Je m’en souviens encore très bien. Nos parents nous avaient laissés seuls avec pour seule consigne de ne pas mettre le chantier et de faire les courses. Parce qu’il n’y avait plus rien dans le frigo.
Quand je me suis réveillée, il était déjà onze heures. J’ai enfilé un T-shirt et je suis allé voir si mon frère était encore au lit. Il dormait du sommeil du juste mais j’ai découvert une petite montagne au milieu du lit sur le drap et par curiosité, j’ai soulevé le drap mais mon frère a bougé au même moment et j’ai tout lâché pour pouvoir me reculer mais il ne bougeait plus et j’ai recommencé à soulever le drap et j’ai pu découvrir que mon frère avait une belle érection.
La dernière fois que j’avais vu sa bite, c’était à la plage, il y avait des années et maintenant, nous étions majeurs tous les deux. J’ai tendu la main pour att****r la bite mais mon frère a été plus rapide que moi. Il s’est branlé deux ou trois fois puis il a laissé tomber et j’ai compris qu’il avait fait ça dans son sommeil.
Il m’était déjà arrivée de me masturber moi aussi dans mon sommeil et plusieurs fois je m’étais réveillé avec les doigts dans le pot de confiture après l’orgasme, preuve que je n’avais pas rêvé.
J’ai attrapé la bite de mon frère et j’ai commncé à la branler. D’abord doucement et de plus en plus vite. Pendant que je le branlais, je surveillais son visage mais il dormait. Je n’ai pas tardé à prendre le gland dans la bouche. Je n’avais jamais fait ça avec un garçon et le seul qui m’avait eue, m’avait prise sans hésiter. Il m’avait coincé contre un mur et il avait relevé ma robe et baissé ma culotte sur mes chevilles puis m’avait prise. Ça n’avait pas duré plus de cinq minutes. Quand il s’était retiré, son sperme avait coulé sur mes jambes puis il m’avait demandé si on peut se revoir. J’avais dit oui mais je l’avais quitté.
Comme mon frère ne semblait pas réagir, j’ai continué à le branler et tout à coup, un geyser est sorti du bout de la bite et le sperme est retombé sur le visage de mon frère. J’ai cru que ça ne l’avait pas réveillé mais il s’est redressé et il m’a vue et il m’a demandé si c’est moi qui a fait ça.
Je dois avouer que sur le coup, j’ai eu peur mais mon frère m’a dit de rester puis il a dit que je lui devais bien une revanche. Je ne voulais pas comprendre ce qu’il voulait mais j’ai vite compris quand il m’a dit de me masturber à mon tour.
Je n’avais sur le dos que mon T-shirt et j’étais complètement rasée. Mon frère m’a bousculé sur le lit et il a commencé à me doigter puis il a voulu me lécher avec sa langue mais il n’y arrivait pas et il m’a demandé de continuer seule, ce que j’ai fait. J’avais l’habitude de faire ça et en cinq minutes, j’ai eu mon orgasme. Mon frère n’avait pas arrêté de me tripoter les seins. J’étais mince, mais comme ma mère, j’avais besoin de bonnets B. J’avais dix-neuf ans et mes seins pendaient depuis longtemps.
Après nous êtes nettoyés, je me suis assise sur le bord du lit et c’est là que mon frère m’a dit qu’il veut me baiser. Je lui ai répondu que je suis sa sœur mais ça ne l’a pas calmé. Il a posé sa main sur ma cuisse et il a recommencé à me toucher et pour l’en empêcher, je lui ai dit que ce n’est pas le bon moment et j’ai ajouté que je n’ai pas envie d’être enceinte. Ça a eu l’air de le calmer mais il n’a pas tardé à revenir à la charge en me disant qu’il veut m’enculer.
– Alors, ça, il n’en est pas question, lui ai-je balancé !
Je ne pouvais pas lui avouer que je m’étais déjà enfoncé le manche de ma brosse à cheveux non pas seulement dans mon vagin mais aussi dans mon anus, comme ça, pour me rendre compte de ce que ça fait et puis j’avais vu plusieurs vidéos de filles qui se faisaient prendre dans l’anus et qui semblaient aimer ça.
– Pas maintenant, ai-je alors dit à mon frère ! Les parents nous ont dit de faire les courses et si on tarde trop, le marché sera fermé !
Nous avons fait notre toilette ensemble. Difficile d’être sérieuse quand on n’arrête pas de vous répéter que cet après-midi on vous encule. Nous avons quand même fini par nous habiller et nous sommes allés au marché. Les parents avaient fait une liste et nous avons presque tout trouvé puis nous sommes rentrés. J’ai fait la popote et mon frère m’a aidé à faire la vaisselle mais c’était presque impossible parce qu’il n’arrêtait pas de parler de ce que nous devions faire.
Je n’avais rien accepté, mais mon frère insistait tellement que j’ai fini par céder. Nous avons fait ça dans le salon. J’ai retiré ma petite culotte et j’ai remonté ma jupe avant de m’agenouiller sur le tapis puis mon frère a enfoncé sa bite dans mon anus. Au début, ce n’était pas très agréable mais peu à peu, j’ai commencé à aimer ça.
Quand sa bite a été enfoncé bien profond, mon frère n’a plus bougé et il s’est amusé avec mes seins. Il m’arrivait de me les tripoter mais là, c’était autre chose. Je n’avais jamais ressenti de tel.
J’ai dit à mon frère de se dépêcher parce que je voyais bien que nos parents n’allaient pas tarder à rentrer mais j’ai compris qu’il voulait autre chose et je l’ai laissé enfoncer sa bite dans mon vagin. Je lui avait menti pour ne pas qu’il le fasse et il le faisait quand même et j’ai pensé que même s’il éjacule, ça serait pour rien mais il a voulu juter sur mes fesse et j’ai dû me terminer toute seule pur avoir un orgasme.
Une demi-heure après, les parents sont arrivés. Notre mère a vérifié qu’on avait bien fait les courses et seulement après, elle nous a demandé si nous ne nous étions pas trop ennuyés.
Bien sûr, je n’ai rien dit de ce que j’avais fait avec mon frère mais le soir en me couchant, j’ai touché ma vulve et mon anus pour vérifier que je n’avais pas rêvé. J’ai même pensé à mon amie Chantal que son père abusait depuis la mort de sa mère. Chaque fois qu’elle m’en parlait, c’était parce qu’ils avaient fait l’amour ensemble et elle semblait penser que c’était normal qu’elle remplace sa mère.
Je ne dirai pas que j’ai essayé d’oublier cette aventure que j’avais eue avec mon frère mais au contraire, je ne pensais plus qu’à ça. Il y avait bien ces garçons et ces hommes qui auraient bien voulu abuser de moi mais ils ne m’attiraient pas. Il y avait mon frère. J’avais tenu sa bite dans la main et ses couilles dans mes doigts. Il avait une petite amie et je me demandais s’il lui avait parlé de moi. Ils ne se cachaient pas et je savais qui elle était. Un jour que j’attendais mon frère à la sortie de la gare, j’ai aperçu sa copine et elle m’a aperçue elle aussi et elle s’est dirigée sur moi et j’ai pensé qu’elle allait me faire une scène et j’ai commencé à reculer mais j’ai buté contre un arbre et elle m’a rejoint plus facilement. J’étais prête à tout lui expliquer mais la fille m’a pris de court.
– Je suis bisexuelle !
– Bisexuelle ?
J’ai bafouillé comme si je ne savais pas ce que ce mot voulait dire. La fille m’a attrapé par le bras et elle m’a lancé que je lui plais.
– Tu veux qu’on baise ensemble ?
Elle m’a répondu que mon frère n’a pas besoin de le savoir et c’est comme ça que j’ai commencé. On fricotait toutes les deux une ou deux fois par semaine puis un jour elle m’a proposé de le faire avec une autre fille ?
– A trois, m’a-t-elle précisé !
Nous avons fait l’amour à trois puis nous avons continué avec beaucoup plus de filles dans une fête réservée à notre sexe. Nous étions bien une vingtaine et comme toutes les autres, je suis passée de l’une à l’autre mais le samedi soir suivant, nos parnets sont allés au théâtre et mon frère en a profité pur venir dans ma chambre et nous avons baisé. Depuis ces jours, je suis bisexuelle. Je baise à droit et je baise à gauche sans hésité.
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