Je m’appelle Emma, j’ai 20 ans. Je suis brune aux cheveux longs, j’ai les yeux marron foncé, assez petite (1m63) avec une peau matte. Pour rentrer un peu plus dans les détails, j’ai un corps plutôt avantageux : une corpulence dans la moyenne, une grosse poitrine et des fesses assez bien formées ce qui me vaux de souvent me faire aborder dans la rue ou klaxonner par des inconnus. C’est une chose qui à la fois me plaît et me déplaît. En effet, je trouve ça plutôt plaisant d’être attirante aux yeux des mecs, en revanche, je suis en couple depuis quelques années et je suis très épanouie avec mon copain, c’est une relation très sérieuse.
Je me suis installée avec lui dans une grande ville il y a maintenant 6 mois, le coût de la vie nous oblige à beaucoup travailler pour réussir à vivre convenablement. Après des mois de recherche, j’ai enfin trouvé un poste de secrétaire dans un cabinet de gynécologie, c’est loin d’être le travail rêvé, mais je n’ai pas vraiment le choix. Quant à lui, il travaille dans une grande entreprise d’informatique et enchaîne les heures supplémentaires.
Voilà déjà 1 mois que j’y travaille, c’est un cabinet classique dans un immeuble au 1er étage, pas très grand, avec un long couloir qui mène à la salle d’attente, mon bureau derrière une grande baie vitrée à travers laquelle on ne distingue pratiquement rien si ce n’est des formes proches, et enfin le cabinet gynécologique avec un bureau dans une pièce à part pour mon patron. Nous ne sommes que deux : moi et mon patron, monsieur Bertrand un homme de grande taille, la quarantaine avec des cheveux grisonnants et les yeux marron. Un certain charme, je dois l’avouer bien que je n’ai jamais envisagé quoi que ce soit avec lui, même s’il m’était arrivé de fantasmer sur ce genre de scénario quelques fois en me masturbant. Un homme de son âge ne doit pas s’intéresser à une jeune femme d’à peine 20 ans comme moi, et puis-je me disais que ces choses-là ne doivent se passer que dans notre imagination.
Mon patron est du genre strict, par contre, il sait être gentil quand tout se passe bien. Habituellement, je dois toujours être habillée proprement : un haut simple avec un léger décolleté, une jupe ou un pantalon sobre, des talons et suivant la saison, des collants ou non. Il m’arrive parfois de faire des erreurs dans mon travail ce qui m’avait valu plusieurs remarques. Je suis une débutante, mais il ne se montre pas très compréhensif à ce niveau et il y a une semaine, il m’a clairement fait comprendre que ma place était loin d’être acquise. Après une erreur de gestion dans le planning, il est venu me voir pour me dire que c’était la dernière erreur qu’il tolérait et que la prochaine signifierait la fin de mon contrat.
C’est aujourd’hui à 18 h après le départ de la dernière patiente qu’il est venu dans mon bureau avec l’air grave, et entama cette conversation me fit pâlir :
– Bonsoir Emma, vous êtes une secrétaire charmante, mais une fois de plus vous avez commise une erreur. La livraison des équipements pour le mois a été retardée à cause de votre incompétence, on a déjà eu cette discussion un certain nombre de fois et je ne peux pas me permettre de continuer avec vous dans ces conditions.
J’étais livide, il est vrai que je m’y étais pris un peu tard, mais je faisais vraiment de mon mieux et je ne m’attendais pas à cette nouvelle.
– Monsieur, s’il vous plaît, laissez-moi une dernière chance, ce travail, c’est tout ce que j’ai, je ne peux pas le perdre.
– Je suis désolé, mais je ne peux pas faire autrement, vous me mettez vraiment en difficulté pour la semaine à venir et je vous avais déjà prévenue plusieurs fois.
J’allais perdre mon travail, que penserait mon copain?? Son seul travail ne pourrait pas nous permettre d’assurer toutes les charges, il fallait que je garde ce poste à tout prix, c’est alors que je répondis une chose qui allait avoir une énorme incidence sur ma vie sans que je ne m’en rende compte :
– Je vous en supplie monsieur, je ferais tout ce que vous voudrez, mais je ne peux pas perdre ce travail, il est vital pour moi, je risque de perdre mon appartement, je ne peux pas être dépendante de mon petit ami, on a déjà trop de mal à deux.
Son regard venait de changer, il était toujours dur, mais semblait aussi un peu plus vicieux avec son léger sourire en coin qui venait d’apparaître ce que je ne remarquais pas tout de suite.
– Tout ce que je voudrais vous dites ?
– Oui monsieur, ce travail est bien trop important, je suis prête à faire tous les efforts nécessaires !
– Voilà quelque chose qui me plaît bien !
C’est là que je pris conscience de son regard et de son sourire ainsi que leur signification. Je ne savais plus quoi répondre, je ne pouvais pas me retrouver au chômage et je le voyais se rapprocher de moi de plus en plus. Il n’avait pas besoin de dire un mot pour que je comprenne, pourtant face à mon blocage, il reprit la parole :
– Si vous me faites du bien, je pourrai sûrement reconsidérer votre place ici.
Je restais sans voix, totalement livide, il me demandait de le sucer, lui qui avait l’air si sérieux d’habitude, je pensais à mon copain ainsi qu’à notre situation et machinalement, je lâchais un petit « oui » sans vraiment imaginer ce qu’il se passerait par la suite.
Il défit sa ceinture et baissait déjà son pantalon avec son grand sourire, il me disait que j’avais pris la bonne décision, il bandait déjà fort dans son caleçon qui était à la hauteur de mon visage. Il finit par la sortir, je l’avais sous les yeux, je pouvais sentir son odeur, voir son sexe qui n’était pas si petit que ça. Je ne savais pas si je pouvais reculer, j’hésitais…
– Eh bien, allez-y ! Votre petit copain n’en saura rien !
Me dit-il alors. Machinalement, je rapprochais le bout de mes lèvres de son gland jusqu’à l’embrasser doucement. Mon patron, pas vraiment tendre s’impatientait et prit ma tête dans ses mains pour la maintenir et faire glisser son sexe dans ma bouche.
Voilà, j’y étais, plus de retour en arrière possible, je pensais à mon copain, j’étais terriblement gênée mais c’était trop tard, je suçais la queue de mon patron, assise à mon bureau.
Je le laissais tout gérer, c’est lui qui faisait des va-et-vient avec son bassin dans ma bouche, je ne faisais que subir ses assauts. La scène dura près de 5 minutes avant qu’il me demande d’être plus entreprenante et de mettre la langue cette fois-ci. Je ne pouvais pas refuser alors je m’exécutais, ma langue tournait doucement autour de son sexe, il avait l’air d’aimer, il m’ordonna ensuite de le branler avec ma main ce que j’acceptais à contrecœur.
Toujours avec son grand sourire, se permit de me demander si j’aimais les gorges profondes. C’était quelque chose qui arrivait souvent avec mon copain, je fis donc oui de la tête. Il répondit qu’il le savait et que ça se voyait. En entendant cela, j’ai eu une étrange sensation de satisfaction au fond de moi, comme si j’avais reçu un compliment pourtant, j’étais toujours aussi mal à participer à cette scène.
Il prit tout de même temps de me signaler qu’il allait jouir dans ma bouche et que je devrais avaler, j’avais peur et j’essayais de ne pas le montrer…
Il me demandait si j’avais pour habitude d’avaler, je lui répondis que oui et c’est à ce moment qu’il se mit à jouir dans ma bouche, comme si savoir que j’étais adepte de ce genre de chose avec l’homme qui partage ma vie l’excitais encore plus. Son sperme sortait par jets sur ma langue et dans ma gorge, d’habitude, je le faisais avec plaisir, mais cette fois, j’étais un peu dégoûtée, je me forçais à avaler avant de reprendre ma place et de lâcher son sexe.
Je m’attendais à ce que ça soit fini, mais il m’ordonna de nettoyer sa queue qui était encore dégoulinante de son sperme et de ma salive, je le fis sans protester.
Il avait l’air ravi de ma prestation, il me dit que je ne m’étais pas trop mal débrouillée pour une première fois, mais que si je voulais garder ma place, il faudrait continuer ses séances-là que je lui devais obéissance et que si je devenais son petit jouet sexuel bien docile, il pourrait envisager une promotion.
Je compris que c’était loin d’être fini pour moi et qu’il avait l’air vraiment dominant, mais je m’étais résignée, les prochaines fois seraient sûrement pires, mais je devais garder ce travail alors j’acceptais.
Au moment de partir, il vint vers moi et caressa ma joue avant de me dire au revoir avec son grand sourire satisfait.
Étrangement ça me fit plaisir de recevoir un peu de douceur de sa part, je me mis à sourire sans le remarquer, puis je rentrais chez moi en repensant a tout ce qu’il venait d’arriver.
Tout cela me rappelait les scénarios des films pornos que je regardais parfois le soir et que j’aimais tant, je sentis un léger frisson dans ma culotte. J’avais encore toutes les images de cette fin de travail en tête, mais cette fois, j’avais plus l’arrière-gout de quelque chose d’excitant et de secret plutôt que quelque chose de mal… Je savais pourtant que ça n’était pas bien du tout, mais je gardais cette pensée coquine dans un coin de ma tête.
Arrivée à l’appartement, je ne fis mine de rien et allais me coucher. J’avais décidé de tout garder pour moi toute seule, pas question que quelqu’un apprenne ce terrible secret, surtout pas mon petit ami. Je finis par m’endormir tant bien que mal avec ces images obscènes avant d’entamer une nouvelle journée d’un travail dans lequel j’avais de nouvelles responsabilités.
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