Je suis en visite chez mon frère pour le week end dans le sud de l’île. Samedi soir, il appelle quelques potes et après avoir bu quelques bières, on décide d’aller dans une boîte de nuit. On danse un peu, on boit un peu, on drague un peu et comme souvent on se fait souvent rembarrer. Mais il faut plus pour écorcher mon égo de macho. Je finis quand même par récupérer un numéro de téléphone que je testerais bien dès le lendemain. La nuit avance et il ne reste plus grand monde dans la boîte de nuit. Même quelques potes et mon frère sont déjà partis. Et pendant que je commence à ranger mes affaires pour partir aussi, une fille africaine ou antillaise, une robe très courte et très serrée s’approche de moi et me demande si je danse. Ok, avec plaisir ! Elle est jolie, ne casse pas des briques mais baisable. De longs cheveux secs, une peau douce et un parfum un peu fort, surtout mêlé aux différentes odeurs de l’endroit.
On danse de plus en plus collés l’un à l’autre. Les danses sont de plus en plus sensuelles et lascives et n’ont parfois rien à voir avec la musique proposée. Elle finit par prendre les choses en main, enfin plus exactement ma tête pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Elle est directive, elle sait ce qu’elle veut… on dirait que ce soir c’est pour moi, j’ai bien fait de rester plus tard. Elle m’embrasse à pleine bouche, plutôt elle me dévore complètement et petit à petit l’excitation monte en moi et je commence à répondre à son impulsivité. Je lui caresse les seins, petits mais fermes, et je vais chercher du doigt la raie de son cul. Elle est comme moi, elle veut baiser, mais où ? l’excitation est dans l’instant, pas question de rentrer chez l’un ou chez l’autre, c’est maintenant, c’est ici ou ça ne sera pas !
On se retrouve finalement dehors, prêt du parking, mais suffisamment dans la pénombre pour éviter des curieux. Elle s’assoit sur une caisse, à côté des poubelles, et recommence à m’embrasser avec encore plus d’intensité. Je la caresse avec plus d’insistance. Je glisse ma main sous sa robe, écarte sa petite culotte, cherche son clitoris et ses lèvres… mais je ne trouve rien à part quelques poils… je continue de descendre pour me retrouver un braquemart d’au moins 20 cm dans la main. Elle, euh il, non elle s’arrête de fourrer la langue dans ma bouche pour voir ma réaction. Je n’ai pas bougé, en pleine réflexion entre une excitation brûlante, une surprise pas forcément agréable et un « est-ce que quelqu’un m’a vu avec elle ? ». Ne voyant aucune réaction de ma part, elle continue de me dévorer, mais elle a ajouté en même temps un mouvement du bassin pour se branler avec ma main immobile qui tenait toujours son chibre bien tendu. Elle finit par me dire : « ne t’en fais pas, tu vas aimer ça ». Ses deux mains qui tenaient fermement ma tête, la poussent maintenant vers le bas. Je résiste quelques instants et puis je me dis que l’excitation est trop forte, tant pis je m’y mets. Moi, mec à femme, qui n’a jamais su se caser plus que quelques mois avec une femme, mais qui en a connu pas mal, je suçais une bite. Le pire, c’est que j’y ai pris du plaisir. Elle était tendue, bien ferme, fine mais longue, assez droite à part les 5 derniers centimètres, avec la même odeur indescriptible que la mienne, et surtout elle faisait des va et vient dans ma bouche, de plus en plus profondément. Elle n’avait plus besoin de me tenir, je suçais cette magnifique queue avec plaisir, laissant parcourir ma langue sur sa rampe, sur son gland, sur ses couilles. Je bandais comme un âne, elle était sexy, dominante, avec une belle queue. Je baisse mon pantalon parce qu’il me gêne, et je commence à me branler furieusement tout en continuant à la sucer. Elle me dit avec un sourire en coin : « tu vois que tu aimes ça, petite salope !». Non, là c’en était trop, je me révolte. Je la fais descendre de sa caisse, la retourne et la penche en avant un peu violemment. Je lui crie : « et toi, tu l’aimes ma queue maintenant ? tu aimes que je te défonce le cul ? ». Je ne me contrôlais plus, je l’enculais avec rage et excitation en même temps. J’étais furieux de ce « piège », d’avoir succombé et sucer cette bite. Je l’enculais si fort, certainement pour me prouver à moi-même que je n’étais pas gay…comble de l’ironie, je baise un mec pour me prouver que je ne suis pas gay…Elle criait aussi son plaisir de sentir enfin l’homme qu’elle travaillait depuis une heure en elle. Si fort, si intense, qu’il ne m’a pas fallu plus de 2 minutes pour jouir en elle. Je me retire, du sperme sur la queue, elle est penchée sur sa caisse, haletante. De son cul ressort petit à petit mon foutre et une couleur marron l’accompagne. Toujours furieux, je remonte mon pantalon, attache ma ceinture et je rentre chez moi. Le lendemain matin, ne sachant plus très bien si c’était un rêve, un cauchemar ou la réalité, je me suis rappelé le plaisir que j’ai eu à sucer une belle bite… peut être plus la prochaine fois !
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