Je m’appelle Mohammed, mais tout le monde m’appelle Momo dans la cité. J’avais 13 ans quand tout à commencer. Comme beaucoup de jeunes des cités, je n’avais que très peu de repères dans la société. Mes parents parlaient assez mal le français et ne pouvaient pas suivre ma scolarité. Tout ce qui les intéressait, c’était les émissions télévisées qu’il pouvait capter grâce à leur parabole, dressée fièrement sur leur petit balcon de leur F4 HLM. Momo, comme on l’appelait dans la cité, J’étais donc livré à moi même et je traînais le quartier avec ma bande de copains, cherchant à faire les 400 coups. Au collège, ce n’était pas la joie. Les professeurs, méfiants face au public des banlieues, essayait de dispenser leurs enseignements, parfois dans un brouhaha chaotique, parfois dans un silence mortel et froid. Tout dépendait de la personnalité du prof : S’ils manquaient d’autorité, c’était la catastrophe pour lui…nous en profitions largement et généralement ils ne terminaient pas l’année. C’est pourquoi d’autres profs nous écrasaient par une autorité disproportionnée, pour mieux casser l’ennemi. Mlle Berne se classait parmi ceux là. Son cours se passait dans un silence de plomb. Dés qu’un élève faisait un geste ou osait une remarque, il était alors crucifié par une réplique cinglante dont seule Mlle Berne pouvait inventer. Alors que je taquinais ma jeune voisine, en essayant de lui peloter les seins pour rire, Mlle Berne m’avait pris à partie : -Jeune Homme, ce n’est pas parce que vous abordez votre puberté qu’il faut vous croire obliger de sauter sur tout ce qui porte une jupe…et encore faut il en avoir les moyens ! ! ! Un analphabète est incapable de séduire quiconque, ou alors peut être un singe… Etes vous proche de ses animaux ?
La classe profita de cet instant pour éclater de rire. Moi, rouge de confusion, incapable de répondre à l’affront, humilié par ma prof et par les quolibets de mes camarades, je jurai bien de me venger un jour…
Avec mes potes, je surveillai les allées et venues de Mlle Berne, relevant l’heure d’arrivée, de sortie, la suivant jusqu’à chez elle, dans les magasins… Tant et si bien, qu’après 15 jours d’investigation, je connaissais parfaitement son emploi du temps. J’avais remarqué qu’elle était toujours l’une des dernières à sortir de l’établissement. Elle restait parfois tard dans sa classe pour corriger des copies ou pour préparer ses cours. C’est là que sa vengeance allait sonner…
Accompagné de trois de mes meilleurs copains, nous n’eûmes aucun mal à nous planquer au sein de l’établissement après la dernière sonnerie. Une fois sûrs qu’il n’y avait plus personne dans le couloir, nous nous approchâmes subrepticement de la porte 404, celle de Mlle Berne. En l’entrouvrant silencieusement , je vis ma prof assise à son bureau, la tête plongée dans ses copies, très concentrée par sa tâche. Elle poussa un cri de surprise lorsque nous pénétrames dans la salle en se ruant vers elle. En moins d’une minute, elle fut ceinturée, jetée à terre, bâillonnée. Nos mains la projetèrent ensuite sur le bureau. Allongée sur le dos, elle essayait de nous reconnaître. Mais, nous nous étions affublés de masque de carnaval, qui rendait impossible notre identification. Les yeux exorbités, elle nous fixait en couinant comme une truie.
-Qu’est ce que vous me faites les enfants? Vous vous croyez Mardi gras ? Lâchez moi maintenant, ça suffit…
Evidemment, même dans cette position d’infériorité, elle se permettait de nous donner des ordres sur un ton ironique. Comme si elle nous sous-estimait. D’ailleurs ne venait elle pas à l’instant de nous rétrograder au stade d’enfants ? Il est vrai qu’avec notre taille de gamin et nos masques, le danger ne paraissait pas certain, et pourtant, elle se trompait la gourdasse…
Aussitôt, nous nous mîmes à lui arracher frénétiquement ses vêtements. Les cris de protestation et le crissement du tissu que l’on déchire nous excitaient de plus en plus. Elle tenter d’échapper à notre étreinte mais nous la maintenions fermement sur son bureau. Bientôt, il ne restait plus que des lambeaux de sa jupe et de son chemisier cucul. Elle ne portait plus que ses souvêtements (slip, soutien-gorge et bas) et ses chaussures à talon.
-Maintenez cette pute les gars, je vais finir la mise à l’air…
Tout en parlant, je tirais brutalement sur son slip, dévoilant sa chatte brune et touffue.
Immédiatement, toutes les mains disponibles vinrent au contact avec ce sexe. Nos doigts tiraient sur les poils, s’y enfouissaient, jouaient avec les lèvres… Le visage de la prof avait changé. Il était livide. Comme si elle comprenait enfin que les quatre mioches que nous étions allaient se la faire, la niquer, la baiser, elle, professeur… se faire sauter par ses élèves ! ! ! Pendant qu’elle réalisait ce qui lui arrivait, les bas furent arrachés, le soutien-gorge ôté. Seules ses chaussures l’habillaient. Elle était nue devant nous, le visage grimaçant de douleur car Karim la tenait par les cheveux, les seins en avant comme si elle voulait fuir ce bureau sur lequel elle était vautrée. J’attrapa à pleine main un de ses nichons, que je comprimai violemment. Elle ne put retenir un cri de douleur, qui ne fit qu’empirer les choses, puisque Raton lui attrapa l’autre sein et fit de même. Je tirais le mamelon à gauche et lui à droite, comme si on voulait les lui écarteler.
-Je vais lui lécher la foufoune, écartez lui les pattes.
Alain et Karim attrapèrent chacun un pied, obligeant Mlle Berne à faire un grand écart dévoilant ses larges lèvres cachés au fond de sa touffe noire. Je collai mon nez dans ce buisson odorant, reniflant pour la première fois les effluves épicées d’un sexe féminin. Ma langue s’enhardit dans le gouffre sacré. Je trouvai que le goût était dégueulasse, mais ça m’exciter de me voir en train d’enfoncer ma langue entre les cuisses de ma prof. C’était top. De temps en temps, je retirai ma tête pour lui faire un doigté . Quelle était grande sa chatte, un trou béant. Même si, à l’époque j’avais des petites mains, il n’empêche que plus je mettais de doigts, plus il y avait de la place. A tel point que très rapidement c’était ma main entière qui la fourrait. Je sentais ma main pris dans un gant chaud et humide, formé par son vagin. Les parois étaient douces et élastiques à souhait. Ce n’était pas le premier doigté que je faisais (j’avais déjà glissé ma main dans la culotte de certaines gamines avec qui j’étais sorties), mais, par contre c’était la première fois que j’y mettais la main entière. Depuis, j’essaie toujours sur mes victimes de les fister ainsi, mais ma main ayant grandi, ce n’est pas toujours aussi aisé (surtout pour la victime qui généralement hurle de douleur ! ! !)
-Hey les mecs, ça m’rappelle la chanson Daniela… « moi ce que j’aime bien chez Daniela, c’est qu’on peut y mettre les doigts, moi ce que j’aime bien chez Daniela, c’est qu’on peut s’y mettre à trois… »
Et tous en cœur, nous reprîmes le couplet en riant. Evidemment, ce n’était pas du goût de Mlle Berne, qui pleurait à chaudes larmes, pendant que Raton lui montrait sa queue sous le nez.
– Allez avale salope, applique toi.
Quel spectacle ! Moi entre ses cuisses en train de la branler, mon pote Ratou qui se fait pomper et Karim et Alain qui la maintienne… C’était divin ! ! !
-Laisse moi la place, Momo. Je vais la baiser direct sur le bureau.
Alain me poussa tout en se déculottant. Il sortit sa pine qui paraissait disproportionnée par rapport à son corps frêle. Son gland buta contre les lèvres humidifiées par ma salive et entrouverte par ma main. Il n’eut aucun mal à la baiser jusqu’aux couilles. Il balança son bassin d’avant en arrière, limant la chatte de la prof avec frénésie. Quelques secondes plus tard (seulement), il plongea la tête sur ses seins, gobant au passage les mamelons pendant que les premières décharges de foutre giclaient au fin fond du vagin de Mlle Berne. Ce fut ensuite le tour de Karim qui éjacula également très vite tellement il était excité et n’arrivait pas à se contrôler. Raton, quant à lui, n’eut pas le temps de la sauter : Tout en maintenant la tête de Mlle Berne fermement, il déchargeait de longs jets de sperme dans sa bouche, étouffant presque sa victime. En se retirant, il lui ordonna de tout avaler. En 3 déglutitions, la prof obtempéra à ses injonctions.
– On va voir si j’ai les moyens de te prendre, petite cochonne.
La réflexion sur mes capacités sexuelles qu’elle avait osé me faire en public n’était toujours pas oubliée, et j’étais bien décidé de laver l’affront par une démonstration de ma résistance. Contrairement à mes camarades qui ne domptaient pas leur libido, j’étais capable de me masturber pendant de longues heures, sans tomber dans les plaisirs de la jouissance. Ma queue fièrement dressée, je pris possession de la chatte toute chaude et baveuse de la prof. Le foutre et les pénétrations multiples avaient pour effet d’avoir distendu complètement son vagin. C’est comme si je pénétrai un sac plastique remplie de beurre fondue…autant vous dire, que la sensation n’était pas exceptionnelle ! ! !
– Putain, t’as la chatte explosée ! ! ! je lime dans le vide, là… Les mecs, soulevez lui bien haut les jambes que je l’encule.
Aussitôt dit, aussitôt fait, et voilà ma prof les pattes à l’air, m’exhibant bien malgré elle sa chatte et son cul. Les poils de sa chatte continuaient dans la raie du cul, planquant son petit anneau tant recherché. D’un doigt, je repérai les lieux, vérifiant l’élasticité du conduit.
– C’est mieux là… Je vais pouvoir t’éclater le fion !
Et sans me préoccuper de ses cris, je plantai mon dard dans son anus que j’investis d’un seul coup de rein, malgré l’étroitesse du conduit. Ma bite était prise dans ce tunnel que je ramonai sans vergogne, en insultant et en giflant cette salope de prof. Pendant 15 minutes non stop, je la sodomisai violemment sans faillir. Tel un métronome parfaitement réglé, ma queue entrait et ressortait de son arrière train dans un rythme allegretto. A tel point, que son cul restait ouvert après chaque retrait, attendant fatalement une nouvelle pénétration rectale. Mes copains commençaient à trouver le temps long.
– Dépêche toi, maintenant. Crache ton venin et barrons nous.
Mais rien à faire, je possédai ma prof par le cul, et je l’aurais possédée ainsi jusqu’à ce que son anus fume tellement j’étais concentré sur cet acte de viol. Mais vu l’impatience de mes potes, je me décidai à me retirer et à lui présenter ma queue, salie par ses excréments que j’avais repoussés au fin fond de ses boyaux.
-Nettoie ma bite salope… C’est ta merde après tout !
Elle me suça le gland délicatement, nettoyant les tâches brunâtres malodorantes du bout de la langue. Excédé par sa lenteur, j’enfonçai ma verge jusqu’aux amygdales, provoquant chez elle un hoquet d’étonnement et d’étouffement.
-Aspire bien mon jus, salope…
Et sans bouger, plantée au plus profond de sa gorge, ma verge libéra de puissants jets de foutre qui se déversèrent à la fois dans le conduit d’alimentation, mais également dans sa trachée respiratoire.
– Hey les gars, Elle est en train de se noyer avec mon sperme ! ! !
En effet, son visage blanc, elle hoquetait et tentait de respirer malgré le sperme qui lui coulait jusque dans ses bronches. Il lui fallut plusieurs minutes pour s’en remettre, le temps pour nous de disparaître rapidement et discrètement de la salle.
Le lendemain, sur le tableau des absences, son nom figurait pour une durée indéterminée…
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