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Mamie Louise 09

Mamie Louise 09



Mamie Louise 09

Les deux protagonistes demeurèrent de longues minutes immobiles : Muriel, le corps tétanisé par la v******e de l’orgasme qui l’avait submergé, ballotté, tel un tsunami la projetant dans un monde de béatitude sensuelle. Jérémy, quant à lui, se trouvait immobilisé, le visage plaqué contre la vulve palpitante d’où sourdait encore un peu de sève vaginale. Les cuisses nerveuses de Muriel lui enserraient la tête, l’empêchant de s’échapper du piège sensuel dans lequel il s’était fait prendre.
Peu à peu, Muriel émergea des nuées dans lesquelles la jouissance l’avait projetée. Son corps se détendit progressivement et sa respiration reprit un rythme normal. Ses cuisses se relâchèrent, libérant le visage de Jérémy, qui s’empressa de se redresser la bouche et le menton luisant de cyprine. Se réinstallant confortablement sur son fauteuil, le cœur débordant de tendresse pour l’adolescent qui venait de lui faire connaître un tel bonheur, Muriel agrippa celui-ci par les cheveux pour le forcer à se redresser. L’attirant à elle, elle lui murmura d’une voix pleine d’affection :
— C’était merveilleux, mon chéri !… Où as-tu appris ce genre de baiser ?
Devant le silence gêné de Jérémy, Muriel n’insista pas, se promettant de connaître la vérité plus tard. Attirant le visage de son jeune compagnon, elle entreprit de lui lécher les lèvres avec gourmandises.
— Hum, c’est salé, plaisanta-t-elle !… Tu as aimé ma liqueur d’amour ?… Tu t’es régalé ?…
Jérémy qui s’était attendu à ce que la femme l’embrasse comme elle l’avait fait quelques instants auparavant, demeura étonné en sentant la langue de cette dernière lui lécher les lèvres, puis le menton.
Cependant, malgré le plaisir qu’elle prenait à savourer les reliquats de sa jouissance à même les lèvres qui l’avaient provoqué, Muriel s’interrogea sur le désir que devait éprouver son jeune compagnon. Aussi, cessant son léchage, elle demanda :
— Et toi !… Comment va ton petit oiseau ?
Sans attendre la réponse de Jérémy, dont elle se moquait d’ailleurs, elle lança une main curieuse en direction du bas-ventre de l’adolescent. Ses doigts découvrirent immédiatement la protubérance qui déformait le devant du short :
— Oh, mon Dieu !… Te voilà bien excité !…
Pressant avec émotion la saillie qui déformait le devant du short, Muriel demeura quelque peu étonnée en constatant la longueur surprenante du jeune membre viril en érection. Certes, au fil des amants qu’elle avait eus, elle en avait tenu en main des queues masculines ; des longues et des petites, des grosses et des menues, mais celle qu’elle devinait sous sa paume l’intriguait de par sa longueur par rapport à l’âge de son propriétaire.
Sous le frôlement de son sexe tendu, Jérémy ressentit une crispation dans tout le bas-ventre. L’excitation dont il était l’objet, depuis l’instant où la patronne de l’auberge l’avait incité à la caresser à l’intérieur de l’automobile qui les menait à Moutiers, était à son comble. Les couilles douloureusement gonflées, l’adolescent n’avait qu’une envie : jouir le plus vite possible afin d’atténuer cette souffrance qui lui torturait l’appareil génital. Aussi quand Muriel s’attaqua aux boutons de son short, les dégrafant avec précipitation, Jérémy s’immobilisa, impatient.
Désirant fortement contempler ce jeune sexe masculin qu’elle avait perçu sous le tissu du short, Muriel, ne se souciant pas d’avoir l’autorisation de l’adolescent, entreprit de repousser le vêtement sous lequel se dissimulait l’objet de ses désirs. Elle eut un peu plus de mal avec le slip, celui-ci s’accrochant au pal de chair dressé. Quand enfin, elle réussit à repousser le vêtement intime récalcitrant, elle s’immobilisa, le regard rivé sur l’organe sexuel qu’elle découvrait :
— Dieu du ciel, s’exclama-t-elle !… Quel goupillon !…
Comme tétanisée par sa découverte, Muriel demeura un long moment à contempler la jeune queue, qui, dressée de toute sa morgue, semblait la fixer de son œil unique. Presque timidement, contrairement à ses habitudes, elle avança une main pour se saisir de l’engin sexuel qui semblait osciller depuis sa base. C’est avec une réelle émotion qu’elle referma ses doigts autour de la colonne de chair, la pressant contre sa paume.
— C’est pas possible, s’interrogea-t-elle !… Tu es monté comme le mulet de Jules…
Jérémy crut entendre sa grand-mère le jour où elle avait découvert son érection. Mais si ce jour-là, il en avait ressenti une certaine fierté, présentement le désir qui lui gonflait les couilles le perturbait trop. Comme la main féminine qui enserrait sa queue demeurait immobile, il tenta de la forcer à le branler en agitant doucement ses hanches, en une invite sexuelle.
Comprenant le désir pressant de son jeune partenaire, Muriel décida qu’elle ne pouvait laisser l’adolescent avec une telle érection ; elle se devait de le calmer. Après tout, elle lui devait bien ça. Ne serait-ce que pour le récompenser du plaisir qu’il lui avait fait connaître. S’extirpant de son fauteuil, elle se laissa tomber à genoux aux pieds de Jérémy. Puisque ce dernier l’avait fait jouir à l’aide de sa bouche et de sa langue, elle allait faire de même. Vu sa position agenouillée, la merveilleuse bite se trouvait à hauteur de son visage, et tel le cyclope « Polyphème », elle la fixait de son œil unique. Refermant ses doigts à la base du pal de chair afin de le maintenir en position horizontale, elle entreprit de lécher le gland velouté. Devenue experte dans la fellation, vu le nombre de queues qu’elle avait sucées, Muriel s’ingénia à laisser courir sa langue sous la collerette du méat. Sachant par expérience, combien cet attouchement attisait les terminaisons nerveuses du gland, elle persévéra dans cet attouchement.
Jérémy dont l’excitation était déjà à son comble, le plaisir lui torturant le bas-ventre succomba à ce plaisir nouveau. Saisissant la longue chevelure rousse des deux mains il tira la tête de Muriel à lui, dans le but de faire comprendre à la sensuelle femme qu’il espérait une autre caresse.
A cette invite, Muriel comprit le désir de son jeune partenaire. Aussi n’hésita-t-elle pas à écarter ses lèvres pour aspirer le gland gonflé à l’intérieur de sa bouche largement humectée de sa salive. Maintenant toujours la verge tendue en position horizontale, elle entreprit alors de sucer le bourgeon de chair dilaté par le désir. Dans le but de procurer un maximum de plaisir à son jeune compagnon, elle se concentra pour que ses lèvres, dans leur reptation, n’aillent pas plus loin que la couronne du gland. Ce qui lui permettait d’exciter de sa langue, le dôme turgescent enfoui dans sa bouche.
Sous cette caresse affolante pour ses sens perturbés, Jérémy, dont l’excitation était à son comble, tenta désespérément de contenir cette montée du plaisir qu’il sentait poindre au plus profond de ses entrailles. Comme sa grand-mère lui avait conseillé, il essaya de se polariser sur un sujet grave qui chasserait et de son esprit et de son corps, cette intense excitation. Mais malgré tous ses efforts, Jérémy ne pouvait expulser ce désir impérieux qui lui ôtait toute volonté. Aussi, comme Muriel s’ingéniait à ne lui sucer que le gland, il lui agrippa la tête à deux mains et dans un geste impatient, il l’attira à lui pour une fellation complète.
Surprise, ne s’attendant pas à une telle réaction de la part de l’adolescent, Muriel se retrouva avec pratiquement la totalité de la verge à l’intérieur de la bouche, le gland volumineux venant lui heurter le larynx. Avant qu’elle ne réussisse à se soustraire à cet engorgement qui l’étranglait, un flot au goût épicé lui emplit la gorge, la forçant à avaler précipitamment pour ne pas s’étouffer.
Malgré sa volonté de contrôler la montée, du plaisir, Jérémy trop excité, ne put retenir l’orgasme libérateur. Dans une contraction de tout son corps, la jouissance le tétanisa. Véritable lance à incendie, sa verge expulsa sa semence virile par longues giclées répétées. Les doigts crochetés dans la longue crinière rousse de sa partenaire, l’adolescent jouit longuement, se vidant les bourses de son trop-plein de sperme accumulé depuis son départ de la ferme de ses grands-parents. Lorsqu’enfin sa source intime se fut tarie, que son gland ne laissa perler que quelques gouttes de sa semence, Jérémy se décida alors à relâcher la tête de sa sensuelle partenaire.
Libérée, Muriel recracha délicatement la longue bite qui venait de l’abreuver de sa liqueur séminale. La bouche encore imprégnée de sperme, elle récupéra de sa langue, l’ultime goutte qui suintait du méat.
— Hum ! Quelle quantité, s’exclama-t-elle !… Tu avais une sacrée réserve !…
Comme Jérémy demeurait muet, Muriel leva son regard en direction du visage de l’adolescent : celui-ci fixait le sol, l’air désemparé, alors qu’il aurait dû resplendir de joie. En femme avisée, Muriel comprit que le jeune homme devait se sentir fautif d’avoir déchargé ainsi dans sa bouche et craignait peut-être un reproche. Aussi s’empressa-t-elle de le réconforter :
— Je me suis régalée. J’ai adoré recevoir ton sperme au fond de la gorge, même si j’ai bien cru m’étrangler tellement il y en avait… Et toi ? Tu as aimé jouir dans ma bouche ? C’était bon ?
Soudain rassuré, Jérémy osa affronter le regard de celle qu’il avait si copieusement abreuvée de sa semence. Si sa grand-mère avait toujours accepté qu’il décharge sa liqueur intime au plus profond de sa bouche, il avait craint que Muriel ne lui en tienne rigueur. Aussi réconforté, il sentit la confiance revenir en lui.
Muriel, dont les genoux commençaient à devenir douloureux, se redressa, s’agrippant au passage aux cuisses musclées de son jeune partenaire.
— Tu ne veux pas boire quelque chose pour te remettre de tes émotions, demanda-t-elle. Moi je prendrais bien un Porto pour me rincer la bouche.
Sans attendre la réponse de Jérémy, Muriel alla quérir une bouteille et deux verres dans un meuble bas, servant de bar.
— Assieds-toi ! proposa-t-elle à l’adolescent.
Jérémy, dont le short lui entravait les chevilles, accéda à la prière de la femme, en s’installant dans le fauteuil directorial, le bas-ventre dénudé, tel que l’avait laissé cette dernière après l’avoir fait jouir.
Les verres à demi remplis, après avoir offert le sien à son jeune partenaire, Muriel s’assit aux pieds de celui-ci, à même l’épais tapis, pour déguster son Porto. Tout en sirotant le liquide à la couleur ambré, Muriel s’adressa à Jérémy :
— Ça va mieux ?…
— Oui, s’empressa de répondre Jérémy, heureux de partager ce moment intime avec son égérie.
Mais comme Muriel allait poser la question de savoir comment Jérémy avait appris à pratiquer ce baiser si voluptueux qui l’avait amené à la jouissance, son regard accrocha la virilité de l’adolescent. La longue verge formait un angle de quarante-cinq degrés par rapport au pubis glabre. Certes, elle ne pouvait affirmer que Jérémy se trouvait en érection, mais la semi-raideur du membre prouvait que malgré sa récente éjaculation, l’adolescent n’avait pas complètement débandé. Cette constatation repoussa à plus tard la question qui lui tenait à cœur. De tous les amants qu’elle avait eus, aucun ne restait en érection après une fellation. Et pourtant, tous ces hommes qu’elle avait si habilement fait jouir dans sa bouche étaient tous dans la force de l’âge. Or présentement, ce qu’elle découvrait de la part d’un adolescent de quinze ans la stupéfiait. Saisissant la queue juvénile entre ses doigts, elle la pressa tendrement :
— C’est pas possible !… Tu n’es pas calmé ?…
Aussi étonné que sa partenaire, Jérémy fut bien incapable d’expliquer ce qu’il ressentait : jamais il n’avait connu un désir aussi intense. Même avec sa grand-mère : lorsqu’il avait déchargé sa semence, son membre perdait rapidement sa raideur. Or malgré l’intense orgasme qui l’avait fait longuement jouir quelques minutes auparavant, et qui aurait dû calmer ses ardeurs sexuelles, il ressentait toujours un appétit charnel pour la sensuelle rousse. Aussi quand cette dernière empoigna sa queue, un frisson de plaisir lui parcourut le bas-ventre se répercutant le long de sa verge, qui fut agitée de frémissements.
Muriel, qui avait refermé sa main autour de la colonne de chair, ressentit un immense bonheur en percevant contre sa paume les tressaillements du membre, annonciateur d’une nouvelle érection. Heureuse à la pensée que son jeune partenaire allait se retrouver en état de la combler sexuellement, elle entreprit d’accélérer l’érection en massant vivement la verge convoitée. L’humidité qui n’avait cessé d’imbiber sa vulve depuis les attouchements de l’adolescent lors de leur trajet en voiture redoubla d’intensité. Instinctivement, elle resserra ses cuisses l’une contre l’autre, pressant sa vulve, comme pour en freiner l’écoulement.
Le regard fixé sur le magnifique visage aux yeux émeraude, Jérémy ne tarda pas à se trouver de nouveau en proie à une fabuleuse érection. Entre les doigts experts de la femme, sa virilité avait retrouvé sa forme optimale pour une nouvelle joute sexuelle.
Jugeant que l’organe qu’elle massait avec passion avait atteint la raideur désirée pour accomplir ce qu’elle attendait de lui, Muriel relâcha le jeune sexe masculin érigé, véritable pal de chair, prêt à faire son office. Satisfaite du résultat obtenu, elle se redressa impatiente de sentir ce long membre viril s’enfoncer dans son sexe. Retroussant vivement sa jupe jusqu’à la taille, elle dévoila avec une émotion tout érotique son bas-ventre dénudé à l’adolescent extasié.
Devant le spectacle que Muriel lui offrait, Jérémy ressentit une bouffée de chaleur lui envahir tout le corps. Son regard se polarisa sur le ventre étonnamment plat au bas duquel se détachait une mince bande de poils couleur feu, qui tranchait sur la blancheur de la peau du pubis. La toison rousse se terminait en une pointe au niveau de l’entrecuisse, comme pour signaler le chemin menant à cette grotte charnelle, lieu de toutes les voluptés. Pour Jérémy, qui ne connaissait de la femme que le corps dodu de sa grand-mère, ce que lui révélait Muriel lui parut comme le summum de la beauté féminine.
Emue devant l’admiration avec laquelle Jérémy la contemplait, Muriel ressentit une énorme tendresse pour son jeune compagnon. Ce qui ne fit que renforcer son désir de lui faire connaître ce plaisir qu’une femme experte dans l’art de l’amour pouvait lui donner. S’avançant alors, les jambes bien écartées, elle enjamba l’adolescent qui continuait à la fixer avec adoration. Se saisissant du membre viril dressé de ses doigts, elle le maintint en position verticale, le temps de placer correctement sa vulve humide au-dessus du gland dilaté :
— Ton petit oiseau va gentiment rentrer dans son nid, annonça-t-elle…
N’attendant pas de réponse de son jeune partenaire, Muriel, les mains agrippées aux épaules de son jeune amant, plia lentement les genoux, afin de s’empaler posément sur la colonne de chair érigée. Elle éprouvait toujours une intense volupté à sentir le mufle dilaté de l’organe masculin se frayer un passage à l’intérieur de sa chatte, repousser les chairs gorgées de suc pour atteindre le fond de son vagin. Là, une fois confortablement assise sur les cuisses de Jérémy, le long dard masculin planté dans son ventre, Muriel laissa échapper un gémissement de plaisir :
— Hummm… Comme tu es long !… Je te sens bien au fond de mon ventre… Tu le sens toi aussi ?
Jérémy ne fut pas spécialement étonné de percevoir une chaleur torride envelopper sa verge. Les nombreux rapports érotiques qu’il avait eus avec sa grand-mère l’avaient habitué à cette sensation étrange. Mais lorsque Muriel, dans un lent déhanchement, entama sa chevauchée sexuelle, le massage de sa bite par les chairs chaudes et humides de la vulve accueillante lui procura immédiatement un sensuel plaisir. A chaque retombée de Muriel sur ses cuisses, il lui semblait que son gland plongeait dans une fournaise intense. La chatte de Muriel lui parut plus incandescente que celle de sa grand-mère, dans laquelle il avait connu les premières chaleurs. Toujours accrochée à ses épaules, la tête rejetée en arrière, sa longue crinière rousse lui faisant comme une étole royale, Muriel déclamait son plaisir d’une voix rauque :
— Oh oui !… Je me régale !… Par tous les saints du Paradis, c’est divin… Ton goupillon me remplit la minette…
Ce langage sur connotation religieuse surprit énormément Jérémy ; il découvrait là une variété de langage amoureux surprenant. Décidément les femmes avaient une façon bien à elles pour exprimer leurs plaisirs.
Chaque fois qu’elle se laissait retomber sur les cuisses de son jeune partenaire, Muriel sentait avec un plaisir extrême le dôme gonflé du membre viril se frayer son chemin dans sa vulve, tel un bélier défonçant tout sur son passage. Chaque choc du gland contre le fond de son vagin provoquait dans son bas-ventre une onde de volupté qui se répercutait jusque dans ses mamelons. Comme un courant électrique, ces ondes sensuelles se diffusaient dans sa colonne vertébrale, la faisant se cambrer de félicité.
Jérémy, qui percevait une chaude humidité engluer la base de la verge, et lui humecter les couilles, comprit combien sa partenaire se régalait à se pistonner ainsi sur sa queue. Un sentiment de fierté l’envahit, même s’il ne se montrait pas actif ; Muriel faisant tout le travail. Mais ce côté passif lui permettait de fixer avec désir les bosses proéminentes qui déformaient le débardeur de sa partenaire. Celles-ci malgré les mouvements saccadés de leur propriétaire, demeuraient étonnamment stables. Ce détail l’intriguait. Aussi, prenant de l’assurance au fil des gémissements de plus en plus prononcés de sa cavalière, il osa empoigner les alléchantes proéminences. Comme Muriel n’opposa aucune résistance à son initiative, Jérémy pressa avec émotion les deux masses mammaires tachant d’en évaluer le volume.
Flottant déjà dans un bien-être voluptueux, Muriel, sous l’attouchement de ses seins, laissa échapper un gémissement où se mêlaient désir et impatience. Sans cesser sa voluptueuse chevauchée, elle gonfla sa poitrine, faisant saillir sa fière poitrine aux mamelons douloureusement gonflés.
Prenant cette réaction pour un encouragement, Jérémy agrippa le bas du débardeur qu’il retroussa, dénudant le torse de sa complice. La poitrine tant convoitée lui apparut alors sanglée dans un enchanteur soutien-gorge rouge, ajouré, et dont les balconnets de dentelles laissaient apparaître la partie supérieure des deux dômes blancs. Comme Muriel occupée à se procurer du plaisir en s’empalant sur sa verge ne tentait pas de se soustraire à ses attouchements, Jérémy se sentant en confiance glissa ses mains dans le dos de sa cavalière à la recherche de l’agrafe du sous-vêtement. Malgré son manque d’expérience dans ce domaine, il réussit quand même à dégrafer l’attache, libérant les deux seins fermes et gonflés que l’excitation rendait agressifs. Devant le spectacle de ces merveilleux fruits à la chair blanche, Jérémy, subjugué, avala péniblement sa salive.
Lui qui n’avait connu que les lourdes et plantureuses mamelles aux gros bouts foncés, de sa grand-mère, restait médusé par ce qu’il découvrait. Les seins de sa sensuelle partenaire, nettement moins gros que ceux de Louise, mais nettement plus fermes, étaient étonnamment pointus ; ils ressemblaient à deux obus de chair. Au centre de leurs aréoles de rose tendre, deux tétons arrogants se dressaient telles deux petites bites. Ne pouvant résister au désir de se saisir de ces deux merveilleux fruits de chair, Jérémy les empauma avec passion. Le cœur battant, il les pressa doucement, presque religieusement. Puis, fasciné par la douceur soyeuse de la chair, qu’il percevait sous ses doigts, l’envie d’y goûter le prit. Se penchant sur les douces mamelles qu’il cajolait, il referma ses lèvres autour des mamelons bouffis qu’il aspira avec volupté. Retrouvant ses instincts de nourrisson, Jérémy commença à téter la mamelle gonflée, éprouvant un plaisir diffus, comme retrouvé après une longue inactivité.
Muriel, qui depuis quelques secondes percevait dans ses entrailles des convulsions voluptueuses, prémices de l’orgasme qui la gagnait, ressentit un véritable choc sexuel lorsque Jérémy s’empara de son sein pour le sucer. Ce contact terriblement excitant fut comme le déclencheur de l’euphorie qui la gagnait. La jouissance la surprit alors qu’elle venait de retomber sur la longue bite de son jeune partenaire. Le gland frappa durement le fond de son vagin, provoquant dans tout son corps une onde dévastatrice qui la fit pousser un long feulement a****l. Le bas-ventre alors secoué de spasmes incontrôlables, Muriel s’écroula contre le torse de son jeune amant ébahi.
Jérémy, la queue toujours aussi raide et bien plantée dans le ventre de sa partenaire haletante, n’osait bouger afin de ne pas rompre cet instant de tendre communion. Comme Muriel affalée sur son torse l’empêchait de téter les seins arrogants, Jérémy, ne sachant quoi faire, se souvint d’un désir que la femme lui avait avoué quelques instants plus tôt. Certain que Muriel aimerait ça, il s’empressa de lui empoigner les fesses à pleines mains, et tel un boulanger pétrissant sa pâte, il entreprit de malaxer les rondeurs jumelles, les modelant à sa guise avec une réelle ferveur. Tout en s’ingéniant à procurer du plaisir à sa partenaire toujours plantée sur son dard, Jérémy éprouvait une véritable félicité à presser les chairs fermes et veloutées de la croupe féminine. Le faible gémissement que Muriel laissa échapper lui prouva combien cette dernière appréciait ses attouchements, pratiqués à sa croupe tendue par la position.
— Hummm… Oui c’est ça… Continue… J’adore…
Les douces caresses pratiquées par l’adolescent à l’encontre de ses fesses, zones particulièrement érogènes, ramenèrent doucement Muriel à la réalité. Sans pour autant changer de position, elle analysa lentement la situation. Tout en se laissant envahir par le délicieux plaisir que lui prodiguait le massage de son derrière, elle prit conscience soudain du membre viril long et gonflé qui lui emplissait le sexe. Ainsi Jérémy se trouvait toujours en érection. Un sentiment de culpabilité la saisit. Elle s’était montrée égoïste, ne pensant qu’a son propre plaisir alors que l’adolescent avait dû surement espéré autre chose de sa part.
— Mon Dieu, murmura-t-elle !… Mon pauvre chéri, tu es toujours aussi raide !… Excuse-moi, je vais ratt****r ça !
Comme elle s’apprêtait à reprendre sa chevauchée érotique, Muriel songea soudain à une particularité sexuelle qu’elle exerçait avec chacun de ses amants.
« Cette particularité lui avait été enseignée par une de ses employées d’origine marocaine. Dans sa famille, lui avait avoué cette dernière, cette spécialité se transmettait de mère en fille, et cela depuis la nuit des temps. Autour d’un thé à la menthe Amina, tel était son prénom, lui avait détaillé ce secret familial. Il s’agissait de procurer du plaisir à un homme en se servant uniquement des muscles de son sexe. Longuement, Amina lui avait expliqué que pour arriver à ce résultat, il suffisait de contracter et relâcher les muscles de son vagin afin de presser le membre viril enfoui en elle. »
« Intéressée par tout ce qui touchait au sexe, Muriel, dans les jours qui suivirent les confidences d’Amina, profita des moments où elle se trouvait seule dans son bureau, confortablement installée dans son fauteuil, pour forcer son vagin à se contracter. Même lorsqu’elle allait uriner, elle forçait ses organes intimes à se plier à cet exercice. Amina, lui avait affirmé qu’elle serait prête, le jour où elle pourrait se déplacer, un objet planté dans la chatte. L’occasion se présenta lors d’une visite aux cuisines de l’établissement. Sur un plat étaient disposées une vingtaine de carottes, épluchées et lavées. Comme personne ne faisait attention à elle, Muriel déroba prestement la plus longue. Vite revenue dans son bureau, qu’elle s’empressa de fermer à clé, elle entreprit de se débarrasser de sa culotte. Alors, les jambes largement écartées, le cœur battant, elle présenta le bout arrondi de la carotte contre les lèvres de sa vulve. Lentement, elle poussa le légume à l’intérieur de sa chatte jusqu’à ce que les trois quarts soient enfoncés dans son sexe. Alors, mettant en pratique les instructions d’Amina, elle força les muscles de son vagin à se resserrer autour du godemiché végétal. Ouvrant ses doigts qui maintenaient la carotte, elle éprouva un vif plaisir en constatant que cette dernière demeurait plantée en elle, maintenue par ses muscles intimes. Heureuse du résultat obtenu au bout seulement de deux semaines d’intenses exercices, Muriel entreprit de faire le tour du bureau d’une démarche hésitante. Le long légume demeura en place pendant tout le temps de sa marche. »
« Amina lui avait avoué qu’elle réussissait à écraser une banane à l’aide de ses muscles intimes. Muriel n’en était pas encore là, mais le résultat obtenu la contentait. Plus tard, lorsqu’elle mit à exécution pour la première fois les performances de son vagin sur son amant du moment, celui-ci sous le coup de la surprise avait lâché sa semence en la fixant d’un regard insensé. Ce regard l’avait comblé de satisfaction. »
Présentement, fichée sur la verge toujours aussi raide de son jeune partenaire, Muriel décida de mettre en œuvre cette particularité sexuelle qu’elle avait patiemment travaillée, curieuse de voir comment l’adolescent allait réagir.
Se redressant, afin de fixer le visage de Jérémy, Muriel força alors ses muscles intimes à s’activer. Se contractant, ceux-ci pressèrent le gland enfoui au plus profond du vagin, pour aussitôt se relâcher, libérant le dôme de chair. Liberté très courte, car de nouveau Muriel força les muscles de son vagin à compresser le bourgeon de chair planté au plus profond de son sexe, pour immédiatement les forcer à se détendre. Surveillant sur le visage de sa jeune victime les effets de son manège érotique, elle continua sa manœuvre sexuelle, alternant les pressions et les relâchements de ses muscles intimes.
Jérémy qui se faisait une joie à l’idée que sa sensuelle cavalière allait enfin reprendre sa chevauchée sexuelle ; qu’elle allait poursuivre son trot érotique, demeura surpris par l’impression de forte pression autour de son gland. Avant qu’il tente d’analyser à quoi correspondait ce pressage, sa verge retrouva sa liberté, mais pour aussitôt être de nouveau compressée, puis de nouveau libérée puis comprimée…. Le moment d’étonnement passé, Jérémy réalisa que les pressions lui procuraient un étrange plaisir. C’était comme si son gland était sucé par le sexe brulant de sa partenaire, alors que celle-ci demeurait immobile, fichée sur sa queue.
Le regard fixé sur le visage de son jeune amant, Muriel, y découvrit très vite les émotions que ce dernier éprouvait. Le regard de Jérémy refléta d’abord une certaine surprise, puis peu à peu sa physionomie se figea sous l’effet d’un intense plaisir. La bouche entrouverte sur une respiration saccadée, Jérémy la fixa, les yeux brillant d’un éclat qu’elle reconnut pour l’avoir maintes fois découvert chez ses nombreux amants.
— Tu aimes, murmura-t-elle, consciente des effets dévastateurs de son vagin animé ?
La réponse de Jérémy se résuma en un grognement a****l, tant le plaisir insensé qu’il ressentait lui interdisait tout échange. La succion de son gland par la chatte dans laquelle son membre était enfoui devenait de plus en plus voluptueuse. Jamais il n’avait connu pareille sensation lors de ses relations sexuelles avec sa grand-mère. Le sexe de Muriel ne se contentait pas de le sucer, mais Jérémy avait l’impression qu’il le tétait, le pompait, comme s’il voulait extraire le liquide séminal de ses bourses gonflées. Le vagin de sa sensuelle partenaire se comportait comme une bouche vorace. Lorsqu’il sentit la jouissance envahir ses entrailles, Jérémy ne put retenir l’orgasme qui le fit se cambrer violemment. Sa verge explosa en un véritable feu d’artifice. De son gland tressautant son sperme jaillit tel un geyser, aspergeant copieusement le vagin dilaté de Muriel empalée sur son dard crachant sa semence.
Comme ses muscles intimes pressaient fortement le gland de l’adolescent au moment où celui-ci éjaculait, Muriel ressentit avec ivresse les soubresauts de la verge enfouie en elle. Les jets de sperme frappant les parois de son vagin lui apportèrent un plaisir immense. Jérémy avait résisté plus longtemps qu’elle ne l’avait prévu à ses pressions vaginales. Attendant que son jeune amant reprenne ses esprits, Muriel demeura immobile, embrochée sur le membre viril qu’elle sentait perdre peu à peu de sa raideur, entre les parois de sa vulve. Lorsqu’enfin Jérémy refit surface, elle s’empressa de l’interroger :
— Ça va mieux ?… C’était bon ?…
Les yeux pleins d’étoiles, Jérémy demeura incapable de répondre. Jamais il n’avait connu une pareille sensation lors des rapports sexuels partagés avec sa grand-mère.
— Je crois que nous avons besoin d’un brin de toilette tous les deux, décida Muriel en se redressant, libérant enfin la verge ramollie.
Mais à peine debout, les cuisses écartées, elle s’empressa de placer sa main droite contre sa vulve :
— Sainte Mère de Dieu, s’exclama-t-elle !… Tu m’as inondé le bénitier…
Jérémy s’étonna de nouveau du langage de sa sensuelle partenaire où le sexe et la religion se confondaient sans que cela n’offusque celle qui s’y adonnait.
La paume plaquée à sa vulve ruisselante de sperme, Muriel se dirigea d’une démarche de canard en direction d’un lavabo qui se trouvait dans un coin du bureau. Jambes écartées, elle entreprit alors de faire un brin de toilette intime, fourrageant au plus profond de son vagin à l’aide de son index et son majeur accolés. Après avoir longuement fouillé les chairs intimes de son sexe, récupérant le maximum de la semence de son jeune amant, elle interpella ce dernier :
— A ton tour !… Viens faire un brin de toilette !…
Jérémy qui avait éprouvé un véritable plaisir à suivre les ablutions de sa partenaire quitta son fauteuil pour la rejoindre, le short et le slip sur les chevilles. Comme il s’apprêtait à se saisir du gant de toilette qui avait servi quelques instants auparavant à Muriel, celle-ci l’interrompit :
— Non !… Laisse-moi faire…
S’attendant à ce que Muriel lui savonne le sexe, ainsi qu’elle l’avait fait pour elle-même, Jérémy demeura confondu lorsque cette dernière s’agenouilla à ses pieds. Délicatement elle se saisit de son membre qu’elle décalotta.
— Hum, mon adorable petit Jésus, murmura-t-elle… Que tu sois béni pour le plaisir que tu m’as donné…
Approchant sa bouche du gland encore luisant des sécrétions vaginales, Muriel entreprit de le nettoyer à l’aide de sa langue, le léchant longuement, insistant particulièrement sous la couronne.
— Pouah !… C’est salé, plaisanta-t-elle !
Prise d’un désir pervers, Muriel tenta d’infiltrer sa langue dans l’ouverture du méat urétral afin de le récurer. Lorsque jugeant enfin le dôme ramolli suffisamment propre, elle aspira la totalité de la verge amorphe dans sa bouche, et s’inspirant d’une fellation, elle la lécha consciencieusement.
La surprise initiale passée, Jérémy se prêta de bonne grâce au troublant nettoyage de son sexe, y éprouvant même un certain plaisir. Jamais Louise, sa grand-mère, malgré sa volonté de l’initier aux divers plaisirs érotiques, ne lui avait prodigué une si agréable caresse.
Tout à son travail de nettoyage, Muriel, qui avait saisi les bourses entre ses doigts, perçut entre ses lèvres une légère palpitation du membre. D’abord surprise, elle comprit immédiatement que Jérémy éprouvait de nouveau un début de désir. Désir qui allait très vite se transformer en érection si elle continuait sa prestation. Malgré l’envie qu’elle en avait de sentir une nouvelle fois la verge juvénile s’enfoncer dans sa chatte, elle réalisa que le travail qui l’attendait à l’auberge l’en empêchait. Aussi, ne désirant pas amener Jérémy à cette érection qu’elle devinait, elle recracha vivement la verge frémissante.
— Voilà, décida-t-elle !… Tu es propre comme un sou neuf !… Tu peux te rhabiller.
Avec un sentiment de regret, elle suivit les mouvements de Jérémy lorsque celui-ci réajusta son slip lui masquant ce merveilleux membre qui lui avait donné tant de plaisir.
— Bon que dirais-tu de donner un coup de main à Alfredo, demanda-t-elle ? Bien sûr, tu seras rémunéré.
Bien que déçu de ne pas rester en compagnie de sa séduisante amante, l’idée de recevoir de l’argent le poussa à accepter la demande que Muriel lui proposait.
— Tu ne le regretteras pas, le réconforta celle-ci… Je serais généreuse.
Cinq minutes plus tard, ils rejoignirent la cave de l’auberge où ils retrouvèrent Alfredo.
— Alfredo, je te présente Jérémy, qui a bien voulu venir nous aider pour la journée… J’ai pensé qu’il pourrait te donner un coup de main.
— Ce n’est pas de refus, acquiesça l’Espagnole, il pourra m’aider à finir l’inventaire des vins que me réclame le patron.
— Bon alors je vous laisse, je passerais plus tard pour voir où vous en êtes !
Muriel partie, Alfredo dirigea son jeune apprenti, le guidant jusqu’aux rayons des vins fins. Là, il lui expliqua ce qu’il attendait de lui :
— Tu vas grimper à l’échelle et me donner les noms et les années des crus des bouteilles du haut. Je les noterais sur les fiches. *
S’imaginant de ce qu’il ferait de l’argent qu’il allait recevoir, Jérémy escalada souplement les cinq premiers barreaux de l’échelle de bois l’amenant à hauteur des derniers casiers. Retirant délicatement les bouteilles, il énonça les crus et les années de vendange à Alfredo placé au bas de l’échelle.
L’inventaire durait depuis dix minutes, lorsqu’Alfredo n’ayant pas compris les données émises par Jérémy leva la tête pour les lui faire répéter. Son regard s’arrêta alors sur le derrière de l’adolescent qu’il contempla avec admiration. Du fait de sa position sur l’échelle, Jérémy se trouvait légèrement cambré, et son short se plaquait si étroitement sur ses hanches, qu’il mettait en évidence ses fesses rondes.
Bisexuel, Alfredo ne put rester indifférent au spectacle que lui offrait l’adolescent, à son insu. Bien qu’ayant eu de nombreuses aventures sexuelles, aussi bien masculines que féminines, jamais encore il n’avait eu l’occasion d’approcher un adolescent. Fixant la chute de reins du garçon, Alfredo tenta de s’imaginer à quoi pouvaient ressembler les fesses que le short laissait deviner. Elles devaient être extrêmement fermes, songea-t-il, et douces à caresser. Poussé par un désir soudain qu’il ne réussit à contrôler, il posa une main sur
le mollet de son jeune compagnon. La fermeté de la chair attisa son désir.
— Tu fais du sport, questionna-t-il, plus pour chasser le trouble qui subitement l’habitait, que par curiosité ?
— Oui, je fais du foot, dans un club à Lyon. Plus tard, je voudrais rejoindre l’OL, s’empressa de répondre Jérémy, que la main remontant doucement le long de son mollet perturbait.
D’agréables frissons lui parcoururent la jambe. Mais lorsque la main, dans sa progression, dépassa son genou et atteignit l’arrière et l’intérieur de sa cuisse, des frémissements se propagèrent à l’intérieur de son bas-ventre. C’était la première fois qu’il se retrouvait ainsi confronté aux attouchements d’un individu de son sexe et étrangement il en ressentit un plaisir identique à celui qu’il éprouvait lorsque Louise le caressait en prélude à leurs joutes amoureuses.
Ne sachant trop comment s’y prendre avec un adolescent, Alfredo décida qu’il devait établir une sorte de dialogue. Aussi il choisit d’interroger Jérémy sur ses relations avec la patronne de l’auberge :
— Comment tu trouves la patronne ?
— Eh… Euh, bégaya Jérémy, ne sachant trop quoi répondre.
— Tu ne la trouves pas jolie ?… Très désirable, insista Alfredo s’excitant lui-même, à vouloir stimuler l’adolescent.
— Oh si !
— Eh tu sais, je vais te faire une confidence !… La patronne elle aime bien les hommes, surtout les jeunes comme toi… Méfie-toi d’elle, elle serait bien capable de vouloir t’attirer dans son lit !
Ayant été l’amant de sa patronne quelque temps, Alfredo connaissait très bien les pulsions sexuelles de cette dernière. Il savait pertinemment que l’âge de Jérémy ne retiendrait pas Muriel, si celle-ci décidait d’épingler l’adolescent à son tableau de chasse.
— Euh…, tenta de répondre Jérémy, sentant son visage s’empourprer soudain en se remémorant les instants passés avec la patronne de l’auberge quelques instants plus tôt.
Tout en dialoguant avec son jeune compagnon, Alfredo réussit à glisser sa main par l’ouverture de la jambe du short. Le corps parcouru par un frémissement incontrôlable, il avança ses doigts le long de la cuisse nue.
Sous cet attouchement inattendu, mais qu’au fond de lui il espérait, Jérémy ressentit une bouffée de plaisir lui parcourir les entrailles. Bien que conscient qu’il aurait dû repousser ce frôlement ! Qu’il ne pouvait accepter cette caresse ! Les frémissements de plaisir que lui prodiguait cette main lui ôtaient toute volonté. Tremblant sur le barreau de l’échelle où il était en équilibre, il dut se cramponner solidement lorsque les doigts de son compagnon vinrent frôler son sexe à travers son slip.
Lorsque ses doigts effleurèrent la bosse significative de l’émoi de l’adolescent, Alfredo se laissa alors emporter par ses instincts sexuels embrasés. Sans plus réfléchir à ce que sa décision avait d’inconvenant, il referma sa main autour de la forme allongée qui distendait le slip, éprouvant un désir insensé.
— C’est la patronne qui t’excite comme ça, interrogea-t-il vicieusement.
Lorsqu’Alfredo s’était exprimé au sujet de Muriel, Jérémy avait revécu les moments passés en compagnie de la patronne de l’auberge. A ces évocations, ses jeunes sens s’étaient subitement ravivés, suscitant une vigoureuse érection de son membre viril. Lorsque les doigts de l’espagnol se refermèrent autour de sa queue érigée, un désir pervers s’empara de lui. De toute sa volonté il aspira à ce que son compagnon le branle ! Il était par trop excité pour repousser cette caresse, même s’il elle lui était faite par un individu de son propre sexe !… Quand Alfredo, après avoir déboutonné son short, entreprit de baisser son slip, Jérémy, le cœur battant, ne tenta pas le moindre mouvement de défense pour empêcher la main lubrique de se saisir de sa verge tendue. Un long frisson de désir lui tétanisa le bas-ventre.
Refermant ses doigts autour du jeune pal érigé, Alfredo éprouva une réelle admiration pour la longueur étonnante de la jeune verge. L’adolescent avait été gâté par la nature, reconnut-il. Si jamais Muriel venait à découvrir cette spécificité, elle n’allait certainement pas laisser partir le jeune homme aussi facilement. Mais présentement, le sexe convoité se trouvait dans sa main et il comptait bien en profiter avant que sa sensuelle patronne ne l’accapare.
Doucement, comme il l’aurait fait avec un a****l effarouché, Alfredo laissa ses doigts frôler la jeune verge tendue, dans un effleurement ténu. Mais ce simple attouchement, si léger fût-il, déclencha une vive érection : dans son slip, son membre se retrouva instantanément à l’étroit.
Les nerfs à vif, le corps tendu, le bas-ventre crispé, si Jérémy apprécia la douce caresse, il en attendit impatiemment le moment où Alfredo se saisirait de son membre dilaté et le branlerait véritablement.
Comme s’il avait lu dans les pensées de Jérémy, Alfredo referma ses doigts autour de l’étonnant pénis juvénile et lentement, avec douceur il commença à masturber l’adolescent immobile sur son échelle.
Dans le silence de la cave, seulement troublé par les respirations saccadées des deux protagonistes, une scène des plus érotiques se déroula sous le regard indifférent de quelques araignées. Perché sur le troisième barreau de l’échelle en bois, Jérémy, le short et le slip baissés, le bas-ventre dénudé d’où s’érigeait son sexe tendu, se laissait complaisamment branler par le jeune espagnol. Du fait de sa position élevée, sa verge se trouvait à la hauteur du visage de son partenaire.
Masturbant avec énormément de douceur la jeune bite, Alfredo ne pouvait détacher son regard du gland qui peu à peu devenait pourpre sous le désir. Afin de ne pas effaroucher l’adolescent, il réfréna l’envie qu’il avait d’aspirer le bourgeon dilaté.
Quand un gémissement de plaisir s’échappa des lèvres de Jérémy et troubla le silence de la cave, Alfredo se sentit soulagé. L’adolescent avait, non seulement, accepté ses privautés, mais, par ce soupir prolongé, lui avouait son approbation. N’ayant plus alors à s’inquiéter Alfredo affirma sa masturbation ; repoussant la peau mobile du prépuce, il massa la collerette du gland congestionné à l’aide de ses doigts. Mais le fait de branler la jeune verge vigoureuse déclenchant les soupirs langoureux de son propriétaire ne fit qu’accroitre son propre désir. Dans son slip, sa virilité se trouvait dans un état tel, que le besoin de la libérer devint impérieux. Ne pouvant résister plus longtemps à cette nécessité, Alfredo, sans cesser de branler son jeune partenaire, dégrafa son pantalon et, repoussant son slip, libéra son membre douloureusement gonflé. Trop excité pour se soucier de la réaction de Jérémy, il entreprit de se masturber de la main gauche, suivant le même rythme de son autre main, occupée à branler l’adolescent.
Bien qu’éprouvant un indicible plaisir à la sensuelle caresse que son compagnon prodiguait à son sexe érigé, Jérémy ne pouvait s’empêcher de surveiller les moindres gestes de ce dernier. Aussi lorsqu’il découvrit la queue dressée qu’Alfredo libéra un désir pervers s’empara de lui. Une envie insensée de se saisir de l’énorme bite se son compagnon, et de la branler lui traversa l’esprit. Jamais jusqu’à présent une telle attirance ne lui était venue. Mais à fixer le formidable dard qui se dressait au bas du ventre de l’espagnol, la tentation l’avait gagné sans qu’il en eût vraiment conscience.
Alfredo qui avait surpris le regard de l’adolescent en direction de sa virilité pointée jugea le moment opportun :
— Tu ne veux pas me caresser à ton tour ?
Inquiet, il fixa Jérémy. S’il s’était trompé sur la signification de son regard, il risquait de choquer l’adolescent et voir celui-ci refuser ses attouchements. Mais quand Jérémy descendit de son échelle pour venir se saisir de son membre viril tendu Alfredo ressentit un immense soulagement.
*
* *
Ayant terminé les différents travaux d’écriture liés la bonne marche de l’auberge, Muriel referma le classeur, satisfaite du travail exécuté. Se calant confortablement sur son siège, l’esprit libéré, elle songea à son jeune aide : comment se passait sa mission auprès d’Alfredo ?… Longuement, elle pensa à l’adolescent et aux moments intimes qu’ils avaient passés une heure auparavant. Avec émotion, elle se remémora combien le garçon à l’apparence juvénile, qu’elle pensait déniaiser, lui avait procuré un immense plaisir à l’aide de sa bouche. Ce diable de gamin cachait bien son jeu. Sous ces airs de préadolescent innocent, il l’avait étonné de par ses connaissances sexuelles. Mais à se rappeler les détails des voluptueux instants passés en compagnie de Jérémy, Muriel ne tarda pas à ressentit une onde de désir lui parcourir le bas-ventre. Le besoin de voir l’adolescent, de le contempler, de lui sourire la saisit impérativement. Il fallait qu’elle le rejoigne !… Sa décision prise, elle quitta son bureau pour se diriger en direction de la cave où Alfredo et l’objet de ses désirs devaient être en plein inventaire.
Ne percevant pas le moindre bruit, une fois la porte franchie, Muriel douta de la présence des deux compagnons ; auraient-ils déjà terminé leurs tâches ? Désirant en être sûre, elle s’enfonça dans les profondeurs de la cave. Le sol de terre battue étouffait le bruit des talons de ses chaussures. Comme elle arrivait à l’embranchement où étaient stockés les vins, un ténu murmure lui parvint. Reconnaissant la voix d’Alfredo elle s’avança discrètement, curieuse de connaître les sujets de conversation des deux hommes. Ce qu’elle découvrit soudain la pétrifia de stupeur. Époustouflée par le spectacle qu’elle découvrait, elle se recula vivement pour échapper aux regards des deux protagonistes qu’elle avait surpris. La scène qui se jouait devant ses yeux et qu’elle avait failli interrompre avait de quoi l’interloquer. Face à face, le bas-ventre dénudé : le pantalon pour Alfredo, le short pour Jérémy se trouvaient à leurs pieds. Chacun tenait le sexe de l’autre en main, et dans le même mouvement répétitif, ils se branlaient de concert. Le faible éclairage tombant d’une lampe de vingt-cinq watts pendue au plafond donnait à la scène une impression plus sensuelle encore.
Les murmures que Muriel avait perçus étaient générés par les conseils qu’Alfredo dispensait à son jeune partenaire ; l’incitant à accélérer ou à ralentir sa masturbation.
Le cœur battant, le corps parcourut de voluptueux frémissements, Muriel suivait le spectacle érotique des deux mâles se branlant de concert. Ayant été la maîtresse d’Alfredo pendant deux mois, elle connaissait les perversions sexuelles de ce dernier. Sachant que le bel espagnol aimait autant les femmes que les hommes, elle aurait dû se douter que la jeunesse de Jérémy n’allait pas le laisser insensible. Pas plus qu’elle ne l’avait été elle-même lorsqu’elle avait rencontré l’adolescent à la ferme de ses grands-parents.
Les sens soudain en émoi, au vu de l’occupation des deux hommes, Muriel ne pouvait détacher son regard des deux remarquables bites, fièrement dressées. Les mains qui s’activaient autour dans une impudique masturbation provoquaient en elle un ardent désir. Elle ne pouvait rester spectatrice ! Il fallait qu’elle participe à ce jeu sexuel !
Emergeant de la pénombre qui la camouflait depuis cinq minutes, Muriel s’avança jusqu’aux deux compères occupés à se procurer du plaisir :
— Eh bien, je vois que vous avez l’air de bien vous entendre tous les deux, lança-t-elle !… Je peux me joindre à vous ?
Surpris par l’apparition soudaine de leur patronne, les deux protagonistes s’immobilisèrent, sans pour autant lâcher ce qu’ils avaient en mains. Muriel se plaça alors entre eux deux et leur tapant sur les doigts, elle leur ordonna :
— Lâchez-moi ça !… Je vais m’en occuper à votre place !…
Et sans plus de manière, Muriel referma ses doigts autour des deux verges extrêmement tendues.
— Mes petites chéries, maman va s’occuper de vous… Vous êtes si mignonnes, murmura-t-elle…
Les bras ballants, Alfredo et Jérémy fixaient les mains féminines qui lentement, mais avec énormément de douceur coulissaient le long de leurs membres virils bandés. Alfredo, qui connaissait bien les ardeurs érotiques de sa patronne, s’offrait sans retenue à cette nouvelle masturbation, alors que Jérémy, intimidé, ne savait quelle contenance adopter. Pourtant, inconsciemment, il reconnut que s’il avait éprouvé un certain plaisir à être branlé par Alfredo, la caresse que lui prodiguait Muriel était autrement plus voluptueuse. La main féminine avait cette douceur caractéristique qu’il avait connue de la part de sa grand-mère, lorsque celle-ci l’avait branlé pour la première fois.
Le corps parcourut par d’indéfinissables frissons voluptueux, Muriel fixait avec émotion les deux bourgeons charnels qui apparaissaient d’entre ses doigts refermés, au fil de ses masturbations. La queue d’Alfredo lui emplissait amplement la paume, alors que celle de Jérémy plus fluette, dépassait plus largement hors de sa main.
Mais la contemplation des deux glands aussi arrogants l’un que l’autre, ne tarda pas à ne plus satisfaire Muriel. La peau lisse et veloutée des deux bonbons de chair attirait sa convoitise. Il fallait qu’elle goûte à ces deux alléchants berlingots. Sans lâcher les deux membres virils tendus, elle plia les jambes afin de se retrouver à genoux aux pieds de ses deux compagnons. Dans cette position, elle avait les deux glands cramoisis à hauteur de sa bouche, ce qu’elle avait inconsciemment prémédité lors de la découverte de l’occupation des deux hommes.
— Humm… Je vais me régaler, murmura-t-elle, plus à elle-même qu’à l’intention de ses deux complices.
Et sans plus attendre, Muriel goba l’énorme gland d’Alfredo, sans pour autant lâcher la verge de Jérémy. A masser de ses lèvres le bourgeon volumineux de l’Espagnol tout en branlant le membre de l’adolescent apportait un plaisir inouï à la jeune femme. Aussi continua-t-elle ses caresses simultanées pendant cinq à six minutes avant de se décider de permuter ses cajoleries. Recrachant le gland qu’elle suçait, elle aspira celui moins volumineux de Jérémy, auquel elle s’empressa de lui faire connaître la même euphorie.
Un peu déçu de passer de la voluptueuse fellation à une simple masturbation, Alfredo décida de se faire plaisir. Pour cela, il n’eut qu’à tendre le bras pour agripper le bas du débardeur de Muriel, qu’il retroussa. Les fruits désirés lui apparurent alors sanglés dans un coquin soutien-gorge dont les balconnets de dentelles laissaient apparaître la partie supérieure des deux dômes blancs. Même si le spectacle qui s’offrait à ses yeux était des plus charmants, Alfredo en désirait plus. Aussi, saisissant le balconnet qui se trouvait à sa portée, il le remonta jusqu’à la hauteur du cou de la femme occupée à le masturber. Les merveilleux seins en forme de poire lui apparurent alors dans toute leur splendeur.
Subjugué par la beauté des adorables mamelles qui se dressaient orgueilleusement, les tétons érigés, Alfredo referma sa main sur la plus proche. Eprouvant un sensuel plaisir il pressa les chairs à la douceur soyeuse, malaxant le sein gonflé par le désir avec une immense délicatesse. Connaissant les attouchements qui déclenchaient chez sa patronne et ancienne amante les bouffées sexuelles qui affolaient ses sens, il pinça progressivement le téton durci par le désir. Lorsque la pression autour de la mini bite érigée se fit plus forte, un sourd gémissement s’échappa de la bouche féminine, emplie par le gland de Jérémy. Dans le même temps, l’espagnol sentit la main qui le masturbait accélérer son va-et-vient autour de sa queue fortement bandée.
Jérémy, qui sous la bouche experte qui lui suçait le gland, percevait au plus profond de ses entrailles des frémissements qu’il connaissait bien, annonçant la monté de la jouissance. Ne voulant pas jouir aussi vite, il tenta de polariser son esprit sur des pensées autres que sur ce qu’il ressentait ; ainsi que lui avait enseigné sa grand-mère. Mais la vision de la main d’Alfredo pelotant avec insistance le sein de leur partenaire ne lui permettait pas de se concentrer. D’autant plus que Muriel lâchant momentanément sa verge lui saisit la main qu’elle posa sur son second sein dénudé.
Devant une telle invite, Jérémy se laissa tenter et dans un reflex érotique, referma ses doigts sur le fruit de chair que la fermeté étonna de nouveau, par rapport aux lourdes mamelles de sa grand-mère. Se souvenant des conseils que lui avait prodigués cette dernière, il se concentra sur le mamelon et sur le téton qui en émergeait. Saisissant cette mini excroissance entre ses doigts, il la roula délicatement, tout en l’étirant.
Sous les caresses simultanées de ses globes mammaires, Muriel ressentit un plaisir diffus lui envahir la totalité du corps. De voluptueux frémissements lui parcoururent les seins, se diffusant dans son bas-ventre, jusqu’à son sexe en émoi. Ces mêmes frissonnements se répercutaient également dans le creux de ses reins, la faisant se cambrer voluptueusement. Sous ses voluptueuses ondes qui la traversaient, elle abandonna la bite de Jérémy, qu’elle suçait depuis près de cinq minutes, pour emboucher le gland congestionné d’Alfredo. Ce fut au tour de l’espagnol de subir une fellation des plus affriolantes, alors que Jérémy devait se contenter d’une suave masturbation.
Le manège dura près dix minutes ; les deux mâles se soumettant à la volonté de leur partenaire féminine, passant de la fellation à la masturbation chacun à leur tour.
Mais comme elle gobait, pour la dixième fois, le dard de Jérémy, Muriel sentit le gland frémir entre ses lèvres. D’instinct elle comprit que l’adolescent se trouvait au bord de l’orgasme. Follement excitée à la pensée que le garçon allait incessamment lâcher sa semence, elle accéléra sa fellation, insistant plus particulièrement sur la couronne du gland. Tout à son œuvre sexuelle, pressée de faire jouir Jérémy, Muriel en délaissa quelque peu son autre comparse. Sans pour autant lâcher la bite dressée, elle cessa le mouvement de va-et-vient de sa main.
Soudainement privé de cette caresse voluptueuse dans laquelle sa patronne était des plus expertes, Alfredo décida de continuer lui-même la masturbation. Enserrant sa verge encore frémissante, il entreprit de se branler avec application, entretenant l’excitation qu’avait si bien su créer Muriel.
Prise par l’intense plaisir qu’elle éprouvait à amener Jérémy à la jouissance, Muriel s’acharna sur le gland qu’elle suçait avec application entre ses lèvres. A l’intersection de ses cuisses, sa vulve qu’aucune culotte ne protégeait, ruisselait de désir. Or, alors qu’elle aspirait le bourgeon de chair pour la énième fois, la main de Jérémy lui agrippa les cheveux, attirant son visage vers son bas-ventre. Avant qu’elle ne réagisse à cette intervention soudaine, un jet de sperme lui frappa le fond de la gorge, suivi d’un second puis d’un troisième. La v******e de l’éjaculation fut-elle que Muriel s’empressa d’avaler la chaude liqueur séminale, se régalant de la saveur acre et légèrement salée de ce sperme juvénile. Pendant tout le temps que Jérémy déchargea sa semence, elle garda en bouche le gland qui tel un mortier éjectait ses salves de foutre.
Quand enfin les jets cessèrent, les réserves se trouvant taries, Muriel consentit à recracher la jeune bite assagie, non sans toutefois concéder un dernier coup de langue au mufle sexuel où perlait encore une goutte de liquide blanchâtre.
Mais comme, elle tentait de redresser la tête, un nouveau jet de sperme d’une extrême puissance vint lui frapper la joue. Surprise, elle pivota la tête en direction d’Alfredo. Une seconde giclée aussi violente que la première vint lui percuter le front, avant qu’un troisième lui obstrue l’œil droit, qu’elle ferma précipitamment. Contrairement à l’éjaculation de Jérémy qui n’avait duré que quelque secondes, Alfredo l’arrosa copieusement pendant plus d’une minute, lui souillant la totalité du visage.
A chaque émission de sperme, Alfredo choisissait une partie de la face de sa patronne, éprouvant un intense plaisir à souiller de son sperme la figure de celle qui lui donnait des ordres le restant des jours.
— Tiens, salope !… Tu aimes en prendre plein la gueule !… Ho, tiens prends encore celui-là !… Ho, putain comme c’est bon !…
Sous ces giclées abondantes qui lui frappaient le visage, Muriel, plutôt que tenter de s’y soustraire, s’offrait au contraire avec un réel ravissement. L’intense plaisir qu’elle éprouvait à se sentir ainsi arrosée par le sperme gras déclencha en elle une telle volupté, qu’elle ressentit un fulgurant orgasme qui la tétanisa.
F I N

* Ce récit se passe dans les années 1970

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