Suite à mon histoire précédente, Nénette m’avait embauché, pour effectuer chez elle, quelques « bricoles ». Un matin, vers 8h30-9h, j’arrive chez elle…
Elle vient de finir son petit déjeuner, et elle est en peignoir dans sa cuisine… Je ne peux m’empêcher de mater ses gros seins au travers du tissu, les tétons qui pointent !
Elle a remarqué que je regardais ses nichons…
– Coquin, tu regardes mes mamelles?… Elles t’impressionnent Ce sont celles d’une vieille femme qui a déjà vécu… Parfois, elles ont tendance à pousser avec l’âge… Je dois dire que je suis assez fière des miennes!
– T’as de gros nénés.
– Viens, suis moi dans la chambre !
Il y avait de quoi… Ses deux miches étaient formidablement excitantes… Elles bandaient des tétons et je comprenais mieux pourquoi je les avais vus si distinctement sous le tissu, pourtant épais, du peignoir tout à l’heure… Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais j’ai subitement été saisi d’une envie irrésistible de les toucher…
Sans lui demander son autorisation, j’ai levé la main vers son buste et j’ai effleuré l’une après l’autre les deux tétines qui me narguent effrontément. Elle n’a d’abord rien dit… Alors je me suis enhardi et je les ai caressées d’une manière plus directe… Elle avait renversé la tête en arrière et je l’entends soupirer pendant que je lui masse les pointes des seins…
Elle a tout de même tenté de me sermonner sans conviction :
– Oh! Le vilain garçon qui touche les nichons de la vieille Nénette!… Tu veux jouer avec mes tétons? …Bon, je te laisse faire si ça te fait du bien!
C’est surtout à elle que ça fait du bien… Elle ne peut pas le cacher… De petits soupirs s’échappent de ses lèvres à chaque fois que mon doigt vient tourner autour de ses belles tétines… Celles-ci semblent devenir un peu plus longues et raides à chaque fois que je les effleure… Je remarque aussi qu’elle serre et desserre ses cuisses fébrilement… Bientôt, elle se met en tête de diriger mes gestes, sans doute pour plus d’efficacité. Elle se justifie tant bien que mal.
– Après tout, tu peux aussi apprendre ça!… Les filles apprécient qu’on leur travaille les seins correctement… Tu es déjà doué pour un débutant… Continue à exciter les petits bouts qui se dressent!… Oui, comme ça, fais-les tourner délicatement mais pas trop!… Tu peux aussi tirer dessus… Tire dessus maintenant, tords-les un peu, étire-les! Humm, oui, ouiiiii! C’est bien!
Je ne voulais pas lui faire mal mais ça m’excite de lui obéir, au moins autant qu’elle-même. Je fais comme elle me dit et je vois bien qu’elle y trouve son compte… Moi, je bande de plus en plus… Je regarde son sexe, en baissant les yeux, et je vois qu’il est tout rouge et luisant. Elle gémit en savourant mes caresses…
Elle ne peut pas ignorer la formidable érection qui se manifeste entre mes cuisses… Par ses encouragements, je me sens pousser des ailes… Elle essaye quand même de reprendre ses esprits, mais le cœur n’y est plus… Les pulsions sexuelles qui la hantent prennent peu à peu le dessus.
– Ouiiii …. Continue mon chéri… caresse mes bouts! … Vas-y avec la langue maintenant, mets-la dessus, lèche-moi les pointes! Fais-la passer sur mes grosses tétines! … Aaaahh, que c’est bon! … Ta bouche! … Donne-moi ta bouche, prends-les dans tes lèvres mon garçon! L’un après l’autre! Suce, suce mes seins, tète mes gros tétons laiteux !
Sans m’en rendre vraiment compte, je laisse descendre ma main droite vers mon sexe toujours pointé et aussi raide… J’ai commencé à m’astiquer le manche… J’en avais trop besoin… Il fallait que je me branle si elle ne le faisait pas… Elle ne s’en est pas aperçue tout de suite, mais après quelques secondes elle a remarqué que je me branlais en lui suçant les nichons. J’ai vu ses yeux qui roulaient comme des billes tellement elle était surprise de ma réaction…
– Oh le petit salaud, oh le petit cochon! Tu te branles, tu te touches la bite petit vicieux! Ca t’excite de me sucer les bouts? Oooh, continue encore, branle-toi, j’aime te voir quand tu te touches. Ca me fait mouiller, je vais me toucher aussi, regarde, je vais me caresser pour toi!…
Elle joint le geste à la parole de suite … J’ai eu un peu de mal à trouver la bonne position pour continuer à la sucer tout en ne perdant pas une miette de ce qu’elle faisait. Baissant les yeux, j’assiste stupéfait au spectacle de ses doigts qui sont venus se fourrer juste entre ses cuisses. Prenant ses poils, elle tire sur ses grosses lèvres, les fait rouler l’une sur l’autre… Elle frotte violemment toute la surface de son sexe avec le plat de sa main… Je vois un doigt se glisser dans son sillon vulvaire, écartant sans ménagement les deux babines de sa chatte… Du jus déborde de part et d’autre de l’index tandis qu’il s’insinue dans la fente vaginale… Un second doigt, son majeur cette fois-ci, suit le même chemin dans la foulée… Elle en reste là, pour l’instant, mais ne se gêne pas pour continuer à me faire la leçon:
– Regarde, regarde mon garçon. Observe bien comme je me touche, je me fourre les doigts dans la foune et je les fais bouger. Ah, aaahhh, c’est pour toi que je me branle, tu me rends folle avec ta bouche!
Je suis fier de moi… Je me masturbe de plus belle en la regardant faire. Je sens ses seins de plus en plus fermes contre mon visage, ses tétons de plus en plus longs dans ma bouche… Mes doigts filent sur la hampe de mon sexe toujours plus vite… Je suis près à jouir, déjà… Je tente de ralentir la cadence de mes caresses mais c’était très difficile de se retenir… D’autant plus que ma « conquête » se lâche complètement… Elle semble être entrée en transe… Elle relève l’une de ses jambes… Ses cuisses sont largement ouvertes et elle me présente son entrejambe… J’entends les bruits que font ses doigts quand ils « malaxent » sa chatte… Ses propos sont de plus en plus outranciers.
– Ah, mon petit salaud, tète, tète-moi bien!… Ah, tu vas me faire jouir avec ta bouche!… Ohhh, ça va venir, ça va venir… Ah, je me fourre la chatte, huummmm, hummm, branle-toi, branle-toi encore! Tu sens, tu sens que ça vient?… Tu vas jouir aussi, mon petit chéri! Oui, oui, tu vas te vider les couilles sur moi!
Je suis en effet au bord de la jouissance… Mes lèvres ont du mal à rester en contact avec les mamelles… Elle gigote tellement sur ce lit… Elle soulève son derrière en rythme avec les allers et retours de ses doigts dans sa moule juteuse. Elle est comme secouée de spasmes… Je sens mes couilles se contracter quand elle m’a demandé une nouvelle fois de juter sur elle.
« – Viens, viens, inonde-moi avec ton bon jus de gamin! … Balance tout! Je veux que tu craches ton foutre maintenant! Ah, vas-y! , vas-y! …
Il me faut encore quelques va-et-vient de mes doigts sur mon chibre pour qu’enfin il consente à se vider…. J’ai cru que mon gland explosait tandis qu’il expulse en longues giclées le contenu de mes testicules trop pleins. Comme prévu, ma semence va s’écraser sur le ventre de Nénette qui n’en finit plus de gémir… Elle a son orgasme juste après moi, en hurlant qu’elle jouit… Ma bouche n’a pas quitté la tétine qu’elle suce jusqu’à ce que ma salope ait fini de s’agiter… Un frisson me parcourt le dos tandis que je détaille les effets de ma jouissance.
– Ah, ah… Tu as joui petit cochon, tu t’es vidé sur moi! Et puis tu m’as fait jouir avec ton comportement de puceau vicieux et ta bouche de pervers… C’était bon… c’était trop bon!… Laisse-moi respirer… Je ne suis plus toute jeune!…
Je me suis allongé à côté d’elle…
Ayant retrouvé ses esprits, elle m’adresse une nouvelle fois la parole. Ses propos sont encore un peu hachés, ponctués de soupirs censés lui permettre de reprendre sa respiration:
– Viens mon garçon… viens entre mes genoux un moment! Ah… Viens près de moi et donne-moi ta main! Oh… Tu es fort et vigoureux… Tu as vu tout le bon jus que tu m’as envoyé sur le ventre?… Là, tu le sens?… »
Elle me serre fortement la main et me fait passer mes doigts sur son ventre… Ils baignent dans mon propre sperme… Mon désir étant temporairement retombé, je trouve ça un peu sale mais je n’ai pas l’intention de la contrarier. Je supporte tant bien que mal ce contact peu agréable avec mon foutre déjà refroidi, plus pour lui faire plaisir qu’autre chose. Elle continue à délirer.
– Ca c’est du bon sirop ! Je suis contente d’en profiter, tu sais?… Il coule jusque sur ma chatte, tu as vu?… Regarde, là, il y en a même sur ma fente, il coule sur mes doigts. Etale-le, mets-en partout!
Je n’ai rien à faire… C’est elle qui s’en charge, avec mes propres doigts… Elle les guide jusqu’à ce qu’ils « tartinent » mon sperme partout où elle le désire. Si bien qu’à la fin, il n’y en a plus uniquement sur son ventre, mais aussi sur son pubis, autour et sur son sexe et même à l’intérieur de ses cuisses.
– Tu sais, ça m’a fait très plaisir de voir que tu masturbais ton gros zizi rien que pour moi. Je suis touchée et j’aimerai vraiment te remercier pour ça.
Ca me fait un drôle d’effet… Je décide d’entrer complètement dans son jeu et m’exécute aussitôt… Je me suis retrouvé face à son ventre. Elle tend son bras vers mes jambes pour prendre ma queue pendante et la caresser… Son autre main me massait littéralement les couilles…
J’ai jeté mes doigts en avant pour effleurer sa chatte qui me faisait tellement envie et qu’elle m’autorise enfin à tripoter à nouveau sans son aide.
J’ai enduit mon index et mon majeur de salive puis j’ai commencé à la branler en lui frôlant d’abord la vulve avant de pénétrer plus avant dans son étui… J’ai tout de suite fait bouger mes phalanges à l’intérieur de son ventre et elle s’est mise à se déhancher en redoublant d’ardeur avec sa main sur ma pine… Nous nous sommes masturbés réciproquement comme ça pendant plusieurs minutes… mais je voyais bien qu’elle avait de plus en plus de mal à tenir… Ses propos étaient une nouvelle fois très décousus et ponctués de soupirs, de râles et de gémissements.
– Ah oui, caresse-moi comme ça, avec le bout des doigts, touche-moi là, ça me fait du bien!… Tu sens sous ton pouce mon bouton qui gonfle?… Masse-le, tourne autour… Vas-y encore, continue, ne t’arrête pas… Hum, hum, oui… Oui!
Puis, redoublant d’ardeur sur ma bite se raidissant.
« – Là, sur le gland? C’est sensible mon petit?… Tu aimes quand je te tripote le zizi?… Alors continue aussi si tu veux que ça dure! Fourre-moi tes doigts bien au fond de la foune! Ahhh, ooohhh, ouiiiiiii… Remplis-moi avec ta main! Hhuuuu, aaaahhhhhh…. Oui, oui vas-y, fais comme je te fais, caresse-moi le trou!
Je la masse comme elle le réclame… Ca me donne tant de plaisir qu’avec ses caresses, mon chibre retrouve son ardeur perdue… Nous nous sommes rapidement retrouvés tête-bêche… J’avais une vue imprenable sur la fourche de ses cuisses et sur l’excitant spectacle de mes doigts qui lui remplissaient la chatte. Je m’en suis délecté. Le jus qui s’échappe de son sexe par tous les côtés me rend fou… Je le regarde couler à chaque fois que mes doigts s’enfoncent pour pistonner son trou. Avec mon autre main, je lui lutine le clitoris en essayant d’être aussi efficace qu’elle-même. Ca a l’air de marcher car elle gigote de plus en plus au fur et à mesure que mes attouchements se font plus précis.
Elle ne me délaisse pas pour autant… Sa bouche vient rapidement prêter son concours à sa main qui me branle … (C’était inévitable dans la position dans laquelle nous nous trouvions.
Elle a essayé de me parler malgré tout. Je n’entendais et ne comprenais pas très bien tout ce qu’elle me disait car elle avait la bouche pleine de mon gland :
– Hmmm, hmmm… Elle est bonne ta pine mon petit!… Ohhh, la bonne sucette! Hmmm, tu sens ma langue? Ahhhh!…
Bien sûr que je la sentais! Je n’ai pas pu résister à l’envie de frotter mes lèvres sur ses grosses babines… J’ai sorti mes doigts de son trou et j’ai plaqué ma bouche sur sa fente… J’ai aspiré son clitoris entre mes lèvres et l’ai caressé avec la langue…
– Oh, mon petit salaud, oui, fais-moi ça!.. Bouffes-moi la chatte si tu veux que je continue à te pomper… Vas-y, vas-y, lèches-moi la vulve, bois mon jus! Tète mon bouton!… Fais-le exploser…
Mes lèvres forment comme une ventouse sur son calice et sa mouille se déverse presque sans interruption dans mon gosier… Je suis contraint d’avaler le mélange de salive et de jus qui me remplissent les joues. Entre mes jambes, je suis en train de perdre totalement le contrôle de mes émotions. Heureusement, Nénette s’en aperçoit… Elle relâche un peu la pression qu’elle exerce sur mon membre… Je crois bien qu’elle ne veut pas me faire jouir, pas tout de suite. Pendant quelques minutes, elle s’est presque contentée de me laisser lui lécher le con, tout en veillant cependant à maintenir en moi un état d’excitation suffisant par de savantes caresses qui trahissaient une expérience solide en la matière.
J’étais heureux de pouvoir me régaler ainsi à sa source. Elle m’encourageait de temps en temps, quand elle ne me pompait pas le sexe:
– Hum, vas-y mon petit, passes ta langue sur ma fente ! Ah, lèches la chatte de ta vieille truie! C’est bon, oui, comme ça! Tu es doué pour un jeune puceau. C’est bien, ouiii…
Je faisais de mon mieux pour ne pas laisser la moindre parcelle de sa vulve vierge de mes caresses. Je lui léchais les grandes lèvres à grands coups de langue et j’insinuais de temps à autre le bout de mon muscle dans son trou…
– Tu me bouffes la moule! Oh, petit cochon, oui, mordilles-moi, mords mes lèvres, suces-les avec ta bouche! Aaaahhhh, vicieux, petit pervers! Ce que c’est bon! Attends, je vais encore te pomper la bite pour te remercier!
Elle est revenue sur ma queue et elle a englouti mon gros gland dans sa bouche. J’étais raide comme jamais. Mes couilles, qu’elle serrait dans sa main, étaient lourdes et tendues à craquer. Elle a fini par s’en apercevoir et elle m’a fait une proposition que je ne pouvais pas refuser.
– Ca suffit maintenant, je n’en peux plus! Il faut que tu me prennes, j’ai assez joué! Je veux ton gros zizi dans mon ventre, je veux que tu me fourres. Viens, viens, grimpe-moi dessus!
Elle tenait encore ma bite entre ses doigts et cherchait à m’attirer vers elle. J’étais au maximum de mon excitation. Je n’ai pas réfléchi et je suis allé me mettre entre ses jambes. Elle tirait sur mon sexe pour le faire entrer dans son trou. Son visage était déformé par le désir qu’elle avait de se faire baiser.
– Viens je te dis, prends-moi maintenant! Baise-moi bien à fond avec ton gros manche! Je veux te sentir en moi mon chéri !
J’ai poussé mes hanches en avant et j’ai fait entrer mon gland tout rouge dans la gaine de son sexe. C’était chaud et incroyablement humide.
– Bouge maintenant, défonce-moi avec ta grosse pine!… Ahhhh! Ahh h, ouiiii, comme ça, bien à fond dans mon trou!
Elle se trémousse pour faire coulisser le manchon de son sexe sur ma tige dure comme du fer… Elle doit trouver que je ne me montre pas assez dynamique… Elle me le fit savoir bruyamment:
– Allez!… fourres-moi, limes-moi la chatte !… Ramones-moi le minou à grands coups de queue!…
Ces invectives m’excitent… Je suis aussi raide qu’avant… Je la défonce copieusement, comme elle l’exige. J’adore sentir mon gland buter au fond de sa caverne… Je la pistonne si bien qu’au bout du compte, c’est elle qui me fait comprendre que je dois ralentir la cadence… Elle me bloque avec ses mains tendues en avant appuyées sur l’avant de mes hanches. Je ne sais plus où j’en suis ni ce qu’elle veut vraiment… Heureusement, elle n’est pas avare de commentaires.
– Je veux que tu me prennes longtemps…Viens, on va changer de position!… Laisse-moi faire!
Elle me fait sortir d’elle rapidement… Je regarde ma verge, toute luisante de sa mouille s’extirper de son sexe. Mon gland est tout gros et trempé de son jus… Nénette se redresse, se met à quatre pattes… Elle me présentait son cul… J’ai d’abord pensé qu’elle voulait que je l’encule… J’ai même paniqué un peu en avançant le bout de ma pine vers son derrière… Elle me sauve du ridicule en venant chercher mon nœud avec sa main qu’elle venait de passer entre ses jambes… Ses genoux sont largement écartés, ses reins creusés pour mieux se cambrer.
– Penche-toi, regarde ma chatte par derrière! Tu la vois, tu vois ses grosses babines un peu pendantes qui s’écartent pour t’ouvrir le passage? Alors viens y mettre ton zizi, viens le remettre dedans et fais claquer ton petit ventre contre mes fesses en me baisant ! Je suis ta vieille tante et tu vas me baiser jusqu’à ce que je jouisse!
Vous imaginez sans peine l’état dans lequel je me trouve en l’écoutant. D’autant plus qu’elle m’a tiré en elle sans ménagement. Je suis retourné dans son ventre qui m’a avalé immédiatement. Comme son pubis tout à l’heure, c’est son cul qui est venu à ma rencontre et qui a commencé à rythmer la cadence de mes coups de pilon. C’est encore plus formidable qu’avant. Dans cette position, la pénétration est plus profonde et je me sens vraiment bien dans le conduit que je ramone. Mes couilles, bien que très contractées, se balancent sous mon engin au rythme des allers et retours de ma verge dans le vagin de ma vieille cochonne.
Plus je la baise fort et plus elle gigote, tortillant son cul dans tous les sens pour que je fouille tout le volume de son trou. Sa tête est écrasée contre l’oreiller et son crâne frotte contre la tête du lit. Elle tourne le visage sur le côté et je peux voir les grimaces de plaisir qui le déforment à chaque fois que je replonge mon membre en elle… Une idée vicieuse me vient à l’esprit… je la mets en pratique aussitôt.
– Oh le salaud, voilà qu’il me touche de nouveau le cul!… Il me caresse le fion!… Quel obsédé tu fais pour un puceau!… Mais vas-y, ne te gêne pas, caresse-moi le trou du cul, tu le fais si bien!… Mouille ton doigt d’abord et fais-le rouler sur mon anus! Ah, oui, comme ça, tout autour, encore… ooohhh!
Ca me fait bizarre de sucer mon doigt juste après le lui avoir passé sur la rondelle. Mais je suis bien trop chaud pour m’offusquer de sa demande… Je suis déjà en train de lui évaser la rondelle et je sens qu’elle n’espère qu’une chose: que je lui enfonce mon doigt bien profondément dans le derrière! Alors je le fais sans le moindre scrupule… Je continue à la baiser tout en lui taraudant les boyaux avec mon index.
Nénette crie comme une bête… Elle s’ouvre les fesses avec les mains et jure qu’elle n’avait jamais été aussi comblée. Je ne la crois pas, vu le nombre d’aventures qu’elle a du connaitre…
Je n’ai pas pu soutenir ce rythme bien longtemps. Subitement, un grand flash me traverse le ventre et je jute dans Nénette qui, dès qu’elle a senti que ça venait, a serré très fort son cul contre moi… Elle s’est mise à hurler que je la faisais jouir… Elle a été prise de spasmes violents… Elle est complètement agitée sur ses genoux, finit par s’allonger, m’entraînant dans sa descente… Nous nous sommes retrouvés côte à côté… Elle souffle très fort et j’ai un peu peur qu’elle n’ait présumé de ses forces… Le calme revient en elle lentement… Je reste tout contre son dos pendant tout le temps où ma queue a débandé… Elle est expulsée du con de ma maitresse…… Alors celle-ci s’est tournée vers moi et m’a adressé la parole:
– Qu’est-ce que tu m’as mis petit vicieux! Je crois qu’on va bien s’entendre tous les deux… J’ai encore beaucoup à t’apprendre, si tu veux…
– Bien sûr que je veux apprendre…
– Demain sera un autre jour…
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