà aperçue de la situation elle aussi et qu’elle n’est pas mon étonnement lorsque je la vois tournée vers moi plutôt que vers l’ordinateur, en nuisette et en train de se caresser un sein et l’entrejambe à travers le vêtement. Grâce à la pénombre, elle ne s’est pas rendue compte que j’avais un peu ouvert les yeux et je décide donc de la chauffer un peu plus.
Je commence donc à me caresser un peu le sexe devant elle, ce qui la surprend un peu mais ne l’arrête en rien dans ses attouchements personnels. Au bout d’un moment, je la vois même écarter les cuisses face à moi et j’aperçois qu’elle ne porte pas de culotte. Nous continuons à nous caresser pendant un petit moment et j’entends tout d’un coup un petit clapotis, signe qu’elle est bien humide et chaude. Voyant qu’elle ne lâche pas du regard mon membre dressé, je décide d’arrêter de faire semblant d’être endormi et, afin de voir jusqu’où elle ira, je lui dit :
– Si mon sexe te plait tant que ça, tu peux te rapprocher et venir le prendre en main.
A ce moment, L s’arrête de se caresser et me regarde droit dans les yeux, du moins autant que l’on peut avec la pénombre. Pensant qu’elle allait s’en aller, honteuse de son geste, je la vois au contraire réfléchir puis venir s’allonger dans le lit à côté de moi à la place de sa mère. Nous nous regardons droit dans les yeux et je sens sa main venir chercher mon sexe pour le caresser doucement. De mon côté, je pose ma main la plus proche d’elle derrière sa tête et je ramène sa bouche sur la mienne tandis que mon autre main va lui caresser les épaules et le dos à travers sa nuisette. Ma langue arrive sans trop de peine à franchir la barrière de ses lèvres pour envahir sa bouche et j’arrive à la tirer vers moi pour qu’elle se colle à moi. Ma main descend alors de ses épaules vers le creux de ses reins, puis ses fesses où je sens la limite du tissu et continue vers sa cuisse pour ramener celle-ci sur moi. Continuant mon petit jeu, je la tire encore un peu vers moi pour qu’elle se retrouve sur moi, son sexe trempé sur mon ventre. J’entreprends de lui enlever son ultime carcan, sa nuisette et elle n’y oppose aucune résistance. Je peux donc profiter pour admirer son corps nu et sans poil sur le mien, ses deux petits seins aux tétons tendus et durs, ses deux aréoles roses et un regard de salope en manque, bien que je la sache encore vierge.
J’attire son bassin vers ma bouche et je commence à lui embrasser la vulve déjà dégoulinante de mouille puis, à chacun de mes coups de langue, j’entends L gémir doucement. Je décide de me concentrer sur son clitoris et de la « torturer » de bonheur en la faisant venir proche de l’orgasme puis de m’arrêter juste un peu avant, augmentant sa frustration à son paroxysme. Je la fais ensuite retourner pour être en 69 et je reprends de plus belle mon petit manège, lui laissant ainsi le loisir de masturber mon sexe, puis de le prendre en bouche. Je la sens assez maladroite mais je me dis que c’est normal pour sa première fois. De mon côté, j’entreprends de lui mettre un doigt dans son vagin inondé et je sens rapidement son hymen. Je trempe alors au maximum mon doigt puis je le redirige vers sa petite rondelle brune. Je commence par faire de petits tours dessus, ce qui lui provoque des gémissements plus forts et enfin un puissant orgasme lorsque j’arrive à lui insérer mon doigt. J’attends qu’elle se soit un peu calmer pour recommencer mais cette fois-ci en y insérant un deuxième doigt. Elle me dit que ça lui fait un peu mal mais elle veut que je continue. Je joue alors avec mes deux doigts dans son anus et lui étire les parois. Une fois de nouveau proche de l’orgasme, je la positionne à quatre pattes, les jambes serrées et les fesses le plus loin possible en arrière, m’offrant ainsi la vue de ses orifices ouverts. Je commence par lui caresser le vagin avec mon pénis en faisant des mouvements assez amples pour aller jusqu’à sa petite rondelle. Je positionne ensuite mon sexe à l’entrée de son vagin et rentre jusqu’à atteindre son hymen. Je reviens ensuite en arrière jusqu’à presque sortir d’elle puis je rentre à nouveau jusqu’à sa paroi. Je continue ce petit jeu jusqu’à ce qu’elle fasse d’elle même ces mouvements sur mon engin et je me retire pour me positionner devant son anus. Je commence donc à rentrer par là jusqu’à avoir inséré entièrement mon gland. Je reste ainsi pour qu’elle s’habitue à ma présence en elle puis je fais de légers mouvements de va et viens tout en m’enfonçant un peu plus à chaque fois jusqu’à être entièrement en elle par voie anale.
J’entreprends ensuite de la pilonner, d’abord doucement puis de plus en plus fort et de plus en plus vite jusqu’à la faire jouir à nouveau où je me fais éjecter de son anus par les contractions de celui-ci. Je lui un peu de temps pour se reposer et j’en profite pour nettoyer mon sexe pour la suite, afin qu’elle n’ait pas d’infection urinaire après. Je reviens une minute plus tard et je lui demande si elle veut continuer. Elle me répond :
– Si c’est au moins aussi bon que jusqu’à maintenant, je suis partante.
Je lui réponds alors que je vais lui faire mal en la pénétrant mais que l’on ira plus doucement quand même car je veux lui faire découvrir le plaisir sexuel lorsqu’il est doux et non brutal comme auparavant. Elle est d’accord et je lui demande de me redonner de la vigueur car j’avais un peu ramolli entre temps. Elle se jette aussitôt sur mon sexe et le masturbe puis le prends en bouche. Je remarque qu’elle s’est nettement amélioré et que sa maladresse s’est complètement évanoui. Elle me prodigue ce traitement pendant quelques minutes et je me surprends à lui demander d’arrêter si elle ne veut pas que lui jouisse dans la bouche. Elle s’arrête alors et je la positionne en position « classique », elle allongée sur le dos et moi allongé sur elle entre ses jambes. Je présente mon pénis à l’entrée de son intimité et je pousse pour rentrer en elle. Je sens à nouveau rapidement son hymen mais cette fois-ci je force le passage et le rempart cède instantanément, ce qui lui fait pousser un petit cri de douleur. Je rentre alors en elle jusqu’au bout puis je reste ainsi en elle pour qu’elle s’habitue à cette présence et ces nouvelles sensations. Lorsqu’elle est prête, je fais des mouvements de va et viens tout en l’embrassant sur les lèvres, sur le lobe des oreilles, dans le cou, sur son torse, sur ses seins et sur ses tétons. Je la sens gémir de plaisir à chacun de mes allers et venues en elle et j’accélère doucement le mouvement pour aller plus au fond d’elle, ce qui la fait gémir encore plus. Au bout de plusieurs minutes, nous finissons par jouir en même temps, chacun sur le sexe de l’autre car je me suis retiré à temps pour ne par jouir en elle. Je la vois venir chercher des giclées de sperme sur son mont de Vénus et se lécher les doigts ensuite. Elle me dit qu’elle a beaucoup aimé, puis nous avons été interrompus dans un fou rire lorsque nous avons entendu mon ventre gronder parce que j’avais faim. Nous nous sommes habillés, nous avons mangé et avons passé le reste de la journée à nos occupations habituelles.
Le soir, lorsque ma femme est rentrée, celle-ci nous demanda si tout s’était bien passé. Nous lui avons juste répondu que oui.
Quelques temps plus tard, L s’est trouvé un petit ami et elle a faire croire à sa mère qu’il l’avait dépucelée, ce que je savais faux mais je ne pouvais quand même pas dire à ma femme que j’avais initié sa fille sur les plaisirs du sexe.
Ajouter un commentaire