Je suis une jeune femme de 28 ans, libérée. J’ai commencé à faire l’amour très jeune et je suis passée de garçons en garçons car j’aime le sexe. Quand les garçons ont commencé à me fatiguer parce que finalement ils se ressemblent tous dans leurs attentes je suis passée aux filles. J’ai trouvé qu’elles étaient plus subtiles dans leurs émotions et j’ai beaucoup aimé ces échanges de douce perversité sans rapport de force et peut-être plus de respect. Ensuite j’ai testé les hommes mûrs qui ont réussi dans la vie et j’ai eu des expériences fortes avec des hommes qui aimaient les relations dures où ils dominaient. J’ai eu l’occasion avec eux de bien prendre mon pied comme soumise et ça m’a changé. Etudiante j’ai aussi fait un peu la pute, plus pour l’adrénaline que pour le fric. Et parfois ça m’a beaucoup stimulée de vendre mon corps à des inconnus. J’ai même eu une fois relation avec un couple âgé qui voulaient que monsieur me baise pendant que je suçais madame. Ils payaient cher. Monsieur ne banda pas vraiment mais madame se contenta bien de ma langue. Physiquement j’ai tout essayé et je n’ai pas de tabou sauf que j’aime que mes partenaires soient propres.
Je suis arrivée à un point de saturation et j’ai fait une pause sexe d’environ un an. Je ne pouvais pas m’empêcher d’aller faire un peu d’exhibe de temps en temps pour me rassurer en voyant que j’excitais facilement. J’allais en tenue provocante et indécente déambuler en ville et quand un mec me branchait, en vraie salope je lui disais « merci c’est gentil mais je préfère me masturber ». Je me masturbais alors dès que possible pour libérer la tension. Je l’ai souvent fait dans les toilettes des cafés.
J’ai fait le point et toute cette gymnastique sans sentiments m’a paru une impasse. J’ai attendu de rencontrer un partenaire avec qui je pouvais avoir aussi de la complicité en dehors du sexe. Je l’ai trouvé dans un ciné-club. C’est un homme de mon âge, célibataire qui comme moi travaille dans l’immobilier. J’aimais ses interventions lors des discussions sur les films que nous regardions en soirée club. J’étais souvent dans la même sensibilité. Nous avons fait connaissance doucement sans précipitation et le sexe n’est rentré en jeu qu’après plusieurs mois. Il avait aussi beaucoup eu de partenaires avant d’attendre celle qui lui plairait suffisamment pour envisager un bout de route ensemble.
Au lit nous avons démarré par des relations prudentes puis nous avons exploré nos désirs profonds. Nous avons tous les deux besoin d’un sentiment de risque pour exacerber le désir et le plaisir. Ce que nous aimons plus que tout c’est faire l’amour dans des lieux insolites ce que j’avais peu pratiqué jusqu’alors et nous nous y employions assidûment. Bien sûr les grands classiques ont été nos bancs d’essais : les toilettes publiques, les fonds de salle de ciné, les parkings, les plages, les moyens de transport en commun, les airs d’autoroute. J’aime beaucoup cette pratique car le risque pris augmente notablement notre jouissance.
Récemment nous avons trouvé un terrain de jeu idéal une église intégriste où les curés disent la messe à l’ancienne en latin et en chasuble dorée. L’ambiance est trouble avec toutes ces dorures, ces cierges qui fument, ces vieilles femmes en noir à genoux.
La première fois mon homme m’a juste masturbée debout contre un pilier au fond dans un coin sombre. J’ai aimé. La deuxième fois nous y sommes allés aux heures creuses et il n’y avait presque personne. Nous avons baisé debout contre le même pilier sur lequel mon homme a projeté son sperme. Moi j’avais la chatte ruisselante et j’ai dû mettre un kleenex dans mon string.
Hier nous y sommes allés pendant un office. J’avais une jupe courte sans culotte et mon copain avait une braguette à zip sans slip dessous. Nous sommes restés au fond debout l’un derrière l’autre. Le public âgé, peu nombreux, semblait se complaire de l’ambiance triste. Le curé tournait le dos et semblait parler au mur plutôt qu’à ses ouailles. Une femme mûre en noir était à genoux derrière lui et agitait une clochette de temps en temps. Mon homme se frottait conte mon cul et j’ai senti sa bite durcir. J’ai entendu le bruit discret du zip et senti ses mains qui me touchaient la fente pour remonter ma jupe. L’instant d’après il me pénétra vivement et j’eu du mal à retenir ma voix. Il m’a baisé et j’ai eu immédiatement une sensation folle de plaisir interdit. J’ai joui sans délai en mettant ma main sur mon clito à travers la jupe. Mes contractions vaginales déclenchèrent son éjaculation au fond de mon vagin. Nous nous sommes réajustés et nous sommes restés un moment côte à côte, main dans la main, pour savourer ce plaisir intense. En ressortant de l’église son sperme me coulait sur les cuisses.
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