C’est la fin de l’après-midi.
Cette mère de famille n’est pas à la maison.
Elle a roulé 40 minutes, ses mains fines de femme rousse et mûre sur le volant de sa petite voiture, le regard fixe derrière ses lunettes qui lui donnent un air d’institutrice anglaise assez stricte.
Et la voilà, son joli corps frêle et blanc dénudé sur un lit, la tête dans le vide, avec un jeune homme sur elle, les genoux pliés, qui lui pine méthodiquement la bouche.
Si son fils la voyait ainsi, les lèvres investies par la queue comme les lèvres d’une vulve, peut-être serait-il choqué, mais peut-être dépasserait-il sa stupeur pour sortir son membre et se masturber en voyant sa jolie maman qui ne pense plus à rien, la bouche offerte à la bite qui va et vient.
Il ne pourrait s’empêcher de remarquer la petite touffe rousse et soignée comme une bruyère qui orne la fente toute rose de sa maman qui s’ouvre, comme une fleur, ses jambes fines ouvertes.
Il connaît ce corps, il l’a vue mille fois dans une position très analogue, sur les plages de Corse.
Ces mains, il les a vues mille fois préparer des repas dans la grande cuisine en bois clair, ou posées sur son cahier d’écolier.
Maintenant, elles pétrissent lentement les petits seins pommelés, non sans laisser apercevoir des tétons tout roses, dont il ne peut imaginer l’impact érotique, car il ne sait pas que sa mère pousse des soupirs très sonores et presque gutturaux lorsqu’on les lui suce.
Comme je l’ai déjà raconté dans d’autres histoire, Marlène est entrée sans un moment dans mon appartement après avoir sonné.
Elle s’est déshabillée en silence, et ce n’est qu’après de longues minutes ponctuées de bruits minuscules de tissus froissés que je pousse la porte, tout nu, me dirige vers lit et plonge directement ma queue dans sa bouche, comme nous en avions convenu précédemment.
Marlène le sait.
Cela fait une minute qu’elle se masse les seins, que sa fente à l’air commence à mouiller à l’idée de ne pas sa faire pénétrer.
Non, sa vulve doit céder la place à sa grande soeur, celle qui s’exprime, celle qui est dévolue à l’expression, à la pensée.
Ce sont ces lèvres là qui vont remplir sa fonction.
Car aujourd’hui Marlène n’a pas envie de faire l’amour. Elle ne veut pas se donner. Elle veut se vider la tête en se faisant remplir la bouche.
Finie, la journée d’enseignement, de préoccupations, de buts à atteindre. La bouche de la dame est ouverte, comme le serait un mollusque des océans primitifs.
Pour l’heure, cette femme distinguée, habituée à se concentrer farouchement sur un projet, à froncer le sourcil n’a guère plus de pensées qu’une méduse ou qu’un oursin.
Ses lèvres sont une fleur ouverte qui n’attend que la pénétration de l’être non moins primitif qui viendra non pas la butiner, mais lui déverser ses sucs intimes, jaillis de plusieurs glandes échauffées pour produire leur suc collant, dans une parodie obscène d’un acte reproducteur.
Elle n’a pas à proprement parler ce que les hommes grossiers nomment une bouche à pipe.
Ses lèvres ne sont pas gonflées de vulgarité, comme certaines femmes qui, en temps normal, semblent mimer le regard vide et étonné des poupées gonflables.
C’est justement pour cela que c’est si excitant de s’avancer vers Marlène nue, et de lui enfoncer la bite dans la bouche, sans rien dire.
Je ne me retire que pour me branler au-dessus de son visage.
Sa langue est douce. Elle me lèche bien les couilles, la salope.
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