Nous avons décidé, comme nous le faisions tous les mois d’organiser un poker à 4 avec deux vieux amis Jean-Claude et Denis et Michel le frère d’Annabelle mon épouse.
Au dernier moment, Michel se désiste mais précise-t-il, je vous envoie un remplaçant.
Le soir venu alors que Jean-Claude et Denis sont déjà arrivés, on sonne à la porte, un homme d’une cinquantaine d’années se présente:
« Bonsoir, je suis là pour remplacer Michel au poker, je me nomme Jacques Darcy… » Soudain il s’interrompt en apercevant mon épouse :
« Mais on se connaît ! »
« évidemment !» dit-elle
Et s’adressant à moi :
« Je te présente mon ancien directeur, nous avons travaillé 10 ans ensemble !»
Il rentre fait la connaissance des autres participants, avant de descendre au sous-sol, Annabelle n’aime pas trop ces nuits de jeu où l’on boit et fume beaucoup, elle veut être tranquille au rez-de-chaussée.
Annabelle, je vous la présente : la soixantaine épanouie, brune d’origine, elle est maintenant teinte en blonde pour cacher les cheveux gris, un cul large, la chatte poilue, des seins lourds légèrement tombants, un peu prude mais capable de se donner avec ardeur et d’avoir des orgasmes à répétition. Ses organes sexuels sont exacerbés, il suffit de lui pincer les seins pour qu’elle mouille sa culotte et le moindre attouchement sur le clitoris la fait jouir à tel point que la selle de son vélo est souvent humide quand elle rentre de courses
Elle me prend à part :
« Je croyais ne jamais revoir ce connard prétentieux et macho, il ne peut pas voir une femme sans la draguer, je me demande où Michel a pu le rencontrer ! »
Les règles pour ces pokers sont simples, afin de ne pas risquer de faire des excès, nous convenons au départ de la somme dont disposera, en liquide chaque joueur, en l’occurrence 500 euros et il est interdit de faire des chèques ou du crédit.
Ça fait maintenant 3 heures que nous jouons et après une série de malchances, je vois enfin une éclaircie, il m’est rentré un jeu super : un full à l’as par les rois, la partie est très animée, les trois autres gars ont pariés, j’ai suivi, mais voilà qu’ils relancent, je ne vais pas avoir assez d’argent pour les suivre.
« Je suis à court, les gars. Puis-je mettre ma montre ? Sa valeur est de 200 €. »
« Je ne pense pas, ce n’est pas dans nos conventions et comme les autres, J’ai déjà une montre, je n’ai pas besoin d’en avoir deux ! Tu vas devoir te coucher !»
« Que puis-je faire ? Je dois jouer cette main ! »
Les gars sourient d’un air navré et Jacques dit quelque chose que je n’aurais pas voulu entendre.
« Je pense que puisque tu n’as plus de liquide tu vas devoir abandonner, je te propose quand même une solution si les autres sont d’accord, je veux bien compenser l’argent qui manque par ta femme. Si tu perds, celui qui gagne obtient le droit de baiser ta femme devant les autres ! »
Silence de mort pendant que les gars attendent ma réponse. Je suis abasourdi, mais reste convaincu que ma main va gagner.
Sans réfléchir plus avant, je vois une façon de m’en tirer.
« Permettez-moi de lui demander »
Je monte rejoindre Annabelle au rez-de-chaussée et en privé je lui explique la situation.
Elle écarquille les yeux de colère.
« Nous ne pouvons pas nous permettre de perdre 500 €, crétin ! »
« Je sais, chérie, voilà pourquoi je dois jouer cette main et gagner. Et puis si je gagne il y a plus de 3000 euros sur la table ce soir ! »
Je lui montre mes cartes, et elle est assez confiante pour accepter le pari.
Je retourne à la table avec Annabelle.
« C’est d’accord ! »
L’atmosphère change immédiatement, tous les yeux se portent sur mon épouse habillée d’un chemisier bleu et d’une ample jupe assortie ; les regards ont changé, ce n’est plus l’épouse d’un ami qu’ils ont en face d’eux, mais une proie possible, un enjeu comme celui d’une loterie, sauf que dans une loterie il y a des milliers de participants alors que là ils ne sont que trois avec une chance sur quatre de remporter le gros lot de 55 kilos qu’ils ont devant eux. Ils la regardent comme des maquignons, évaluent son cul, la forme de ses seins, les grandes lèvres de la chatte, son odeur, est-elle rasée ou non.
Annabelle rougit devant ces regards concupiscents qui l’évaluent.
« OK les gars, » déclare Jacques.
« Juste pour confirmer. Si l’un de nous gagne, il baise Annabelle devant les trois autres. Elle sera son esclave sexuelle et devra faire ce qu’il lui ordonnera. »
« ça n’a pas d’importance, parce que mon mari va gagner », déclare Annabelle confiante.
« Eh bien, nous verrons déposez les cartes, les gars »
Jean-Claude, en face de moi, dépose deux paires, une main assez faible compte tenu de tout l’argent qui est sur la table.
Denis, à ma droite, pose trois rois, mieux que Jean-Claude, mais moins que ce que j’ai.
Je pose trois as et deux rois, Jean-Claude et Denis gémissent, ils ne baiseront pas ma femme.
Je regarde avec confiance vers Jacques, mais mon cœur s’arrête quand je le vois avec un sourire carnassier de prédateur.
Il pose trois dames fait durer le plaisir et en rajoute une quatrième. Une maison pleine.
Annabelle crie :
« Nooon! »
Et Jacques pousse un cri de victoire « Ouuuiiii ! et maintenant je vais me taper la cinquième dame »
Il récupère son argent, le met dans son sac, Il pousse la table contre le mur et dit à Denis et Jean-Claude de s’asseoir avec moi du côté opposé de la salle.
Annabelle est sur le point de fondre en larmes, mais essaie de rester forte.
Jacques se déshabille et s’assit dans son fauteuil, son sexe n’est pas très long, il est par contre très épais.
« Annabelle, ma chère, faites-moi la faveur que vous m’avez refusé pendant 10 ans, enlevez ces habits qui cachent votre silhouette et mettez-vous en sous-vêtements. »
Annabelle, tête basse, cachant sa honte, commence à défaire son chemisier. Quand elle l’enlève elle montre à tous son soutien-gorge blanc en dentelle qui semble trop petit pour contenir sa poitrine.
Je remarque que Denis et Jean-Claude se trémoussent sur leurs sièges, clairement excités à cette vue.
Annabelle continue, sa jupe dégrafée tombe en corolle à ses pieds, elle l’enjambe et se baisse pour la ramasser. Sa petite culotte blanche est transparente et quand elle s’est baissée nous avons vu la raie du cul comme si elle était nue ; elle se retourne, sous la transparence on devine un buisson fourni.
« Très agréable et obéissante ! Tournez-vous pour moi, bébé ! » dit Jacques.
Annabelle se tourne comme un mannequin, quand elle regarde dans ma direction, ses yeux sont des poignards, mais je fixe le sol.
« Ouais, ça ne va pas. Denis, tu vas me faire une faveur et remonter les côtés de cette culotte pour dégager son cul. J’espérais un string, Annabelle. »
Annabelle frissonne comme Denis saisit sa culotte et relève les côtés autour de la raie.
« C’est beaucoup mieux. Maintenant mettez-vous à plat ventre et rampez vers moi. »
Annabelle prend une profonde inspiration, se met à genoux puis s’allonge sur le sol, avec les coudes et les genoux, elle progresse vers Jacques dont la queue se redresse.
Elle se déplace en rampant à travers la pièce, dans sa reptation, ses fesses se tortillent, quand elle passe devant Denis et Jean, ils se caressent à travers le pantalon.
Comme Annabelle atteint Jacques, il lui dit de se lever.
« Maintenant écartez vos jambes, » dit-il
Annabelle écarte les jambes normalement environ de la largeur des épaules.
« Écartez encore », ordonne t’il.
Annabelle écarte ses jambes au maximum.
« Maintenant, pliez la taille et prenez ma bite dans la bouche. »
Je sais qu’Annabelle déteste cela…
Annabelle hésite, donc Jacques att**** ses cheveux et tire la tête vers le bas jusqu’à sa bite.
Il saisit la mâchoire la force à ouvrir la bouche et pousse sa bite à l’intérieur.
« Oh oui, Annabelle, votre langue est très agréable. »
De ma chaise, je peux voir ce que Jacques a fait à ses sous-vêtements. Il a coincé la culotte dans la chatte, les poils sont maintenant apparents, il a une main qui maintient la tête sur sa bite pendant qu’avec son autre main, il lui malaxe les fesses.
Annabelle essaie de se dégager mais il la maintient fermement avec son corps, ce qui lui permet de dégager l’autre main, il att**** cette fois la culotte devant et derrière, cette malheureuse culotte n’est plus qu’un bout de tissu étroit qu’il fait coulisser de manière à frotter en même temps la chatte et le sillon fessier.
De cette façon, il stimule le clitoris et l’anus,
Je regarde la tête de ma femme qui suce la bite de Jacques à un rythme régulier et j’entends avec horreur qu’elle commence à gémir.
Jacques aussi a entendu, il glisse un doigt sous la culotte coincée dans sa chatte.
« Putain, la salope, » dit-il.
« Je savais que je voulais vous faire jouir, mais je ne pensais pas que vous mouilleriez à ce point. »
« Elle est trempée ! »
Il l’a relevée
« Tenez-vous droite ! » ordonne t’il
Ma femme se tient en face de lui, sa culotte tournée en forme de string.
Jacques porte la main vers son soutien-gorge et tire les frêles remparts vers le bas de sorte que les larges aréoles brunâtres apparaissent, il tire encore un peu plus et ce sont les mamelons qui se libèrent. Il pause ses lèvres sur le sein droit et prend le téton dans la bouche. Avec sa main droite, il commence à frotter la chatte, rentre le bout de ses doigts dans le vagin.
Je remarque avec dégoût qu’Annabelle a rejeté ses cheveux en arrière, et lève les yeux vers le plafond dans l’extase. Elle gémit et appuie ses hanches doucement contre les mains qui la fouaillent. Jacques est passé sur son sein gauche et a commencé à baver partout.
Il lève les yeux vers son visage.
« Êtes-vous prête à vous faire baiser ? »
Annabelle hoche la tête,
« mm hm, » dit-elle.
« Retournez-vous !», at-il dit.
Ma femme se tourne vers moi et les deux autres gars mais garde la tête baissée.
Jacques descend sa culotte jusqu’à ses pieds, il y a un murmure excité des deux observateurs quand elle dévoile son buisson en forme de cœur..
Elle enjambe la culotte que Jacques ramasse et garde dans sa main.
« Relevez-vous et mettez vos jambes de chaque côté des miennes, » ordonne t’il.
Annabelle fait ce qu’il dit, sa chatte humide en face de Jean-Claude et Denis qui admirent.
« Bonne fille » déclare Jacques.
« Maintenant, prenez ma bite et rentrez là dans votre chatte. »
Ma femme se penche et tend la main entre ses jambes pour att****r la queue de Jacques.
Etant debout, elle s’assit sur le sexe en érection, Elle est si humide, quelle s’est empalée d’un seul coup jusqu’à la base.
Elle halète à haute voix en état de choc et de plaisir, Jacques saisit sa mâchoire, lui ouvre la bouche et pousse sa culotte à l’intérieur.
« Vous êtes mon esclave, et ferez ce que je veux. Si cette culotte sort de votre bouche, votre mari me doit mille euros. Compris ? »
Annabelle acquiesce silencieusement les yeux fermés pour réduire la gêne alors qu’elle goûte avec sa langue le parfum de son cul et de sa chatte à travers la culotte tachée,
Jacques att**** son cul et le lève de bas en haut ; à chaque fois elle s’empale sur sa queue, elle rebondit sur ses genoux, levant son torse vers le haut et vers le bas.
« Caressez votre clitoris, bébé. », ordonne Jacques.
Regardant droit vers le bas, en évitant le contact avec nos yeux, Annabelle se frotte le clitoris. Sa chatte est déjà trempée, et un bruit de succion commence à résonner dans le sous-sol. Ce bruit se mélange avec le son des gémissements d’Annabelle, et le claquement ferme mais doux de son cul sur les cuisses de Jacques.
Après quelques minutes, Annabelle accélère son rebond, et Jacques sent qu’elle est sur le point d’exploser. Il pose ses mains sur ses omoplates et la tient en équilibre sans la laisser redescendre.
« Restez! » at-il insisté.
Annabelle essaie de tenir cette position, ses genoux légèrement fléchis, le bout de la queue de Jacques confortablement niché juste à l’intérieur de ses grandes lèvres. Je regarde ce que Jacques va faire ; il met son majeur dans la bouche le lubrifie de salive et le rentre dans l’anus.
Les yeux d’Annabelle s’écarquillent quand elle réalise ce qu’il fait et elle crie dans sa culotte alors qu’il s’enfonce jusqu’à la deuxième phalange.
Il maintient son doigt à l’intérieur du sphincter et lui ordonne de nouveau.
« Asseyez-vous! »
Annabelle redescend, entrant à nouveau les vingt centimètres dans sa chatte. Elle recommence à rebondir, Jacques gardant son doigt enfoncé dans le cul.
Annabelle accroche ses mains derrière le dos de Jacques, s’accroche aux épaules, maintenant qu’elle a trouvé un appui, elle rebondit de plus en plus vite..
Jacques semble attendre qu’elle aborde l’orgasme avant de la dissuader.
Une fois, qu’il remarque que le gémissement augmente d’intensité, il repositionne son poignet de sorte que son majeur pointe vers le haut.
Comme Annabelle est très occupée, elle ne remarque pas le changement, et quand elle redescend sur sa queue son doigt entre directement dans le cul jusqu’à la garde.
« MMMMMMMMPHHH ! »
Ma femme crie alors que la douleur irradie à travers son cul, un cri encore un peu étouffé par la culotte dans sa bouche.
« Allez, salope. Vous êtes si près! Jouissez pour moi ! »
Jacques raille alors qu’il continue d’empaler la chatte et le cul de ma petite femme. Il triture maintenant son clitoris avec trois doigts.
« Encore trempée », déclare –t’il
« Quelle pute ! »
Avec le doigt dans le cul, le moindre mouvement la fait sauter, et il le sait. Il l’enfonce légèrement vers le haut, ce qui la fait se lever, puis il la repousse vers le bas avec la main dans sa chatte.
Denis et Jean-Claude rient de la jouissance de ma femme malmenée.
Je me suis tassé dans ma chaise en secouant la tête de frustration quand je l’ai entendue gémir.
Jacques peut sentir qu’elle approche à nouveau l’orgasme, et cette fois il va la laisser éclater.
Je regarde avec dégoût sa chatte qui s’est serrée autour de sa queue et glisse de haut en bas.
Jacques a maintenant deux doigts qui écartent les grandes lèvres pendant qu’un troisième frictionne vigoureusement le clitoris.
Elle a la sueur luisante sur le ventre et les seins, qui pendent hors du soutien-gorge défait, les mamelons sont épais et durcis.
Annabelle s’empale de plus en plus rapidement sur la queue en érection, elle cherche la délivrance, elle ne sait plus où elle est, elle gueule sans discontinuer malgré le bâillon qu’elle garde en bouche, il faut dire que la petite culotte trempée de salive n’est plus qu’une boulette de tissu Jacques frotte toujours son clitoris, elle halète autour de son bâillon qui l’empêche de respirer profondément et rapidement. Ses seins se gonflent, ses yeux se révulsent, elle est complètement partie, au bord de l’évanouissement.
Comme ses mouvements se ralentissent, Jacques saisit le soutien-gorge qui la comprime et le déchire en morceaux.
Annabelle se décontracte contre sa poitrine et apprécie l’état post-orgasme pendant que Jacques caresse ses seins. Ses yeux se ferment et sa tête retombe sur son épaule.
« Pas le moment de se reposer, salope. Nous sommes loin d’avoir terminé », déclare Jacques.
Il pousse Annabelle en avant, Il att**** ses cheveux et la penche sur la table de poker. Elle est positionnée de telle sorte que moi et mes amis sont confrontés à son cul nu et sa chatte dégoulinante ; dans cette position, j’ai toujours connu un petit abricot fermé alors que là, je vois un abricot trop mûr, éclaté et rougeâtre…
« Ecartez vos fesses, MAINTENANT! » commande t’il.
Annabelle obéit, elle écarte ses fesses avec les mains, l’anus s’ouvre sous la traction.
Il se penche et crache dans le trou du cul dilaté,
Annabelle se prépare à l’inévitable. Elle avait espéré qu’il n’y aurait juste qu’un doigt dans le cul, mais elle sait que maintenant il va la déflorer de ce côté qu’elle m’a toujours refusé.
Je l’aurais plainte il y a dix minutes, mais maintenant qu’elle a joui comme une salope, je ne suis plus très empathique.
Jacques crache à nouveau et pousse le bout de sa queue contre son sphincter.
Comme il pousse de plus en plus fort, la tête de sa bite pénètre l’anus,
Annabelle crie très fort malgré la culotte.
« Ne me dites pas que votre mari n’a jamais baisé ce petit trou du cul serré !», déclare Jacques.
« Je suis vraiment un heureux gagnant ! »
Il pose ses mains sur les fesses d’Annabelle et les forcent à s’écarter encore plus largement pendant qu’il se penche en avant, poussant de tout son poids contre le trou du cul.
Il arrive à pousser sa bite de plus de la moitié de la longueur. Ma femme soulève ses mollets du sol, pliant les genoux, ses orteils serrés et recroquevillés indiquent la tension qu’elle éprouve.
Jacques travaille à nouveau son chemin hors et à l’intérieur de son cul, lentement de façon à obtenir de plus en plus de profondeur dans l’intestin. Quand il a été presque au fond d’elle, il est sorti jusqu’à ce que juste la tête du sexe soit à l’orée du sphincter, il s’agrippe aux épaules et d’un grand coup de reins avec toute sa force, il s’enfonce jusqu’aux couilles qui viennent taper sur la chatte
Ma femme se tortille, ses jambes sont toujours pliés aux genoux signe évident de douleur.
Jacques crache à nouveau, permettant à un jet de salive de gicler de ses lèvres à la base de sa queue. Après, il se déplace de nouveau dans et hors de son trou du cul avec plus de facilité.
Il crache encore deux fois, la lubrification semble efficace, sa bite arrive assez bien à glisser dedans et dehors.
Annabelle abaisse ses pieds vers le sol … apparemment elle est de plus en plus habituée à la bite dans le cul. Après il pourra baiser son cul aussi facilement que sa chatte,
Jacques accroche son bras droit sous son coude droit et saisit son coude gauche avec sa main droite. De cette façon, il peut contrôler à la fois les deux bras derrière son dos avec un seul des siens
Il pousse profondément dans son cul à nouveau, et recule, la tirant avec lui, et la faisant tourner de 180 degrés. Ils sont maintenant en face de nous, debout au milieu de la pièce. La tête d’Annabelle pend avec ses cheveux bloquant son visage, mais cela ne fait pas l’affaire de Jacques. Il agrippe ses cheveux et la tire en arrière, révélant son visage congestionné.
Jacques recommence à la baiser dans et hors de son cul avec une telle force que ses seins rebondissent et claquent sur son corps à chaque poussée. Elle voudrait les retenir de sorte qu’ils ne soient pas maltraités, mais Jacques a enfermé ses mains derrière son dos.
Son visage est coloré de bavures du maquillage dilué par les larmes qui ont coulé quand Jacques lui a pris la cerise anal.
Jacques lâche ses cheveux commence à nouveau à lui doigter la chatte.
« Mec ! » me dit-il.
« Tu dois essayer quelquefois. Non seulement son trou du cul se sent bien autour de mon sexe, mais elle semble aimer ça. Sa chatte est encore humide! »
Je lève les yeux vers son visage pour voir sa réaction, et elle me regarde avec une expression désolée. Il dit la vérité…
« Je vais le prouver ! » dit-t-il.
« Regarde-moi faire ta femme va jouir dans la minute suivante ! »
Il décroche ses bras et entoure sa poitrine. Il emprisonne le sein gauche avec sa main droite, serrant le téton entre l’index et le majeur ; son coude droit sous le sein droit l’empêche de rebondir et elle peut profiter de ses doigts un peu plus. Ils envahissent le vagin alors qu’il frotte son clitoris, et j’écoute avec incrédulité ma femme qui gémit comme une pute à nouveau.
« Euh. Euh. Euh. Ah. Ah. Ah. Oh. Mon. Dieu ! » S’échappe de sa bouche, malgré son bâillon.
Cela encourage Jacques pour aller plus vite et plus rapide à la fois avec sa bite et ses doigts.
Je vois les jambes d’Annabelle trembler ; encore une fois, elle est venue, retombant contre Jacques et en absorbant sa bite de toute sa longueur
Jacques essuie ses doigts sur son ventre et sort de son cul.
« A genoux ! », dit il.
Annabelle se retourne et se met à genoux devant lui.
Il retire la culotte de sa bouche et pousse sa bite à l’intérieur.
« Nettoyez, salope ! »
Annabelle suce sa bite et la nettoie.
Jacques déploie la culotte trempée et la place derrière la tête d’Annabelle, il se sert de ce lien improvisé pour l’obliger à le sucer plus profondément, jusqu’à ce que l’extrémité de son sexe frappe l’intérieur de la gorge.
Il se concentre très dur pour ne pas jouir, se mordant les lèvres et les yeux fixés vers le plafond.
De toute évidence, il y a non seulement le plaisir physique, mais la stimulation visuelle et mentale de posséder ma femme, qui l’amène au bord de l’orgasme, surtout quelle belle revanche que de posséder cette femme qui manifestement le méprisait et s’est toujours refusée à lui !
Il sort de la bouche d’Annabelle et dit:
« N’oubliez pas les boules ! »
Il lève sa bite et présente ses boules vers la bouche en attente.
Elle promène sa langue autour du scrotum, chatouille chaque boule une à la fois.
« Maintenant, mettez-vous à quatre pattes !», lui dit-il.
Elle se met rapidement en position et attend son prochain ordre.
Il se positionne sur ses reins avec un pied de chaque côté, le cul d’Annabelle en face de nous, Il sourit comme il fait une boule avec sa culotte qu’il pousse dans l’anus en écartant les fesses pour bien montrer à son public ce qu’il fait.
Il s’assit sur le sol en face d’elle, les jambes étendues, et lui dit de nouveau d’enfourcher sa bite. Annabelle se soulève, remonte sur ses genoux et écarte les jambes de chaque côté des siennes. Elle avance jusqu’à ce que ses seins touchent son visage. Il la prend ensuite par la taille, la soulève et positionne la chatte sur sa bite.
A nouveau empalée, ma femme commence automatiquement à rebondir de haut en bas sur sa queue, Jacques saisit ses seins et les porte à ses lèvres. Il serre ses dents sur son mamelon, qui grossit et durcit dans la seconde.
Une fois qu’ils sont tous deux fermes, il les pince et les tord comme s’il tournait un bouton de réglage. Annabelle réagit à cela en l’entourant de ses bras.
Mon embarras grandit comme je les regarde s’embrasser.
C’est incroyable. Il l’a dégradée en face de mes amis, il a violé son cul, il l’a fait jouir deux fois, et même si elle le détestait jusqu’à il y a environ une heure, elle est maintenant en train de l’embrasser passionnément.
Leurs bouches grandes ouvertes, leurs langues se touchent, ils sont comme des lapins en chaleur.
Annabelle s’agite sauvagement sur sa bite elle est prête à avoir son troisième orgasme de la nuit.
Jacques agrippe la culotte qui a été rentrée dans son cul et la sort lentement, puis il la repousse à l’intérieur, il utilise ce chiffon serré pour la masturber comme avec un gode
Elle semble apprécier et il est clair qu’ils sont tous les deux sur le point de jouir.
Je ne peux plus regarder, de peur de découvrir Jacques crachant son foutre à l’intérieur de ma femme.
« OK, je suis prêt ! » déclare Jacques.
« Levez-vous ! »
Annabelle se détache de lui.
Jacques se lève et la ramène à la table.
« Allongez-vous sur le dos ! » commande t’il
Elle fait ce qu’il dit. Il la saisit sous ses aisselles et la tire en arrière sur la table jusqu’à ce que sa tête pende.
« Ecartez les jambes, nous avons un public, qu’il ne faut pas décevoir ! »
Annabelle écarte les jambes aussi larges qu’elle peut, ouvrant sa chatte pour Denis, Jean-Claude et moi-même.
Jacques pousse sa bite dans la bouche qui s’ouvre d’elle-même.
Dans le même temps, il se penche en avant et plonge trois doigts dans la chatte qu’il caresse.
De sa main libre, il att**** le sein gauche et le serre très fort.
Annabelle saisi son cul comme si elle voulait le garder dans sa bouche, ses balles sont tombées sur son nez et l’ont un peu étouffée, elle secoue la tête pour respirer.
Il accentue le mouvement des trois doigts dans la chatte, en essayant de la faire jouir en même temps que lui.
Il regarde ses hanches rebondir au-dessus de la table, poussant sa chatte contre ses doigts pour qu’ils rentrent plus profond. Comme elle essaie de se faire pénétrer de plus en plus, il sait qu’elle est sur le point de jouir.
Il retire sa bite de sa bouche et lui ordonne de la caresser. Elle n’a pas besoin qu’on lui redise. Elle caresse sa queue avec sa main gauche, il saisit sa main droite avec la sienne et la dirige sur sa chatte. Ils frottent ensemble, ses hanches viennent à la rencontre des deux mains, elle gueule de plus en plus fort jusqu’à ce que l’orgasme la laisse inerte. En même temps Jacques pousse un hurlement de plaisir et lui inonde le visage d’une quantité de sperme.
Elle en prend une partie dans sa bouche ouverte et déglutit pour avaler. Alors qu’elle récupère de son troisième orgasme de la nuit, Denis et Jean-Claude se sont rapprochés sur un signe de Jacques, ils ont tous les deux le sexe sorti en érection et se masturbent sur elle inondant son abdomen du nombril aux seins de leur foutre gluant.
Annabelle git sur la table, souillée de partout, elle se redresse, essuie avec ses mains le sperme qui recouvre tout son corps. Denis et Jean-Claude rangent leurs bites dans le pantalon, remercient Jacques et repartent
Jacques se rapproche d’Annabelle il att**** ses cheveux collés de foutre et la regarde dans les yeux.
« Chaque fois que vous voulez le faire à nouveau, vous me faites signe. Vous êtes une sacrée salope, c’est un plaisir de vous défoncer très chère ! »
Annabelle ne trouve rien à répondre, elle reste abasourdie.
Jacques remet ses vêtements et se dirige vers la porte, s’arrête pour me taper sur l’épaule.
« Merci, mec. Tu es un gars chanceux !» dit-il en riant alors qu’il se dirige vers les escaliers.
Je l’ai suivi, il est sorti, je ferme la porte, je reviens au sous-sol, mais en entendant ma femme haleter sourdement, je décide que je ne peux pas lui faire face ce soir. Je vais au lit, seul, tournant et retournant le film de ce soir, encore et encore dans ma tête.
Je doute que nos vies redeviennent jamais les mêmes.
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