On est installé sur le canapé et fauteuil, toujours à poil.
Je nous ai servi à boire, petites bouteilles de bière pour Sandra et moi, et coca pour Sylvia.
On s’exhibe en toute impudeur, chacun tripote son sexe, et on discute cul.
Je leur dis alors que j’ai quelque chose pour elles, un cadeau que je n’ai pas osé leur offrir en commun,
mais je pense que le moment est venu.
Je vais chercher le paquet, et le donne à ma nièce, précisant que c’est pour les deux a se partager
mais aussi soumises à une condition que je leur dirais une fois ouvert.
Ma nièce déchire le papier, et au vu de l’emballage ils se doutent d’un truc bien
coquin.
Elle ouvre la boite, et elles sont perplexe devant le contenu.
Sans être tout à fait innocentes et je vais leur expliquer le
contenu:
Il y a un très joli phallus, souple, d’une matière qui rappelle la peau, une parfaite réplique d’une vraie queue.
Il est de la grosseur de mon sexe, pas plus, mais beaucoup plus long.
Je leur explique qu’elles peuvent s’en servir comme d’un gode normal, et leur montre une traverse en métal à l’intérieur de la base, pour y fixer une cordelette fournie, et permettre de retirer ce joujou si par cas elles avaient l’intention de le
faire disparaître entièrement en elles.
Il y a aussi un harnais, et je leur montre que le gode se visse dessus pour devenir un gode ceinture.
Il y a enfin un autre appareil, en forme de paire couilles avec un côté plat, et je leur montre que c’est un socle ventouse sur lequel elles peuvent aussi fixer le joli manche.
Ma nièce semble ravie, mais veut savoir la condition avant de me remercier:
– Et bien la condition mes chéries , c’est que cette belle queue ne vous fasse pas oublier la mienne.
J’ai envie qu’on se fasse régulièrement des petites parties tous les trois.
– Ah, ce n’est que ça, alors pas de souci tonton. Elle est superbe cette queue, mais
elle a quand même un défaut, elle n’est pas juteuse ni crémeuse comme la tienne. Rien
ne pourra remplacer tes grosses couilles bien remplies.
Sandra confirme son point de vue, et on s’embrasse et se remercie réciproquement.
Sylvia s’amuse déjà avec son cadeau, et s’est équipée du gode ceinture. Sa main va et vient sur son manche:
– Ouahhh, je comprends que vous aimez vous branlez les mecs, si j’avais un engin pareil entre les cuisses je passerais mon temps à jouer avec.
– Et à faire profiter ton entourage j’espère, agrandir le cercle de tes amis, et de ton oncle le premier.
– Joli jeu de mots! Tu veux que je t’encule?
– Oui Sylvia, je ne pense qu’à ça. Avec tout ce que t’ai mis dans le cul, s’il y en a
une qui a droit de me sodomiser, c’est bien toi avant ta mère. Tu dois avoir un tube de gel dans la
boite, huile toi la bite pendant que je me mets en place.
Je débarrasse la table du salon, et monte dessus, à quatre pattes. Ma nièce est prête, un peu hésitante, et je l’encourage à me prendre. Sandra l’encourage a son tour. Elle s’enfonce doucement, s’en oser
aller trop loin, et je dois insister:
– Vas-y salope, mets me la toute, encule ton cochon d’oncle, casse moi le cul, défonce
moi comme tu aimes que je te défonce, insulte moi comme tu aimes que je t’insulte, je
suis ta pute comme tu es la mienne. Qu’est ce que tu attends, salope, trainée, fille
de pute.
Cette dernière insulte a un sens qu’ignore Sandra, et finit par la décider. Elle me matraque sans retenue, et si elle ne m’insulte pas de sa propre initiative, elle accepte de répéter tous les mots que je veux entendre (salaud, gros porc, fumier, enculé, vicieux…….)
Sandra ouvre de grands yeux pour ne rien perdre du spectacle, et se caresse. Elle a fini sa bière, et je veux qu’elle se gode avec la bouteille, qu’elle prépare son trou pour se faire mettre elle aussi par sa fille.
Comme si elle n’attendait que ça, elle se saisit de la fiole, suce le goulot, et se l’enfouit entre les miches. Elle s’allonge sur le canapé, jambes en l’air, une main devant, une main derrière, qui se rejoignent sur la bouteille pour l’enfoncer davantage. Elle se l’est mise aux trois quart, et il est temps que je lui cède la place.
Elle est à quatre pattes, la bouteille dans le cul, et je la retire pour la lécher sentir son goût , tandis que Flora le pénètre sans hésiter, et s’enfonce en entier sous mes encouragements.
Je suis collé derrière elle, me frotte à elle, et pétrit ses seins:
– Ils sont durs tes nichons salope, aussi durs que ma queue, ça t’excite de nous enfiler et de nous voir s’aimer; Baise la bien ta salope de mère, aussi bien que tu m’as baisé, qu’elle ne soit pas jalouse.
Oui, c’est bien, tu me fais bander et tu dois la faire mouillée grave elle aussi. Tu vas arrêter maintenant, on va aller continuer à la chambre.
Je défais le lit, et Sandra s’allonge sur le dos. Je viens sur elle en 69 et je prends
la bouteille pour la mettre dans celle de ma maitresse de jeu.
Je la gode, la lèche, et ma nièce me reprend profond. Elle me ramone sauvagement, et je suis comme un fou. Je dévore la chatte et le cul de ma belle soeur et je sens sa bouche m’éplucher la bite;
Sylvia est jeune, sportive, et infatigable. On change les positions avec Sandra toujours en 69, mais tantôt dessus, dessous ou sur le côté, et elle ne cesse de nous matraquer l’un et l’autre.
J’ai déjà jouis deux fois, et à mon âge c’est pas mal. Ma partenaire est
capable de jouir souvent, et elle m’annonce qu’elle vient. Je la lèche à fonds et bois sa
chaude et délicieuse cyprine.
On va mettre fin à cette séance et je m’excuse de ne pas avoir déchargé comme il l’aurait sans doute voulu. Ma nièce est debout, et on s’agenouille aux cotés de sa mère.
mon superbe sceptre offert a ces deux garces.
Leurs bouches se rapprochent pour se poser dessus, et elles nettoient chacunes une moitié, sur toute la longueur. Le joujou est propre, et elles vont me sucer à tour de rôle.
On fait alors un concours, à celle qui en prendra le plus.
On met un point d’honneur à ne pas perdre, et elles parviennent toutes les deux à l’engloutir en totalité, leurs
lèvres qui touchent le gland enfoui dans leurs gorges.
Ma nièce n’en revient pas et se décide à nous insulter, nous dire qu’on est plus
salopes et plus putes que jamais.
Elle enlève son gode, et ses effluves me prennent le nez. Je ne l’ai jamais vue autant mouillée, et je la jette sur le lit pour me vautrer la gueule entre ses cuisses grandes ouvertes.
Sluuup, sluppp, slup, je la bouffe , m’empiffre de son succulent jus de salope en chaleur.
Ma bouche remonte sur son corps, et se soude à sa bouche en même temps que mon missile à tête chercheuse s’enfonce dans sa grotte.
C’est l’idéal pour bien fourrer sa bite jusqu’à la racine, tout en
l’embrassant et l’injuriant les yeux dans les yeux, ce dont je ne me prive pas.
Je me retire, me tourne, et lui demande de venir sur moi.
Elle monte et descend sur mon sexe, et je veux qu’elle se penche sur moi pour que sa mère l’encule avec le gode qu’elle connaisse sa première double pénétration.
Elle était impatient de nous voir copuler sans elle, et elle s’empresse de la posséder:
– Oui, monte la ta fille, c’est une pute qui aime ta queue et celle de son oncle en
même temps.
Hummmm, c’est bon ta bite qui frotte la mienne à travers ses parois intimes.
Trop bon, on n’a qu’à te laisser faire, et se laisser aller. Défonce là ma chérie, casse lui le cul à cette putain.
Elle lui fout une bonne ramonée, et je propose de changer de place avec Elle.
Je me retire, dévisse le gode, et lui enfonce dans le fion.
Je viens dans sa bouche, et Sandra se met en mouvement puisque je ne m’active plus en elle. Elle reste
silencieux, mais pas grave, je parle pour deux:
– Jamais deux sans trois, c’est ce que tu espérais, pute de nièce. Tu aimes ça
cochonne, Deux bonnes queues pour putains d’orifices. Relève toi, on va aller à la salle à manger.
Je récupère une couverture, et elles me suivent. Je recouvre la table, et elle s’allonge
dessus.
Elle a le cul au bord du petit côté, et la tête au bord du grand. Je retire le
toy de son fion pour la fourrer dans son huître, et je relève ses jambes pour poser
ses chevilles sur mes épaules.
Je frotte mon gland dans sa raie, puis m’introduit dans
son anus, en même temps que Sandra s’introduit dans sa bouche a l’aide du gode ceinture.
– Branle toi salope, gode toi, et suce pendant que je t’encule.
Elle est chaude brûlante et se démène comme une hystérique. On fait deux secondes de
pause, le temps d’inverser avec ma complice.
Elle me suce, et elle la ramone.
Je me retire et leur dit de continuer, je reviens de suite.
Je vais à ma chambre, et revient avec une ceinture.
La traverse à l’intérieur de la base du gode m’a donné une idée.
Je demande à Sandra de se retirer légèrement, tout en restant dans Sylvia histoire de me laisser accéder à son gode. Je glisse la ceinture autour de la tringle, puis la serre sur les hanches de ma chérie;
J’en profite pour la caresser et frotter ma queue sur ses fesses dodues et charnues.
Elle est prêet, se remet en action, et grâce à son équipement elle l’encule et la baise en
même temps.
Je reviens dans la bouche de Sylvia
– Salope, tu es une salope ma nièce, encore plus que je ne croyais.
Ca te plait putain, trois bites rien que pour toi, une pour chacun de tes trous à bites.
Tu en as deux qui s’activent entre tes cuisses, et je vais activer la mienne dans ta bouche, ne
bouge pas petasse, je reviens de suite.
Je vais chercher une chaise et la place contre la table. Je monte dessus, puis passe
une jambe au dessus d’elle pour poser le pied sur la table. Je fais face à Sandra
qui la lime toujours, et je fléchis mes jambes pour ramener mon paquet vers sa gueule.
Elle penche la tête en arrière et ouvre la bouche pour s’offrir à moi.
Ma queue est dressée vers le plafond, et je dois appuyer dessus pour la mettre au
niveau de sa bouche accueillante.
Je la pénètre, et vais et viens . Je regarde Sandra la défoncer par les deux orifices, et je règle ma cadence sur la sienne:
– Quelle chienne ta fille, quand je pense que tu la traitais comme une sainte nitouche,
il va falloir te ratt****r ma chérie, la défoncer de partout comme elle le mérite.
C’est une chienne, toujours en manque de queues, de la mienne et si tu sais y faire,
du gode aussi.
On la bourre bien, et je lui propose de changer de place.
Je défais sa ceinture profitant de nouveaux attouchements, et elle me la fixe se caressant à son tour contre
moi.
Je matraque ma nièce, doublement, chatte et cul, et Sandra prend la bouche de sa
Sylvia, comme il prendrait celle d’une vulgaire poufiasse.
On l’a trop excité cette salope , et elle est aussi chaude que nous.
Je lime le cul de ma nièce, puis cesse mes mouvements.
Je défais ma ceinture, me retire, retire le gode de sa chatte et l’enfonce dans son cul encore ouvert:
– Descend de la table salope, et viens t’offrir en levrette, que ta chatte goutte à
nouveau au bonheur d’une vraie queue, pendant que ton anus savoure ton gode.
Elle est en position, j’embroche son huître, puis me fixe la ceinture pour me relier
au gode qui envahit son fion.
Je la baise par les deux trous en même temps, et Sandra qui a bien compris les règles du jeu, possède sa bouche.
Elle hurle aux plaisirs. J’en peut plus j vais jouir.
Toutes deux s’empressent de s’agenouiller devant pour me sucer a tour de rôle, puis en même temps.
Argggh j’en peut plus je gicle plusieurs jets qui éclaboussent leurs visages, cheveux. Elles me nettoient la bite de leurs langues avant de s’embrasser comme deux gouines en se partageant mon foutre, qu’elles se délectent sans en laisser une goute.
Quelles salopes ! Et l’éternelle question qu’elles me posent en même temps !
Alors c’est qui la meilleure ?
Toutes les deux vous êtes les meilleures putes qui soient; égalité parfaite !
Et on s’embrassent tous les trois.
Il nous reste encore des possibilités à explorer, et de longues baises a réaliser tous les trois.
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