Je suis moniteur d’auto-école et j’ai monté ma propre école en banlieue il y a quelques années. J’ai une clientèle variée recrutée à la fois dans les quartiers chics et dans les citées proches. Ce sont des jeunes la plupart du temps agréables. Même ceux qui sont un peu voyous ne se sentent pas en position de force et ça se passe bien d’autant que j’ai l’âge d’être leur père. Je suis bon professionnel et j’ai un bon taux de réussite au permis. Il y parfois de situations particulières, des cas d’exception, dont il m’arrive de tirer du plaisir.
Par exemple cette jeune fille jolie, blonde et hautaine, habitant une grande villa avec ses parents, et qui se comportait comme si j’étais son larbin. Elle était étudiante et semblait me prendre de haut. Je connaissais sa mère qui était une emmerdeuse prétentieuse et snobe. Je l’ai mise en difficulté en lui faisant faire des parcours difficiles. Elle calait souvent, n’arrivait pas à faire les manœuvres. A bout elle s’est mise à pleurer. Je l’ai regardée assez durement et lui dit « ici ce n’est pas toi le chef, je peux t’apprendre beaucoup de choses si tu m’obéis ». Elle sécha ses larmes puis baissa les yeux et j’entendis un « oui Alex » qui signait sa soumission.
Nous sommes allés sur un parking isolé près d’un petit bois et nous avons parlé. Elle me dit que d’être physiquement assise aussi proche d’un homme séduisant la rendait nerveuse. Je lui dis « veux-tu aussi apprendre à conduire un homme ». Elle sourit et répondit « oui j’aimerais beaucoup mais il faut que ce soit un secret absolu». Je lui ai pris la main et l’ai posée sur ma braguette. Elle a rougit en me regardant avec des yeux étonnés mais tendres. J’ajoutai « je crois qu’on va programmer quelques heures supplémentaires si ça ne te pose pas de problèmes financiers ».
A chaque cours nous avons fait une pause de 15 min pendant laquelle je lui apprenais la vie. Le premier jour, un lundi, elle m’a embrassé avec sa langue et je lui ai caressé les seins. J’ai vu qu’elle aimait ce contact. Le mardi je lui ai appris à me masturber et à caresser mes couilles. Le mercredi elle m’a sucé pendant que je lui touchais le sexe. Le jeudi je l’ai masturbée sans la pénétrer, elle avait déjà l’habitude de se toucher le clitoris. Le vendredi je lui ai appris à caresser son anus et l’entrée de sa vulve. Le samedi je lui ai demandé de se pénétrer elle-même. Elle m’avoua l’avoir déjà fait avec le manche de sa brosse à cheveux.
Le dimanche l’école était fermée. Je l’ai faite rentrer par la porte de derrière et nous avons fait l’amour sur les tables de la salle réservée à l’enseignement du code qui pour cette occasion n’était pas celui des bonnes mœurs. Elle avait gardé ses vêtements en se couchant dos à la table. Je suis resté debout, l’ai tirée pour avoir ses fesses contre moi. J’ai écarté sa culotte pour lui passer le sexe du clitoris à l’anus en pénétrant de plus en plus entre ses petites lèvres à chaque passage de ma main. Elle ne tarda pas à gémir. Je l’ai pénétrée doucement avec mon pénis puis j’ai progressivement accéléré les vas et viens. Elle a joui au moment où l’enfilais un doigt dans son cul en la traitant de petite salope. Je ne fus pas long à lui envoyer une grande giclée de sperme sur sa touffe.
La semaine suivante elle fût détendue, progressa vite et réussit son permis. En quittant l’auto-école elle me dit « merci pour tout Alex ». Je la croise de temps en temps. Elle s’est mariée et promène son bébé en poussette.
Ce fût une belle aventure humaine où j’ai en le sentiment d’être pleinement éducateur.
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