Mon premier amant des toilettes au Lycée avait pris de la distance et j’étais un peu triste et frustrée. A la maison, j’avais surpris une conversation entre ma mère divorcée et son amant qui faisait office de beau-père pour moi. elle s’inquiétait de mes attitudes efféminées et se demandait si je n’étais pas homo. Mon « beau-père » tentait de la rassurer en lui disant qu’à mon âge (17 ans) beaucoup de garçons avaient les cheveux longs et étaient un peu androgynes. J’étais très proche de mon « beau-père ». C’était un peu mon confident quand j’étais en révolte contre ma mère. Au fil du temps, je commençais à fantasmer sur lui et seul dans mon lit le soir, j’imaginais m’exhiber devant nu devant lui. Un soir j’allais à la salle de bains. La porte était entrouverte. J’ai surpris mon beau père à poil. Il s’est excusé d’avoir oublié de fermer la porte sans même cacher son sexe. J’ai eu le temps de le voir. Il n’était pas très long mais très épais. La toison de son pubis était très fournie et ses couilles énormes. Je ressortis de la salle de bains très troublé. Une fois dans mon lit, je me mis à me masturber comme un fou en repensant à sa bite et ses couilles. Je m’imaginais à la place de ma mère dans leur lit, mon beau-père et moi nus, enlacés. Les poils sur son torse et sa petite bedaine m’excitaient terriblement. Je fantasmais sur ses bras puissants qui me serraient. J’avais envie d’être nu contre ce corps poilu et protecteur. J’avais envie de m’abandonner dans ses bras.
Quelques jours plus tard je me levais et enfilais ma robe de chambre pour aller à la cuisine. Je croyais l’appartement vide. Je fus surpris de voir mon beau-père dans la cuisine, prenant son petit déjeuner. Il m’expliqua qu’il n’avait un rendez-vous qu’en fin de matinée. Ma mère était déjà depuis longtemps dans sa boutique. Je m’assis à table avec lui, réalisant soudainement que j’étais nu sous ma robe de chambre. J’étais gêné mais en même temps j’avais très envie de laisser tomber ma robe de chambre et de lui exhiber mon corps d’adolescent imberbe. Il avait l’air contrarié. Je lui dis doucement:
-Je vous ai entendu hier soir, vous vous êtes engueulés?
Il me regarde avec un petit sourire contrit.
-Oui, une petite querelle d’amoureux…
-Tu veux en parler?
-Ben, non c’est plutôt intime!
Je baisse les yeux comme une jeune fille pudique et dis d’une petite voix:
-C’est sexuel?
Il me regarde, estomaqué.
-Pourquoi dis-tu ça?
-Je ne sais pas, une intuition.
-Non, c’est plus que ça, tu sais quelque chose?
-Oui, Maman m’en a un peu parlé.
Il tombe des nues.
-Ah bon?
-Elle m’a dit que tu lui reprochais de ne pas te sucer.
-Eh ben, tu sais tout.
-Non, ce n’est pas tout, elle m’a dit aussi que tu avais essayé de la sodomiser et qu’elle avait refusé.
-Et bien, ta mère n’est pas si pudique que ça finalement.
-Oui, je dois dire que ça m’a étonné qu’elle me confie ce genre de choses. Ca m’a même beaucoup gêné.
A ce moment de la conversation, ce fut plus fort que moi, je me levais pour aller prendre du café puis me retournais vers mon beau-père en défaisant le noeud de ma robe de chambre. Il leva les yeux, interloqué puis bredouilla:
-Mais…qu’est ce que tu fais?
Je laissais tomber ma robe de chambre sur le carrelage puis je lui dis d’une petite voix timide en baissant les yeux:
-Moi, je veux bien te sucer.
Il me regarde avec un drôle de sourire.
-Et te faire sodomiser aussi?
-Oui.
Il se lève et me regarde fixement.
-Tu sais ce que tu es en train de dire?
Sans répondre je me jette dans ses bras et enfouis mon visage dans son cou. Il reste un instant les bras ballants, ne sachant que faire. Ma main glisse sur son pantalon jusqu’à sa braguette. Je sens son sexe qui se redresse imperceptiblement. Il commence à me caresser la nuque, puis le dos. Sa main descend vers mes fesses. Je frissonne de plaisir. Il susurre dans mon oreille.
-C’est vrai, tu veux vraiment?
-OUIIIII!
Je l’entends déglutir.
-Tu m’émeus.
-Alors laisse toi faire.
Je déboutonne sa braguette et me jette à ses genoux. Sa respiration est haletante. J’ai terriblement envie de revoir ce magnifique sexe aperçu quelques jours plus tôt.
Je l’extirpe de son slip et le saisis à deux mains. Je le regarde avec avidité. Je décalotte doucement son gros gland. il est déjà tout luisant de désir. Je commence à le masturber doucement puis pose le bout de ma langue sur son méat. Je lève les yeux vers lui.
-J’ai en ai trop envie. Ca fait un moment que je rêve de ce moment. Je te veux dans ma bouche.
Il s’arcboute contre le comptoir de la cuisine. J’engloutis son membre. Un délice! Il glisse dans ma bouche. Je le ressors pour le contempler à nouveau puis j’att**** l’énorme paire de couilles. Je les couvre de petits baisers. J’aimerais tant les mettre en entier dans ma bouche affamée. Je sens sa bite qui cherche ma bouche. Je lui donne. Je le sens s’enfoncer jusqu’au fond de ma gorge. Je la ressors un peu et la saisit à deux mains en la serrant fort. Je regarde mon amant dans les yeux.
-J’aime ta bite épaisse. Fais l’amour à ma bouche.
Au bout de quelques va et vient, j’entends mon beau-père me dire dans un souffle.
-Arrête, je vais jouir.
-Non, je veux que tu jouisses dans ma bouche.
Il tente de se retirer. Je l’emprisonne avec mes doigts en l’aspirant entre mon palais et ma langue. Je sens son gland vibrer. Un flot de sperme chaud envahit ma bouche. Je presse son gland avec mes doigts pour avaler une deuxième rasade. Je lèche son méat frénétiquement en enroulant ma langue comme un fou pour recueillir son jus d’homme. Il me regarde avec étonnement. Je frotte mes joues sur sa hampe dégoulinante de sperme.
-Qu’est ce que c’est bon, j’adore ça. Je veux te sucer tant que tu voudras.
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