La semaine suivante reprit comme la précédente. Annabelle est allée faire le compte-rendu de sa punition à son patron le lundi matin. Il te félicita pour ton obéissance, vérifia comme à son habitude que tu avais bien le cul en dilatation et te renvoya à ton travail. Bien sur une à deux fois par jour il t’appelait à son bureau et exigeait que tu le suces bien à fond. Après quoi il te faisait me téléphoner pour que tu me dises ce que tu venais de lui faire. Bref, la routine. Enfin si on peut dire…. Rien d’extraordinaire donc, sauf le vendredi, dernier jour de la semaine et même du mois car tu étais en vacances les deux semaines suivantes. Tu avais rangé ton bureau, classé les dossiers, mis de l’ordre dans ton ordinateur et transmis à ta collègue les directives afin de palier à ton absence temporaire. Tu jetais un dernier coup d’œil dans ton espace lorsque l’interphone t’intime l’ordre de te rendre illico dans le bureau du patron.
Alors que tu refermes la seconde porte du sas derrière toi, tu constates qu’il n’est pas seul. Assis devant lui, un couple. Elle, jolie femme brune à cheveux mi-longs, la petite quarantaine se tient droite dans son fauteuil, jambes croisées. Sa jupe, dans cette position, est remontée à mi-cuisses. Sa veste de tailleur n’est pas boutonnée mais on ne peut voir sa poitrine. Celui qui doit être son mari est très élégant. Brun court, petite barbe de deux jours, environs le même age, les yeux bleus, polo Lacoste assorti à ses yeux et pantalon beige clair à fines rayures bleues aussi. Il a les jambes tendues devant lui et tu ne vois donc pas ses chaussures puisque ses pieds sont sous le bureau.
Le patron t’accueille avec un large sourire en te présentant comme la perle de son entreprise. C’est elle affirme-t-il, qui nous a ramené notre dernier client. Son talent a fait la différence, il n’a pas pu lui résister. A toi il te présenta le couple comme de grands amis à qui il a venté tes qualités. Mes qualités? Demandes-tu incrédule. Ben oui, confirme-t-il, tes qualités de suceuse et de baiseuse. Alors là, tu es soufflée. D’abord tu deviens rouge de la tête aux pieds instantanément, tes bras restent comme suspendus dans les airs, ta mâchoires inférieure semble s’être désolidarisée de l’autre partie, aucun son ne sort de ta bouche bien sur et tu as l’impression de te liquéfier sur place. Remets-toi dit-il en te secouant le bras, quand j’ai une bonne chienne, j’en parle à mes meilleurs amis, quoi de plus naturel? D’ailleurs je voulais te prévenir, tu vas passer tes vacances chez eux. Tu crois crier « hein! » mais en fait, rien ne sort de ta gorge. Il ajoute aussi que je suis au courant et que je dois t’y emmener dimanche.
Là, tu es vraiment abattue. Tu n’en crois pas tes oreilles. Tu te demandes si j’étais vraiment au courant le week-end dernier ou si c’est dans la semaine que nous avons tramé ça. En tout cas tu es abasourdie et tu as bien du mal à revenir sur terre. Mais tu reprends peu à peu une couleur normale, tu déglutis et retrouves l’usage de tes jambes. Tu te ressaisis aussi en disant à ton patron que tu feras ce qu’il t’ordonne. Vous voyez! Dit-il en s’adressant à ses amis, je vous l’avais bien dit. Cette chienne est parfaite. En peu de temps, son mari et moi l’avons bien dressée. Certes le terrain était fertile, mais elle nous a beaucoup étonné. En quelques jours, la femme sensuelle est devenue une grosse salope obéissante. D’ailleurs vous allez voir. S’adressant cette fois à toi, il te dit de monter sur son bureau, de remonter ta jupe sur tes hanches et de t’accroupir face à ses amis. Sans un mot, tu t’exécutes, une fois de plus résignée. Une fois en place, le couple se redresse des fauteuils où ils étaient engoncés afin de voir de plus près, le spectacle que tu leur offres. Ils admirent ta chatte que la position entrouvre et constatent qu’un objet obstrue ton trou du cul. L’homme questionne ton patron du regard. Celui-ci répond qu’il fallait te le dilater car l’endroit n’était guère pratiqué. L’homme répond toujours sans parole d’un signe de tête. Ensuite c’est la femme qui tend le bras et passe ses doigts sur tes grandes lèvres qui pendouillent. Elle ramène sa main et la fait voir à son mari. Regarde dit-elle, cette pute mouille déjà, je sens qu’on va bien s’amuser ces deux prochaines semaines.
Le dimanche matin, nous prenons la route vers 10 heure. Il y a une cinquantaine de kilomètres à faire seulement mais il est convenu que nous serons à destination en fin de matinée et la route que je ne connais pas est un peu tortueuse, donc il vaut mieux prévoir un peu de marge. Tu sembles songeuse mon amour, et la moue que tu fais me laisse à penser que tu dois te faire tout un cinéma dans ta tête. Encore une fois tu dois tenter d’imaginer ce qu’il va t’être demandé comme perversité. Ou alors, tu penses à la nouvelle punition qui t’est promise. En effet, vendredi soir lorsque tu es rentrée, tu m’as littéralement agressé. Tu étais furieuse que je ne t’ai rien dit sur les deux semaines suivantes, vexée que ce soit ton patron qui t’ait appris la nouvelle. Je t’ai vite calmée en te disant que c’était la même chose lui ou moi en ce qui concerne ton éducation. Que tu n’avais pas à parler sur ce ton à l’un de tes maîtres et qu’en conséquence tu subirais ultérieurement une autre punition.
La route était quand même agréable malgré les nombreux virages, il faisait super beau et tu ne desserrais toujours pas les dents. Tant pis, mais ça ne changera rien. Déjà quarante cinq minutes que nous roulons, tranquillement il est vrai, quand je vois enfin le panneau indiquant le village attendu à six kilomètres. Je bifurque. J’aperçois les premières maisons en même temps qu’un autre panneau, celui-ci en bois, cloué sur un pieu fiché de travers dans le talus sur ma droite, avec le nom du lieu-dit. Je m’engage donc dans la direction qu’il désigne. C’est un chemin non goudronné mais très carrossable, bordé de platanes qui forment une voûte bien agréable par ces chaleurs. On n’en voit pas le bout car après environs cent cinquante mètres, le chemin tourne sur la gauche. Tu sembles ne plus faire la tête et tu admires le paysage qui paraît te plaire. Le chemin est plus long que je ne pensais. Après avoir tourné, l’allée de platanes se poursuit sur encore deux cents mètres puis c’est une forêt de chênes verts qu’on traverse sur encore au moins cinq cents mètres. Soudain, au détour d’un dernier tournant apparaît la bâtisse. Ce n’est pas à proprement parler un manoir, mais plutôt une bastide. Imposante tout de même. Tout en pierre, sans doute récemment retapée et bien retapée, il faut le reconnaître. Devant, une grande place en gravillons avec une fontaine en son centre, ce qui oblige à respecter un sens de circulation manifestement. Les traces de pneus nous entraînent tout naturellement vers la droite et nous allons retrouver les autres véhicules, déjà garés sur la gauche de la maison, près d’un appentis où sèche quelques stères de bois. A peine sommes-nous garés, que nos hôtes sortent nous accueillir, un grand sourire aux lèvres, tandis que ce qui semble être un domestique, se précipite vers le coffre de ma voiture afin d’en extraire les valises.
Les trois ou quatre voitures stationnées à côté de la mienne, supposent que d’autres invités sont déjà arrivés. En suivant nos hôtes, après avoir gravit quelques marches, nous pénétrons dans le hall. C’est une pièce spacieuse, au plafond duquel trône un gros lustre de cristal imposant. De chaque côté, un placard à double portes dont le domestique ouvre l’une d’elles afin d’y accrocher nos vestes. Au mur, à hauteur d’homme, des tableaux. La plupart de ces peintures représentent des scènes de chasses ou des vues de la bastide sous différents angles. Au dessus des cadres, de chaque côté, une rangée impressionnante de trophées. Des cerfs, des sangliers, des chevreuils et même une tête d’antilope, un bubale, me semble-t-il vu ses cornes torsadées. A la fin du hall, juste avant de pénétrer dans une immense salle à manger, un couloir de part et d’autre distribue soit les chambres d’un côté, ou la partie cuisine de l’autre. La salle à manger est tout aussi somptueuse. Des meubles de style – que je ne reconnais pas, mais il est vrai que je n’y connais pas grand chose en matière de style- dont une immense table autour de laquelle qui attendent les convives, des fauteuils aux dossiers confortables. Aux murs, d’autres scènes de chasses, c’est vraiment une obsession chez eux. Bien que, en regardant un peu mieux, certains cadres contiennent des toiles dont la teneur tient plus de l’après chasse, pendant les beuveries et autres orgies, que de la course dans les marais. Nous traversons cette salle dont les portes fenêtres sont ouvertes sur un jardin. Enfin un jardin, avec une telle surface, on appelle ça un parc. Entre la maison et l’orée du bois au fond, quelques massifs de fleurs, des buis taillés et sur la gauche, une serre. A droite, bien exposée, une piscine ou pataugent quelques silhouettes, les autres paressant sur le bord au soleil. Nos hôtes nous font signe de les suivre vers cette piscine afin de nous présenter le reste des invités.
Les présentations sont faites sans aucune allusion à ta soumission. Tous ont l’air très sympathiques. Ils sont à peu près dans les ages de nos hôtes, à l’exception d’un couple qui doit friser les cinquante cinq ans. Elle, est très bien conservée. Elle doit s’entretenir. Pas de ventre, une peau soignée et ferme et de jolis galbes là, où il faut. Quant à lui, un début de bedaine, le front dégarni mais un visage jovial et franc. Le domestique arrive et il lui est donné l’ordre de nous accompagner à notre chambre, après quoi nous sommes chaleureusement invités à les rejoindre en maillot de bain.
Aussitôt de retour, je plonge dans la piscine illico alors que tu préfères un transat où tu t’allonges langoureusement. C’est le moment que choisit notre hôtesse pour se rapprocher de toi. Elle te demande si tu es bien installée, si ta chambre te plait et d’un ton qui ne supporte pas la réplique, elle te dit de retirer ton maillot. Tu te relèves un peu sur les coudes, la regardes avec des yeux mi-interrogateurs, mi-apeurés mais vu son regard, tu comprends vite qu’elle ne plaisante pas. Tu es bel et bien à leur disposition te dis-tu, ce n’était pas une plaisanterie ce que ton patron a dit en fin de semaine dernière. Tu te lèves donc du transat et entreprends d’enlever d’abord le haut que tu dépose à tes pieds sur le carrelage, puis le slip qui rejoint le soutien-gorge. Tout le monde a les yeux tournés vers toi. Tous tes mouvements sont épiés et chacun tente de découvrir un peu de ton intimité. Alors que tu te rallonges sur le transat, ta nouvelle maîtresse temporaire ajoute que durant ton séjour tu devras toujours évoluer nue. Elle poursuit en précisant que tu devras satisfaire les besoins de chacun de ses invités, ainsi que les siens et ceux de son mari. D’ailleurs conclut-elle, commence par me passer de la crème solaire partout. En disant cela, elle s’est elle aussi, déshabillée et allongée sur le ventre. Tu t’approches d’elle et att****s le tube le crème. Tu te mets à genou à côté et commence à lui tartiner les épaules, puis le dos. Tes mouvements sont lents et sensuels. Tu t’appliques à la masser comme tu aimes qu’on te le fasse. Tu te dis qu’ainsi elle devrait être satisfaite. Tu penses surtout que tu ne veux pas accumuler les punitions. Dieu seul, sait ce qu’on te ferait faire. Tu es arrivée au bas du dos. Vas-y! Commande-t-elle, mets-en partout, dépêches-toi avant que je n’att**** des coups de soleil. Alors te voilà à lui caresser les fesses, puis les cuisses et enfin les mollets avec la pommade bronzante en guise d’huile essentielle. Croyant lui faire plaisir, tu insistes sur ses fesses. Les malaxant doucement, les écartant parfois ce qui te permets d’apercevoir sa rondelle, qui semble-t-il doit être visitée régulièrement, et une partie de sa fente dépourvue de pilosité. Compte –tenu de sa réaction, tu avais raison d’insister par là. Mais dans la seconde suivante elle se retourne et t’ordonne de faire le côté face. Tu ne sais pas trop comment faire. Par quoi commencer. Tu optes pour le ventre que tu enduis régulièrement du produit anti-brûlure solaire. Seulement voilà, le ventre, c’est fini, alors? Alors tu te résignes à continuer et tu remontes sur ses seins volumineux mais fermes qu’elle arbore fièrement. La aussi tu décides de faire comme pour toi. Tu les masses à pleine main, tu épouses leur contour, tu les soupèses, tu titilles la pointe, tu pinçotes le téton puis tu reviens sur son ventre. Plus bas aussi! Dit-elle, péremptoire. Tes mains glissent sur la peau grasse. D’abord les hanches, puis la taille, le pubis et enfin les cuisses et les jambes. Tu remontes et t’attardes sur le bas-ventre, le mont de vénus. Soudain, elle écarte les cuisses en te disant de lui bouffer la chatte, tout de suite, vite! Tu te positionnes donc entre ses cuisses. Tu poses tes mains à l’intérieur afin de bien les écarter et tu glisses ta tête entre. Sa chatte frémit. Elle a envie. Dans un premier temps, tu suçotes ses grandes lèvres. Tu les aspires. Ensuite ta langue s’insinue et tu la pénètres. Tu remontes jusqu’à son clito que tu tentes d’aspirer aussi. La réaction ne se fait guère attendre. Il sort de sa cachette. Tu décides de l’agacer avec un doigt. Il s’érige un peu plus. Ton doigt descend un peu et rentre dans le vagin, puis un deuxième doigt rejoint le premier alors que ta bouche, de nouveau, prend possession du clito bandé. L’excitation lui fait redresser le bassin. Les doigts mouillés de sa cyprine, tu en profites pour lui lubrifier le trou du cul, en massant sa rondelle de manière à y rentrer peu à peu. Elle, elle se tripote les nibards. Tu as l’indexe et le majeur dans son anus et le pouce dans sa chatte alors que tu lui suces toujours le clito. Elle ondule sous les caresses. De petits cris sortent régulièrement de sa bouche. Sa tête est renversée en arrière, ses yeux révulsés et sa bouche haletante. D’un coup, elle se bloque pendant quelques secondes qui paraissent interminables, puis l’orgasme la submerge et son corps est secoué de spasmes. Ta bouche et tes doigts sont aspergés de son jus. Elle jouit!
Ajouter un commentaire