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ma collégue Angélique

ma collégue Angélique



Angélique fut la première personne que j’ai vue lors de mon entretien d’embauche.

En sortant de l’ascenseur, ce jour-là, c’est elle qui apparut et à ce moment-là, tout mon être fut retourné. Du haut de ses 24 ans, elle était sublime : vraie blonde aux yeux bleus, de 1 m 71, un visage d’ange qui laisse transparaître une dose d’espièglerie, une poitrine bien faite et bien ronde (un beau 90 B) et un cul généreux, incroyablement bien moulé dans le jean qu’elle portait ce jour-là. En la suivant dans le bureau de mon futur patron, je ne pouvais décrocher mon regard de ce postérieur parfait qui rebondissait à chaque foulée qu’elle faisait sur ses petits talons.

L’entretien s’est bien passé, malgré mon éblouissement initial et avant même de terminer, je savais que je voulais ce job et que l’une des raisons était de pouvoir côtoyer cette Angélique, tous les jours. Pas vraiment dans l’espoir de pouvoir lui faire l’amour, mais plus pour avoir le plaisir de la mater tous les jours.

Et ce que je vis, avant de partir, fit encore plus pencher la balance. J’avais déjà remarqué son piercing à la langue quand elle m’avait accueilli et quand, avant de me raccompagner vers la sortie, je la vis se pencher pour récupérer un dossier dans une armoire, pour découvrir un magnifique tatouage tribal, en forme de flèche, vers le bas, dans le creux de ses reins. Mon sang ne fit qu’un tour : en plus d’aimer sucer, cette salope devait aimer se faire prendre par derrière.

À peine un mois plus tard, je débutais à mon nouveau poste, devenant le supérieur direct d’Angélique. J’étais aux anges : le poste était intéressant, j’avais un grand bureau, contenant une salle de réunion que je partageais avec mon boss qui était à peine là, un jour par semaine et surtout, je pouvais voir Angélique, tous les jours. Je ne manquais jamais une occasion de la faire venir dans mon bureau pour lui faire ranger des dossiers dans les armoires et ainsi pouvoir mater son cul, toujours bien serré dans des pantalons ou des jupes étroites. Je n’hésitais pas, non plus, à me rendre dans son bureau où je profitais d’être debout pour mater ses décolletés qui étaient parfois d’une profondeur conséquente. Et quelle bonheur de la voir débarrasser la table de réunion des dossiers et autres tasses de cafés, me permettant ainsi de voir sa poitrine suspendue à son buste penché, laissant apparaître jusqu’au lien entre les deux bonnets, ainsi que le fameux tatouage au dessus de sa jupe, qui laissait souvent transparaître les traces de son string.

Si elle m’excitait furieusement, je n’osais pas franchir le pas. Avec Angélique, nous entretenions des relations amicales au boulot, on se tutoyait, mais on ne se voyait pas en dehors.

À chaque fois, je me sentais toujours un peu pathétique de vivre cette frustration. Et puis un jour tout à changé. Je ne remercierai jamais Angélique d’avoir fait le premier pas et d’avoir bouleversé ma vie en ne la faisant plus graviter qu’autour d’une chose : le sexe !

Le jour où tout à changé est celui où Angélique m’a invité à venir manger un midi chez elle, avec 3 de ses autres collègues de l’étage. Elles faisaient régulièrement ces petites bouffes, souvent le vendredi, quand l’activité est moindre et revenaient toujours un peu ivres et plus volubiles que d’habitude.
Le repas fut très sympathique et effectivement, assez arrosé. Et c’est au moment où je me suis proposé pour allez chercher le café dans la cuisine que tout a basculé. Je préparais le plateau avec les tasses quand Angélique est arrivée derrière moi pour prendre la boite du sucre, alors que j’étais contre le plan de travail.

Sur le coup, je n’ai pas trop compris pourquoi elle ne m’avait pas dit de le prendre, sachant qu’avec mon mètre 80, c’était quand même plus facile. En sentant son bassin se presser contre mes fesses, ses seins se coller à mon dos, sa respiration dans mon cou, je sentis un frisson me parcourir le corps. En une fraction de seconde, le sang afflua dans mon sexe qui se mit à me faire mal instantanément, serré qu’il était dans mon jean. Le plateau du café se mit à trembler.
Angélique, la boite de sucre dans la main, avait remarqué mon trouble. Quand je me suis retourné pour lui faire face, elle me regarda droit dans les yeux, mais ne dit pas un mot. Et, se penchant sur le plan de travail pour att****r la cafetière, elle me susurra tout doucement à l’oreille, tout laissant courir de façon prononcée sa main sur la bosse qui ornait désormais mon pantalon.

Je restai là, appuyé contre le plan de travail, incapable de faire un geste ou de prononcer un mot pendant près de 3 minutes. Sous le choc ! Analyser la situation était impossible, une seule chose était certaine : je venais de me faire allumer par celle qui représentait mon fantasme absolu. Et il allait enfin se passer quelque chose.

En revenant dans la salle à manger, je n’en menais pas large, mais j’essayais de garder une contenance. Personne ne semblait remarquer mon trouble (j’avais réussi à camoufler mon érection en sortant ma chemise de mon pantalon). Et Angélique semblait faire exprès d’éviter mon regard. Sur le chemin du retour, dans la voiture que nous partagions, j’étais assis à la place du mort, avec Angélique, derrière mon siège. Ça rigolait bien dans la voiture et les filles chantaient à tue-tête l’air qui passait à la radio en se trémoussant. Et c’est alors que je sentis, distinctement, des doigts effleurer mon coté droit. À la faveur de cette ambiance déchaînée, Angélique s’était rapproché de mon siège et avait posé sa main sur mon corps, glissant sous ma chemise pour toucher ma peau. Ma bite se dressa encore plus fort dans mon pantalon et je dus me tortiller pour que ça ne se voie pas trop.
En croisant les bras, je pus, des doigts de ma main gauche, rejoindre ceux d’Angélique. Ce bref contact m’électrisa. Et lorsque je sentis la douce étoffe de satin et de dentelle que sa main contenait et qu’elle me transmettait à l’insu de ses collègues, je faillis m’évanouir : cette salope avait retiré son string un peu plus tôt et elle profitait du voyage du retour pour me le donner, au risque de se faire surprendre.

En arrivant au boulot, je fonçai dans les toilettes, prétextant un besoin urgent dû à l’excès d’alcool. Une fois seul, je sortis, de la poche de mon jean, la pièce de lingerie que j’avais réussi tant bien que mal à camoufler, quelques instants plus tôt. C’était un string en satin noir paré de fine dentelle. Je ne parvenais pas à réaliser que j’avais entre les mains cette pièce de lingerie dont j’avais plusieurs fois pu apercevoir l’échancrure sous ses vêtements. L’humidité dont il était imprégné ne trompait pas : c’était bien le string qu’elle avait porté aujourd’hui. En le portant à mon visage, la douce odeur de cyprine qui s’en dégagea me confirma l’autre point essentiel : elle avait mouillé aujourd’hui, juste avant de retirer ce string. Notre rencontre dans sa cuisine, l’avait surement aussi excitée que moi.

De retour dans mon bureau, j’étais complètement décontenancé, incapable de penser. Je n’osais pas en sortir de l’après midi et certainement pas pour aller dans le bureau d’Angélique. Je la savais dans son bureau, juste séparée de moi par une cloison, mais l’étage était encore beaucoup fréquenté. Ce n’est que vers 17 h que j’entendis, une à une, les portes des différents bureaux se fermer, indiquant le départ des autres occupants de l’étage. Puis le téléphone se mit à sonner : c’était le poste d’Angélique. Je décrochai fébrilement, sans prononcer un mot.

A peine le temps de raccrocher, que je la vois entrer dans mon bureau, fermant la porte derrière elle. Je me souviens encore parfaitement comment elle était habillée: un chemisier blanc légèrement transparent laissant deviner son soutien gorge noir sur un pantalon noir assez moulant, et des petits escarpins, noirs également.
Elle franchit les quelques mètres qui sépare la porte de mon bureau lentement, sans dire un mot, en me fixant intensément, tout en déboutonnant trois boutons de son chemisier. Elle s’arrête alors face à moi, de l’autre côté de mon bureau, et laisse tomber son chemisier sur le sol. Je vois alors que son soutien gorge complète ce string que j’ai remis dans ma poche. Ses seins ont l’air magnifique, et il me tarde de les découvrir enfin. Elle se penche alors vers moi, en s’appuyant sur mon bureau. Je découvre son décolleté magnifique comme jamais, ses seins paraissent lourds et fermes.
J’acquiesce sans arriver à prononcer un son.

Elle fait alors le tour du bureau et se penche vers moi pour m’embrasser. Ses lèvres se posent sur les miennes et rapidement, sa langue trouve son chemin à travers ma bouche pour venir tournoyer autour de la mienne. Ce baiser est à la fois tendre et fougueux, et je ne peux m’empêcher de frissonner. Au bout d’une minute, sa main prend la mienne, et la pose délicatement sur un de ses seins. L’objet de toutes mes convoitises est enfin à ma portée. Je le caresse doucement à travers le soutien-gorge: il est si doux, le toucher de sa peau m’électrise. Je commence ensuite à le soupeser et à le palper plus fermement, il est ferme et souple, tout comme je l’avais imaginé.
Constatant que ma main gauche est inoccupée, Angélique continue de prendre les choses en main: elle la saisit pour la poser fermement sur sa fesse droite, en la faisant presque claquer.
Je me mets donc à malaxer ces fesses sublimes, et toujours en m’embrassant, Angélique déboutonne son pantalon pour le faire glisser jusqu’au sol. Son cul est maintenant complètement nu, car elle n’a rien remis après avoir retiré le string qu’elle m’a donné. J’en profite pour le saisir à deux mains et le pétrir vigoureusement, laissant mes doigts glisser le long de sa raie. Angélique se retourne alors, s’asseyant sur mes genoux, faisant des va et vient le long de mes cuisses. Je peux enfin voir ce cul splendide, surmonté par ce magnifique tatouage que je n’avais encore vu qu’en partie. Il est incroyablement beau, à la fois charnu et rond. Je ne parviens à détacher mon regard de cet incroyable objet de désir. C’est alors que ma secrétaire entreprend de retirer son soutien gorge. Avant même de les voir, j’att**** fermement ses seins enfin libérés de leur carcan de satin. Au toucher, je devine leurs formes, entre la pomme et la poire, et je sens ses tétons furieusement dressés. Mes mains, assez grandes, semblent avoir la dimension parfaite pour les saisir et les pétrir.
Après quelques instants, Angélique se lève et se retourne enfin. Je la vois enfin entièrement nue devant moi, uniquement chaussé de ses escarpins. Malgré ses deux grossesses, son corps est fabuleux. Le grain de sa peau est magnifique, ses seins, qu’elle porte haut, assez lourds ont une forme quasi parfaite. Ses aréoles sont assez claires, et les tétons, s’ils ont une taille standard, sont durcis par le désir et remontent légèrement. Son ventre n’est que très légèrement rebondi. Le galbe de ses jambes, rehaussé par les talons, lui donne une silhouette élancée. Enfin, j’aperçois son sexe joliment épilé, seuls quelques poils courts sur le pubis venant surmonter sa chatte. Celle-ci est splendide, les grandes lèvres sont charnues et les petites ne se laissent pas encore deviner. A deux mètres de distance, j’aperçois déjà que son clitoris est gorgé de sang. A la brillance de sa fente, je peux voir qu’elle doit déjà pas mal mouiller.
Je n’ai toujours pas prononcé un mot. Elle semble comprendre mon mutisme, et décide de combler le silence.
Et sans même me laisser le temps de répondre, Angélique se met à genoux et de ses mains expertes, elle fait sauter les boutons de mon pantalon. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je me retrouve avec le pantalon sur les chevilles, assis en caleçon sur ma chaise de bureau avec ma secrétaire entièrement nue entre mes cuisses, son visage à hauteur de mon sexe. Elle tâte la bosse de mon entrejambe qui est devenue énorme. Je peux dire que j’ai été gâté par la nature, avec un sexe à la fois long et épais, mais je crois que je n’avais jamais eu de ma vie une bite aussi gigantesque et dure qu’à ce moment là. La vision de mon sexe à travers le tissu laisse d’abord Angélique sans voix. A ses yeux écarquillés et sa bouche béante, je comprends qu’elle est impressionnée. Elle laisse courir ensuite ses doigts sur ma verge à travers le caleçon, avant de finalement empoigner celui-ci à pleine main et à le faire glisser vers le bas.
Enfin libéré de son carcan, ma bite surgit tel un ressort de façon si subite qu’Angélique ne peux éviter le contact avec sa joue. Elle éclate alors d’un rire un peu gêné.
Elle att**** alors mon sexe dans sa main. La chaleur de sa paume sur ma queue me fait frémir. Sans me quitter des yeux, elle rapproche son visage et le caresse avec mon sexe. Sa peau est délicate comme un voile de satin. La vision de ma bite énorme passant et repassant sur son visage d’ange est magique. Les deux placés ainsi côte à côte
Et sans me laisser le temps de répondre, elle ferme les yeux et donne un grand coup de langue depuis la base jusqu’au sommet du gland. Puis les rouvrant, elle me regarde de ses yeux bleus fantastique. Tout en continuant à me regarder, elle enfourne alors mon gland dans sa bouche. L’appétit avec lequel elle se met à l’ouvrage renforce encore mon excitation. Elle entreprend des va et vient, sa bouche enserrant mon gland, en s’attachant à bien saliver. L’intérieur de sa bouche, chaud et humide, est un réceptacle de choix pour ma queue. De temps en temps, elle arrête ses mouvements pour mieux faire passer sa langue sur toute la longueur de ma queue, pour finir par s’attarder sur mon gland en tournoyant. Puis elle le reprend en bouche, allant jusqu’à le mordiller, me procurant ainsi une extase intense.
Ce petit exercice dure plusieurs minutes, et ces jeux délicats ne font qu’augmenter mon désir de prendre les choses en main.
Je profite d’un instant ou Angélique est en train de me pomper délicatement le gland pour saisir sa nuque et forcer ma queue au fond de sa gorge. Je sens d’abord une résistance: si ma queue n’avait pas encore été plus loin dans sa bouche, c’est que sa taille rendait la chose difficile. Mais j’étais convaincu, après tout ce qui s’était passé aujourd’hui, du potentiel de salope qui sommeillait chez Angélique. Elle avait voulu ma queue, elle allait l’avoir tout entière.
Tout en maintenant la tête de ma secrétaire, je me mets à faire bouger ma queue d’avant en arrière dans sa bouche. Elle essaie de se débattre doucement, mais je lui dis doucement à l’oreille:
Elle relâche alors la tension qui animait son corps, et laisse ma queue pénétrer toujours plus profondément dans sa bouche. Ses yeux s’embuent alors et sa respiration se coupe par moment. Deux larmes coulent alors doucement sur son visage.
Je recommence alors mon va et vient, toujours plus profond, enfournant presque jusqu’à la garde mon sexe dans cette bouche exquise. Ma grosse queue lui déforme le visage, la salive ruisselle d’entre ses lèvres inondant mes couilles, et son Rimmel coule sur ses joues comme deux petits ruisseaux. Je n’ai plus besoin de lui tenir la tête, Angélique effectue elle-même les va et vient, cherchant à prendre en elle toujours un peu plus de ma queue.
Je profite d’avoir les mains libres pour passer l’une d’elles entre ses cuisses. Sa chatte est littéralement détrempée. Je n’ai aucun mal à trouver son clitoris qui est encore plus gonflé que tout à l’heure. Ma secrétaire est tellement bouillante que j’ai à peine à l’effleurer pour la faire jouir. Elle redouble alors d’ardeur, faisant monter mon sperme à la limite.
Je me lève alors d’un bond et pendant qu’Angélique reste accroupie devant moi, totalement nue, les cuisses recouvertes de cyprine et le visage et les seins brillants de salive, je saisis ma queue et éjacule alors abondamment sur son corps offert. Les deux premières giclées atterrissent sur ses seins, puis je redirige le jet de semence vers son visage. Je crois que ce jour là, ce sont au moins dix jets de foutre fournis que j’ai balancé sur Angélique. Son visage est recouvert de semence blanchâtre et épaisse jusque dans ses cheveux, et elle ruisselle de ses seins jusque sur sa chatte.
Je me rassieds alors, épuisé par le relâchement soudain de cette tension sexuelle accumulée depuis des années. Angélique, assise par terre, vient se blottir contre ma cuisse, et caresse mon sexe encore dur.

Le souvenir de ce moment incroyable, de ce baiser passionné enfin devenu réalité, de ma queue enfoncée au plus profond de la bouche d’Angélique, de son corps nu recouvert de mon foutre ne me quitta pas du week end.

Le lundi suivant, on se serait cru en plein été. La chaleur était suffocante pour la saison, il faisait près de 30 degrés à 9h de matin.
Lorsqu’Angélique arriva dans mon bureau, la température monta de quelques degrés supplémentaires. Elle portait une robe orange garnie d’imprimés fleuris. Le décolleté en V laissait peu de mystère au rebondi parfait de ses seins. Le bas de la robe se déployait en corolle à mi-cuisse, laissant admirer le galbe de ses jambes affiné par ses chaussures à talon de corde.
Ne sachant pas comment réagir à une entrée en matière aussi cavalière et décontractée, je me tourne vers le tiroir situé à ma droite et en retire la clé demandé. A peine le temps de revenir à ma position initiale, assis sur ma chaise, que je constate qu’Angélique a déjà contourné mon bureau. Avant même que j’ai le temps de me lever, elle se penche sur moi. La profondeur de son décolleté se révèle alors à mes yeux : je peux voir la dentelle de son soutien gorge, ainsi que les dessins des bonnets. Je relève alors le regard pour att****r le sien, et avant que j’aie eu le temps de bouger, ses lèvres viennent se poser sur les miennes. Interdit, je sens sa langue franchir la barrière de mes dents pour venir tourner autour de la mienne. Tout en m’embrassant, elle pose sa main sur mon sexe, qui est déjà complètement tendu, et le serre à travers mon pantalon.
Elle att**** alors la clé qui était resté dans ma main et, contournant de nouveau mon bureau, se dirige vers la porte. Arrivée à mi chemin, elle laisse alors tomber la clé sur le sol. Sans se retourner, elle se baisse alors pour la ramasser, ses jambes superbes tendues sur ses talons. Sa robe remonte alors le long de ses cuisses, puis découvre ses fesses. Aucun obstacle ne vient barrer la vue de son sexe : elle ne porte aucune culotte ni string. Elle ramasse la clé, se redresse et repart sans rien dire.
Une demi heure plus tard, Angélique refait son apparition. L’air malicieux, elle referme la porte en m’annoncant que l’ensemble de l’étage participe a une reunion de service, mais qu’elle nous en a dispensé en inventant quelque dossier urgent a boucler. C’est presque en courant qu’elle me rejoint a mon bureau, et s’assoit sur mes genoux. Nous nous emrassons langoureusement, comme les deux amants passionnés sue nous sommes devenus.
Le haut de sa robe était constitué de deux pans de tissus qui couvraient sa poitrine, en haut desquels passaient deux cordons faisant office de bretelle et qui étaient noués ensemble au dessus de ses seins. C’est avec une émotion intense que je tire lentement sur l’un des deux cordons. Le nœud se défait alors doucement, mais les deux morceaux de tissus, retenus par la bosse que forme les seins d’Angélique, restent en place. Je continue alors de tirer sur le fil, qui entraine le tissu avec lui vers le bas, découvrant le bonnet gauche de son soutien gorge. C’est un soutien gorge en coton blanc, brodé d’une fine dentelle. Assez épais, il ne laisse pas deviner la chair qu’il recouvre. Je place alors ma bouche délicatement sur le tissu qui cache le globe de chair tant convoité. Angélique soupire. Au moment ou ma bouche s’ouvre légèrement pour en laisser sortir ma langue qui se met à effleurer le soutien gorge, sa tête bascule en arrière, ses yeux se ferment, sa peau se retrouve couverte d’une chair de poule. Ma langue continue de courir sur le tissu, et trouve son téton à travers l’étoffe. Aussitôt, celui-ci se dresse durci par l’excitation et le désir. Après quelques titillement du bout de la langue, je le prend entièrement en bouche et le met à le sucer, d’abord doucement. Angélique répond à cette succion par de petits soupirs étouffés. Elle aime ça se faire sucer les seins. J’entreprends alors de renforcer l’exercice en augmentant l’aspiration. C’est presque la moitié de son sein qui est maintenant dans ma bouche, déformé par l’action de ma bouche. Je sens de la pointe de ma langue sont téton prendre encore du volume, son aréole se plisser sous la tension de la peau. Les soupirs deviennent gémissements, puis râles au moment où j’att**** son sein droit de la main tout en continuant à sucer son frère jumeau de plus en fort, de plus en plus bruyamment, salivant de plus en plus. Ma main triture le second globe de chair, le malaxe presque sans ménagement, ne m’arrêtant que pour pincer son téton droit qui a rejoint la taille du gauche. Sur mes genoux, Angélique tressaute de plaisir, elle ne parvient presque plus à retenir ses cris.
Son encouragement me motive à ne pas diminuer la cadence. Je veux la faire jouir des seins. Je retire ma bouche de son sein : ma salive a rendu le coton blanc du soutien-gorge entièrement transparent. Planté en plein milieu du morceau de tissu, je peux voir son téton dressé fièrement au milieu du cercle brun. Il se soulève et se rabaisse au rythme de la respiration d’Angélique, qui peine à reprendre son souffle.
J’att**** alors son soutien gorge par le milieu, et d’un coup sec, je le tire vers moi. J’entends les agrafes craquer sous la pression. Instantanément, sa poitrine est libérée, et ses seins n’ont même pas finir de rebondir que je suis déjà reparti à leur assaut. Un dans chaque main, ma bouche navigue de l’un à l’autre, aspirant à chaque fois un peu plus de chair entre mes lèvres, mordillant à chaque fois ses tétons un peu plus fort. J’avoue que j’en suis arrivé à un niveau d’excitation ou je ne me contrôle plus. J’att**** ses cuisses pour la caler un peu mieux sur mes genoux, sa chatte venant se coller à travers sa robe sur mon sexe dur comme de la pierre toujours prisonnier de mon pantalon. Elle se met aussitôt à effectuer des mouvements de bassin pour frotter contre cette bosse énorme son entrejambe. En à peine trente secondes, je sais que le tissu de sa robe est en train de se tremper de sa mouille.
Les seins d’Angélique sont désormais marqués par mon « œuvre ». Des traces rouges de succion ont fait leur apparition sur le nacre de sa peau, et sa poitrine ruisselle de ma salive. Ma secrétaire n’est plus qu’un a****l en rut, elle tremble comme une feuille pendant que ses seins sont sucés, léchés, triturés, malaxés comme jamais ils ne l’ont sans doute été. Puis je sens son corps se tendre comme un arc, au moment où, rapprochant de mes mains ses deux seins au maximum l’un de l’autre, j’ai pris ses deux tétons dans ma bouche en même temps, allant de l’un à l’autre avec ma langue tout en aspirant du plus fort de mes poumons. Après dix secondes de tensions extrême de son corps et un long râle de plaisir, elle se relâche totalement, ne devant plus qu’une poupée désarticulée entre mes mains. Elle s’écroule contre moi, mon visage enfoui entre ses deux seins magnifiques.

Elle att**** alors les deux bouts du cordon du haut de sa robe, et remettant en place les deux pans de tissus sur sa poitrine, elle les renoue ensemble. Ses seins sont désormais libres sous le tissu orange. Je peux voir à travers le tissu ses tétons toujours durs et même ses aréoles le haut de la robe toujours humide de ma salive.
Elle se lève alors et entreprend de quitter le bureau. Sans soutien gorge, sa robe épouse encore mieux les courbes de ses seins, découvrant encore plus de chair sur les côtés. A chaque pas, sa poitrine rebondit divinement. Au moment ou elle atteint la porte de mon bureau, je la rappelle.
Elle me regarde interloqué, et après 2 secondes de réflexion, elle sourit et jette un coup d’œil à ses fesses par-dessus son épaule. Trempée par la cyprine, l’arrière de sa robe est devenu presque transparent et lui colle à la peau, dévoilant son fessier sublime. Même sa raie se devine largement sous le tissu. Dans l’encadrement de la porte, Angélique est là, dans une robe humide de salive, de sueur et de mouille, sans aucun sous vêtement. Elle parait comme nue. Et son sourire ne trompe pas : elle aime ça.

Le reste de la journée a été marqué par les petits jeux auxquels nous nous sommes livrés sans retenue. Obligés de mener à bien nos activités professionnelles et surtout pour éviter de nous faire soupçonner, il était difficile de nous enfermer dans le bureau. Nous avons donc passé l’après midi à nous rejoindre dans les bureaux de l’un et de l’autre, à essayer de nous toucher sans attirer l’attention. Le fait qu’Angélique était restée sans sous vêtements m’a pas mal facilité la tâche. En allant dans son bureau, je pouvais me pencher par-dessus son épaule et, tout en faisant mine de regarder avec elle sur son écran, je pouvais me délecter de la vision de sa poitrine moulée dans le tissu de sa robe. L’air de rien, je laissais ma main courir sur le coté, effleurant la peau de son sein qui dépassait de sa robe, glissant les doigts sous le tissus pour en caresser plus de centimètres carrés, laissant la pulpe de mes phalanges s’aventurer jusqu’à son téton que je prenais plaisir à faire se dresser. Pendant ce jeu, Angélique faisait remonter sa main le long de ma cuisse, pour venir flatter la bosse qui déformait mon pantalon. Les va-et-vient qu’elle faisait sur ma poutre apparente me faisaient monter les sangs, tant et si bien que, malgré le risque énorme de nous faire surprendre par la porte de son bureau restée grande ouverte, je finis par glisser mes deux mains dans son décolleté pour saisir ses seins à deux mains et les malaxer. Au regard qu’elle me lança, je vis qu’elle était partagée entre la peur de se faire surprendre et le plaisir intense qu’elle retirait de ce moment interdit.
Je battis donc en retraite, et ce n’est qu’à moitié étonné que je le vis arriver dans mon bureau moins de 5 minutes plus tard, disant quelle avait une info à me demander sur un dossier en cours. Elle passa alors de mon coté du bureau pour ouvrir sur mon PC le document dispo sur le réseau, adoptant pour se faire la position que j’avais moi-même dans son bureau quelques instants plus tôt. Debout à ma droite, le buste penché sur mon écran, son décolleté m’arrivait en plein sous les yeux. Je pouvais voir ses seins, libre de toute emprise, se balancer à quelques centimètre de mon visage.
Je tourne alors mon regard vers elle, mais elle feint de ne pas le remarquer et continue à scruter l’’écran, comme si elle lisait un document important. Je dirige alors mon regard dans la même direction, et entreprend de répondre à ses attentes en faisant remonter ma main entre ses jambes. A peine arrivé à mi-cuisse, je sens les premières gouttes de cyprine me glisser entre les doigts.
Mes doigts se trouvent comme aspirés par sa chatte détrempée. Angélique ferme alors les yeux un instants. Ses seins commencent à se balancer sous mes yeux, ondulant au rythme des mouvements de son bassin, qui répond au va-et-vient de mes doigts dans son vagin. A l’intérieur, c’est doux et chaud. Du pouce, je trouve son clitoris sans difficulté. Il n’est pas énorme, mais je sens qu’il est tendu, gonflé. Le gémissement qu’elle laisse échapper au moment où j’effleure son bouton est sans équivoque. Elle essaie de garder son sans froid, mais je sens qu’elle lutte. Pendant que je continue à explorer ses entrailles de mes doigts.
Je retire alors les deux doigts insérés pour en rajouter un troisième et les enfoncer le plus loin possible, jusqu’à ce que je sois bloqué par le reste de ma main. Les va-et vient se font plus intense, je sens sa mouille qui glisse le long de mon bras pour venir tomber de mon coude sur la moquette du bureau. J’ai du mal à la branler correctement, d’abord parce qu’elle tressaute sous l’effet du plaisir, et ensuite parce que je suis toujours à l’affut d’une visite impromptue dans mon bureau, prêt à arrêter au moindre indice d’une venue intempestive. Et en même temps, j’ai du mal a détacher mes yeux du spectacle d’Angélique, debout à ma droite, planté sur ses talons, le buste penché en avant, me livrant la beauté de ses seins qui remuent à chaque fois que j’enfonce mes doigts un peu plus loin dans sa chatte, les cuisses ruisselantes sous sa robe, son cul magnifiquement cambré dont le tissu maintenant trempé de sueur ne peut que relever la courbe majestueuse. Ses yeux ne fixent plus l’écran, ils sont soit fermés, concentré qu’elle est dans l’atteinte de son extase, soit ils me fixent d’une façon à la fois dur et tendre quand je repousse un peu plus loin les limites de sa jouissance. A ces moments là, Angélique semble vouloir dire que d’une oreille, je perçois un bruit de pas s’approcher du bureau. Je commence à vouloir retirer ma main, mais Angélique, qui a entendu comme moi, plaque alors autoritairement ma main contre son sexe.
« Restes» me dit-elle dans un souffle. Je me retrouve donc avec 3 doigts dans le vagin de ma secrétaire, le bras glissé sous sa robe, quand une collègue fait son apparition à la porte du bureau. Toujours debout à coté de moi, Angelique s’est redressé, mais l’écran de mon PC masquant toute la zone médiane de son corps, il est impossible pour la visiteuse de s’apercevoir de quoi que ce soit.
Angélique semble imperturbable, et son assurance lui donne un air si effronté que je ne me retiens pas de lui caresser le clito de mon pouce resté à l’entré de sa vulve. A ses tressautements imperceptibles, je sens que la tiens à ma merci
A peine la collègue disparue de l’embrasure de la porte, Angélique se jette sur ma bouche pour y enfoncer sa langue. Puis, dans un mouvement d’une parfaite inconscience, elle soulève sa robe pour révéler sa chatte détrempée et mes doigts qui glissent à l’intérieur. Cette vision me rend fou, et je ne suis que soulagé lorsque qu’elle att**** ma nuque de sa main libre pour venir plaquer ma tête entre ses cuisses. Ma bouche se retrouve d’entrée collé à sa chatte humide. Un liquide chaud me coule instantanément dans la gorge. C’est si bon. SA chatte épilée est de la douceur de la soie. Son clitoris roule sous ma langue, pendant qu’elle att**** un de ses seins et le fait sortir de sa robe pour le malaxer. Appuyée contre le mur, Angélique jouit. Je lui plaque la main sur la bouche pour l’empêcher de crier, car le spectacle que nous donnons à ce moment là ne doit être vu par personne.
Imaginez une belle blonde, en train se malaxer le sein droit à l’air libre, la main gauche tenant relevé le bas de sa robe pendant que moi, son patron je lui bouffe la chatte, une chatte splendide qui dégouline de cyprine jusque sur mes joues. Heureusement pour notre secret, cela ne dure pas trop longtemps et Angélique atteint vite l’orgasme. Elle laisse alors retomber ses bras, et je me retrouve la tête sous sa robe. Je m’en dégage rapidement.
C’était incroyable. Ces aventures avec Angélique étaient si folles, si irréelles, que je m’étais à peine rendu compte que si on avait eu des relations orales, si on s’était branlé, jamais encore ma queue n’étaient allée visiter sa chatte. Le meilleur était encore à venir.
Angélique m’attrapant la main qui quelques instants avant seulement étaient plaquée contre son sexe. Puis sans me quitter du regard, elle ouvre la bouche et aspire les trois doigts qui étaient enserrés par son vagin humide il y a juste 5 minutes et les lèche longuement.

Les trois jours qui suivirent ne furent pas de trop pour me permette de reprendre mes esprits. La conférence qui m’occupa les deux jours suivants eu au moins le mérite de laisser mon esprit se focaliser sur ce qui venait de se passer depuis les 5 derniers jours. Ne me demandez pas de quoi sur quoi les débats ont portés lors de ce colloque, je ne me souviens de rien. Seuls les souvenirs du corps nu d’Angélique, de ses seins recouverts de mon sperme, du goût de sa mouille, de sa chatte distendue par l’action de mes doigts, de son visage déformé par mon sexe englouti presque tout entier dans sa bouche, seul ces souvenirs là revenaient inlassablement dans mon esprit. Le jour férié qui suivant me parut interminable, et savoir qu’il serait encore suivi par 3 jours sans la voir me minait les sangs.
Mais j’étais cependant content de retrouver le bureau ce vendredi. Il me serait au moins possible de revenir sur les lieux de ce rêve éveillé que j’avais vécu.
J’arrivais tôt ce jour là. Il n’y avait pas d’urgence particulière à être au bureau de bonne heure, mais a posteriori, je me dis que j’avais peut être eu une intuition…
Le parking était quasiment vide. Pendant les ponts, il y avait souvent peu de monde. Je savais même qu’à l’étage, je serais seul ce jour là. Mais ca ne me dérangeait pas de profiter du calme du bureau.
J’attaque donc cette journée comme toutes les autres, par la lecture de la presse quotidienne en buvant mon café. Et je n’ai même pas le temps d’arriver aux pages sports du Parisien que j’entends la porte du bureau d’Angélique s’ouvrir. Je n’ose pas y croire. Elle m’avait dit qu’elle faisait le pont, je lui avais même signé moi-même sa feuille de congé. Cependant, mon cœur se met à s’emballer dans ma poitrine. Et si c’était elle…
Je me lève alors pour aller voir qui vient d’ouvrir la porte d’à coté. Mais je n’ai pas le temps d’arriver à la porte de mon propre bureau qu’elle surgit. C’est bien elle.
Elle porte une jupe gitane noire et un petit pull marron. Une large ceinture de cuir noir lui ceint les reins. Elle a habillé son cou d’un collier de perles de verre laquées noires. Ses cheveux blonds détachés illuminent son visage. Ses lèvres sont ourlées d’un gloss rose brillant. Un fard à paupière gris souligne le bleu de son regard qu’elle vient planter dans le mien.
Et elle se précipite contre moi, plaquant ses lèvres contre les miennes, sa langue déjà à l’ouvrage au fond de ma bouche. Ses bras me serrent contre elle, je sens ses seins s’écraser contre mon torse. Je lui rend fougueusement son baiser et son éteinte. Elle att**** alors une de mes mains et la pose sur sa cuisse, avant de la faire remonter pour découvrir sa peau sous le tissu noir. Je m’empresse de continuer le mouvement, et bientôt, c’est sa fesse que je rends à l’aire libre. Qu’il est doux ce cul. Quelle texture de satin, quelle douceur de la peau, quel galbe sous les caresses. J’att**** alors ses cuisses et soulève Angélique du sol. Ses jambes entourant mes hanches, sa jupe relevée jusqu’à la taille, je la plaque contre le mur, juste à coté de la porte. Sans cesser de nous embrasser, elle att**** le battant resté ouvert et le repousse. La porte de mon bureau se referme et se verrouille automatiquement. Nous sommes seuls, libres de nous consacrer l’un à l’autre sans risquer de nous faire surprendre. Enfin.
Je repose Angélique sur le sol. Je la retourne face au mur et d’une main, je relève sa jupe au dessus de ses hanches. Si je n’étais pas aussi consumé par le désir, je crois que je ne m’arrêterai pas de fixer, d’admirer ce fessier magnifique, rond et généreux, dont la raie parfaite fait glisser le regard jusqu’à un sexe d’une beauté inégalée. Mais déjà, j’entends Angélique qui gémit doucement. Je passe donc à l’action en laissant courir ma main sur le galbe de ses fesses. Très vite, je me dirige vers sa fente, simplement recouverte d’un string de dentelle noire et blanche. En le faisant glisser pour révéler son sexe, je ne peux que me rendre à l’évidence : il est déjà bien mouillé.

Et sans attendre plus longtemps, j’enfonce mon visage entre ses fesses, la langue en avant pour prendre possession de son vagin. Angélique m’accueille avec un véritable cri de plaisir. Que c’est fait bon, humide et chaud dans sa chatte. Avec ma bouche, je sens la douceur de ses grandes lèvres gonflées par le désir, l’humidité de ses petites lèvres, les plis qui tapissent l’intérieur de son vagin. Rapidement, sa mouille commence à couler, et je m’en abreuve avec délectation. Angélique à la tête en arrière, les yeux révulsés par le plaisir. Elle a pris le pan de sa jupe entre ses dents et me mord pour éviter de crier trop fort.
Après quelques minutes de ce cunnilingus de folie, j’avoue que mon altruisme commence à me faire défaut. Bien sûr, je passerai des heures à lui bouffer la chatte, mais autant que faire se peut, j’aime autant qu’on me rende la pareille.
Je me relève alors et entreprend de déshabiller Angélique. D’un seul regard, elle comprend et commence à faire de même avec mes habits. Je laisse glisser sa jupe et son string sur le sol pendant qu’elle enlève ma chemise. Je lui retire ensuite son pull, elle déboutonne mon pantalon. Et avant même que j’ai fini de retirer son soutien gorge, ma queue est déjà dans sa main.
C’est vrai que ma queue peut de prime abord paraître assez impressionnante elle est aussi très épaisse en son milieu.
Je la saisi alors assez fermement et je l’allonge sur le dos, sur la table de réunion toute proche, la tête au bord de la table. Je reste debout, ma queue au dessus de la tête d’Angélique. Mes yeux vont alors à la rencontre des siens. Sans rien dire de plus, j’approche ma bite de son visage, et lui pose le gland sur les lèvres. Elle ferme alors les yeux et ouvre la bouche pour le laisser rentrer.
Elle rouvre alors ses paupières, me jette un regard bleu acier et d’un air décidé, enfourne quelques centimètres de chair supplémentaire au fond de sa bouche. Je ne sais pas ce qui est le meilleur : sa manière exquise de me sucer, sa façon de saliver sur ma hampe, de faire courir sa langue sur mon gland, ou bien ce regard extraordinaire qu’elle me lance, un regard rempli de fierté, de plaisir assumé, de vice également. Je ne savais pas qu’il était possible de paraître à la fois comme une ingénue et comme une salope. Angélique y arrive, elle le transpire même.
Mais toute bonne suceuse qu’elle est, je ne la laisse pas se débrouiller seule. Pour renforcer mon plaisir, je prends parfois les choses en main. D’abord en entreprenant de caler mon gland à l’intérieur de sa joue, déformant ainsi son visage magnifique pour le rendre malléable à mon bon plaisir. Puis je lui mets impérieusement mes couilles dans la bouche. A son petit mouvement de recul, je comprends que lécher ou sucer des couilles ne lui était jamais venu à l’esprit.

Angélique se met donc à l’ouvrage, aspirant d’abord doucement, puis s’enhardissant pour finir par sucer mes boules rasées comme si elle souhaitait en extraire tout le jus. Je suis aux anges, et je peux voir qu’elle aussi : ses tétons sont dressés sur des mamelons gonflés de plaisir, et je peux déjà voir que la mouille échappée d’entre ses cuisses commence à se répandre sur la table. Pour rajouter du bonheur au bonheur, je lui saisis doucement les seins, les pelote avec tendresse avant de les saisir plus fermement. Puis, je me penche vers le sexe d’Angélique. Nous sommes, pour la première fois, en plein 69. Je dévore sa chatte, faisant courir ma langue entre les lèvres de sa vulve, parfois ne faisant qu’effleurer ou souffler doucement sur son clitoris, parfois allant jusqu’à l’aspirer de toutes mes forces, lui tirant à chaque fois un râle de plaisir. J’introduis aussi ma langue dans son vagin, cherchant à en tâter les moindres plis, en découvrir les moindres aspérités. Ma salive vient se mêler à sa cyprine, leur mélange donnant un breuvage dont le goût et l’odeur enivre mes sens.
Angélique a profité de notre position pour reprendre ma queue dans sa bouche, et pendant que je continue de lui brouter le con, elle att**** mes fesses avec ses mains et tire mon bassin vers son visage. Sa tête est désormais basculée en arrière sur le rebord de la table. Je comprends instantanément. Sa première gorge profonde lui a plu, et elle veut remettre ça. Et sa position est idéale pour aller encore plus loin. Je réponds donc à ses attentes et lentement, je commence, par des allers et retours de mon bassin, à baiser la bouche d’Angélique. Sa bouche, ses lèvres, sa langue, sa gorge forment un écrin de choix pour mon sexe, qui effectue des allers retours de plus en plus loin, de plus en plus vite. Je sens la salive inonder mon chibre, dégouliner le long de mes couilles, se répandre sur son visage si doux qui n’en devient que plus beau, parce que souillé de son propre vice. Au bout de quelques dizaines d’allers retours, je sens quelque chose frôler mes testicules à chaque passage : si le nez d’angélique qui se retrouve à toucher mon scrotum à chaque passage, c’est qu’elle a réussi là ou je n’avais pas réussi à la faire aller quelque jour plus tôt : elle avale enfin mon sexe en entier, jusqu’à la garde, une vraie gorge profonde dont la simple vision fait monter en moi la semence. Je reste alors quelques secondes tout au fond de sa gorge, mes couilles écrasées contre son visage qui ruisselle de salive et de larmes. Je m’y sens tellement bien. Puis, lentement, je retire mon chibre jusqu’à ne laisser que le gland à l’entrée de ses lèvres. Elle me regarde alors de ses yeux bleus embués, et d’un léger hochement de tête, me donne son approbation : ma queue tressaute alors, et j’envoie dans sa bouche, contre sa langue et son palais, plusieurs longues giclée de mon sperme, blanc et épais, qui vient bientôt remplir une bonne partie de sa cavité buccale. Une fois ma décharge finie, je m’agenouille afin de placer mon visage à hauteur du sien, plantant mon regard dans le sien. Par ses lèvres encore entrouvertes, je peux voir plusieurs centilitres de foutre couler sur sa langue et ses dents.

Angélique ferme alors la bouche, et dégluti longuement, fermant les yeux comme si elle avalait un mauvais médicament. Puis dans l’instant suivant elle les ouvre, le visage comme illuminé, dessinant un large sourire avant d’ouvrir la bouche en grand, comme remplie de fierté de montrer qu’elle a tout avalé, comme une grande. Et Angélique de récupérer du bout de son doigt quelques gouttes de sperme ayant coulé du coin de ses lèvres, et de se sucer le doigt avec gourmandise.

Angélique et moi sommes maintenant debout l’un contre l’autre, entièrement nus, enlacés, ses seins écrasés contre ma poitrine, ma queue dressée contre son ventre. Nous nous regardons. Sans parler, nous savons que ca y est, c’est le moment, nos sexes vont se rencontrer, se toucher, s’emboiter. Délicatement, je soulève ma secrétaire par les fesses et je l’assieds sur la table de réunion. Elle écarte alors largement les cuisses, révélant ainsi sa chatte épilée qui continue de briller d’humidité. Appuyée sur ses mains, Angélique garde le torse droit et refuse pour le moment de s’allonger.

Alors doucement, délicatement, je pose le sommet de mon gland sur sa vulve mouillée. Ce contact seul me fait presque défaillir. La douceur de sa peau est encore plus étonnante perçue par les terminaisons nerveuses de mon sexe. Je commence alors à caresser ce trésor jusqu’alors interdit avec le bout de ma queue, faisant glisser ma queue chaque fois un peu plus haut le long de la fente humide, frottant à chaque passage contre son bouton rose qui prend du volume et rosit à chaque coup. Les yeux d’Angélique sont rivés sur nos deux sexes, le spectacle de leurs caresses semble la fasciner, Sur son visage se lisent à la fois curiosité, désir et excitation, des sentiments qu’à vrai dire je ressens moi même.
Après quelques dizaines de secondes de ce petit teasing, je me sens chauffé comme jamais : ma queue est dure comme de l’acier, et je la sens plus longue et épaisse que je ne l’ai jamais vu.
Je place alors ma queue devant l’entrée de son vagin et sans que nous nous quittions du regard, je fais rentrer ma b ite dans la chatte d’Angélique. Au moment ou le gland disparaît entre ses petites lèvres brillantes, ma secrétaire laisse échapper un long gémissement de plaisir. Moi-même je ne retiens pas un grand « ooohh » de bonheur et de satisfaction. Ca y est, après tout ce désir masqué, de fantasmes inassouvis, l’incroyable se produit : nos deux sexes sont l’un dans l’autre, nos intimités les plus profondes sont liées par l’acte le plus beau et le plus parfait qui soit. Je suis en Angélique, et Angélique me reçoit.
Je pousse plus loin ma colonne de chair, et ma secrétaire ne parvient pas a réprimer un petit cri de douleur. Ma bite enfoncée à moitié dans son con lui fait déjà mal. Je rectifie alors la position du bassin de ma belle blonde sur la table, et lui saisit une jambe pour la poser sur mon épaule, afin d’ouvrir davantage ses cuisses et l’entrée de son vagin. Tout de suite, je la sens plus à son aise, et je ré-enfourne ma verge dans son sexe. Prenant sa cuisse levée entre mes mains, je m’en sers comme point d’appui et je commence à faire bouger mon bassin d’avant en arrière, mon pieu planté dans sa chair. Angélique me regarde, entre deux basculements de têtes en arrière, les paupières closes.
Elle se lèche les doigts et entreprends de masturber son clitoris pendant que je commence à la limer, toujours en ne la pénétrant pas plus que de la moitié de ma queue. Ses petites lèvres, à chaque allers et retour, entre et sortent de son vagin, accompagnant en rythme les exploits de mon chibre. Ce spectacle est si beau, je ne me lasse pas de le contempler. Angélique aussi d’ailleurs, que je vois dévorer ce spectacle du regard.

Je sors alors ma queue de son vagin et procède alors à des entrées/sorties répétées, laissant à chaque fois à son orifice le temps de se refermer un peu avant de le remplir de nouveau, chaque fois un peu plus. Ce traitement rend folle ma partenaire. A chaque fois je sors, elle lâche un soupir de dépit, et dès que je rentre, j’ai droit à un cri de plaisir et d’impatience.
Angélique baisse le regard vers nos sexes : ma bite est enfoncée dans sa chatte presque entièrement, il ne reste plus qu’une demi-douzaine de centimètres à faire entrer jusqu’à la garde.
Je recule alors de quelques centimètres avant de plonger au plus profond de son être, son vagin enserrant mon pénis de tout son long. Je sens le bout de mon gland taper fortement contre le fond de son puits. Ce mouvement nous arrache un cri de plaisir intense. Je reste ainsi sans bouger quelques secondes et je fais ensuite gonfler mon sexe en bougeant mes muscles pelviens. Cette action seule, rien d‘autre qu’une petite variation de volume de ma verge dans son orifice provoque en Angélique un énorme tressautement. Je sens son corps se raidir, je vois une chair de poule apparaître sur sa peau. Elle jouit. Être prise ainsi, entièrement, totalement, la fait jouir.
Je reprends alors mes mouvements de va et vient, faisant glisser ma queue de plus en plus vite. Angélique ne se retient plus, elle est en furie.
Ses encouragements me pousse à redoubler d’ardeur, je vais de plus en plus vite, de plus en plus fort, ne ralentissant que quand je sens la sève monter. Je ne veux pas jouir trop vite, je veux que ca dure des heures. Sa façon de parler crument me donne aussi envie de lui dire tout ce que je ressens. Je veux lui faire savoir le bien qu’elle me procure.
Ensuite j’att**** Angélique sous les fesses et en la portant, je prend sa place, le dos allongé sur la table de laquelle elle a si souvent desservi les cafés, et je la place à califourchon sur moi. Pendant ce changement de position, ma bite n’a pas quitté son vagin.
Appuyée sur ses genoux, Angélique se met alors à monter et descendre sur mon chibre. Son mouvement est surtout un mouvement du bassin, ce qui a pour effet de faire fortement remuer ses fesses qui s’agitent à chaque aller-retour. Ce spectacle doit être merveilleux, mais je suis mal placé pour le voir. Je décide donc de le sentir en plaçant mes mains sur ses fesses. Son cul qui gigote ainsi autour de ma queue, je crois que j’en tombe amoureux. Il est si large, si doux, si ferme et moelleux en même temps. Je le saisis à pleines mains, enfonçant mes doigts dans les muscles et la graisse. Je le malaxerai ainsi pendant des heures, aidant Angélique dans son mouvement autour de ma bite.

Tellemenent excité elle me demande de la fessée.
J’administre alors une petite claque sur sa fesse gauche. Angélique laisse pousser un petit cri d’extase semblant galvanisé par son audace et le plaisir certain qu’elle en retire.
Je lui claque donc plus fort une fesse puis l’autre. Au fur et à mesures de mes gifles, Angélique augmente le rythme de son bassin. Elle me baise de plus en plus vite, de plus en plus fort, s’empalant toujours un peu plus sur mon chibre, tellement fort qu’il me fait presque mal. Tout en baisant, elle att**** ses seins à pleines mains, les malaxes, triture ses tétons. Puis elle appuie ses mains contre ma poitrine et plante son regard dans le mieux, en continuant ses mouvements. Ses yeux bleus semblent exprimer mille choses : l’envie, le bonheur, la plénitude, la volonté. Je sens qu’elle s’est fixé un but celui que nous jouissions ensemble, les yeux dans les yeux, l’un contre l’autre, l’un dans l’autre. Alors je me laisse aller complètement entre ses hanches expertes qui terminent de faire monter mon foutre dans ma bite toujours enserrée dans son vagin. Nous écarquillons les yeux au même moment, de même que nos bouches s’entrouvrent. Au moment où nous explosons, Angélique se précipite pour m’embrasser, sa langue fondant sur la mienne, ses mains s’agrippant à mes épaules. Mes bras enserrent sa taille et j’enfonce au plus profond mon sexe dans le sien au moment ou je sens mon sperme être expulsé de ma queue avec une force prodigieuse pour venir remplir son vagin et finir par ruisseler d’entre ses cuisses jusque sur mes couilles.
Nous restons ainsi quelques minutes sans échanger aucune parole. Il y a des instants out le vocabulaire du monde ne saurait retranscrire la vérité d’un regard.

Ca y est, nous avons franchi le pas, Angélique et moi venons de faire l’amour, complètement, jusqu’au bout, pour la première fois. Mon pénis est toujours en elle, et malgré notre orgasme récent, il ne semble pas vouloir revenir au repos. Il va pourtant falloir que l’on se sépare, que mon sexe quitte ce nouveau refuge où il a trouvé sa place.

Avec regret, ma secrétaire recule son bassin, laisse échapper de sa chatte ma queue gluante de sperme et de cyprine. Une flaque de ce mélange s’est formée sur la table de réunion.
Je commence alors à me rhabiller, remets mon pantalon et reboutonne ma chemise, pendant qu’Angélique replace sa jupe sur ses hanches. Puis, avant même de remettre son soutien-gorge, je la vois att****r quelques serviettes en papier posées sur un des meubles du bureau et commencer à nettoyer la table, couverte des traces de notre adultère. Je ne peux m’empêcher de la regarder, le buste penché sur la table, ses seins encore libres oscillant sous les mouvements de son bras, ses fesses laissant deviner leur galbe sous la jupe noire. Qu’elle est belle, que sa poitrine est magnifique, que son cul est excitant. Je sens le sang affluer de plus belle dans mon sexe. Pourtant, je sais que je ne dois rien faire, que je ne peux pas recommencer, la porte verrouillée ne sera pas un obstacle pour le type du courrier, car avec son passe, un jour comme aujourd’hui où il n’y a quasi personne dans les locaux, il pourrait avoir l’idée d’ouvrir la porte pour poser le courrier sur mon bureau et risquerait de nous surprendre.
Alors qu’Angélique finit de nettoyer la table, la poitrine toujours entièrement nue, j’entrouvre alors la porte et voit le préposé au courrier pénétrer dans un des bureaux de l’étage. Ce n’est qu’une question de seconde avant qu’il soit ici. J’avertis ma secrétaire, qui ramasse alors en vitesse son pull, son soutien gorge et son string. Elle n’a pas le temps de se rhabiller, et file donc se cacher sous mon bureau. Celui-ci ayant une paroi sur le devant, elle sera invisible de tout visiteur. Je suis à peine installé sur mon siège, que je sens la main d’Angélique se poser sur ma braguette. Et quand on entre dans le bureau, ma bite est déjà à l’air libre, la main de ma secrétaire en enserrant la base.
Pendant que notre collègue s’approche du bureau, je tente de maintenir une contenance : difficile quand je sens la seconde main d’Angélique se positionner sur la première. Désormais, presque l’intégralité de ma queue est recouverte par ses deux mains, seul le gland dépasse. Il ne reste pas longtemps à découvert. Je sens des lèvres se refermer rapidement sur lui.
La dépose du courrier ne dure pas longtemps, à peine quelques banalités sont échangées, mais pour moi le temps dure des heures : pendant que je discute du temps qu’il fait, je suis en train de me faire sucer le gland. Angélique prend même un malin plaisir à le mordiller, histoire de me faire sursauter. Quand nous nous retrouvons enfin seuls dans le bureau, je recule ma chaise, prêt à passer un savon à ma secrétaire pour ce comportement qui aurait pu nous faire prendre. Mais je n’arrive pas à lâcher un mot. Angélique a toujours ma queue dans une main. Un filet de salive relie encore sa bouche à ma bite. Elle me regarde avec cette expression incroyable, mélange d’innocence et de perversité. Je craque complètement. Faisant fi du risque potentiel de nous faire surprendre, la porte étant toujours ouverte, j’att**** sa nuque et tire son visage vers moi. Je l’embrasse goulûment et la laisse reprendre sa fellation.
Elle laisse courir sa langue le long de ma hampe, remontant de la base jusqu’au gland, avant de prendre celui-ci entre ses lèvres et continuer à le mordiller. Chacune des pressions de ses dents contre le bout ultra-sensible me procure comme un électrochoc. De temps en temps, elle prend le corps de mon sexe entre ses mâchoires, comme si elle croquait un épi de mais, et entreprend de faire glisser ses lèvres le long de ma colonne de chair. Pendant qu’elle me suce, je profite du spectacle de son visage si pur, je passe mes doigts dans ses cheveux, je caresse ses joues. Quand elle me laisse un instant de répit, je prends ma queue et la passe sur son visage, frôlant son nez, glissant sur ses pommettes. Elle me regarde avec amour, semblant apprécier le contact de mon gland contre sa peau de satin. Elle ouvre la bouche, comme pour quémander que je lui fasse offrande de ma bite. Doucement, je m’amuse alors à faire claquer ma queue contre ses joues, la retirant toujours au moment ou les lèvres d’Angélique sont prêtes à se refermer sur elle.
Je tape alors mon gland à plusieurs reprises contre sa langue tirée, suscitant de sa part un gémissement plaintif, de frustration et de plaisir mêlé. Ne voulant pas la faire souffrir trop longtemps, je lui laisse reprendre la main. Comme pour se venger, elle saisit ma queue à deux mains et commence à me sucer profondément, ses joues se creusant sous l’effet de l’aspiration. Rapidement, ma queue est trempée de salive. Elle profite de cette humidité pour mettre ses doigts en action, et commence à me branler des deux mains tout en continuant à me pomper. Cette masturbation est experte : ses mains branlent ma bite de bas en haut tout en tournant. De temps en temps, elle arrête de sucer mais laisse ses mains continuer le travail.
Ma bite déforme maintenant son visage, mon gland venant s’appuyer à l’intérieur de sa joue. J’en profite pour le stimuler davantage en donnant des petites claques sur cette bosse qui corrompt son visage innocent tout en révélant sa vraie nature perverse.
Angélique se redresse alors, place ma queue entre ses deux globes mammaires, lâche un filet de salive sur le sommet de ma bite et commence à me branler entre ses seins.
Ce va et vient de mon chibre entre ses nichons me fait un bien fou, et tout en me gardant excité, il me permet aussi de reprendre le contrôle et de faire retomber le foutre qui était prêt à exploser. Je prends un plaisir inouï à cette branlette espagnol, à ce spectacle de voir ma secrétaire à genoux devant moi, ses seins entourant ma queue et prenant du plaisir à voir mon gland aller et venir entre ses loches, ses tétons durcis par le contact répété avec mon chibre. Pour qu’elle ait encore plus de plaisir, je prends le relais de ses mains pour serrer ses seins contre ma queue, libérant les siennes. Immédiatement, celles-ci trouvent le chemin de sa chatte, l’une allant et venant dans son vagin, l’autre tournoyant sur son clitoris.
C’est au moment où je suis prêt à jouir qu’Angélique s’interrompt et se redresse. Elle saisit alors ma bite dressée, et la tire, me forçant à me lever.
Et me traînant toujours par la queue, elle s’approche du comptoir devançant la baie vitrée de mon bureau, et penchant son buste par-dessus, me tournant le dos.

Elle remonte alors sa jupe au dessus de ses fesses. Je peux admirer son splendide fessier, surmontant ses jambes tendues. Le galbe de ses mollets, la ligne parfaite de ses cuisses conduisent mon regard à ce cul fabuleux, fendu d’une raie profonde qui aboutit sur une moule gonflée par le désir, suintant la cyprine. Les petites lèvres sont cachées par le bourrelet des grandes, et c’est à peine si je peux apercevoir l’œillet de son anus. Bien qu’elle soit déjà bien humide, je ne peux résister à l’appel de sa chatte humide, et ma langue trouve vite le chemin de son berlingot. Je glisse sur son clitoris, écarte ses lèvres délicatement, caresse l’entrée de son vagin, remonte jusqu’à l’extrémité postérieure de son sexe, et arrive naturellement jusqu’à son trou du cul. Pour y parvenir, j’ai commencé par m’aider de mes mains pour écarter ses fesses, mais Angélique m’a rapidement suppléé, écartant ses deux globes au maximum pour m’offrir le plus beau des spectacles. L’ensemble de son intimité la plus secrète se révèle à moi, sa délicieuse chatte épilée, son anus à peine plus brun que le reste de sa peau. Lui aussi semble luire de désir. J’ai envie de photographier cet instant, de garder toujours en mémoire ce con et ce cul ouverts à tous mes désirs, à tous mes vices. Mais ma secrétaire me tire rapidement de ma torpeur.

Je replonge alors au cœur de son intimité. D’abord doucement, puis furieusement, je fouraille dans ses entrailles, envoyant ma langues dans sa cavité vaginale, suçant son bouton rose, me désaltérant à sa mouille sucrée-salée, léchant tout son périnée imberbe d’une douceur d’ange. Je remonte jusqu’à son œillet, et commence à le lécher copieusement. Angélique tressaute et continue plus avant, et m’enfonce doucement à l’intérieur de son anus. Les odeurs qui s’en dégagent, ce parfum de savon mêlé à sa propre odeur m’enivre. Sous l’action de ma bouche et de ma langue, ma secrétaire tressaille. Se faire bouffer le cul, elle aime ça. C’est semble-t-il une nouvelle révélation. Après un ultime sursaut, elle att**** mes cheveux sans même changer de position.

Je me relève, et prend position derrière son cul. Lentement, je fais glisser ma queue dans sa raie, prenant soin d’attarder quelques instants mon gland sur son petit trou. Angélique sursaute. Je sens l’appréhension mêlée à l’excitation l’envahir. Remontant sa jupe plus avant, je découvre ce fameux tatouage au creux de ses reins, ce tatouage qui plus que tout autre chose, m’a fait fantasmer pendant des années. Je prends le temps de repasser par dessus le dessin avec l’extrémité de mon chibre.
Je ne reviens pas de cet aveu de perversité. Cela décuple mon envie de la prendre, de la baiser, là tout de suite comme ça, comme mon amour, mais aussi comme une chienne. Ma chienne.
Je laisse couler un filet de salive dans sa raie. Le liquide glisse entre ses deux fesses, et semble faire une pause dans le trou de son oignon. Je joue alors à lui faire peur en plaçant mon gland dessus, juste le temps de récupérer le liquide, et je descends vers son vagin, dont je force l’entrée sans ménagement. Angélique se cambre, appuyé sur ses mains, et bascule la tête en arrière. Je peux voir dans le reflet de la vitre ses tétons qui dardent sur sa poitrine gonflée entre ses bras. Dans cette position, ma queue trouve plus vite encore son espace pour évoluer. Le puits d’Angelique me serre le chibre encore plus fort que par devant. Je commence à la limer, enfonçant chaque fois plus profond dans son intimité mon sexe turgescent. A mes coups de boutoir, ma secrétaire répond par des mouvements du bassin, d’abord parallèles à mes mouvements, comme pour m’empêcher d’aller trop loin. Je lui dilate la chatte, peut être un peu trop. J’att**** alors sa gorge, tirant son visage vers le mien, et je plaque sa bouche contre la mienne. Pendant que nos langues tournoient l’une contre l’autre, je saisis de ma main libre une de ses hanches et je force son rythme à s’inverser. Angélique raidit tous ses muscles, tente de résister. Mais l’orgasme que lui procure alors ma queue au fond de son vagin, la stimulation de ma colonne de chair contre ses parois intimes a tôt fait d’annihiler toute résistance, et c’est bientôt de concert que nous nous mettons à baiser, furieusement, intensément.
Débarrassé de cette résistance, je me concentre sur mon ouvrage, j’augmente les mouvements de mes hanches pendant qu’Angélique se repenche vers l’avant, creusant davantage ses reins, s’empalant sur mon chibre à chaque impulsion. Nous sommes chanceux que le parking en bas de mes fenêtres soit désert : quiconque passerait par là en ce moment verrait une blonde magnifique, les cheveux défaits, le torse entièrement nu, en train de bouger d’avant en arrière dans un mouvement sans équivoque, ses seins se balançant et s’entrechoquant en cadence. C’est en tout cas ce que je peux voir dans le reflet de la vitre. Ce spectacle me rend fou, encore plus quand je lui rajoute la vision de son cul venant s’écraser contre mon pelvis à chaque coup de boutoir, la graisse et les muscles secoués au rythme de ma queue limant sa chatte trempée. Une main agrippant le tissu de sa jupe remontée en ceinture au creux de ses reins, je me mets à claquer ses fesses au rythme de mes coups de bite. Chaque gifle tire d’Angélique un cri de douleur et de plaisir mêlés. Bientôt, l’empreinte de ma main apparaît en rouge sur sa peau délicate. Quel bonheur de marquer mon empreinte sur l’objet de mes désirs les plus fous.
Une fois qu’elle a le cul bien rouge, sans arrêter de baiser et sans attendre sa réaction, j’enfonce mon pouce humide dans son anus. En un éclair, je sens son vagin se resserrer sur ma queue. Ses fesses se contractent, et mon doigt se retrouve prisonnier de son sphincter. Angélique tourne ses yeux vers moi, d’un air suppliant.

Et sans attendr

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