Pour Sofia, ce fut une grosse semaine comme elle les aime. Enculée quotidiennement matin, midi et soir. Elle n’a pas compté toutes les bites qu’elle a sucées. Probablement une bonne cinquantaine. Elle a reçu une impressionnante quantité de foutre dans son cul, dans son estomac, sur son visage et sur ses bas. Un sperme qu’elle prend toujours autant de plaisir à savourer. Des clients, des amis de son patron. Tous ont eu l’honneur de lui défoncer la bouche, la chatte et l’anus. Gavée de salive, de cyprine et de semence. Elle s’est même aventurée sur l’autoroute pour se faire défoncer par des routiers.
Sofia adore qu’on la considère comme une pute bourgeoise, comme une salope, comme une traînée, comme une garce à bites, comme une putain à foutre. Elle assume totalement ce qu’elle est. Elle ne renonce à aucune de ses envies.
Ce soir, comme tous les soirs, Sofia est de sortie. Rendez-vous a été donné dans un château de la région parisienne. La bourgeoise a été conviée à cette soirée très privée par son patron. Dresscode obligatoire : bas couture et talons aiguilles. Le reste de la tenue est au libre choix de l’invitée. Sofia a choisi tout cela avec soin : un corset vermillon à jarretelles qui peine à retenir des bas couture noirs mais qui souligne ses gros seins et son cul prêt à être profondément enculé. Bien sûr, elle n’a pas manqué de mettre une chaîne de taille ainsi que plusieurs chaînes de cheville. Celles-ci indiquent un message sans équivoque : CUMSLUT, WHORE, SPERMLOVER. À ses pieds, des bagues d’orteil et des escarpins noirs vernis aux vertigineux talons de seize centimètres. Sur cette parfaite tenue de chienne à foutre, elle a revêtu un tailleur de cuir noir qui épouse parfaitement ses formes. À son cou, elle a enfilé un collier de cuir. Sofia a maquillé ses yeux d’un noir profond et ses ongles longs d’un rouge sanglant, de la même teinte que ses lèvres. Enfin, l’entrée de son cul est gardée par un plug conséquent.
Sofia sait qu’il y aura d’autres salopes comme elle à cette soirée. Des chiennes bien dressées, lubriques et dépravées, avides de bites et de foutre.
Dès son arrivée dans la salle de réception du château, Sofia fait sensation. Des hommes se palpent l’entrejambe, d’autres n’hésitent pas à appuyer leurs regards vicieux sur la couture de ses bas. Dans la grande pièce richement décorée, il y a d’autres salopes du même acabit. Le bonheur sur terre pour les fétichistes. Des bas couture à foison, des talons aiguilles par quantité, des bouches bien rouges qui ne demandent qu’à se faire défoncer. Sofia s’avance, regarde les autres putains, notamment leurs escarpins. De toutes, c’est elle qui a les talons les plus hauts. Tout cela suffit à la faire mouiller. Son jus de pute, toujours aussi épais, commence à dégouliner le long de ses cuisses. Dans peu de temps, il va atteindre la lisière de ses bas couture.
L’immense salle où elles se trouvent a été extrêmement bien pensée. Miroirs, croix de Saint-André. Des cordes reposent sur un buffet. Des instruments qui font mouiller encore plus la pute bourgeoise.
Déjà, des premiers couples mais aussi des trios se forment. Les hommes exposent de belles queues. Sofia s’approche, passe une main sur une bite ferme. Sous la pression de ses doigts, la queue grossit rapidement. Sans attendre, la pute bourgeoise relève sa jupe, s’accroupit et ouvre la bouche. Sa langue agile s’attarde sur le gland proéminent, descend lentement le long de la hampe et glisse jusqu’aux couilles gonflées. En chienne avertie, Sofia ne manque pas de regarder l’homme dans les yeux.
Ce faisant, elle remonte le long de la bite bien dressée, lèche encore le gland avant de gober l’intégralité du chibre. Le mâle soupire d’aise et lui maintient la tête contre son ventre pendant une vingtaine de secondes. Quand il libère Sofia, celle-ci crache un énorme paquet de salive. La gorge profonde est un art qu’elle maîtrise à la perfection. Elle bave intensément.
Sa réputation de chienne baveuse n’est plus à faire. Sans faillir, la pute bourgeoise reprend son pompage intense et particulièrement bruyant. Le bruit régulier de sa bouche et de sa gorge attirent d’autres hommes.
– Regardez comme elle mouille, cette pute. C’est impressionnant !
Tous les regards de la petite assemblée improvisée convergent vers la chatte de Sofia. C’est un déluge de jus de putain qui vient imbiber la moquette. Une marre de cyprine bien épaisse s’est formée. Sofia relâche la bite quelques instants. Un immense filet de bave atterrit sur ses gros seins. Sa main se dirige vers sa chatte dégoulinante puis, d’un geste totalement habitué, elle se lèche les doigts avant de reprendre sa fellation intense. Pendant qu’elle suce avec vigueur, elle écarte un peu plus les cuisses. Un des hommes s’est mis au sol et entreprend de lécher sa corolle fiévreuse. Tout en pompant, Sofia gémit. Un autre mâle a sorti sa bite. Elle s’en saisit et entreprend de le branler de sa main libre.
– T’es une grosse chienne, hein ? T’aimes ça, te faire défoncer la gueule ?
Sofia, en princesse du stupre, ne peut qu’approuver. Elle poursuit son mouvement à un rythme effréné, crache d’énormes paquets de salive qu’elle laisse filer sur sa poitrine, sur ses bas qui commencent à plisser et jusqu’au sol. La marre de cyprine ne fait plus qu’un avec sa bave de chienne à foutre.
D’autres queues viennent se joindre à la sarabande. Sofia pompe abondamment avec une réjouissante délectation. Elle laisse couler de la bave partout. Sur sa lingerie de pute. Sur ses bas couture de chienne. Sur ses escarpins de bourgeoise. Sur l’épaisse moquette. La marre de cyprine ne cesse de prendre de l’ampleur.
Sofia sent aussi de la présence derrière elle. Sa jupe a été intégralement relevée. Son plug anal a été retiré sans la moindre difficulté, tellement son anus est trempé. Des doigts impérieux entreprennent de le fouiller, de le ramoner. Tout en pompant bruyamment, Sofia ne peut retenir ses gémissements. La grosse salope adore qu’on s’occupe de son cul. Les doigts s’enfoncent un peu plus dans son fondement. Bientôt, c’est presque une main complète qui prend possession de ses fesses. Le poing, désormais bien installé, imprime un mouvement régulier qui arrache des râles de jouissance à Sofia. Sa chatte explose en un jus conséquent. Cette violente onde de plaisir l’incite à accélérer le rythme de ses gorges profondes. Elle bave encore plus. Un épais filet de salive coule sans discontinuer depuis son menton et vient se perdre dans le profond sillon de ses seins aux tétons bien dardés.
Sofia n’ignore pas que son anus est prêt. Elle relâche la grosse bite qui lui remplissait la bouche et se met à quatre pattes, le visage enfoui dans l’épaisse moquette. Son divin cul est totalement ouvert. Les hommes qui défonçaient sa bouche sont en admiration devant ce fessier admirablement offert.
– Il est magnifique, ce postérieur ! fait l’un d’eux.
– Jamais vu aussi bandant ! commente un autre.
– Baisez-moi ! Enculez-moi ! Je suis votre pute ! Votre chienne ! Défoncez-moi !
Le premier mâle ne se fait pas attendre et, sans le moindre effort, commence à pénétrer le cul volcanique. Un chibre fougueux au gland proéminent qui suit parfaitement les parois anales de la belle salope. L’homme, après avoir pris ses marques et s’être bien agrippé aux hanches de la garce, commence à imprimer un rythme intense mais régulier. Les hurlements de plaisir de la bourgeoise ne se font pas attendre. Être enculée ainsi est l’un de ses plaisirs quotidiens. Pour Sofia, une journée sans sodomie et sans gorge profonde est une journée ratée. L’un des mâles l’a bien compris. Il s’agenouille face à la salope afin que sa bite ferme soit bien en face de la bouche ouverte. Il s’empare de la queue de cheval de la bourgeoise et commence à pilonner sa gorge. Sofia pompe avec avidité, comme si c’était la dernière fois qu’on lui mettait une grosse queue dans la bouche. Le chibre ferme n’a eu aucune peine à franchir la barrière de sa gorge. La bourgeoise fait durer le plaisir en le gardant bien au chaud. Sa bave coule comme un fleuve en crue. Sa corolle n’est pas en reste. C’est un jus épais qui continue de se répandre sur la moquette. Son cul continue de se faire défoncer avec délice. Les bites, toutes plus impérieuses, se succèdent au plus profond de son anus. Enculée quotidiennement, Sofia peut accueillir tous les formats. Mais ce soir, il n’y a que de grosses queues. À croire que les hommes présents ont dû passer des sélections. À tour de rôle, on lui ramone violemment le cul, on lui défonce violemment la bouche. Les gros chibres s’enfoncent jusqu’au plus profond de sa gorge.
– Encore ! Encore !
Sofia en veut toujours plus. Elle parvient à regarder ce qui se passe dans la salle. D’autres salopes, d’autres chiennes à foutre se font allégrement défoncer, enculer, prendre sauvagement. Toute cette ambiance survoltée l’excite encore plus. Sa chatte est devenue un jus sans fin. Une cyprine extrêmement épaisse ne cesse de couler. Sa bouche crache une salive très conséquente et continue. Au fond de son cul et de sa bouche, les grosses queues continuent d’échanger leurs place presque sans s’arrêter. Entre les mains de ces hommes, Sofia n’est plus qu’un jouet sexuel qu’ils peuvent utiliser sans modération. Une pute totale affirmée, une chienne insatiable, une salope jamais rassasiée. Une garce qui ne vit que pour la bite, pour le stupre. Sofia, en bonne putain dépravée, ne peut se passer de sexe. Il faut qu’elle soit enculée quotidiennement, que sa bouche soit toujours bien remplie.
Défoncée, pénétrée, ravagée par tous les orifices, ses bas couture faisant énormément de plis et ne tenant presque plus aux jarretelles tant elle est secouée en tous sens, Sofia ne voit pas arriver le nouveau participant. Ce n’est que quand sa bouche de pute bourgeoise est libre de la moindre queue qu’elle comprend à qui elle a affaire. Juste en face de son visage de déesse de la débauche, une énorme bite. La plus grosse qu’elle aie jamais vue. Très longue, très large, parcourue de veines épaisses. Un gland rougeâtre et particulièrement gonflé, bien tendu vers elle.
Sofia ouvre grand la bouche, à s’en distendre les mâchoires. L’énorme pieu pénètre lentement dans l’orifice surchauffé. Petit à petit, la bouche de la salope est complètement investie. Pourtant, l’homme continue sa poussée. Il sent que la gorge cède sans le moindre effort et poursuit son exploration en poussant un grognement de satisfaction. Dans le dos de Sofia, on a un peu ralenti l’allure mais la sodomie se relève tout de même intense. Les mâles assistent au spectacle de Sofia face au maître des lieux.
Le patron vient de poser une main impérieuse sur le crâne de la garce dépravée. Il la maintient ainsi pendant une trentaine de secondes. Sofia n’a plus la possibilité de respirer pendant que sa salive, à nouveau très consistante, recommence à couler jusqu’au sol en de longs filaments. L’homme relâche la pression quelques instants puis reprend sa position. Les mains dans le dos, Sofia est complètement soumise. Elle suffoque, son maquillage coule, les larmes perlent. Entre ses cuisses, on a déposé un bol. Celui-ci se remplit de sa bave épaisse de pute.
Le patron, plus que satisfait de ce traitement, poursuit son ouvrage tout en accélérant le tempo. Sofia grogne de plaisir, sa gorge est totalement ravagée, ses bruits de succion se sont démultipliés. La cadence progresse, le filet de bave se fait plus intense et la chatte de Sofia n’est pas en reste. C’est une cyprine intarissable qui coule sur la moquette pendant que son divin cul continue de se faire besogner.
L’homme continue son effort, augmente la cadence. L’énorme queue continue de ravager la bouche et la gorge de Sofia. La belle catin bave de plus en plus. Une soubrette au maquillage ravageur apporte un second bol. Il y a de la salive partout. Sur les seins de Sofia, sur ses bas, mais surtout dans les deux bols pleins à ras-bord. Plus elle bave, plus elle mouille. Sa chatte et son cul de putain sont remplis d’un jus épais qui ne se tarit pas.
Dans son cul comme dans sa bouche, on accélère le rythme. Les semences ne vont pas tarder à pénétrer ses orifices de chienne dépravée. Déjà, elle sent les premiers jets de sperme épais au fond de son anus, sur son cul, sur bas. Sofia jouit. Ses hurlements remplissent la salle, son jus explose. Le maître des lieux, si appliqué à besogner violemment sa bouche, se retire. Sofia respire enfin. Bouche ouverte, elle reçoit des doses conséquentes d’un foutre brûlant. Son visage est bientôt intégralement recouvert de sperme. Elle sourit, haletante, heureuse du traitement profond qu’elle vient de subir avec un plaisir inégalé.
– Ne bouge pas. Tu mérites autre chose.
L’homme continue de tenir sa bite en direction de Sofia. Son urine vient progressivement se mêler au sperme. La pute bourgeoise, qui n’en demandait pas temps, jouit à nouveau. Le fluide d’or est l’ultime récompense pour ce qu’elle vient d’accomplir.
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