Mon mari est libertin avec moi. J’aime le sucer, le faire jouir dans ma bouche et j’avale bien volontiers son sperme.
Je pratique également avec lui la sodomie même si je n’aime pas trop ça. Mais que ne ferais-je pas pour lui faire plaisir. Il sait que je suis bi et que je m’amuse régulièrement avec certaines de mes amies. Un de ses plus grand fantasme est de me regarder me gouiner avec une de mes copines. Surtout qu’il craque pour l’une d’entre elle, Marina.
Je me masturbe très souvent en pensant à ça. Dernièrement, nous avons fait des travaux chez nous. L’un d’eux est très dragueur et ne loupe pas une occasion pour me faire du rentre dedans. C’est plutôt un beau mec. En raison de la chaleur du moment, il est souvent torse nu. De mon côté je me rince l’œil évidemment. Je ne vais pas le nier et en parle même à mon mari qui trouve ça plutôt marrant.
Le lendemain, en fin fin de matinée, alors que je fais mon ménage, le beau mec se pointe avec son patron pour contrôler la conformité des travaux. Mon mari est absent et leurs présence provoque en moi un trouble très gênant. A la fin de leur contrôle, je leur propose naturellement de leur offrir un apéritif. Il fait déjà très chaud et je suis légèrement vêtue avec juste sur moi une petite robe d’été. Je ne suis ni vulgaire, ni provocante.
Après le deuxième verre, je suis légèrement euphorique. Je remarque que le patron me regarde avec insistance. Ses yeux ne quittent pas mon décolleté. Son regard provoque des fourmillement dans mon bas ventre car je suis flattée de créer une certaine envie à ces deux mâles. Mon corps réagit malgré moi et mes tétons se dressent et pointent au travers du fin tissu de ma robe. Je le sens et j’en rougie. Les bosses de leurs pantalon en disent long sur la proie que je suis pour eux. Le patron prend les devant et me dit :
« Quel chaleur en ce moment. Moi ça me va bien. Les femmes sont plus jolies et si légèrement vêtues. Vous êtes très jolies. Venez entre nous nous tenir compagnie. »
Comme une automate, c’est sans résistance que je me lève et m’installe entre ces deux beaux mecs. Instantanément leurs mains se pose sur mes cuisses. Je frémis mais ne bouge pas. Ils prennent mon comportement pour agent content et se mettent à m’embrasser dans le cou. Je gémie doucement et sens une main s’aventurer sur un de mes seins. Très délicatement l’ouvrier fait glisser le haut de ma robe dévoilant ma poitrine qu’il embrasse à pleine bouche. Je suis aux anges et balance ma tête en arrière me livrant totalement à leurs caresses.
Leurs bouches se font gourmandes m’arrachant de petits couinements de plaisir. Mes cuisses s’écartent d’elles même au moment ou une main se glisse entre elles et remonte vers mon coquillage. Je suis trempée de cyprine et les doigts fureteurs se mettent à agacer mon clitoris. Devenant plus trivial devant mon épanouissement, l’un d’eux constate :
« Putain comme elle mouille ! C’est une vraie fontaine la salope ! »
Il s’agenouille alors entre mes cuisses et plonge sa tête pour plaquer sa bouche sur ma chatte en surchauffe. Entre ces deux mâles qui s’occupent aussi bien de moi, je suis au 7è ciel. Mon plaisir monte en moi comme des vagues déferlantes. J’ai eu une énorme envie de voir leurs sexes, de les toucher, de les sucer qu’il m’investissent. Je palpe la bite de celui qui s’occupe de mes seins et rapidement, je me penche et la prends dans ma bouche pour le sucer comme je sais si bien le faire. Le patron quitte alors ma chatte gluante pour me proposer son engin. Je me met à les sucer à tour de rôle.
Je suis comme hypnotisée devant leurs engins. Les deux hommes apprécient et m’encouragent avec des mots qui m’électrisent :
« Ouiiii!!!Vas-y, suces nous bien ! T’aimes ça, salope ! »
« Bouffe-moi bien le sgegue cochonne ! »
L’ouvrier cède le premier. Dans un râle bestial, je sens un premier jet puissant frapper mon palais. Il m’ordonne alors :
« Avale tout grosse pute ! »
Son insulte me passe au dessus de la tête tant je suis excitée et j’avale tout.
Le patron veut me baiser et me demande de me mettre à quatre pattes. Il se met derrière moi, place son énorme queue à l’entrée de mon vagin et s’y enfonce avec force jusqu’à la garde. Je suis une vraie louve en chaleur et émet un feulement de plaisir. J’adore en plus être prise ainsi de façon très a****le.
Pendant que je nettoie avec ma bouche la queue de l’ouvrier, le patron me bourre la chatte à grands coups de boutoir. Il me baise avec une vigueur peu commune me tenant fermement par les hanches. L’ouvrier emporté par cet scène si érotique se remet à bander et j’avale avec plaisir sa belle queue. Je le pompe comme une malade. Je me fais baiser par deux hommes et c’est un réel bonheur. L’un me saute et je suce l’autre. Le patron dans cette euphorie me crache sur la rosette et ses doigts dilatent ma rosette. A ce moment, dans mon délire, j’ai un instant de lucidité et je sais que je ne vais pas échapper échapper à une sodomie. En effet, il se retire de mon vagin gluant et au moment où je m’attend à me faire enculer, il me demande en s’asseyant sur le canapé de m’empaler sur son chibre. Je m’enfonce alors avec le plus de précaution possible sur son gros truc. Il est vraiment gros et je sers les dents lors de la dilatation que je m’inflige. Une foi bien empalée, il dit à son ouvrier :
« Prends lui la chatte maintenant que je lui ais fiché ma queue dans le cul ! »
Il relève mes jambes et s’introduit dans mon vagin si offert et graissé par tout ce plaisir. Lentement et en douceur il plonge au plus profond de mon ventre. Puis en accordant leurs rythme, il se mettent à me pistonner avec vigueur par les deux trous.
Je hurle de plaisir, impossible de me contenir une telle jouissance. Ces deux belles queues vont et viennent en moi divinement. Il sont à deux doigts de jouir et se retire brutalement me laissant un grand vide. Ils se placent devant moi et de concert lâchent de puissant jets crémeux sur mon visage rayonnant. Mon orgasme se déclenche avec ne v******e inouïe. Il me traitent de pute, de salope et je bois leurs paroles autant que leurs spermes.
Je dois avouer que quelques minutes après ces éjaculations et mes orgasmes, je suis épuisée. J’avais trop joui mais je suis si heureuse. Nous avons pris ensemble une bonne douche et ils sont reparti heureux en me remerciant. Aurais-je une remise sur la facture des travaux ?
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