J’étais allé acheter du matériel d’encadrement dans un magasin spécialisé et à la caisse la cliente précédente, une grande femme mince, châtain clair aux yeux noisette, avait beaucoup de matériel à emporter. Je lui proposai de l’aider jusqu’à sa voiture. Elle me regarda étonnée puis me dit « d’accord ». Une fois sa voiture chargée elle me proposa d’aller boire un café au coin. Nous fîmes ainsi connaissance. Elle avait 50 ans, était veuve, ses enfants vivaient loin et elle était artiste peintre. Je lui dis que moi j’étais photographe et que je cherchai des modèles féminins pour des portraits. Cela parut l’intéresser et elle me proposa de lui faire des photos de ses œuvres pour un catalogue d’exposition en échange de poses dans son atelier. En me précisant peut-être pas que pour des portraits.
Le jour dit je me suis présenté chez elle avec mon matériel. Elle m’accueillit très détendue, en petite robe de tissu fin, me proposa une boisson puis nous grimpâmes à l’étage dans un grand atelier lumineux où il y avait des supports divers près des fenêtres et un grand lit un peu plus loin. Elle me précisa qu’elle avait l’habitude de travailler tard puis de dormir dans l’atelier.
Les prises de vue de son matériel d’exposition durèrent longtemps. Il y en avait beaucoup et techniquement cela demandait des réglages précis. Lorsque ce fut fini on regarda les photos sur son ordinateur. Elle était contre moi et quand elle se penchait je voyais deux petits seins libres très mignons. Nous avons passé encore un grand moment à choisir les clichés que je post-traiterai.
Il était un peu tard et nous décidâmes de reporter ses séances où elle poserait pour moi. Mais nous en discutâmes et elle m’avoua que des poses nue ne la générait pas au contraire précisa-t-elle « ça m’excite plutôt ». Le lendemain je lui envoyai les fichiers développés puis attendis de ses nouvelles. Deux jours plus tard un appel d’elle : « superbes vos photos, merci beaucoup ; je vous invite à déjeuner samedi puis on fait les autres photos ». Je me rendis sur place avec une bonne bouteille et nous avons déjeuné en tête à tête en discutant librement. Elle était franche et semblait très libérée, sans tabous. Elle m’avoua qu’elle aimait les aventures sexuelles aussi bien avec les hommes qu’avec les femmes.
Lors de la séance de prise de vue qui nous prit l’après-midi je me suis régalé. Sophie avait un corps de danseuse très élégant. Elle prenait spontanément des poses esthétiques. Quand nous en sommes venus aux nus j’avais le sentiment de photographier une statue vivante sans aucune vulgarité. Son corps à peau claire était épilé seule une touffe de poils courts et clairs décorait son sexe. Pendant les prises de vue j’appréciai le spectacle mais en restant bien concentré sur la technique.
Lorsque nous en eûmes fini elle me dit « je vais prendre une douche, vous venez aussi ». J’acceptai et nus sous le jet d’eau nous avons fait connaissance avec nos mains. Et avec sa bouche car elle s’agenouilla pour me tailler une pipe mémorable. Nous sommes revenus dans l’atelier. Elle me poussa sur le lit en me dit « laisse toi faire ». Elle grimpa sur moi, s’enfila mon sexe dans le sien et fit une danse du ventre allant crescendo jusqu’au moment où elle s’écroula sur mon torse en criant de plaisir pendant que son vagin étranglait ma bite.
Elle m’embrassa puis me dit à l’oreille « putain de c’est bon, il y a longtemps que je n’ai pas joui comme ça ». Je l’ai ensuite baisée en levrette rapidement pour jouir à mon tour.
Nous nous sommes revus quelques fois mais il n’y avait plus ce plaisir de la première fois. Elle me relança pendant quelques mois mais il n’y avait pas vraiment de place pour elle dans ma vie. Mais j’y repense avec émotion.
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