Elle était réticente à faire l’amour avant d’être mariée, m’a-t-elle racontée. Son fiancé l’était moins et pour le faire patienter, elle lui avait fait des pompiers et elle l’avait branlé jusqu’à ce qu’il jouisse et éjacule. Elle avait trouvé ça dégoûtant au début mais quand elle avait vu le plaisir que prenait son fiancé, elle n’avait plus hésité.
Elle n’avait pas non plus vu passer les dernières semaines, avec tous les préparatifs pour leur mariage et le samedi, elle n’avait rien vu tellement elle était concentrée. Sur les neuf heures du soir, les nouveaux mariés avaient abandonné leurs invités, direction la maison de campagne des beaux-parents. Ils avaient roulé pendant deux heures. Elle connaissait déjà cette maison et même la chambre mais elle avait toujours dormi dans une autre chambre quand elle y était allée.
Elle savait maintenant qu’elle allait y passer. Ce n’était pas exactement comme ça qu’elle avait imaginé leur nuit de noces, mais le corps a ses raisons et elle ne pouvait pas s’y opposer.
Une fois nus, son mari l’avait pénétrée et il ne lui avait fallu que cinq minutes pour jouir et éjaculer dans le vagin sans qu’elle n’y soit pour quelque chose parce qu’elle n’avait eu aucun plaisir à faire l’amour.
Il n’était qu’une heure du matin. Après un verre de whisky pour se remettre en forme, ils avaient recommencé ça, mais cette fois, son mari avait eu plus d’imagination, comme s’il avait voulu faire toutes les figures du kamasuthra. C’était ce qu’elle avait imaginé.
Après avoir sucé la bite, elle avait été prise en bouche par son mari puis il l’avait pénétrée dans toutes les positions possibles, mais c’était toujours dans son vagin et soudain, son mari avait enfoncé son pénis dans son anus et par instinct, elle avait protesté comme si cet orifice était sacré mais il avait insisté en lui criant qu’elle est sa femme et qu’il l’encule.
Il l’avait donc enculée et elle s’était vue comme une femme de mauvaise vie, une prostituée, une mauvaise fille, dévergondée. Elle avait eu mal au début mais l’affaire s’était vite réglée en glissant ses doigts sur son clitoris.
– Après tout, s’était-elle dit, puisque monsieur s’occupe de ce trou-là, je peux bien m’occuper de l’autre !
Elle s’en était déjà occupée, même si dans la perspective de se marier, elle avait levé le pied. Il ne s’était jamais passé un soir jusque là, qu’elle ne se soit endormie sans avoir eu un orgasme. Ça lui avait même servi de fourre-tout et tout y était passé, comme ses crayons, la bougie qui était sur la cheminée de sa chambre en cas de panne d’électricité, son stylo. Un jour, elle avait essayé avec un concombre. Il n’était pas très gros et il était entré tout seul puis il y avait eu la batte de base-ball que son père avait rapporté des Etats-Unis, mais c’était vraiment gros et seul le manche était entré.
La sodomie avait commencé en levrette, mais elle était maintenant sur le dos. Elle se masturbait et son mari l’enculait. Elle regardait faire son mari. Elle lui a pris la main droite et elle l’a portée sur son sein gauche. Ce qui l’avait toujours étonnée est que ce dernier était plus gros que l’autre. Il l’avait toujours été. Elle avait essayé de savoir de combien en plongeant ses seins dans un bocal. Elle avait vu ça dans une revue féminine. Il suffisait de peser l’eau qui s’échappait du bocal mais elle s’était emmêlée dans ses calculs et comme toujours, quand elle s’emmêlait, n’était-ce en faisant ses devoirs, elle s’énervait et ses doigts filaient toujours entre ses cuisses.
– Nadine, tu fais quoi, lui avait demandé un jour la prof ? Tu m’attendras avant de sortir !
Elle avait attendu à la fin de la classe et la prof lui avait dit qu’on ne fait pas ça dans sa classe. Après, elle avait suivi sa prof jusque dans les toilettes et elle lui avait avoué qu’elle ne peut pas s’en empêcher.
– Petite cochonne, lui avait répondu la prof en l’entraînant dans une des cabines et elle avait masturbée son élève jusqu’à ce que cette dernière ait joui et elles en étaient restées là.
Son mari avait pris Nadine dans tous ses trous mais il avait fini en éjaculant sur le visage de son épouse puis ils s’était endormi, épuisé par ses performances. Le lendemain matin, ils étaient partis pour la mer. Ils avaient réservé une chambre d’hôtel et ils ne l’avaient quittée que pour descendre déjeuner puis elle avait eu ses règles et la cause avait été entendue même si elle aurait bien aimé continuer avec ses deux autres trous.
De retour chez eux, elle avait déchanté et ils s’étaient séparés. Six mois plus tard, ils avaient divorcé.
Elle lui racontait ça sans émotion, comme s’il s’était agi d’une histoire ordinaire puis elle lui avait demandé s’il voulait. Bien sûr qu’il le voulait.
– Je te demande juste un peu d’argent, avait ajouté la femme !
– Tu es une putain, s’était-il étonné ?
Elle avait eu un grand sourire puis elle avait ajouté qu’elle n’avait jamais su rien faire d’autre et il avait sorti un gros billet.
Mon copain me racontait ça, lui aussi, comme si c’était une histoire drôle puis on s’y est mis. Cela faisait six mois qu’on se connaissait. Il m’a sucé et je l’ai enculé et nous avons interverti nos rôles.
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