Histoires de sexe Histoires de sexe soeur

INITIATION D’UN JEUNE HOMME

INITIATION D’UN JEUNE HOMME



Dès notre prime jeunesse, ont nous à appris à culpabiliser, à avoir honte de notre corps et plus encore, interdiction formelle de regarder celui des autres !

La honte, oui, quand j’ai vu pour la première fois une amie de ma sœur, moins pudique que moi, se déshabiller devant nous et sauter dans la piscine.
Cette fille nue m’a fait connaître mon propre corps, mes envies d’adolescent, mon sexe qui se rebelle aux interdits. Ma première et forte érection et la surprise d’un jaillissement dans mon pantalon !

Oh ! Elle ne cherchait pas à s’exhiber pour provoquer une quelconque réaction, ses parents étaient tous simplement naturistes.
Notre mère scandalisée, l’a immédiatement fait sortir de l’eau, pour qu’elle se rhabille sans discutions. Et le sermon sur la pudeur nécessaire, à été délivré aux spectateurs présents avec une certaine virulence.

Mais moi, je l’ai vu.., et cette image, cette magnifique image, à resurgir dans mon esprit en pleine nuit. Mon sexe à durcit sans que je puisse m’y opposer, stupéfié, j’ai découvert ma sexualité.

Ma sœur, voyant la lumière allumée est entrée. Elle n’avait pas l’air de s’inquiéter, de voir le drap soulevé et mon pénis si fortement érigé. Elle s’est approchée, s’est assise sur le rebord du lit, et d’une main maternelle elle à caressé mes cheveux.

Puis elle à enveloppée dans son autre main la verge, qu’elle à finement masturbé.

– C’est ainsi, que tu peux calmer tes ardeurs, dis moi, pourquoi tu es si excité ?
– J’ai vu Stella, cet après-midi, toute nue, Jennie, si tu savais comme elle était belle !
– Oui, c’est vrai qu’elle est belle ! Mais, qu’est ce que tu as regardé, chez elle quand tu l’a vu ?
– Je l’ai regardé elle, son corps, sa beauté naturelle, elle tout entière, oui, je ne voyais plus qu’elle ! j’aurai voulu la prendre dans mes bras, la toucher, la caresser !!

Dans sa main ma verge à bondit, puis la semence à jaillie, elle à coulée sur mon ventre, et sur mes cuisses, s’est faufilée entres les doigts de Jennie, J’ai eu tellement honte de cette découverte, que j’ai caché mon visage dans mes mains.

– Il ne faut pas avoir honte, cela est parfaitement naturel, Stella est belle, cette émotion que tu viens de vivre fait partie de la vie. Je suis ta sœur et moi aussi j’ai des envies, je garderai cela pour moi, personne n’en saura jamais rien, ce sera notre secret. Quand tu seras un peu plus grand, tu diras à Stella ce que tu ressens pour elle et vous serez peut-être des amants. En, attendant tu peux rêver d’elle, mon frère, Bonne nuit.

Sommes nous coupable de désirer un être, et coupable de chercher à le conquérir ? Je n’ai rien compris à cette philosophie, mais j’en suis toujours resté prisonnier !
Mes aventures sexuelles sont restées inachevées, je n’ai pas osé découvrir, proposer, ou moins encore toucher ou déshabiller une fille, même si elle en faisait la demande implicite !

Puis j’ai connus Clara, deux fois plus âgée que moi, une voisine de mes parent!

Clara, toujours souriante à mon égard, enjôleuse, simplement belle. Pour moi, elle à été créer par la nature, elle ne montrait rien et mais elle ne cachait rien non-plus! Sa façon d’être de se vêtir de marcher, était un cadeau pour qui savait la regarder évoluer.

Je ne sais pas ce qui m’enivrait autant chez elle, son parfum qui embaumait tout ce qu’elle touchait, ses gestes langoureux, ses lèvres appétissantes ? Et surtout ce corps en toute finesse, qui n’en finit pas de provoquer mon imagination alors très fertile.

Et voilà ma honte qui me reprends, à la moindre vue de ses jambes, de ses mollets, quand elle travaille au jardin, ses cuisses, se découvrent jusqu’au dernier centimètre de tissus ! Ses pieds nus souillés de terre, pourquoi j’aime ça, c’est un mystère !

Mais pourquoi ais-je honte, je ne la vois pas nue, mais si…, je la voie en rêve nue, et je bande, malgré ma honte, je bande ! Puis je fais ce que ma sœur m’a montré, je me satisfais et mon jus coule dans ma main !

Je l’ai fait tant de fois, pour elle !
Du haut de ma chambre, à peine quelques mètres et j’aurai put la toucher, la tension tous les jours augmente et je fais subir à ce maudit pic qui me torture une incroyable maltraitance !

Ses bains de soleil sont pour moi une torture, elle est là couchée devant moi, presque nue, rien que quelques centimètres carrés de tissus que je pourrai enlever et enfin la voir ! Quand je pense que l’imbécile qui avait eu la chance de la posséder, n’en avait rien à faire et n’a pensé qu’à la maltraiter.

Mais on ne compte jamais sur le destin, le fabuleux destin, l’inimitable destin !

Mes copains me parlaient souvent de leurs conquêtes, de cuisses écartées, des cris et de vanités, moi je leurs parlait de Clara.
On me répétait à longueur de journée, que je n’avais qu’à la baiser ! Mais ce n’est pas ce que je souhaitais, je voulais être dans ses bras, l’embrasser, la caresser ! Et ce vocabulaire de dépravé, jurait bassement avec l’image de cette femme.

On ne pouvait pas la baiser, on ne pouvait que l’aimer, lui faire l’amour !

On ne compte jamais avec le destin, ce jour est arrivé sous une forme inattendue, une fuite d’eau magistrale dans le sous-sol de sa maison.
Oh ! Cinq centimètres d’eau sur quinze mètres carrées.

– Jean, au secours j’ai une fuite d’eau dans la cave, pourrais-tu me venir en
aide ?

Clara, qui me demande de l’aider, chez elle ! Chez elle, moi et elle tout seul ! Cette fois, je vais lui dire mes émotions, lui proposé de la déshabiller et de lui faire l’amour ! Peut-être, oui peut-être qu’elle acceptera !

Dans l’encadrement de la porte, elle ressemble à une apparition, sa blouse blanche frappée par les rayons provocateurs du soleil, la déshabille. Il ne reste que la culotte, blanche elle aussi pour m’interdire l’accès à l’essentiel. Elle est pieds nus, mouillée jusqu’aux cuisses, elle soulève des deux mains le tissus qui se colle aux jambes.

Je suis incapable d’avoir une réaction normale !

– Oh ! oh ! Jean, réponds, coucou, c’es moi Clara ta voisine !!

C’est moi, Clara ta voisine, elle à dis des mots si doux a mes oreilles, et je sors de ma torpeur !

– Euh oui, Clara j’arrive !!

Nous voilà, a genoux à éponger cette eau qui n’en fini pas, on en retire et plus on en retire, plus elle s’amuse pour mon plus grand plaisir à ruiner nos efforts.
Clara est encore plus belle quand elle s’affaire à côté de moi, mes yeux font la guerre à l’impossible, trouver le meilleur angle de vue, choisir d’être accroupis ou debout, bref c’est un jeu permanent. Je détaille avec passion mes découvertes, en commençant par le haut.

Quelques gouttes de sueur glissent sur sa tempe, elle descentes dans le cou, je ne détache plus mes yeux, de ce spectacle, elles roulent vers la poitrine et disparaissent dans sa blouse qui aussitôt marque leur passage.
Je me lève pour essorer la serpillière, je la contourne et découvre émerveillé ses seins pour la première fois !

Majestueux cadeaux qui comblent avec splendeur sa blouse et pointent effrontément le tissus qui se tend.
Je ne peux rien contre l’effervescence de mes attributs, il faut donc que je m’arrange pour ne pas faire découvrir mon émois.

Je continue poursuivant mes observations, elle est trempée jusque sur le haut de ses cuisses, l’eau qui goutte exhorte la beauté de sa peau et sa brillance est une attraction majeure pour mes yeux.
La blouse alourdie, s’écarte et dévoile la culotte ou je devine la petite fente qui mène au paradis. L’endroit est plus sombre, c’est là que réside le secret de ma quête !

Clara ne se rase pas, tous les copains parlent de foufoune rasée, elle ne se rase pas, elle est naturelle !
Elle n’est pas une gamine, elle est une femme, et la nature de cet endroit est si clair, que j’en perçois les moindres parties. Là aussi, des gouttes d’eau qui s’accumulent me narguent, elles longent effrontément l’étoffe perméable et s’amoncellent en petit ruisseaux.

L’eau magique, a pénétrée la culotte et s’en écoule, j’ai l’esprit qui divague.
Moi aussi je suis mouillé, mais pas pour les mêmes raisons !

Elle se lève apparemment exténuée, les cheveux en bataille, elle essuie du plat de la main son front est couvert de sueur ! Et l’eau toujours complice coule sur ses jambes, j’accompagne du regard cette coulée jusqu’aux pieds ou elle tombe en petite pluie !

– Allez viens Jean, on va se faire un café, je crois qu’on l’a bien mérité
hein !
– Ok j’arrive…

Je n’avais pas calculé avec un détail, nous sommes tous les deux trempés, donc je suis hésitant et j’attends la réaction de Clara, qui ne devrait pas tardé à venir. On ne va certainement pas monter à l’étage dans l’état de lequel nous sommes ! Mais comment pourrions nous faire, il n’y a rien ici qui permette de se changer ?

– Viens on va à la lingerie enlever nos vêtements mouillés et nous sécher !

Enlevé nos vêtements mouillés, mais alors ?
Je la suit avec une espèce d’appréhension, et en essayant de deviner les événements à venir. Plus on avance vers ce local, plus je suis tendu, excité, comment vais-je faire pour cacher mon état ?

Elle ne passe pas vraiment par quatre chemin, et retire sa blouse le dos tourné vers moi, elle me présente alors ce dos nus et malgré la culotte qu’elle garde, je vois ses fesses magnifiques rebondies, je ne fait plus aucun geste !
Cette taille qui s’affine est d’une telle beauté parée de sa peau ambrée que je voudrai la toucher, la caresser. Je vais m’y risquer, que pourrait-il bien se passer? Au moins aurais-je essayé !

– Euh ! Clara je…
– Oui, …

Elle se retourne, je défaille devant cette poitrine qui me défie ! Je baisse les yeux, et les couleurs que j’affiche à ce moment là doivent être ridicules.

Clara me regarde et sourie, elle reste là, je sombre, me décompose ! Son regard s’est abaissé sur mon ventre, sur la protubérance qui me dénonce. La voilà ma honte!

– Dis-moi, tu n’es pas gêné non ? tu sais je t’observe depuis un moment, et je sais reconnaître certains signes qui ne trompent pas ! Depuis le début tu cherche à voir, et maintenant, tu vois ! Il ne me reste pas grand-chose à enlever, et si veux, je vais le faire !!

Elle s’approche de moi, je refrène mes tremblements, puis d’un coup sec elle tire sur mon caleçon qui glisse sur mes cuisses !

– Tu bande, tu as envie de moi, je suis deux fois plus âgée que toi, et tu bande pour moi ! je suis honorée, ça me fais plaisir, je te fait envie !!?

– Clara, je… oui, j’ai envie de toi depuis si longtemps, tu es si belle ! Je t’observe depuis longtemps quand tu prends tes bain de soleil, et je…., enfin tu vois !

– Oui, je vois, tu te masturbe ? moi aussi je fais cela de temps en temps, il n’y a rien de mal à ça ! mais je t’avoue un secret, je savais que tu me regardais ! Donc je t’ai un peu provoquée, mais en même temps j’aimais aussi être regardée, épiée ! Aujourd’hui, tu a bien grandit et je vais satisfaire tes envies ! Voudrais-tu faire l’amour avec moi ?

– Oui, je voudrais le faire avec toi !! Mais je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait !

– Alors viens laisse toi aller, je vais te donner le plaisir que tu exprime de si belle façon ! ça restera entre nous, ce sera notre secret, ce sera un souvenir merveilleux sublime. Si tu ne l’a jamais fait, je vais te montrer et t’apprendre les choses de l’amour, aller viens !

Puis elle à laissée glisser la culotte sur ses jambes, et voilà l’objet du désir, la toison bouclée, brillante et mouillée, dans cet endroit à peine éclairé je l’ai longuement admiré, puis je me suis agenouillé, mes mains ont jouées de ses rondeurs, mes lèvres en embrassés ce sexe, ce ventre, ces cuisses !

Nous sommes monté nus à l’étage, dans la salle à manger, elle m’a fait coucher sur le tapis, ses lèvres se sont promenées sur mon front, dans mon cou, puis elles ont glissées douces et tendres sur mon ventre. Ses mains se sont mises à jouer avec mon gland qui s’est parés de ses perles de rosées blanches.

Douce sensation, une bouche s’est engagée tendrement sur mon sexe, elle aspire, elle suce et enveloppe le membre qui frétille à chaque coup de langue. Sur mon ventre, la douceur de ses seins, et plus bas ses jambes écartées me présentent humblement ses fesses égayées par la raie.

Puis doucement elle se couche sur le côté et conduit ma main à l’entrée, je sens cette douce chaleur, mon cœur est en balade, elle pousse mes doigts et j’obéis à sa volonté.
Ma tête sur son ventre, je respire le parfum qui émane de sa toison aux reflets dorés. Encore une poussé et mes doigts se sont engagés dans cette fente par les humeurs trempés, elle se lobe quand je trouve, là un peu caché, ce petit bouton qui s’ouvre au touché.

J’entends sa respiration cesser, quand je me mets à caresser, a masturber la nacre, elle s’ouvre pour laisser entrer ma langue et me permettre de rechercher le meilleur moyen de la combler.
Elle chante une complainte et je poursuis mes jeux de mains avec finesse et douceur plus avant, plus profond.
Sur mes doigts coule la manne précieuse, elle dance sous mes mains, elle est à moi, avec un tel cadeau je me prends pour un roi. Je sais ce que je lui dois, je le palpe la touche partout et elle m’autorise voluptueusement aux endroits les plus secrets.

– Viens maintenant, viens prendre ce que je t’offre, c’est le moment que tu attends !

Elle m’accueille dans ses bras, sa main s’est emparée de moi, elle conduit ma verge et j’entre doucement dans ce lieu secret en gémissant.
Ses mains sur ma nuque me caressent et m’encouragent, je reste un instant blottit comme un oiseau dans son nid, pour savourer ce moment que je ressens comme une naissance.

Elle m’apprend lentement les mouvements et nous allons en accélérant, puis prenant de nouveau notre temps, je sens qu’elle en demande plus, oui, elle conduit l’assaut qu’elle veut plus insistant plus brutal !

– Jean, maintenant il faut être plus agressif, n’est pas peur n’écoute pas mes pleurs, soit percutant, soit virulent, baise moi !! Baise-moi, maintenant !

Je n’ose pas appliquer ce qu’elle me demande de faire, mais ses cris deviennent insistant, je frappe, je transperce, elle se cabre, elle est en sueur, elle insulte et vocifère.

Ses yeux me fixent, sa bouche est grande ouverte, ses ongles labourent mon dos. Elle à l’air de souffrir, j’hésite, je tempère !

– Non, n’arrête pas persécute moi, viole moi, mais fait moi hurler !! Plus fort, plus vite, j’ai besoin de me sentir possédée, encore,… oui, encore… !!!

Cette fois je ne contrôle plus mes gestes, je saisis ses cheveux des deux mains et me projette en avant, son corps répercute sur mon ventre la pénétration violente qui frappe le sien, elle se débat, ses jambes fouettent l’air et sur les murs se répercute les cris de Clara.

Elle supplie, se rebiffe, mais non, je ne céderais pas, je suis puissant entreprenant, je persécute. Elle halète, elle est en apnée, se cramponne et soudain elle se disloque sous mon corps, mon ventre est aspergé d’une humeur chaude, c’est un cri presque a****l qui percute mes oreille, ma conscience vacille, et à mon tour j’éjacule fortement, puissamment !

Une dernière fois, elle se tord, soulève mon corps et d’un mouvement sec, je suis expulsé de son vagin, elle se cabre encore et projette un jet chaud sur mon ventre.
C’est fini nous nous effondrons tous les deux dans un concert de halètement et de vagissements.

Nous sommes restés là, enchevêtrer pendant un long moment à contempler nos corps, notre nudité, à jouer avec les sens de nos organes toujours excités, pour retrouver quelques orgasmes si délicieux.

Nous avons gardé notre relation secrète, faisant l’amour dès que l’occasion se présentait, sans retenu, sans tabou, toujours et partout. Puis nous avons passé des nuits en utilisant nos corps comme des instruments, à jouer de nos sexes avec une totale soumission, de l’un pour l’autre !

Seul Jennie, s’est rendu compte du subterfuge, ses questions ont eu raison de moi, et j’ai éventé le secret !

– Dis moi, je te vois souvent avec Clara, elle te plaît n’est ce pas ?
– Oui elle est belle et je crois qu’elle m’aime bien !
– Oui, moi aussi je crois qu’elle t’aime bien ! dis-moi, tu fais l’amour avec
elle ?
– Euh ! Jennie, je….euh…. oui je fais l’amour avec elle, depuis un moment déjà !
– Eh ! bien, dis donc, elle doit être belle, et sensuelle, aller dis moi ?
– Oui, elle si belle quand je la regarde et qu’elle est toute nue, quand je la
touche !!
– Eh ! bien, tu vois moi aussi j’aimerai faire l’amour avec elle !
– Mais Jennie, c’est une femme ! et toi aussi ?
– Oui, mais tu vois, moi j’aime aussi faire l’amour avec une femme, et Clara je la désire depuis longtemps ! Faire cela avec une femme, est si doux, si sensuel. Ne me regarde pas de cette façon ! Tu m’as révélé un secret, je t’en ai révélé un autre, je suis ta sœur, et maintenant tu connais ma vie intime, ma préférence pour les femmes !

Jennie est ma sœur, elle très belle et douce, je ferai bien aussi l’amour avec elle, mais….elle est ma sœur, et elle est heureuse de voir mon bonheur. Nous faisons l’amour d’une autre façon et elle est toute aussi belle.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire