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Maman tres chaude, enfants pervers. (23)

Maman tres chaude, enfants pervers. (23)



Chapitre 23 : Aurélie réalise son fantasme.

Aurélie est exactement dans la même position que la dernière fois, entre les jambes de Paul et elle suce sa bite. Sa bouche de jeune fille s’affaire sur le membre gonflé avec dextérité pour le maintenir sous pression mais sans le laisser exploser.
Elle me regarde venir vers elle en souriant tout en continuant la fellation qu’elle fait à son père.
– Kate ? Est-ce toi ? Demande Paul qui à dû entendre la porte.
Il est toujours ligoté et les yeux bandés, mais il c’est rendu compte que ce n’était pas moi qui suçait sa queue.
– Oui chérie, et je vois que je ne t’ai pas manqué…
Je pose mes fesses sur le lit et je regarde ma fille s’occuper de la bite de son papa. Ses talents de fellation se sont nettement améliorés.
– Ooooooh, ouiii… mais ton amie est très mystérieuse… Ooooooh… elle n’a pas dit un mot malgré mon insistance !
Dieu Merci ! Aurélie a gardé le silence.
– Elle aime plutôt agir que parler, ma copine.
– Ça je suis d’accord avec toi ! Elle est douée !
Ohhhhhhhhh… Ouuuuuuhhhhh.
– Dis, mon chéri, veux tu que deux femmes te suce en même temps ?
– Oh que oui ! Ça, c’est un de mes fantasmes ! Chérie, enlève mon bandeau que je vois ça.
– Non mon cœur, tu dois le garder.
– Mais pourquoi ? Demande-t-il frustré.
Je voudrais lui répondre,
« Parce que c’est ta fille qui suce ta bite en ce moment ! »
– Parce que le mystère rend le plaisir plus intense.
Je me glisse vers le bas pour poser ma tête à coté de sa bite et regarder la bouche d’Aurélie qui suce sa bite. Elle me regarde un court instant, sort la bite de Paul de sa bouche et m’embrasse avec sa douce langue chaude et humide dans ma bouche. Nos langues se caressent, oubliant que je viens juste de sucer la queue de son frère, et qu’il y a probablement encore de son sperme dans ma bouche.
Lorsque Aurélie reprend la bite de son père dans sa bouche, j’approche ma bouche et avec ma langue je lèche sa queue.
– Oh mon Dieu… Oui… toute les deux !
Je me tords la tête sur le côté et la bouche ouverte, j’appuie mes lèvres sur la base de son membre, pour envelopper la moitié de sa bite avec. Je le suce pendant que ma fille fait de même mais en montant et descendant sa bouche sans arrêt.
Nous continuons ainsi pendant plusieurs minutes en échangeant nos places jusqu’à ce que je ne puisse plus me retenir.
– Ooohh, je la veux ! Je veux ta bite !
Je suis brûlante et ma chatte réclame de nouveau une bite. Je grimpe au dessus de lui, face à Aurélie qui reste entre ses jambes. Je m’incline un peu et regarde ma fille d’une certaine façon.
Elle pige tout de suite et elle saisit la bite de son père pour la positionner devant mon trou de chatte jusqu’à ce que je me baisse, et que le gland de Paul écarte mes lèvres humide et disparaisse.
– Ooohh, ouiiiii…baise-moi chéri…
Dès que ma fille lâche sa bite, je me laisse tomber sur lui, m’empalant moi-même d’un seul coup, jusqu’à ce que mes lèvres de chatte touchent ses couilles et le bout de sa queue mon col d’utérus. Ma chatte bien rodée par la grosse queue de mon fils, il y peu, et bien graissée par son sperme, n’a aucune difficulté à absorber la bite de mon mari pourtant bien grosse par la fellation de ma salope de fille. Mes pieds sur ses genoux, cuisses écartées et en appui sur mes mains dans mon dos, je soulève mon cul en l’air.
– Oooohhhh, ouiii, nooonnn…
Gémit mon mari quand sa queue glisse dans mon vagin pout presque s’échapper en fin de course. Mais je garde le bout de son gland entre mes lèvres.
Aurélie regarde avec de grands yeux la bite de son papa a l’entrée de ma chatte, et je me laisse retomber à fond pour ressentir ce picotement familier sur mon col de l’utérus. Ensuite je me baise toute seule devant ma fille qui regarde intensément ma chatte, avaler et recracher la grosse bite de son père.
Ma chatte est tellement humide par mon jus et le sperme qu’Eric m’a laissé, que sa bite glisse sans effort dans mon réceptacle à foutre familial.
Aurélie remonte entre mes jambes ouvertes. Son visage et sa bouche sont proche de ma chatte et …tout à coup… tout d’un coup, la langue de ma chère fille sort de ses lèvres et lèche mon clito.
– Ahhhhhhh…
Je sens sa langue humide toucher et tourner autour de mon bouton d’amour et même glisser vers le bas entre mes lèvres humides. Aurait-elle… envie…de me bouffer la chatte alors que je me baise sur Paul ? Mon Dieu, c’est tellement vicieux !
Je me soulève et je reste dans cette position un instant jusqu’à ce qu’elle regarde entre mes cuisses. Elle met sa langue sur la queue de son père et je redescends lentement sur cette bite dure et raide.
Lorsque mon vagin dilaté atteint sa langue, elle ne bouge pas et sa langue glisse dans la fente de mes lèvres intimes en même temps que la bite de son père, jusqu’à se qu’elle touche mon clito. Alors elle prend mon clito entre ses lèvres et le suce fortement.
S’en est trop et je crie,
– Aaaaaaaaaahhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiii….
Empalée profondément sur une bite et se faire sucer en même temps par une petite salope, ma fille, c’est une sensation érotique qui bouleverse mon corps.
– Oooh, chérie, qu’est ce qui se passe…
Demande Paul qui ne voit rien mais qui sent plein de chose sur sa queue.
– Oooohhhh…Paul, elle me… elle me suce le clito en même temps que je me baise !
Je me soulève et ma fille lâche mon clito pour mettre sa langue entre mes nymphes trempées et la poser sur la bite à son papa. Elle suit le mouvement et dès que la bite sort de ma chatte elle enveloppe ses lèvres autour et suce vivement la bite humide de Paul.
– Oooh, putain ! La salope ! Gémit Paul.
Je prends aussi conscience qu’Eric a jouit en moi et qu’Aurélie est probablement en train de sucer une bite recouverte non seulement de mon jus, mais aussi du sperme de son frère. Mais je m’en contrefous complètement. En cet instant je suis une salope qui veut de la bite. Je regarde ma fille aussi salope que moi, et je redescends de nouveau sur la bite de Paul avec sa langue le long de ma fente pour finir avec sa bouche sur mon clito.
– OOOOOoohhh… je vais…..jouiiiirrrr !
Et je lâche prise dans un orgasme insensé et rapide qui balaye mon corps tout en continuant de crier sous la bouche de ma fille qui croque méchamment mon clitoris
Je tombe sur le coté et ma fille récupère immédiatement la bite de son père toujours dure.
– Oh Kate, tu es venue si vite ! AAaahhhh… Huuummm…
Gémit-il lorsque ma fille aspire son gland en le titillant du bout de sa langue.
Faiblement, je me lève et je me glisse hors du lit sur le sol à côté de ma fille. Je regarde comment elle suce amoureusement la bite de son père. Un moment après, elle me sourit et m’offre sa bite. Je lui souris aussi et je la prends dans ma bouche. Tour à tour nous suçons sa queue pendant quelques instants.
J’ai la bite de mon mari dans ma bouche quand tout à coup, je vois Aurélie se lever et chevaucher son père dans la position que j’avais plus tôt.
Je regarde Aurélie et je fais « non ! » de la tête. Je ne peux pas lui permette de baiser son père.
Elle m’implore des yeux et se place au dessus de sa bite. Sa chatte rasée ne se trouve plus qu’a 3 ou 4 centimètres de la bite de Paul et de ma bouche. Je lui lance un méchant coup d’œil.
Elle ne m’écoute pas et s’approche encore plus. Sa chatte est humide, avec ses lèvres légèrement séparés qui me dévoilent son intérieur rose. Je suis tellement fascinée par sa jeune chatte que j’oublie un instant ce qu’elle veut faire jusqu’à ce que ses grandes lèvres humide touchent la bite que j’ai en main.
– Mon Dieu, non !
Les organes sexuels de ma fille et de mon mari se touchent pour la première fois. Même si mes lèvres restent autour de la tête de la bite de Paul, je vois dans les yeux de ma fille tout le plaisir qu’elle ressent.
Elle serre un peu plus sa chatte contre le bout de sa queue et ses lèvres s’écartent pour envelopper avec tendresse ce sexe interdit.
« Non ! Je dois l’arrêter ! »
Me dicte mon esprit. Mais je ne fais rien, comme d’habitude quand la mère a disparu et que la salope l’a remplacé. Je reste en attente de voir ce que ma fille va faire, avec la bite de son père entre mes lèvres.
Elle me sourit et tout doucement, presque imperceptiblement, elle fait glisser sa chatte le long de la bite de Paul. Sa chatte humide enduit rapidement sa bite avec son jus abondant.
Moi je pense ;
« Aussi longtemps que j’ai dans ma bouche sa bite elle ne peut pas se baiser avec. »
Ses mouvements sont plus prononcés et rapides et sa chatte glisse verticalement avec ardeur sur toute la longueur disponible de sa bite.
– oh… Ohhh… Uhhhhmmmm… Ohhh… Aaaaahhhhhh…
Aurélie commence à gémir doucement de plaisir et quand je sens ses lèvres baver sur ma bouche j’ai envie de lâcher la bite de Paul et pour lécher sa chatte !
Une nouvelle fois elle appuie les lèvres de sa chatte contre ma bouche un bon moment. Je n’en peux plus. Je lâche la bite tendue et je balaye de ma langue sa fente humide. Je vois aussi que le gland de la bite de Paul vient se plaquer contre les petites lèvres de sa chatte comme s’il recherchait avidement son trou d’amour. Je retire sa bite à la dernière minute et je la reprends en bouche.
Aurélie fait la grimace et presse à nouveau sa chatte contre la longue queue en allant de haut en bas. Je vois bien qu’elle veut la prendre dans sa chatte mais je ne peux lui permettre.
Soudain, Aurélie se soulève et au dessus du gland de la bite de son père elle me tend sa chatte.
« Elle veut que je lui bouffe sa chatte ! »
Je laisse la bite de Paul et je glisse ma langue sur toute la longueur de la chatte dégoulinante de ma fille jusqu’à ce que j’atteigne son clitoris. Je l’aspire dans ma bouche et ma langue tourne autour de lui et je le suce tout comme elle l’a fait pour moi.
– oh… OOOOOoohhh… ouiiiiiiiiii… Gémit-elle.
Je sais que c’est dangereux si elle dit autre chose mais Paul est au paradis en ce moment et probablement il ne remarque rien.
Quand je laisse sa chatte, elle glisse le long de la bite de Paul dans un autre gémissement sonore et me regarde en plaçant ses pieds sur les genoux de Paul de la même façon que moi plus tôt. Elle presse sa chatte si fortement contre sa bite que ses lèvres intimes sont presque entièrement enroulées autour de son gland. Ses cuisses sont écartées d’une façon presque obscène et son clito qui sort en haut de sa fente, me fait penser à une petite bite de bébé qui a envie de faire pipi.
Je gémis et j’appuie ma bouche sur sa chatte.
Je lèche la chatte de ma fille et la bite de mon mari en même temps, glissant ma langue de haut en bas des lèvres de sa chatte et du membre qu’elles enveloppent avec une soif incontrôlable. Je veux plus d’elle…Je veux plus de lui ! Je lèche et je suce.
Paul commence à donner de petits coups d’estoc tandis que sa queue est prise en sandwich entre ma bouche et la chatte de notre fille. Aurélie glisse de nouveau sa chatte de plus en plus en haut, très lentement et en appuyant bien sur sa bite jusqu’à ce que la pointe du gland de Paul trouve l’ouverture de son trou à bite. Au fur et à mesure des frottements je vois son trou qui s’élargie de plus en plus ce qui permet au gland de glisser dedans.
Et moi, je continue de lécher sa chatte, regardant comme si j’étais hypnotisée, la bite de mon mari qui glisse dans la chatte de notre fille. Cm par Cm elle s’enfonce dans son corps alors que je fais tourner ma langue autour de son clitoris jusqu’à ce que ma fille soit complètement empalée sur cette bite qui ne devrait connaître que ma chatte.
– Oh oui… oh ouiiiii… votre chatte est si douce, si étroite… putain qu’elle est bonne ! Qui que vous soyez baisez vous bien sur ma bite ! Je veux vous sentir encore plus !
Les yeux d’Aurélie largement ouverts comme les miens regardent avec une certaine incrédulité les deux sexes reliés si étroitement. L’une comme l’autre ne s’attendait à cela, mais elle comme moi n’avons rien fait pour empêcher cet i****te, tellement nos corps et nos âmes sont excités sexuellement. Nous nous regardons et nous savons ce qui va se passer.
Dans ma tête, la mère et la salope s’affronte dans une bataille perdue d’avance. Aurélie me regarde encore un peu perplexe comme si elle attendait mon autorisation. Au lieu de répondre, je baisse ma tête vers sa chatte et je reprends mes léchouilles. Alors elle remonte son cul et se laisse retomber sur son père pour commencer à se baiser elle-même.
– Heeeuuuu… Ohhh… oooouuuhhhhuhhhh…
Elle geint au rythme de ses mouvements.
J’ai du mal à suivre sa chatte constamment mobile, et j’embrasse se qui passe devant ma bouche, le creux de son aine à proximité de son sexe. Je lèche voluptueusement et je suce sa peau puis je me déplace de l’autre côté.
– Ooooohhhh… Huuuummmm… gémit Aurélie
– Oui ! Comme ça ! Un peu plus vite…prends bien ma bite ! AAaahhhh… Gémit son père.
Aurélie, en entendant les gémissements de plaisir de son père, se baise plus vite et plus fort sur la queue de son papa mais, contrôlant mal ses mouvements, la bite de Paul s’échappe de sa chatte et vient claquer, avec un bruit humide, contre son ventre.
– OOOoohhh ! crie Aurélie avec une tonalité de frustration.
J’att**** la queue humide et plutôt que de la remettre à l’intérieur du sexe de ma fille, je la prends en bouche pour savourer le jus de ma fille. Les yeux remplient de luxure i****tueuse, ma fille me regarde sucer la bite de son père jusqu’à ce qu’elle soit débarrassée de son jus et qu’il ne reste que ma salive. Alors je place le gland rougeâtre devant son trou grand ouvert et elle se réapproprie ce qui la fait fantasmer depuis plusieurs semaines.
Son visage déformé par le plaisir qu’elle ressent, elle se baise de nouveau, à son rythme, jusqu’à ce que leur jus fasse de l’écume à la base de sa queue. Un peu essoufflée, Aurélie s’arrête et reste assise avec son cul sur le ventre de son père, cuisses écartées, le gland de sa queue encore partiellement à l’intérieur d’elle, et ne bouge plus. Elle me regarde.
Elle me regarde lécher son jus aussi abondant que le mien qui coule sur ses couilles. Puis, ma langue va laper le mélange mousseux à la base de la queue de mon mari pour finir son chemin le long de sa grande bite jusqu’à ce que j’atteigne la chatte d’Aurélie empalé dessus. En bonne salope je lèche le clito de ma fille pour augmenter son plaisir. C’est érotique…très érotique de pour pouvoir lécher mon mari et ma fille en même temps.
– oh…Mam…AAaahhhh…
Elle m’a presque appelé maman.
Je lui fais les gros yeux et elle recommence à se baiser. Quand elle s’arrête de nouveau je lèche à nouveau ces deux sexes, des couilles de mon mari au clitoris de ma fille. Je remonte ma tête en grimpant sur les jambes de Paul et j’embrasse ma fille pour lui faire goûter son propre jus.
Aurélie gémit fortement quand j’enfonce ma langue dans la sa bouche et je lui demande.
– Tu aimes ton jus ? T’aime ça ?
– Heuuu…
– Ouiiiiii, ma petite salope…tu aimes goûter ta chatte sur ma bouche. T’en veux encore ?
– Ouiii, Ooohh ouiiiii, gémit Aurélie.
– Putain ! Kate ! Retire-moi ce bandeau !
Paul me rappelle sa présence et je réalise que je viens de lui dire que j’aime la chatte de notre partenaire. Aussi érotique que cela puisse paraître, mon mari sait maintenant que je peux aimer les deux sexes et je ne suis pas sûre que je veuille qu’il sache. Partager ma fille avec lui n’est sûrement pas une si bonne idée, mais je ne peux plus m’arrêter à se stade de nos ébats i****tueux.
Je me recule et Aurélie se baise à nouveau comme une folle de sexe sur la queue de son père et moi, je recueille le plus de jus que je peux pour le refiler à ma fille. A chaque fois que je le fais je lui parle crûment
– Tien, salope… goûte ton jus qui coule. Tu coule comme une fontaine. T’en veux encore salope ?
Et à chaque fois elle me répond d’une voix rauque.
– Oui s’il vous plaît… Huuuummmm… Ouiiiiii
Aucun homme ne pourrait tenir plus longtemps à se régime. Je sens les couilles de Paul se durcir et il gémit de plus en plus fort. Il va jouir !
– Ouiiiiii, fais moi jouir, salope ! AAAAAHHHhhhh… Je jouiiiissssss.
– Non ! Pas à l’intérieur !
J’att**** la base de sa queue et j’essaye de la sortir de la chatte de ma fille mais elle est totalement coincée dans le vagin de ma fille qui, elle aussi, jouit en emprisonnant sa bite.
– OOOOoohhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii….
Crie Aurélie en jouissant les yeux fermés et en gémissant sans arrêt.
J’essaye de la pousser pour qu’elle tombe sur le coté mais elle se maintient fermement assise sur son père qui couine comme un goret qu’on égorge et qui décharge son sperme dans le vagin de sa fille.
Je ne peux rien faire, ni rien dire, de peur qu’il découvre la vérité. Tout ce que j’espère c’est que ma fille n’a pas oublié de prendre sa pilule. Il ne manquerait plus qu’il la mette enceinte !
Aurélie, à moitie affaissée sur la poitrine de son père se tortille de plaisir sous les spasmes que lui procure son orgasme qui n’en fini pas. Bras et jambes liés, Paul tire sur les cordes au même rythme que les contractions de ses couilles qui envoient son foutre i****tueux dans le corps de sa fille, jusqu’à ce que sa petite chatte ne puisse plus absorber autant de sperme et que le trop plein se mette à couler, de chaque coté de sa bite enfoncée profondément dans son puits d’amour.
Résignée et mes sens exacerbés par ce spectacle divinement érotique, je m’approche et je lèche le sperme qui coule sur ses couilles.
Je réalise que nous avons franchi la ligne interdite, que ma fille a concrétisé son fantasme, que mon coté salope à laissé faire cet acte interdit par notre moral et que j’ai vraiment envie de déguster son sperme mélangé au jus de ma fille qui sort de sa chatte.
Je lèche et j’aspire jusqu’à ce qu’Aurélie se calme et que lentement elle relève son cul pour permettre à la bite de Paul de sortir de son corps.
Et moi, je ne peux résister et je la prends en bouche sous les encouragements de mon mari.
– Oh oui bébé, c’est toi, n’est ce pas… Ouiiiii, lèche bien ma bite avec mon sperme et le jus de ton amie. Mon Dieu, je voudrais vous voir !
La chatte de ma fille est restée ouverte et le sperme de mon mari commence à s’écouler sur son estomac. Je me glisse un peu plus haut et j’aspire ce qui coule pour finir sur la chatte de ma fille regarde ma langue s’insinuer sur le haut de sa fente rougie, puis, de mes doigts, toucher tendrement les lèvres de sa chatte et les étaler de chaque côtés, pour me livrer entièrement son trou d’amour. Je fais courir ma langue de son clitoris à son trou du cul puis je glisse ma langue dans son trou brûlant pour m’abreuver de ce que j’adore. Du sperme et du jus de femme !
« Je suis une folle du cul ! » « Une putain de salope perverse et licencieuse »
Ses mots traversent mon esprit pendant que je ma langue racle la crème de sexes qui m’allume à chaque fois.
– Ohhh que c’est bon…Huuuummmm….
C’est pervers, sale, i****tueux, mais j’aime faire ça sous le regard étonné d’Aurélie.
Le goût est un peu différent que lorsque je déguste uniquement le sperme de mon mari à la source, c’est légèrement plus doux et ça signifie que le jus d’Aurélie est mélangé avec le jus de son père. J’adore ! Ma langue glisse dans sa chatte, autour, sur ses petites lèvres, sur les grandes et sur son clitoris et je suis heureuse de la faire gémir de plaisir.
Finalement, elle est sèche comme un sou neuf et plus rien ne sort de sa chatte toute chaude. Je lève mes yeux vers elle qui n’a pas cessée de me regarder jouer à la parfaite salope complètement dépravée.
Paul s’agite en tirant légèrement sur ses cordes et me fait savoir qu’il veut être libéré. J’appuie un doigt sur mes lèvres et je fais signe à Aurélie de descendre de son père.
– Chéri, une seconde. Je raccompagne la petite salope qui vient de te faire bien jouir et je reviens vite. Pense à moi.
Je pose mes lèvres sur les siennes et mon mari à l’air d’apprécier la saveur de la chatte de sa fille sur ma bouche. Du coup je rajoute,
– Et à elle aussi !
– Huuummm, elle a vraiment une belle saveur. Aurais-je un jour le privilège de la voir ?
Comment pourrais-je ?
– Peut-être, Paul… peut-être… si elle est d’accord.
Une fois dans la chambre d’Aurélie, elle se plaque contre moi le visage encore rayonnant du plaisir qu’elle a eu.
– Merci maman. Merci beaucoup. La bite de papa est merveilleuse. J’ai adoré chaque seconde de cet instant unique et je m’en rappellerais toute ma vie ! Et toi tu es fantastique !
– Tu es incroyable, maman. La meilleure des mamans et je t’aime ! Ohhh oui que je t’aime ! Je voulais crier maman tant de fois ! Je ne sais pas comment j’ai fait pour me retenir pendant que je jouissais sur la grosse queue de papa qui éclatait dans mon ventre, et toi qui prolongeais cet orgasme exceptionnellement long et fort. Et tu n’as rien dis toi aussi.
– Aurélie, on ne peut pas ! Promets-moi que tu ne feras rien pour qu’il découvre la vérité. Et arrête de montrer ton cul à ton père quand tu as des strings sur tes fesses.
– Maman ! Je ne vois pas ce que tu insinues…
Je hausse des épaules, résignée, et je sors de sa chambre pour aller m’occuper de mon mari. Je le détache et je me blotti contre lui. Il veut savoir qui était là, insiste, me questionne pour deviner et fini par me demander pourquoi je ne veux pas lui dire. Et je réponds,
– Ce n’est pas moi. C’est elle qui veut garder le secret.
Finalement, il s’endort et je me laisse aller dans mes pensées, à notre fille et à mon fils, le désordre que j’ai provoqué dans notre famille dorénavant i****tueuse. Je pense aussi à Gina et Sylvie, Lola et Adam, Sally et Suzie qui hantent mes rêves de temps en temps. Je repense à Pierrot et Mick, les amis pervers de mon fils qui veulent me photographier de façon la plus dépravée possible et qui vont toujours plus loin dans leurs fantasmes sans limites.
Et je sombre dans un sommeil peuplé de rêves i****tueux qui m’emmènent dans la chambre de mon fils, où j’ai des rapports sexuels avec lui, et en même temps avec Gina et Aurélie, et mon fils me baise comme une chienne sous le regard de mon mari qui se masturbe pour finir sur des applaudissements et une affirmation de tous ;
– Tu es la reine des salopes !
A suivre
Pantome

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