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Une cousine

Une cousine



Je venais d’apprendre que ma cousine allait venir habiter chez mes parents pour finir sa scolarité dans le même lycée que le mien. Ses parents venaient de déménager en Italie et elle ne pouvait pas les suivre. Habitant toujours chez mes parents à 20 ans, j’allais donc être obligé de vivre sous le même toit que ma cousine Élodie de 18 ans que je connaissais finalement très peu. Arrivée deux semaines avant la rentrée, le train-train de l’école s’installa assez vite. Mes parents étant très actifs, ils sont souvent absents le soir. Alors il est courant qu’avec Élodie, on regarde la télé tous les deux (il n’y a qu’un poste dans la maison). Tranquillement nous prenons nos habitudes, nous installant côte à côte sur le canapé. Quelques fois elle se blottissait contre moi en m’enlaçant tendrement. J’étais un peu son grand frère mais son corps proche du mien me troublait et je bandais toujours malgré moi quand elle se lovait contre moi.

Bien entendu je ne faisais rien d’autre que parfois lui passer la main dans les cheveux. Un soir, alors qu’elle était blottie contre moi, elle changea de position pour s’allonger sur le côté et ainsi mettre sa tête sur mes cuisses. Sa tête était en fait appuyée sur mon sexe, vu ma position. Elle dut sentir mon sexe dur car elle s’avança légèrement afin de ne plus le toucher. J’étais un peu gêné qu’elle ait deviné mon érection. Elle n’y fit aucune allusion. Nous regardions toujours la télévision et sa main, qu’elle avait posée sur mon genou, caressa celui-ci pour descendre jusqu’à mes pieds.

Cette caresse singulière me transportait dans un état érotique surprenant. Tremblant un peu, je mis une main sur son bras et commençai à la caresser aussi. Continuant lentement, je quittai son bras pour effleurer ses côtes puis les caresser plus fermement. Ma main s’aventura alors sur son ventre, ce qui lui amena un petit frisson. Quant à elle, sa main caressait maintenant toute ma jambe, parfois doucement, parfois fermement empoignant un mollet, un bout de cuisse, parfois imperceptiblement, faisant naître en moi des tremblements.
Bien qu’on ne se soit touché aucune zone érogène, j’étais très excité. Je ne savais pas encore si ces caresses étaient pour elle érotiques ou bien si elles les considéraient seulement fraternelles. Je continuais mes caresses du bout du doigt sur son ventre en faisant des petits cercles de plus en plus grands. Ceci m’amena à effleurer un sein puis le téton. Il était tendu. Cette sensation fut divine car je me rendis compte qu’elle prenait du plaisir à ces caresses.

Toujours lentement, ma main se referma sur son sein et commença à le caresser à travers ses vêtements. Il était d’une dureté étonnante. Je continuai longuement ses caresses, allant d’un sein à l’autre puis descendant vers le ventre et remontant. Je profitai d’une descente vers son ventre pour la démailloter et passer ma main sous son tee-shirt. Sa peau était d’une douceur merveilleuse. De son côté, elle n’avait pas bougé et continuait ses caresses sur mes jambes. Je sentais cependant des frissons la parcourir fréquemment. Ma main caressa son ventre puis remonta jusqu’à ses seins.
Elle portait un soutien-gorge un peu lâche. Je l’ai fait remonter au-dessus de ses seins et j’ai ainsi pu les prendre à pleines mains. Je la caressai ainsi encore longtemps. J’avais mal au sexe car je bandais maintenant depuis très longtemps. Je descendis ma main vers son sexe. Elle la retint, ne voulant pas que je la caresse là. Je remontais alors vers son ventre et ses seins, non sans essayer parfois d’approcher à nouveau son sexe. J’étais de plus en plus excité mais frustré de ne pouvoir atteindre son petit triangle.

Profitant que sa main me caressait le haut de la cuisse, je posai ma main sur la sienne pour suivre la caresse. Je la dirigeai pour qu’elle s’approche de mon sexe. Elle se laissait faire. Je posai alors sa main sur mon sexe dur. J’eus un tressaillement. Je commençai à lui bouger la main sur mon sexe jusqu’au moment où je sentis qu’elle me caressait d’elle-même. Sa main, au départ timide se faisait de plus en plus précise. Elle me masturbait maintenant au travers de mon pantalon. Ses doigts, tantôt pinçaient mon sexe à la base, touchant mes testicules, tantôt remontaient le long de mon sexe. Ensuite elle prenait à pleine main ma verge à travers l’étoffe de mon pantalon. À ce rythme, je sentis venir de plus en plus précisément la jouissance. Je voulus alors déboutonner mon pantalon mais elle me l’empêcha. Elle continua alors sa masturbation quelques secondes et j’éjaculai. Elle continua à me caresser un peu jusqu’à ce que mon sexe dégonfle. Mon pantalon était naturellement trempé au niveau du sexe. Elle laissa sa main sur mon sexe jusqu’à la fin du film. On alla se coucher chacun de son côté.

Une semaine plus tard, alors que mes parents étaient à nouveau partis, j’étais dans ma chambre en train de fumer une clope tranquillement sur mon lit. Élodie frappa à la porte et vint discuter de tout et rien comme on en avait l’habitude. Son copain venait de la larguer et elle commença à pleurer dans mes bras. J’étais allongé sur le dos et elle était allongée à côté de moi, sa tête sur mon torse. J’essayais de la consoler en la caressant tendrement et en lui disant les banalités d’usage.
Cependant notre précédente aventure revenait sans cesse dans mes pensées. Mes caresses se firent plus pressantes, longeant le dos, remontant à son visage, descendant sur ses fesses. À un moment, je lui relevai la tête et l’embrassai sur la joue puis naturellement nos bouches se sont rencontrées. Nos baisers étaient de plus en plus passionnés. Elle était vêtue d’une chemise très bcbg et d’un tailleur mi-long. Tout en l’embrassant, je fis descendre ma main jusqu’à la frontière marquant les limites de sa jupe. Ma main remonta alors fermement sous sa jupe pour finalement se poser sur ses fesses.

Je fus surpris de sentir ma main directement sur peau. Elle portait un string qui n’occupait qu’une faible place sur ses fesses. Je m’étais légèrement retourné de façon à ce que l’on soit l’un en face de l’autre, chacun sur le côté. Ses caresses parcouraient maintenant l’intégralité de mon dos et mes fesses. Elle passait parfois ses mains dans les poches de mon jean. Son mouvement se répercutait parfois jusqu’à mon sexe.
Mes caresses exploraient maintenant le sillon de ses fesses, passant sous la fine ficelle de son string. Je titillais son anus légèrement et revenais sur ses fesses passant entre ses cuisses pour atteindre son sexe. Son string était trempé. Ma main caressa sa chatte, moment que j’avais espéré depuis une semaine.

Pendant ce temps je me glissai le long de son corps et déboutonnai sa chemise. Elle n’avait pas de soutien-gorge. Je pris un sein dans ma bouche, aspirant le téton, le faisant gonfler, le mordillant. Ma langue jouait avec ses pointes dressées, passant d’un sein à l’autre. Elle était maintenant sur le dos et ne pouvait guère me caresser que la tête et le haut du corps. Je continuai ma descente pour enfin arriver entre ses jambes. Ma bouche prit immédiatement possession de son sexe. Elle mouillait abondamment. Je la léchais quelque temps en la pénétrant d’un puis deux doigts. Elle jouit une première fois, m’enserrant la tête de ses jambes dans une contraction violente.

Étant donné ma position, elle ne pouvait que me caresser les cheveux. Je ne voulais pas qu’elle me caresse le sexe car j’aurais éjaculé à coup sûr très rapidement. Je continuais à la lécher, buvant son nectar. Je défis mon pantalon et sortis mon sexe du caleçon. Ça me fit un bien fou de « respirer », de sentir l’air sur mon gland. Je remontai alors lentement, lui embrassant le ventre, les seins. J’arrivai à sa hauteur pour l’embrasser. Dès qu’elle le put, elle prit mon sexe dans ses mains et le guida directement vers son sexe brûlant. Je la pénétrai alors d’un seul coup. Je restai alors immobile en elle quelques instants puis commençai de lents va-et-vient. Je sentis que je ne pourrais pas tenir longtemps. J’accélérai puis m’immobilisai une fois de plus pour éviter de jouir si tôt. Mais le plaisir était allé trop loin et malgré mon immobilité, je sentis le sperme monter dans mon sexe. Mes fesses se contractèrent. Elle le sentit et me susurra :
— Viens, jouis en moi…
Je déchargeai alors au plus profond de son vagin, entraînant sa jouissance. Nous sommes restés unis puis je m’allongeai à côté d’elle.

Elle se pencha sur moi et m’embrassa, d’abord sur la bouche puis descendit sur mon torse. Elle aspira mes tétons et m’embrassa langoureusement en descendant, faisant jouer sa langue sur mon nombril. Elle prit alors mon sexe encore ramolli dans sa bouche et commença à le sucer. Mon érection venait progressivement. Elle continua à me sucer pendant que je me déplaçai légèrement pour prendre à mon tour son sexe dans ma bouche. Elle abandonna mon sexe pour aller lécher le sillon de mes fesses. Je ne m’attendais pas à ce geste mais il me procura beaucoup de plaisir.
Elle continua jusqu’à ma pastille qu’elle lécha longuement. La sensation était délicieuse. De mon côté, après avoir lubrifié mon doigt dans sa chatte chaude et trempée, je lui caressai à mon tour son anus et introduisis un doigt. Elle poussa un petit gémissement. Elle m’enfonça un doigt dans le cul en reprenant sa fellation de plus belle. L’excitation grandit encore. Je me relevai alors, retirant mon sexe de sa bouche, et, tout en l’embrassant, je la retournai et la mis à genoux. Je me plaçai derrière elle et lui léchai le cul. Ma langue s’insinuait dans son intimité. Le plaisir était immense.

Je me relevai et vins placer mon sexe à l’entrée de son étroit conduit. Je la pénétrai lentement, d’abord juste le gland que je ressortis presque immédiatement, puis un peu plus profondément, puis finalement entièrement. Mes couilles touchaient alors ses fesses. Elle gémissait et les mouvements de son bassin étaient désordonnés. Je commençai alors à imprimer un rythme régulier de va-et-vient. Son corps était maintenant dans le même tempo que le mien. Elle jouait avec ses sphincters pour enserrer plus ou moins mon sexe qui gonflait de plus en plus.
Pendant que je la sodomisais, elle se caressait et s’était mis un doigt dans la chatte. Je le sentis bouger à travers la fine paroi. Cette sensation délicieuse me procura une onde de plaisir énorme. Elle se contracta à son tour et jouit très violemment, m’expulsant presque de son antre. Je me retins à ses hanches pour rester en elle. Je ne pouvais plus rien contrôler et j’éjaculai en elle pendant de longues secondes. On s’affala alors sur le lit, fatigués mais heureux de s’être donné tant de plaisir.

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