Prisonnière… du grenier
-Bonjour… je veux dire bonsoir ! Fis-je nerveuse au point ou mes mains et mes genoux tremblaient. Il y a un problème ?
Essouffler, debout derrière mon comptoir, je me forcer a sourire a la policière qui se tenait devant moi, fort jolie d’ailleurs, même avec ses gros cache-oreilles en fourrure. Une blonde mince aux yeux bleus avec les joues rougies par le froid qui devait sûrement s’entraîner et faire de la course, métier oblige. Ses cheveux épais étaient attachés en queue de cheval sous sa casquette de la sûreté du Québec. J’imaginais son corps ferme et osseux ; ses cuisses longues et musclées, des petits seins durs et un joli petit cul. Belle et armée et dans la trentaine, un vrai fantasme elle aussi, mais elle me faisait peur pour l’instant. Même pas mal à cause des caméras installées un peut partout dans mon motel pour espionner les clients. J’étais certaine que quelqu’un s’en était aperçut et avait porté plainte et quelle venait pour fouiller partout et… m’arrêter.
-Bonsoir madame, répondit-elle tout sourire, pas du tout. J’avais pas vraiment envie après mon service de conduire jusqu’a St-Jérome pour rentrer chez moi par cette tempête. C’est très dangereux ce soir sur les routes, c’est pourquoi j’ai fait fonctionner mes gyrophares jusqu’ici, désolé si ça vous a inquiété. Il vous reste une chambre ?
«Ouf ! Merci petit Jésus, elle n’était pas venue pour passer les menottes.» Je sentis mes épaules remonter d’un bon 6 pouces, mais je tremblais toujours et j’avais une sacrée envie de pipi, ce qui me fit serrer les cuisses et fléchir un genou.
-Oui ! Fis-je soulager en lui tendant une fiche et prenant sa carte de crédit tout en me voyant déjà l’espionner elle aussi. Pourquoi pas ? Je me demandais même si c’était une vraie blonde.
J’allais probablement le découvrir, elle ne dormirait sûrement pas avec son uniforme, surtout qu’il faisait assurément très chaud dans les chambres maintenant que j’avais monté le chauffage.
-C’est mignon comme motel et peint en rose comme ça, c’est superbe, mais le nom ( Les deux souris rose), ça vient d’ou ?
Je lever encore la jambe comme une idiote jusqu’a dévoiler la bande décorative de mes bas nylons et elle éclata de rire en voyant ma pantoufle rose en forme se souris. Je crus même qu’elle admira mes petites jambes comme un homme. Je fantasmais, pas de doute et je me donnais l’impression ce soir de faire un numéro de cabaret minable pour mes clients et sans petite culotte cette fois et a une policière en plus. Décidément, c’était ma soirée grands frissons. Elle aussi me commanda du vin, comme je l’achetais à la caisse je réalisais un bon profit sur chaque bouteille. Jusqu’à maintenant, cette tempête de neige s’avérait payante. Déjà trois chambres de louer sur six.
Dès quelle fut dans la sienne je me rendis a la cuisine en me calmant et prit une bouteille de blanc et un verre en regardant la grande horloge que Mélany avait installée dernièrement, supposément acheter au village, une autre caméra… J’avais déjà vu sa dans un documentaire. On pouvait cacher des caméras miniatures dans n’importe quoi maintenant et les acheter sur internet. Je livrer le vin a la policière et revint a la cuisine en prendre une pour amener là-haut, histoire de calmer mes nerfs un peut. J’en caler une bonne rasade et ramasser ma broîte de cigarillo cubain avant de remonter encore le maudit escalier les genoux tout mous. L’arrivée de cette policière avait mis mes nerfs à rude épreuve. Je fis un arrêt pipi et une fois là-haut, dans le grenier, devant le sofa et je rouvris la télé et me vit encore sur l’écran. Je ne voyais pourtant pas de caméra devant moi, mais en m’approchant, apercevant mon visage grossir jusqu’à ne voir que mon nez, j’aperçus un minuscule rond noir dans le (O) de la maque de la télévision. Une télé avec caméra intégrer, je ne savais pas que cela existait. Sacrée Mélanie, elle l’avait découvert et installé en plus des caméras partout dans le motel là où il n’y en avait pas et il y avait une policière dans l’une des chambres. Tout ça était étourdissant, mais aussi très excitant. Les vignettes changèrent automatiquement une nouvelle fois. Le couple écoutait la télé, la policière textait assise sur le lit et sur l’image principal, Marie Lemieux était de nouveau au téléphone à texter également, mais Mélany avait disparu. Oups ! Elle avait simplement filé aux toilettes ou était t-elle descendu pour me voir ou venait t-elle ici ? Merde ! Le lit était vide, mais son ordinateur portable toujours la et au même moment j’entendis la clef tourner dans la serrure de la porte du grenier, quelqu’un m’embarrait. Mélany, pas de doute. Je m’y précipiter, mais trop tard, pas moyen de l’ouvrir.
-Mélany, je sais que c’est toi. Dis-je tout bas, les joues et la poitrine coller contre les planches rugueuses l’imaginant nue de l’autre coté. Ça me donna le frisson, car on gelait dans l’établie sans chauffage.
-T’as pas honte Luce d’espionner nos clients ? T’es pas au grenier pour chasser les souris roses, hum ?
-T’es pas drôle ma belle, ouvre.
-Pas question. Tu m’as pas invité et en plus, tu me laisses poiroter seule dans notre lit pour prendre ton petit plaisir en égoïste seul au grenier.
-Et toi, qu’est-ce que tu regardais sur ton ordi en te masturbant tout nu, petite vicieuse? Je t’ai vue.
Oups ! Un silence qui me fit sourire suivit d’un rire et je rajoutai :
-T’as placé des caméras partout sans me le dire, tu te rappelles Mélany? Alors, tu regardais quoi ? Ou qui ? Ou qui te regardait ?
-Jalouse Luce ?
J’ouvris la bouche pour répondre oui, mais je dis plutôt :
-Moi, pas du tout.
-Menteuse !
-Bon ! Un peu c’est vrai.
-C’est toi que je regardais Luce. Vicieuse, un doigt dans le cul en plus.
Ma mâchoire se décrocha tellement ça me prenait de cour.
-QUOI ? T’es branché sur le système ?
Il me fallut un moment pour réaliser pleinement ce qu’elle venait de m’avouer. C’est donc moi qu’elle espionnait nue dans le lit en se masturbant, pendant que moi j’espionnais les clients. Ça donnait le tournis.
-Et oui ma belle Luce, je vois tout sur mon écran. Big brother, c’est moi et j’adore te surveiller. T’es tellement drôle à voir courir du grenier à la réception. Mais là, je m’occupe des clients, ne t’inquiète pas. Tu vas pouvoir te masturber tranquille en reluquant les clients, voyeuse. C’est pas bon pour ton vieux coeur de courir comme ça.
-Et tu me traites de voyeuse, hypocrite. T’as placé des caméras partout dans le motel sans me le dire et il y a une policière ici, si… Si elle le découvrait, tu imagines ? T’es encore nue ? Tu vas tomber malade toi.
Je n’entendis qu’un petit rire et :
-Oui m’man ! Je suis nue et j’ai le corps couvert de grosse chair de poule. Pourquoi soudainement Luce tu espionnes nos clients? Tu ne voulais plus le faire. T’es saoule ? T’as même monté le chauffage pour qu’ils se déshabillent. C’est vrai que la policière est vraiment mignonne et la rousse aussi, mais un peut vielle, enfin pas pour toi j’imagine.
Je me sentir rougir d’avoir été ainsi surprise et espionner et j’avais chaud, très chaud, mais je ne voulais surtout pas lui avouer pour mon gros fantasme sur Marie Lemieux. Ça me gênait étrangement.
– Viens me rejoindre Mélany, murmurai-je en éludant la question, je te ferai tout ce que tu veux ma belle.
-C’est tentant, mais… pas question, tu vas rester la, c’est ta punition pour prendre ton pied en égoïste et aussi… pour le si petit cadeau sous l’arbre de Noël.
Je soupirer un peut exaspérer, mais tout de même amuser par ce nouveau jeu et aussi un peut décourager de me savoir maintenant observer partout dans le motel. Sauf dans notre salle de bain au deuxième, enfin, je l’espérais.
-C’est pas drôle, ouvre ou… ou je défonce. Tu vas quand même pas me laisser ici toute la nuit et te morfondre seul dans le lit ?
-Je te souhaite bonne chance, la porte est solide et en plus ça risque d’ameuter la policière. Tu l’imagine accourir ici pour libérer une belle dame en détresse prisonnière de son grenier pour découvrir ton antre de voyeuse. Je pleurerais en disant que je n’en savais rien, te traitant de… enfin, tu me suis.
-Et, je me serais embarré tout seul ? Bravo miss cervelle.
Un silence qui m’arracha un gros sourire cette fois.
-Oups…
-Méchante, dis-je doucement pour l’amadouer. Allez, ouvre-moi ma belle, maman va être très, très gentille et très habile avec sa langue et ses doigts ce soir ou au vibrateur. Celui que je t’ai offert a ta fête. Tu dois être en train de geler dans le réduit sans chauffage. Entre, je vais te réchauffer. Tu vas tomber malade si tu restes la Mélany. Allez, ouvre-moi !
Un autre silence et :
– Tu veux jouer avec moi M’man ? Ma jolie maman qui va répondre aux clients sans petite culotte.
-Oui Mel, oh oui ! Ouvre, on va jouer à ce que tu veux.
-5 orgasmes Luce.
-Quoi ?
-Tu ne sortiras pas de la tant que je ne t’aurai pas vue jouir 5 fois sur le sofa et ne fait pas semblant, tu sais bien que je le saurais. Et je m’occupe des clients, ne t’inquiète pas. T’as du vin et de quoi t’émoustiller a la télé, donc tout ce qu’il te faut. Compte-toi chanceuse, j’aurais pu en exiger 10… ou plus.
-Et si j’ai envie de pipi, je fais quoi ?
Je n’entendis qu’un petit rire qui s’éloignait, mais j’aperçus mon téléphone qu’elle avait glissé sous la porte entre mes pieds.
-Mel, Mélany ! Criai-je en tapant sur le battant du plat de la main, mais pas trop fort et j’entendis celle de l’établie se refermer. Je soupirer longuement en ramassant mon téléphone… et me voilà prisonnière du grenier. Je reçus aussitôt un texto signé, Big brother : T’arranges pas pour que je m’endorme devant mon ordi Luce 🙂
Pour inventer des jeux sexuels, elle ne manquait pas d’imagination celle-la et tant mieux. Mais elle était extravertie et pas moi. J’ai toujours été d’une timidité maladive. De retour sur le sofa j’y jeter mon téléphone, je remplie mon verre et en but la moitié avant de m’allumer un bon cigarillo au goût chocolaté. J’ avais bien besoin de me détendre un peu pour remplir ma mission. Une douce chaleur m’envahit aussitôt l’estomac, rien de tel pour combattre la gène qu’une bonne bouteille de vin. Je renverser la tête en arrière en expirant de la fumée en repensant a tout ça et j’aperçus ma petite culotte perdue. Je l’avais lancé derrière moi tout à l’heure. Elle s’était accrochée à un vieux clou rouiller sur l’une des poutres du plafond. Seigneur !
Je ris en revenant a la télé, ça me faisait tout drôle de me savoir surveiller, de savoir quelle pouvait tout voir ce qui ce passait au motel de son ordinateur et surtout, de me voir sur grand écran. Sacré Mélany, elle ne cessait pas de m’étonner. J’aurais pu enfoncer cette porte, mais ce jeu me plaisait au fond, même pas mal, j’en avais la chair de poule en fixant a nouveau les vignettes. De plus, je n’avais plus à courir en bas, je pouvais maintenant me concentrer sur mon plaisir. Quand elle fut de retour sur le lit, elle m’envoya la main, ce qui fit remuer joliment ses gros seins blancs. Je lui fis un pâle sourire et une grimace avant de caler mon verre et de le remplir à nouveau. Marie Lemieux était toujours sur son téléphone, plate a mort finalement. Le couple était déjà au lit, mais la femme lisait, habiller, et le gars regardait la télé, moi je me regardais me regarder, mais la policière elle… Elle prenait savon et serviette pour aller se doucher. J’allais la voir nue. Un frisson délicieux me parcourut l’échine. Elle n’avait enlevé que son cache-oreilles, sa casquette et son parka d’hiver, elle portait toujours son ceinturon avec son arme de service. Elle texta à nouveau, avec son chum ou son mari sans doute, puis jeta son téléphone sur le lit avant de sortir et de barrer la porte de sa chambre. Une vraie maladie ces histoires de texto. Elle était tout de même vraiment excitante à voir se déhancher dans le couloir. Son beau derrière se balançait joliment dans son pantalon de policière ajuster et juste a l’idée de la voir nue sous la douche me mit le feu au ventre. Mélany voulait des orgasmes, elle allait en avoir. J’ai tout de même presque 40 d’expérience en masturbation. Même sans vibrateur j’arrivais a me faire jouir rapidement habituellement dans de bonnes conditions et la… les conditions étaient excellente, le vin faisant son effet. Seule dans le grenier avec les rafales de neiges qui secouaient la maison, je me sentais bien, chez moi: Voyeuse, vicieuse et heureuse. Mélany semblait s’impatienter, elle me jetait des petits regards courroucés et ça m’amusait de la laisser mijoter un peu. Petite vengeance pour m’avoir enfermé ici. J’éteignis mon cigare dans un vieux cendrier qui traînait au sol et soupirer longuement me sentant prête a l’action.
Comme je n’avais plus a m’occuper des clients je me débarrasser donc de mon chandail, puis de ma blouse, et de mon gros soutien-gorge blanc en dentelle qui laissa des marques rouges sur mes seins. Mes seins ballon, plus gros que ma tête, d’une blancheur de neige au petit mamelon tendu bien au milieu. Puis je me lever pour me débarrasser de ma jupe, même de mes belles pantoufles souris- rose et de mes bas de laine pour ne garder que mes bas nylons noirs a large bande décorative aux cuisses que je relever. Ça me donna de petits frissons de plaisir de me voir me déshabiller à l’écran en me sachant regarder. Ma peau était si blanche que les bas en paraissaient plus noir. Je me trouvai encore potable pour mon âge; mes jambes étaient jolies, pas trop de ventre, ni de gras superflu ni de ride au visage. Je me retourner pour regarder mes fesses a l’écran et me les caresser en les trouvant encore assez ferme et serrer. Puis, me surprenant moi même, je me pencher, cuisse fermer et les secouer en riant pour bien les montré a Mel ensuite je me retourner et secouer les épaules faisant s’entrechoquer mes gros seins comme une danseuse de baladi. Mélany fixait son ordi les yeux tout petits visiblement très exciter par le spectacle que je lui offrais. La voir se masturber, exciter à me regarder sur son écran me donnait des chatouillements dans le bas ventre. Je me donnais un peu l’impression d’être l’une de ces filles dans les clubs de danseuses nues qui se trémoussent pour émoustiller les clients. Dieux que je l’aimais ma belle Mélany. Elle me faisait redécouvrir le plaisir des jeux sexuel passé 50 ans. Pas de baise banale avec elle, ou très peut. Le jour où elle me quitterait, elle laisserait un grand vide dans ma vie. Je me rassis, jambe écarter lui offrant la vue quelle souhaitait et commencer a me branler lentement et habilement de la main gauche en me caressant les seins distraitement de la droite tout en fixant la télé.
Tout ça était si excitant; être la, a me branler en surveillant les clients avec Mélany qui me surveillait et la belle Marie Lemieux qui était la en prime, dans mon motel et qui allait bien se dévêtir a un moment donné. Avec un peut de chance le couple baiserait, la femme , dans la quarantaine était pas mal, l’homme lui, bedonnant et quelconque me laissait indifférente. Mais peut-être qu’une fois nu avec une belle érection se serait autre chose.
Avec la télécommande je stopper l’enregistrement de la chambre de Marie, qui ne faisait rien pour le moment, pour enregistrer dans la salle de bain. J’agrandis la vignette pour la mettre en en plein écran, mais pas complètement, car je voulais avoir les autres vignettes a l’oeil au cas où. La qualité de l’image en couleur était stupéfiante, le vieil oncle n’avait pas lésiné sur la qualité du matériel. Merci mon oncle ! Je déposer la télécommande pour me caresser a nouveau les seins en me branlant distraitement en regardant la policière entrée dans la salle de bain. Je passer un bras sous ma grosse poitrine pour la soulever, pour pouvoir amener mes mamelons a ma bouche l’un après l’autre pour me les sucer et les agacer du bout de la langue les sentant gonfler, cela me procurait a chaque fois de doux et délicieux frissons. J’arrivais à me faire ça depuis mes treize ans, un petit plaisir de plus. Mon sexe gonflait et s’humidifiait terriblement et mon petit clitoris banda pour devenir si sensible que j’évitai de trop le malmener le pauvre. Je me contenter de faire des pressions tout près en commençant déjà a gémir les yeux mis clos. Je fixais la policière vue d’en haut au travers du miroir sans tain du plafond qu’elle regarda. Je stopper, apeurer le coeur battant. Se doutait t-elle de quelque chose.? Elle semblait me regarder droit dans les yeux. Seigneur ! Tout mon corps fut parcouru de frissons glacer.
«Mais non, me dit une petite voie, elle ne fait que regarder son reflet idiote.»
Et elle baissa la tête, ouf… et referma la porte sans la barrer. Ça, de la part d’une femme, même d’une policière armée, c’était étrange. Un oublie sans doute, ou l’idée qu’on puisse la surprendre l’excitait. Ça devenait plus intéressant. Je me détendis, car apparemment elle n’avait aucun soupçon pour le miroir au plafond. Elle accrocha la serviette et posa le savon dans la douche puis défit sa queue de cheval pour laisser tomber ses cheveux blonds sur ses épaules et elle commença à se dévêtir. Espionner une policière en train de se déshabiller tout en me branlant, nue sur un sofa, c’était vraiment émoustillant. Beaucoup plus que de regarder un banal porno et on me regardait faire en plus. Mélany se branlait toujours en fixant son écran et je voyais sur son visage qu’elle appréciait drôlement le spectacle. Elle devait nous voir toutes les deux, moi et la policière. Sentant peut a peut un doux plaisir m’envahir je réaliser quelle aussi pouvait sûrement tout enregistrer sur son ordi et ça m’excita plus. L’idée qu’elle et moi on me regarde me branler sur la télé en bas, au salon, me fit mouiller terriblement.
Très vite, je me lécher les lèvres en sentant des frétillements dans mon bas ventre. Je lâcher mes seins pour enfiler le majeur de ma main droite dans mon sexe bien lubrifier et l’agiter. L’effet fut immédiat, comme toujours. Et cette fois, un petit orgasme vaginal explosa en moi et me fit gémir et me tordre sur le sofa, les orteils replier. Mes genoux se cognèrent pendant que je grimaçais de plaisir en fixant la télé géante tout en sentant mon anus pulser contre le tissu user du sofa. L’orgasme passa rapidement et me laissa comme grisé, les yeux à demi fermés. Mélany souriait à présent en fixant toujours son ordinateur et toujours en se masturbant. Ses seins ronds en sursautaient joliment tandis que les miens étaient écrasés entre mes avant-bras. Avec sa main libre, Mel me montra un doigt, son index.
– Oui Mélany, 1 orgasme.
Je soupirer longuement en me reprenant, me sentant si bien, nue, en fixant la policière qui enleva d’abord son lourd ceinturon avec son arme de service, son teaser, sa bonbonne de poivre de cayenne, ses menottes et ça matraque quelle déposa sur le comptoir de l’évier, puis elle déboutonna sa chemise. J’aperçus aussitôt un joli soutien-gorge mauve gonfler par une paire de seins plus que généreux. Beaucoup plus que ce que j’imaginais. Je déglutis, concentrer sur cette vision en me disant que cette blonde aurait pu devenir mannequin. Mais peut être l’avait t-elle été avant d’entré dans la police.
-Tient, tient, ma belle, me dis-je les yeux tout petits en ramenant mes talons sur le sofa pour avoir un meilleur accès a mon sexe, en écartant encore plus les jambes, on travaille avec un soutien-gorge de fantaisie.
Je me mis a mouillé encore plus en fixant l’écran tandis que le vent s’acharnait contre la maison, en me caressant pubis et fente et même mon petit anus plisser au passage sur lequel ma cyprine avait couler. Me toucher le petit trou me procurait toujours de grands frissons. J’y pousser même le bout de mon doigt, mais juste un instant, simplement pour m’agacer le plus possible. Tout mon corps se tendit tandis que je soupirais de plaisir. Je vis Mélany sourire, elle savait bien a quelle point j’aime qu’on me joue dans ce coin la avec les doigts ou la langue. Surtout sa langue à cause de son piercing.
En me pénétrant a nouveau avec mon majeur, je réaliser que pour la première fois depuis que je vivais ici, je prenais un réel plaisir a surveiller mes clients en me branlant. En plus, je me savais surveillé par Mélany, c’était doublement excitant. Une fois la blouse enlever je vis a quelle point la blonde était osseuse, mais musclé pour une fille, mais pas trop, juste comme je l’imaginais. Elle avait un beau ventre dur la chanceuse. Normale, en tant que policière elle devait s’entraîner régulièrement. Elle enleva ses lourdes chaussures de travail, ses chaussettes puis commença a descendre son pantalons, mais Marie attira mon regard dans sa chambre, elle venait de se lever pour fourrer son téléphone dans son sac a main sur le lit. Puis, elle prit une serviette et du savon pour aller se doucher. Ce que j’espérais tant, mais l’autre y était déjà. Elle allait se laver ce soir et peut-être aussi demain matin. De mieux en mieux. Mais elle allait devoir attendre que la belle policière ait terminé. Puis je me rappeler que celle-ci n’avait pas barré la porte de la salle de bain, elle risquait de se faire surprendre en petite tenue, même nue et par Marie Lemieux. Ouuuuuu ! Ça devenait drôlement intéressant. Elle devait sûrement l’avoir déjà vue à la télé, elle risquait d’être très surprise la belle police.
Cette fois, je savais que je n’aurais aucun problème à avoir mes 5 orgasmes. J’en aurais même plus à les voir se doucher l’une après l’autre, surtout ma belle Marie que je vis sortir dans le couloir pour aussitôt barrer la porte de sa chambre. Elle aussi avait le cul qui se balançait joliment sous sa jupe grise en se dirigeant vers la douche. J’en oublier de me branler tant j’avais hâte de voir ce qui allait ce passé. En revenant a la policière, en salivant, j’aperçus ses longues jambes fuselées et un minuscule slip assortit a sa brassière tandis quelle retirait le pantalon. Vue d’au-dessus comme ça, sa poitrine généreuse et ses cheveux bond me cachaient un peu le bas de son corps. Au même moment, je vis Marie Lemieux dans le couloir frapper discrètement à la porte de la douche en surveillant aux alentours comme si elle savait qu’il y avait déjà quelqu’un et qu’elle avait peur que quelqu’un la surprenne. Quoi ? Et la policière, juste en slip et soutien-gorge maintenant, lui ouvrir. Hein ? Je vis Marie entrée rapidement pour déposer, clef, serviette et savon sur l’évier, par-dessus les vêtements de la policière, tandis que la blonde refermait la porte et la barrait cette fois et elle ce jetèrent dans les bras l’une de l’autre pour se frencher avec fougue comme des amants, plutôt des amantes, qui ne c’étaient pas vue depuis des mois.
-J’hallucine, c’est pas possible ! Ben voyons !
Je me vis les yeux tout ronds à la télé, tout comme Mélany devant figer son ordi. Le temps sembla s’arrêter un instant tandis que la tempête, elle, semblait s’acharner à vouloir abattre le motel et la maison. Je ressentis, étrangement, comme l’impression d’être trompé en les regardant se tripoter tout partout en s’embrassant, même de la jalousie. Et les lumières clignotèrent à nouveau. Tout le monde leva les yeux vers le plafond.
-Non, pitié !
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