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Chaque après-midi devait à présent m’offrir une opportunité. Les mômes
avaient été confiés au centre de loisir. Je m’étais ostensiblement
signalée sur la plage, seins nus et string minimal. A la mine offusquée
des femmes je savais que je n’avais pas raté mon effet. En effet leurs
conjoints mâles fort émoustillés ne laissaient pas de m’adresser un
sourire sans équivoque. Tous ces hommes devaient avoir bavardé à mon
propos. Une sorte de lutte sournoise s’était instaurée entre eux pour
savoir lequel le premier me culbuterait dans les rochers ou dans une
voiture. Il était patent que j’avais le feu au cul et que l’absence de
mon mari avait été comme le signal de l’hallali.
J’avais rapidement photographié, évalué chacun des prétendants.
Étrangement mon goût n’allait pas aux beaux gosses. Ces derniers avaient
donc tort de s’estimer en favoris. Je me savais sans conteste la plus
canon de la résidence. Soit que mes rivales fussent trop vieilles ou
abîmées par les ans, soient que les autres fussent par trop gamines ou
niaises réellement. Bref je jetais vite mon dévolu sur deux
quinquagénaires machos, veules en tous points. Je vis bientôt que malgré
mes grands sourires ils ne parvenaient pas à se persuader que je pusse
leur donner ce dont ils rêvaient secrètement. Ils prenaient cela
sûrement pour de l’insolence ou du foutage de gueule.
Le pas décisif advint lorsque je me résolus à aller bronzer sur une
petite plage naturiste fréquentée par deux, trois homos affichés et une
vieille post-soixante huitarde puérile qui nous infligeait ainsi sa
viande avariée. Je pressentis le jour de ma victoire lorsqu’un des
quinquagénaires vint se montrer nu au risque d’être remarqué par les
homos. Détail savoureux car je le devinais du genre homophobe. De par
son vice il avait du surmonter beaucoup de sa répugnance. Il s’était
installé à trois mètres de moi avec un journal. Sa femme devait n’être
au courant. Il me démangeait presque d’aller l’informer que son son
macho de mari s’était converti au nudisme et à la fréquentation des
gays. Quel scoop !
Derrière ses lunettes noires je devinais qu’il matait sans relâche mes
seins et sûrement ma chatte lisse et exhibée. J’eus même l’effronterie
un moment de me retourner. Couchée sur le ventre, je lui offris le
spectacle ainsi d’un cul ferme. Tout cela agrémenté tandis que
j’affectais de somnoler, d’un petit jeu de jambes avec balancements en
l’air. Art inimitable d’allumer. Point n’est besoin de vous révéler que
ce con délesté du maillot accusait l’effet escompté en la partie basse
de son ventre. Du reste avec son journal s’ingéniait-il de le cacher.
Ces contorsions m’amusaient. Cependant je voulais en voir davantage.
Aussi dus-je le surprendre à retirer soudain mes lunettes et à le fixer
droit dans les yeux. En fait mon regard bleu de défi examinait sans
vergogne son sexe. Ainsi ajoutais-je cela à son humiliation en sus des
pédés.
Il ne sut que me rendre un vague sourire vague et idiot. Par la suite il
sut se reprendre. En effet le sourire que j’affectais s’il marquait de
l’ironie n’en trahissait pas moins de l’indulgence voire de la
complicité. Puis il se rappela qu’il avait ce matin inventé un bobard
pour se débarrasser de sa dame. Qu’il avait du se résoudre à venir se
balader sur une plage de nudistes pédés. Ce dont tous ses potes auraient
fort ri. Ce pour une petite salope blonde qui affectait de jouer tant à
la bonne mère qu’à la bonne épouse et qui offrait depuis deux jours au
su de tous le spectacle d’un cul à peine affublé d’un string et nantie
d’une sacrée paire de nichons.
Enfin il y eut cet aparté de la veille ayant tout amené : je consultais
près d’un distributeur l’affichage des activités du demain. Affectant de
vouloir lire de même, il vint se placer juste en mon dos. S’étant assuré
de l’absence de tout témoin, il me glissa une main au cul s’attendant
sans doute à une gifle retentissante ou à un regard outré. Que nenni, je
le laissais me caresser le cul. Il commença à introduire un doigt sous
le string dedans ma chatte humide. Il percevait en même temps son
plaisir montant lorsqu’une porte claqua soudain dans le couloir. Je
m’arrachais du coup et disparut en un éclair le plantant là, la bite en
feu en érection.
A présent il se branlait là sur cette plage devant moi. Il avait retiré
ses lunettes. Ainsi nous nous dévisagions à près d’un mètre. Je pouvais
à loisir admirer la qualité d’un sexe dont il n’était pas peu fier.
J’étais étonné qu’un homme si âgé et même ventripotent put avoir
conservé encore un bel outil. Je devais concéder que mon tendre et cher
époux avait été moins gâté par la nature. Ce membre gros était une
promesse de félicité. Il était injuste que la queue de cet imbécile ne
satisfasse qu’une seule épouse. Une jeune femme méritait aussi son
hommage. Son regard de coq glorieux semblait dire : tu sembles goûter ma
queue, il n’appartient qu’à toi d’en user, il y a à dix pas des rochers
qui nous cacheraient de tous ces importuns.
Je le compris trop bien. Le soleil s’avisait de glisser du ciel dans la
mer. Je devrais bientôt récupérer les enfants. L’occasion de me faire
sauter pouvait être compromise par un bête souci de l’heure. Je me
levais soudain ramassant hâtivement sandales lunettes serviette et
journaux. Je me dirigeais doucement, nonchalamment vers les rochers, cul
ostensible dans la lueur du couchant. Je m’assurais d’un coup d’œil que
les autres ne regardaient et que mon cochon lui seul ne me perdait pas
de vue. Parvenue aux rochers, je m’appuyai sur l’un d’eux, attendant. Il
vint descendant du ciel, la bite en l’air. Nous n’échangeâmes nulle
parole. Il me prit d’autorité la tête, m’obligeant à le sucer. Je fis
cela rapidement, méthodiquement à la façon d’une pute. Du moins me
fit-il par la suite ce compliment car il fréquentait pas mal les
prostituées.
La queue bien dure il m’intimât à me mettre à quatre pattes en chienne
soumise. Là il s’évertua à me pénétrer la chatte sans façon et
brutalement. Je pus m’aviser par ses assauts précis de sa réelle
virilité. Je concevais qu’il dut souvent recourir aux putes pour
satisfaire son vice. Ma chatte fut proprement limée. Entre temps un
doigt venait régulièrement visiter et évaser l’anus. Je devinais son
projet d’y entrer. J’avais envie. Mon cul devait implorer. Tout de
dextérité il retira sa bite de la chatte pour l’apposer près de l’autre
trou. Le gland savait le chemin. J’augurais d’un peu de la douleur mais
le cochon fut rapide, installé en mon cul comme si celui-ci l’eût
toujours requis. Assuré de m’avoir ferré, il m’encula lentement,
méthodiquement jusqu’à ce que je trahis par mes gémissements ma
jouissance absolue.
J’entendis enfin sa voix au milieu des mots infamants soufflés à
l’oreille tandis qu’il me besognait : « je ne te savais si bonne et si
salope ». Il lâcha son foutre à l’intérieur du cul. Il m’obligea ensuite
à le sucer. Il me dit d’un rire gras qu’il me fallait nettoyer l’outil.
Il devrait tout à l’heure baiser son autre femme. Et puis n’avais je pas
le droit de renifler et de savourer sur l’orbe du gland un peu de
l’odeur et des relents de ce cul ? Je trouvais cela en même temps
qu’ignoble, délicieux. Je le suçais donc. Il me prit pour finir la
bouche avec sa la sienne contrevenant à ma soudaine répugnance pour
cela. Je n’avais envie de rouler une pelle à ce type. Nous roulâmes dans
le sable, lutte de courte durée vu sa force. Là je dus m’abandonner
bouches fondues, langues entremêlées. Je succombais à ce nouveau maître.
Mes yeux mouillés d’humiliation, nous nous rhabillâmes. Le soir tombait.
Plage désertée, il s’enquit à m’enlacer et à me caresser impunément le
cul tandis que nous nous éloignions. J’étais troublée d’avoir pu rentrer
si rapidement dans la confrérie des salopes. Celles qu’on culbute
aisément sans préavis. Je n’avais pas eu même une pensée pour mon mari
fut-ce par vengeance ou même malice. Qu’eut-il pensé de découvrir ainsi
sa femme à quatre pattes dans le sable, fesses écartées puis besognées ?
Pourtant le type qui marchait auprès de moi pouvait se targuer d’avoir
jouer avec lui au tennis il y a peu et même d’avoir loué la beauté de sa
femme. La perfidie se mélangeait au plaisir. Il se vanterait auprès des
autres sûrement. Je lui céderais encore une fois dans ce séjour.
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