Cette aventure m’est arrivée fin août dernier.
Vu mon âge, malgré que je sois bien conservée (aux dires des hommes), je ne pensais pas que ça pouvait encore m’arriver.
Depuis que nous avons quitté le nord nous avons emménagé près de l’océan atlantique dans une ville en bordure de la côte.
Suite à un faux mouvement mon mari a eu un problème à un genou et pour quelques temps il ne peut plus m’accompagner pour la promenade que nous faisons tous les jours, quand les grosses chaleurs sont passées, en fin de journée, le long de la corniche qui borde l’océan.
Vêtue d’un maillot à bretelles, d’un short rouge seyant et chaussée de tennis je pars donc seule faire ma ballade.
J’emprunte le chemin qui longe la corniche ou on peut accéder à des petites criques sablonneuses par des escaliers.
Je marche tranquillement jusqu’à une plage située quelques kilomètres plus loin.
Assis sur un muret un jeune homme brun, assez grand, à la taille fine et aux yeux sombres me regarde avec insistance. Il est vêtu d’un tee-shirt et d’un short à la mode et chaussé de tongs.
Je soutiens son regard et lui souris tout en continuant à marcher.
Un peu plus loin après m’être arrêtée un petit moment, assise sur un muret en bordure de plage, pour regarder le mouvement des vagues et les quelques enfants qui jouent encore sur le sable je fais demi-tour.
Je passe de nouveau devant le jeune homme qui ne me quitte pas du regard, je lui souris de nouveau et lui dis bonjour.
Surpris il rougit et ne sait plus quelle attitude adopter.
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Il reste bouche bée, je continue ma route.
A un moment, sentant une présence derrière moi, je me retourne et je m’aperçois que le jeune homme me suit à une distance respectable.
Je poursuis mon chemin toujours suivie de mon chaperon.
Je comprends sans peine ce qu’il désire et voulant voir s’il va oser aller au bout de ce qu’il a commencé, comme il se fait tard et qu’il n’y a plus beaucoup de promeneurs, je descends dans une crique en empruntant un escalier.
Je marche sur le sable le long de l’eau tout en jetant un coup d’oeil derrière moi, mon suiveur est là.
Je me dirige vers un endroit ou la plage s’enfonce sous les rochers créant un petit abri.
Mon chaperon reste un peu plus loin immobile.
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Il ne bouge pas.
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Je me dirige vers lui, il a un mouvement de recul, le tenant par une main je l’attire dans l’endroit tranquille que j’ai choisi.
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Il bredouille, les mots ne veulent pas sortir.
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Rouge comme une pivoine il reste immobile. Ce qui se passe m’a émoustillée et mon intimité est humide.
Je m’approche de lui.
Je mets mes mains sur ses joues, je plaque mes lèvres sur les siennes. Il finit par ouvrir la bouche permettant à ma langue de pénétrer à l’intérieur.
Enfin sa langue vient à la rencontre de la mienne et elles se mêlent dans un long baiser.
Tout en l’embrassant une de mes mains vient caresser la grosse bosse qui déforme son short, il sursaute.
Je prends une de ses mains et la glisse sous mon maillot.
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Ce qu’il fait maladroitement par dessus mon soutien-gorge.
Je continue à prendre l’initiative, je déplace le sous-vêtement pour lui faciliter l’accès à mes seins qu’il caresse enfin délicatement comme si il avait peur de les abîmer.
Je mets une main dans son short et je joue avec son pénis gonflé par l’envie.
Ensuite tout en continuant à l’embrasser je prends sa main que je glisse dans mon short.
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Il s’exécute et sa main glisse sur mon sexe avec des mouvements lents et pas très appuyés.
Je décide d’accélérer les choses, je baisse son short, je mets sa jolie queue longue et assez grosse bien érigée à l’air puis je la caresse.
Je plie mes jambes pour que ma figure soit à la hauteur de son membre.
Ma langue lèche partout sa verge puis je la prends dans ma bouche et lui fais une fellation en la faisant pénétrer jusqu’au fond de ma gorge pendant qu’il pose ses mains sur mes épaules.
Il ne résiste pas longtemps à la caresse buccale. Il se raidit, ses doigts se crispent, ses ongles pénètrent dans ma peau, sa queue qui a encore augmentée de volume tressaute dans ma bouche et des jets de sperme frappent le fond de ma gorge.
J’avale le liquide abondant et continue à sucer pour qu’il ne débande pas.
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Je me lève et rapidement retire mon short et mon string.
Adossée à un rocher, les jambes écartées, je l’attire contre moi et prenant sa queue dans une main je la positionne à l’entrée de mon intimité.
Il donne un coup de reins et me pénètre. Ses bras autour de ma taille et les miens autour de son cou nous remuons en essayant de synchroniser nos mouvements tout en nous embrassant.
Les va-et-vient de sa verge dans mon intimité font monter le plaisir dans mon ventre et je commence à bien mouiller.
Notre accouplement dure un petit moment avant que je ne sente son corps se raidir et qu’avec des soubresauts son pénis n’arrose mon vagin de sa semence.
Pendant que nous nous rhabillons je lui dis:
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Il me regarde sans répondre.
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Je l’embrasse sur les lèvres.
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Je l’embrasse de nouveau sur les lèvres et nous partons chacun de notre côté.
Rentrée chez moi, mon mari regarde la télé j’en profite pour aller dans la salle de bain après lui avoir dit:
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Le lendemain je refais le même trajet tranquillement en profitant d’un petit vent et de l’air iodé de l’océan sans rencontrer Arnaud.
Au retour j’ai la surprise de l’apercevoir assis sur un banc près de l’endroit ou nous avons eu un rapport sexuel la veille.
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Il me regarde hébété.
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Nous gagnons le coin discret dans la petite crique.
Debout nous nous embrassons et caressons, il a pris de l’assurance et est plus fougueux que la veille.
Nous étalons la grande serviette de bain sur le sable.
Je le déleste de son short et je retire le mien ainsi que mon string. Nous ne sommes pas nus puisqu’il garde son tee-shirt et moi mon maillot.
Allongés nous nous caressons, il prend des initiatives: il relève mon maillot et déplace mon soutien-gorge.
Pendant qu’il caresse mes seins j’en fais autant sur son torse puis je lui demande de sucer mes tétons.
Ensuite je me positionne à genoux à l’inverse de lui et pendant qu’une de mes mains se promène sur ses cuisses puis sa queue, lui me caresse le sexe.
Après que je l’aie invité à doigter ma chatte j’embrasse et lèche son pénis avant de lui faire une fellation en variant la vitesse des aller-retour de ma bouche sur sa verge.
Je prends sa main libre et la pose sur mon clitoris que je lui demande de masturber en lui montrant comment si prendre.
Malheureusement il ne résiste pas longtemps à ma fellation et son sperme envahit ma bouche.
Après avoir avalé et continuée un peu à sucer son membre je me mets sur le dos et l’attire sur moi.
Je l’aide à me pénétrer en prenant sa verge avec une main et en la plaçant à l’entrée de mon intimité puis de concert nous remuons en nous embrassant de temps en temps.
Il me défonce pendant un petit moment puis je ressens les tremblements de son membre pendant qu’il se soulage dans mon ventre et se couche sur moi.
Je me dégage et l’invite à se coucher sur le dos.
je caresse son ventre puis sa queue ensuite je le masturbe énergiquement et quand enfin il est de nouveau en forme je lui fais une fellation pendant qu’il caresse mes fesses et agace mon clitoris.
Positionnée à genoux au dessus de lui j’introduis son pénis dans ma chatte puis je fais monter et descendre mon bassin imprimant des mouvements de va-et-vient pour faire coulisser son membre dans mon intimité.
Ensuite je me soulève un peu pour que sa queue sorte de ma chatte et avec une main je la place contre l’orifice de mon anus et en me baissant je la fais pénétrer dans mon cul puis je fais monter et descendre mes fesses sur sa verge par des mouvements de mon bassin.
Au bout d’un moment je me retire et me mets à genoux, il se place derrière moi et me prend en levrette.
Les aller-retour de sa queue alternativement dans mon cul ou ma chatte reprennent et durent un bon moment, il se cramponne à mes cuisses et quand ses ongles s’incrustent dans ma chair je ressens les tremblements de son pénis en moi et le sperme couler dans mon vagin.
Assis il récupère, je me rhabille puis il en fait autant.
Il me dit qu’il apprécie de faire l’amour avec moi.
Nous parlons un peu avant de nous séparer après un baiser sur les lèvres.
Je rentre chez moi et je sors la même excuse que la veille à mon mari avant d’aller me laver, il vaut mieux qu’il ne s’aperçoive pas de l’état de mes fesses .
Les jours suivants je ne rencontre pas mon jeune amant, il attendait que ses grands parents qui avaient loué un appartement de l’autre côté de la route avec vue sur la corniche et l’océan repartent pour le ramener chez lui dans la région parisienne.
Un intermède comme ça à mon âge ça ne se refuse pas et puis dévergonder un peu un jeune qui ne connait pas grand chose du sexe c’est un plaisir.
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