Ma femme et moi avons la quarantaine, et notre activité sexuelle nous plaît beaucoup. Pendants nos ébats, nous parlons de nos fantasmes afin de booster notre libio, sans plus, enfin, jusqu’à ce fameux jour.
Travaillant dans un supermarché du coin, elle m’annonça la veille qu’elle commencerait tôt le lendemain matin, très tôt même, mais finirait tôt aussi, et pour ne pas me déranger tôt le matin, elle avait pris l’initiative d’en parler à un collègue de travail pour qu’il puisse la récupérer chez nous. Elle me dit qu’il s’appelle Laurent et qu’il est très galant envers tout le monde dans l’entreprise, et qu’il ne voyait pas d’inconvénient à passer la récupérer. Sur ce, je lui dis que cela m’arrangerait de ne pas faire le trajet trois fois de suite, puis elle lui téléphona et l’informa.
Après le dîner, nous nous sommes installés dans notre grand canapé et regardons un film érotique, qui commençait aussitôt à faire son effet. Je crois qu’elle avait vu mon érection et posa sa tête sur le haut de ma cuisse et commença à me caresser par-dessus mon caleçon. Moi-même, j’avais une main sur un de ses seins que je caressais. Ne pouvant plus, elle leva la tête, descendit mon caleçon et me prit en bouche. Elle aime ça, que dis-je! elle adore ça. Puis, elle se mit sur ses genoux, sur ce, je descendis son pyjama et pus découvrir un très beau shorty à dentelles. Elle s’appliquait toujours à me sucer en remontant sur toute la longueur de ma tige, en s’attardant parfois sur le méat…ahhhhhhh qu’elle est bonne, trop bonne.
Moi-même, j’avais deux doigts dans sa chatte en feu et faisaient leur effet car elle cambrait ses fesses au maximum pour les sentir. Comme à notre habitude, on partageait nos fantasmes et je ne sais pas ce qui m’a pris de lui dire:
– ahhhh oui ma chérie, continue…comme si tu suçais Laurent!
Et là, elle prit ma bite entièrement en bouche et me suça divinement, longuement jusqu’à ce que je puisse inonder sa bouche de ma semence qu’elle avala jusqu’à la dernière goutte.
Puis, je la retournais et je lui dis que si elle aimerait que Laurent lui bouffe la chatte? Elle me dit: ouiiiii
Je plongea ma tête entre ses jambes et mes lèvres rencontrèrent sa chatte toute humide. Je me mis à la place de Laurent du comment il donnerait du plaisir à ma femme. Là je m’appliquais à lui titiller le clito avec ma langue, remontant jusqu’à sa rondelle où je m’appliquais aussi à rentrer la langue. Elle ne tenait plus, elle haletait, gémissait et finit par dire: ouiiiiiiiii Laurent, bouffe-moi, ohhhhhhh c’est bonnnnn; oui, vas-yyyyy, encule-moi avec ta langueeeee, c’est troppppp bonnnnn, ohhhhh ouiiiiii vas-yyyyyyy
Ma bite reprit de la vigueur et je lui dit:
-tu veux que Laurent te baise!
-ouiiiiii mon chériiiii, je veux qu’il me baiseeee! baise-moi Laurent, je te veuuuuuxxxxx!
J’écartais encore plus ses jambes et positionna ma bite devant sa chatte et la baisa comme un fou, tout en lui disant si elle aime ça et qu’elle voudrait vraiment que Laurent soit là pour la baiser.
Elle me regarda dans les yeux et me dit que oui; car elle me dit qu’une fois, elle l’avait surpris dans les toilettes pour dames entrain d’uriner et qu’il tenait en main une grosse, une très grosse bite. Il s’était excusé car les toilettes pour hommes étaient en rénovation et urgence il y avait. Puis elle me dit qu’elle n’avait jamais vu une bite aussi grosse auparavant; sa bite était aussi grosse que la mienne qui fait quand même du 18cm par 6cm. Et moi de lui répondre tout en la baisant vigoureusement:
-et tu voudrais l’essayer?
-nonnnnn, me dit-elle, tout en haletant et gémissant de plus belle à chacun de mes coups de boutoirs.
Je sentis que j’allais venir en elle et lui dis:
-ahhhhhhh je sens que je vais jouir!
-ouiiiii, remplis-moiiiiii Laurent, encore, encorrrreeeee, ouiiiii vas-yyyyy Laurennnnnttttt
Là je la pilonnais comme jamais et ahhhhhhhhhhh c’est bonnnnnnn me dit-elle; et me vida en elle. Puis, nous nous sommes couchés.
Vers deux heures du matin, on frappa à la porte; je partis ouvrir la porte et je vis un homme, la cinquantaine, bien bâti, qui se présenta être Laurent, le collègue de travail de ma femme, venu la récupérer. Ma femme m’a bien détaillé sur lui, homme galant envers tout le monde. Je l’invita à entrer et si il voulait une tasse de café, il me dit oui! Nous passâmes à la cuisine et pendant que je préparais le café, il visitait la maison du regard et me dit que nous avons une très belle demeure, bien entretenue et rangée. Je lui dis que tout le mérite revient à ma femme. Je lui dis de ne pas trop faire de bruit car ma femme était encore au lit et que j’irais la réveiller dè s que la cafetière sera en route. Il me dit de ne pas trop brusquer, car lui-même était en avance. Puis il me dit où était les toilettes et je lui indiquait. Les toilettes étaient au bout d’un couloir, et il fallait passer devant notre chambre et le salon. J’attendis qu’il revienne et je rejoignis notre chambre où je remarqua que la porte était grande ouverte; je me suis souvenu que je n’avais pas fermer la porte de notre chambre en allant ouvrir à notre visiteur. Je me suis dis que Laurent aurait tout le temps d’apercevoir, de mater ma femme allongée sur le lit avec la lampe de chevet allumé qui éclairait une partie de ses fesses, sa cuisse droite et le début de sa
poitrine. Je revins aussitôt vers Laurent dans la cuisine; je le vis assis, accoudé à la table, attendant le café; il me vit et me regarda. Je m’approcha de lui et je ne sais pas ce qui m’a pris, je lui dis à voix basse:
-j’ai oublié de refermer la porte de la chambre et… il me coupa en disant:
-oui, me dit-il; j’ai aperçu H******** sur le lit; c’est la première fois que je la vois comme ça!
Puis je lui raconte cette petite rencontre dans les toilettes des dames et me dit que c’était vrai, sans plus. Et moi de lui dire, qu’elle avait vu sa bite et qu’elle la trouvait énorme. Je voudrais en avoir le coeur net et s’il était possible de la voir. Il était tout surpris de ma demande et me dit si j’étais homo. Je lui rassurais que non; mais que je sortirais aussi la mienne et là je saurais que ma femme disait vrai. Il se dégrafa et sortit une bite encore molle et là je vis que même avec mes 18cm et 6cm, elles étaient presque de la même dimension. Ma femme disait vrai. Et là je lui raconte notre baise d’hier soir; je lui dis que si lui, il aimerait se la faire maintenant. Il me regarda et me dit que si je savais ce que je faisais; je lui dis oui. Je lui soumis le plan:
il se mettra tout nu, attendra que je sois sur lit, me mettant à caresser ma femme et à l’emmener à vivre le fantasme d’hier soir, puis il nous rejoindra sans que ma femme ne se doute de rien.
Je le laissais dans la cuisine et rejoignis ma femme sur le lit. J’ai pris le soin de laisser la porte un peu entre ouverte. Je diminua la lampe de chevet puis je vis une ombre bougée derrière la porte, je sus que Laurent était à son poste d’observation. Je commençais alors à poser ma main sur ses cuisses et à remonter vers le haut jusqu’à son sexe que j’écartais à la vue de Laurent. Elle avait toujours les yeux fermés et gémissait doucement. Mon coeur battait la chamade et ma bite était dressée au maximum. Puis je pris un téton en bouche tout en la caressant; elle était toute humide et gémissait. (J’ai oublié de vous dire, que Laurent et moi-même avons la même corpulence et la même coupe de cheveux en brosse) Tout en la caressant doucement et en permutant d’un sein à l’autre, je lui disais que si elle aimerait que Laurent soit là pour la baiser! et dans un gémissement, elle me dit que ouiiiiiiii, qu’elle adoreraiiiiiiit se faire prendre par Laurent. Et je continuais toujours à la caresser et à lui lécher ses seins. Je sentis que son plaisir montait encore plus; là je lui dis que j’allais me soulager et serais de retour aussitôt. En sortant de la chambre, j’éteignis la lampe de chevet, je faisais mine d’aller jusqu’au toilettes, tira la chasse d’eau et revins. Mais c’est Laurent que j’invitais à entrer avec moi dans la chambre. Je lui fis signe de mettre sa tête entre les jambes de ma femme et de lui lécher la chatte. Laurent se positionna entre les jambes de ma femme et avança sa tête devant la chatte de ma femme. Je la vis appuyer sur sa tête et un long gémissement sortit de la bouche de ma femme. Je voyais la tête de Laurent qui s’activait et des coups de langues qui en disaient long sur ce qu’il prodiguait à ma chère et tendre épouse. Elle bougeait les fesses et gémissaient encore et encore. Elle disait:
-ohhhhhh monnnn chériiiiiii quee j’aimerais que Laurent me bouffe la chaaaaaatte; je suiiiiss sûrrrrrr qu’il aimerait çaaaa.
Au terme de 10mn de ce traitement, j’entendis ma femme dire:
-chériiiiii prends-moi maintenant par derrière avant que Laurent n’arrive.
Je la vis se retourner sur le ventre, remonter ses fesses et les cambrer à damner un saint.
Elle gémissait toujours en disant:
-vite mon chéri, prends-moi vite!
Laurent me regarda et lui fis signe qu’il pouvait aller. Il positionna le bout de sa bite devant les lèvres de la chatte de ma femme. Elle avait déjà prit de grosses proportions, énorme. Je me suis dis qu’elle va la sentir celle-là.
Ma femme poussa en arrière, et je vis le gland rentré et disparaître suivi de la moitié de la bite. Ma femme cria et dit:
-salauuuud, tu as mis une ceinture à gode? qu’il est groooooossss! ahhhhhhhhh troooppppp groooossseeee ahhhhh ouiiiiiiiiiiii c’est trooopppppp, continuuuuuuueeeee moooon chériiiiiiiii
Et Laurent qui commençait à rentrer entièrement en elle et qui la labourait maintenant. A chacun de ses coups de boutoirs, ma femme criait, suppliait d’arrêter mais je faisais des gestes à Laurent d’y aller encore plus fort.
On entendait que des ahhhhhhhh ouiiiiiiiiiiii…. et au bout d’une vingtaine de minutes, Laurent dans un crie rauque jouissait dans la chatte de ma femme et celle-ci encore haletante, cria son plaisir. Laurent se retira de ma femme et sortit. Ma femme reprit ses esprits et me dit que si je l’avais baisé avec une ceinture à gode, je lui dis que oui, et elle de me répondre qu’elle a beaucoup aimé et qu’elle aimerait essayer avec une vraie bite. (si elle savait). Puis, on entendit qu’on frappait à la porte et elle de me dire que c’est peut-être Laurent en regardant l’horloge sur la table. Je lui dis que je vais faire enter son collègue de travail et nous préparer du café, et qu’elle a tout le temps de se préparer. Après un dernier baiser, je la laisse sur le lit, épuisée par la grosse bite de Laurent.
Je vous raconterais une autre histoire vécue, mais avec un ami de Laurent.
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