J’avais branché un jeune mec bi sur le net, il n’était pas loin de chez moi. Mais comme toujours c’est pour se rencontrer que c’est dur. Il ne pouvait pas recevoir, moi marié et ma femme pas dans la confidence ce n’était pas évident. La proposition était des plus simple, on se rencontrait, je le pompais à mort tant qu’il le voulais, si il avait envie il me prenait avec sa queue ou un godemiché.
Il semblait sérieux, je pris le risque de lui donner mon téléphone et 5 minute plus tard il sonnait. On échange quelques mots, il a l’air emballé mais intuition il semblait assez novice. Il me dit qu’il aimait être dominateur et utiliser les mecs comme des kleenex. Le discours me branchait particulièrement car c’est une chose que je recherche compte tenu de mon état (voir mon premier texte).
On se donne rendez vous sur un parking discret en bord d’une route très peu fréquentée. Naturellement un appel professionnelle importun.. me retarde. J’expédie l’affaire et fonce à tombeau ouvert avec la Merco sur cette route de campagne en priant qu’il n’y ai pas de radar. Si j’étais à la bourre sûrement que mon oiseau aurait filé. En fait nous sommes arrivés en simultané sur le parking , 17 h30 en septembre il faisait encore beau le jour déclinait. Il est plutôt beau mec et jeune, plus jeune que ce qu’il m’avait annoncé en fait ou avais -je mal compris. Brun, petite barbe de 2 jours, pas très grand des yeux noisette, un joli sourire. Un jean moulant.. un superbe petit cul.. ah si j’étais en meilleure forme ou plus jeune de quelques années. Peu importe je suis là pour m’occuper de sa queue. J’ai déjà une envie de lui mettre la main entre les cuisses de palper son paquet. Il ne semble pas trouver mon physique repoussant. J’ai joué la transparence, je suis barbu grisonnant une coupe TAP (Troupe Aéro Portées ) je suis rond et velu.. j’approche lentement mais sûrement de la soixantaine avec tous les plaisirs que cela comporte..
Je le trouve timide, en quelques phrases j’arrive à lui faire dire que c’est la première fois qu’il se retrouve avec un mec. Il n’a aucune expérience. Pour un type qui voulais me dominer.. je suis déçu mais pas tant que çà. Je le met en confiance.. Il s’installe près de moi je préfère l’inviter dans la Mercedès que me contorsionner dans sa Clio. De toute évidence il en a envie mais sa timidité le retient, il ne bande pas, dans un tel jean je le verrais.
Tu est toujours Ok ? Dis-le ou alors on va boire un verre. Moi j’ai vraiment envie de jouer avec une queue. Tu veux une pipe ? Je te fais jouir dans ma bouche.. tu veux ?
Je crains qu’il se dégonfle !! Mais non il acquiesce et me dit oui j’ai envie de le faire. Je pose doucement ma main entre ses cuisses, il est presque tremblant, je caresse son entrejambe. Il est gêné. Je passe ma main dans sa chemise et caresse son torse, j’effleure ses tétons, il frissonne. J’adore les mecs qui aiment qu’on leur travaille le bout des seins. Tout en massant ses couilles je pince légèrement son téton. Il se laisse glisser sur le cuir du siège et écarte les cuisses. Il commence à bander rapidement. Je sens sa queue qui se déploie, la tige qui gonfle le tissu.
Met toi à l’aise j’ai envie de la voir.
Je suis excité même si ma queue est a peine gonflée et elle ne le sera pas beaucoup plus. Mais dans mon ventre l’excitation monte. Il défait sa ceinture, ouvre son jean. Il ne porte pas de slip, sa queue me bondit au visage. Oh putain le bel engin !!! Pas loin de 16 ou 18 cm .. bien épaisse. Son gland est caché. La peau est douce, mes doigts se referment sur la tige. Tout en le regardant du coin de l’œil je commence à décalotter le gland qui gonfle. Petit a petit je libère la tête, son méat est très légèrement humide preuve qu’il apprécie. Lentement son prépuce glisse sur le gland bien large. Il pince les lèvres mais émet un petit gémissement.
Tu aime ? C’est bon ?
Il ne réponds pas, il se contente de hocher la tête. Il a un gros frisson quand enfin je décalote totalement le gland, ce petit moment ou la peau enfin laisse s’épanouir la tête de cette belle queue. La tige est bien gonflée, je serre cette bite dans mes doigts. J’approche mes lévres que je pose délicatement sur son gland. Je laisse glisser mes lèvres en mouillant avec application la peau fine et fragile du gland. Ma langue tourne autour du bourrelet alors même que la tête de sa queue disparaît dans ma bouche. Son engin palpite. Mon autre main s’empare de ses couilles . Je malaxe le paquet fait rouler ses burnes l’une contre l’autre. Je serre il aime.. je le sens. J’ai vraiment envie de me trouver a poil contre lui mais je devrais me contenter de sa queue pour l’instant. Ma bouche engloutis la tige qui est vraiment bandée à mort. Sa queue palpite. Je tire toujours a fond pour le décalotter, une tension constante, je sais que peu de mecs déteste cette façon de faire. Ma langue se sert de son gland comme d’un punching ball. Ma salive coule sur sa peau qui coulisse facilement entre mes lèvres. Je continue a descendre son gland touche le fond de ma gorge, c’est bon .. il adore il se cambre.. m’aidant à je faire entrer dans ma gorge.. mes yeux pleurent.. mais bordel que c’est bon de sentir cette jeune queue. Je le sais d’instinct.. il ne va pas tenir.. il a trop envie de se vider les couilles. Il a les yeux fermés.. peut être imagine t-il que je suis une superbe blonde. Je m’en moque, lui aussi.. Il a trop envie de prendre son pied. Il ne sait pas ou mettre ses mains. Il est tenté de pousser sur ma tête.. Je lâche un instant ses couilles et guide sa main sur ma nuque. Il donne un coup de rein et me tiens la tête.. Oh que c’est bon.. Il y va.. il se décoince.. Encore une fois.. la salive inonde ma bouche et commence a couler à la commissure de mes lévres.. Encore.. il pousse se cambre .. Je tire sur ses couilles, il donne un coup de rein et me pousse sur la nuque. Son gland entre dans ma gorge.. J’ai tellement envie qu’il baise ma bouche. Il commence a prendre le rythme.. enfin il donne de grands coups.. il baise mes lèvres comme si c’était la chatte d’une pute.. J’ai envie d’être sa pute.. Trop tôt.. mais je me mettrais bien a 4 patte pour me faire bourrer le cul..
il murmure.. putain c’est bon.. suce moi
Je m’active.. je vais au devant des coups de reins.. cette fois il est libéré.. et je me fais prendre la bouche comme une salope.. j’ai envie d’être une salope.. il est seul.. mais j’aimerais qu’ils soient dix.. à me baiser à me faire reluire la gueule je frotte ma queue contre le levier de vitesse il est gros c’est une automatique.. Je crois sentir une humidité au bout de ma queue molle. Je coulerais si il me baisait le cul.. mais là je m’applique à le satisfaire comme une grosse pouffe si seulement il me choppais les couilles me les étirait me les serrais à me faire frémir. Une laisse autour de mes couilles qu’il tirerait pendant que je le pompe. Ma main glisse sous son paquet. Lentement mon majeur progresse dans la vallée culière. Je cherche son anus.. il est moite.. plissé. Et il palpite.. Avec mon pouce le frotte l’endroit supposé de sa prostate tandis que le bout de mon doigt tente de forcer l’étroite porte de son anus. Il n’est pas si novice.. car il bouge de façon à que je puisse le doigter. A mon avis c’est la première fois qu’un autre que lui s’occupe de sa rondelle. Mon doigt entre sans trop de problèmes.. Mon lapin tu va profiter de mon doigté. Tout en montant et descendant mes lèvres sur sa tige. Je trouve enfin .. la solution du problème.. le nœud gordien.. Mon beau salaud.. mon doigt est là où je vais te faire du bien. Fouillant rotative ment sa rondelle et massant l’autre face avec mon pousse j’entreprends de le faire bien délirer. Je sors sa queue de ma bouche pour observer son membre luisant, dégouttant de bave. Ma barbe est trempée. Tout en lui massant l’intérieur je regarde le gland gonflé, décalotté. Il geint.. sa queue palpite. En moins de quelques minutes.. une grosse goutte se forme.. translucide, épaisse.. son méat s’ouvre.. je lape la goutte salée.. douceâtre.. que c’est bon.. Il est bandé comme un arc.. ses fesses ne touchent plus le siege.. j’appuie ma caresse.. encore une grosse goutte qui suinte.. rapidement elles se succèdent.. se transformant en un écoulement continu.. Si je le pouvais je me collerais un gros god dans le cul.. mais je vais le faire jouir mon beau petit salaud. Je pompe, le le reprend au fond de ma gorge. Ses mains son crispées.. il me tient la nuque et ma chemise se froisse entre ses doigts. Observant mon œuvre. Le gland gonflé, la tige prisonnière de mes doigts.. mon autre main qui s’affaire entre ses fesses. Je n’ose pas enfiler un second doigt, mais je sens parfaitement la rondeur de sa prostate et l’écoulement que je suscite à volonté suffit a me conforte dans l’idée que je suis au bon endroit. Doucement de transparent l’écoulement devient un peu trouble, mais il est de plus en plus abondant. J’essaie de la garder au bord de l’explosion le plus longtemps possible, mais d’une part il a envie de jouir et moi j’ai tellement envie qu’il gicle dans ma bouche. Sa queue se met à palpiter comme un tuyau d’arrosage trop étroit. Il coule en continu, sa mouille mes doigts, souille ses poils.. J’accentue la traction sur la tige, le gland totalement rougis les veines autour du prépuce étendu sont violettes et sont mouvantes. Ma langue taquine le dessous du gland tout en ingurgitant sa mouille de mâle.. Sa queue en rut a de plus en plus de saveur.. Ses burnes sont collées à la base de sa verge.. Mon doigt est pressé puis relâché par sa rondelle qui palpite.. Il gémis de plus en plus fort. La respiration courte, il souffle comme un bœuf.. Il coule.. sous mon pouce qui tiens sa queue je sens dans l’urètre le déferlement du sperme.. Je coiffe son gland de mes lèvres et alors que je le prend a fond.. de grosses giclée de sperme épais, goûteux et chaud se déverse dans ma bouche.. Il pousse maintenant un grand cri, les mains sur ma nuque il me défonce la gorge.. le sperme me repasse par le nez tellement il m’en balance.. je suis sa pute.. son jouet.. j’avale je ne perd rien.. Encore une giclée.. il a un énorme frisson.. Et se laisse aller sur le siège..
Je suis a cran.. j’ouvre mon pantalon.. je trouve ma queue en demi érection.. mon gland est mouillé.. je regarde sa queue.. luisante pleine de traces de son sperme.. il reprend son souffle.. Je me branle comme un fou sans jamais obtenir une vraie érection.. je me caresse le téton gauche qui est dur.. Il me regarde mais il est hs.. enfin je sens le picotement.. mes couilles sont serrées… et j’ai cette sensation orgasmique sans que rien ne jaillisse.. libéré mais a la fois frustré.. car le plaisir est là mais différent.. il serait meilleur avec un travail de mon cul.. mais le goût du sperme sur mes lèvres.. dans ma bouche me fait oublier.. le reste.. Et puis ce n’est que la première fois qu’on se rencontre.
Ce n’est pas facile tous les jours mais j’ai eu un plaisir que je revendique.. lui a pris son pied.. moi aussi
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