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Repas d’affaire avec ma femme chez son patron

Repas d’affaire avec ma femme chez son patron



Bonjour, je suis Franck, trente-cinq ans, un mètre quatre-vingt-deux, quatre-vingts kilos ; voilà dix ans que je suis marié à Patricia, trente-cinq ans, un mètre quatre-vingt, soixante-douze kilos. Nous formons un couple très harmonieux, complice et uni, je n’ai pas honte à avouer que c’est ma femme qui porte la culotte à la maison. Ma femme sait alterner entre soumission et domination, douceur et autorité ; c’est pour cela que j’adore son caractère. Quand nous nous sommes mis ensemble rapidement elle m’a imposé à ce que je lui nettoie son minou tous les matins et que je lui sente sa culotte les soirs. Le coquin que je suis n’y voyait aucun inconvénient sauf que cela a rapidement dégénéré, à tel point qu’au bout de six mois il fallait que je porte ses culottes toutes douces de la veille. Cela avait la fâcheuse tendance à me filer la gaule toute la journée, finalement je m’y suis fait et j’y ai pris goût avec le temps. Patricia m’a ensuite fait enfiler ses collants puis ses petits chemisiers tout doux,

La douceur des vêtements qu’elle m’imposait de porter aidait fortement à ce que je l’accepte, c’était même devenu un automatisme pour moi. Je n’avais que très peu de dessous masculins et ma garde-robe féminine augmentait semaine après semaine. Au bout d’un an de vie commune, j’en étais arrivé à porter des robes et escarpins à la maison ; en sachant que ma future femme exigeait que je laisse pousser mes cheveux. Ma future femme était en train de faire de moi sa petite femme ; c’est ainsi que le jour de notre mariage j’étais totalement en femme en dessous de mon costume de marié. Le fait d’être ainsi accoutré me donnait toujours plus d’énergie quand je faisais l’amour à ma belle. Au bout d’un an de mariage Patricia n’avait même plus à me demander de m’habiller en rentrant je faisais cela automatiquement et c’est carrément moi qui choisissais ma tenue. C’est ma belle qui se chargeait de mes achats et elle a même poussé le luxe jusqu’à m’offrir, pour l’anniversaire de mes trente-deux ans, une paire de magnifiques cuissardes.

– En plus de devenir ma petite femme tu es en train de devenir une petite salope.

– On a un peu plus de huit ans, l’homme que j’avais rencontré j’en ai fait une soumise

– La soumise que tu es, je vais faire de toi une chienne assoiffée de sexe.

Les projets à mon égard n’étaient pas pour me déplaire, d’autant que depuis quelques jours elle exigeait que nous sortions habillées en femme. Compte tenu du fait que maintenant j’avais pris l’habitude de marcher avec des talons hauts et avec mes cuissardes, cela paraissait plutôt pour moi comme un défi. Quand Patricia invitait ses amies, elles n’y voyaient que du feu ; ma femme disait que j’étais une cousine et cela passait comme une lettre à la poste. Donc maintenant nous allions faire les courses ensemble entre femmes les gens devaient peut-être penser que nous étions des gougnottes. Maintenant mes cheveux descendaient jusqu’à ma poitrine et c’est Patricia qui s’occupait de les couper.

Face à tant de douceur vestimentaire et au bout de toutes ces années, maintenant le supplice c’était pour moi d’être habillé en homme. Depuis peu de temps elle s’était acheté quelques godes à ceinture pour pouvoir s’occuper de moi, voilà comment en peu de temps, j’ai découvert que je pouvais jouir juste par mon petit cul.

– Quand je vois comment tu jouis quand je te prends, je me rends compte que tu es bonne qu’à être baisée.

C’est avec de tels propos que Patricia m’excitait toujours un peu plus, même si ces propos étaient souvent dégradants, cela avait une petite tendance à me chauffer. J’adorais aller dans les magasins féminins car elle me trouvait toujours des vêtements superbes, doux et moulants comme j’adore. Pour mes trente-cinq ans, elle avait invité toutes ses copines et leur avait révélé la supercherie, je peux vous garantir que toutes sont restées sur le cul d’étonnement. Ce jour-là j’ai eu le droit à un cadeau suprême à savoir que toutes celles qui voulaient me faire une fellation pouvaient en profiter et de mon côté je pouvais aussi manger le minou de chacune qui le désirait.

Rapidement, il a fallu que je sois toujours rasé et épilé de près et que ma peau soit douce comme celle d’une femme. Je savais que ses copines étaient coquines mais jamais je n’aurais pensé qu’elles l’étaient à ce point. Par contre ce soir-là, je n’ai eu le droit d’en pénétrer aucune, c’était un peu dur car toutes ses amies étaient bien bandantes. Le soir au moment de me coucher j’étais sur le point de prendre ma douche et ma femme m’a dit qu’elle préférait que je reste ainsi, à sentir le minou de ses copines. En fait ce soir-là tout mon corps sentait la femme mais pas la mienne, juste l’odeur intime de ses amies. Bien que mon sexe ait été fortement sollicité ce soir-là, je me suis endormi avec un reste d’érection. Le mardi matin au réveil ma belle m’a informé que le samedi d’après nous irions manger chez son directeur et sa femme, son mari était pressé de rencontrer le conjoint de sa directrice commerciale. Sans le vouloir elle me mettait la pression, je me demandais si j’allais être à la hauteur mais Patricia savait tout cacher de notre relation particulière.

Le samedi venu, ma belle était en grands préparatifs et moi je psychotais un peu, j’avais un peu peur d’avoir le rôle de la potiche durant ce dîner. Nous sommes arrivés à 18h chez Claude et Muriel, c’était un couple, la cinquantaine bien tassée mais toujours très beau et désirable que ce soit Monsieur ou Madame. Le mari était quelques centimètres plus grand que moi et il avait une autorité naturelle quant à sa femme d’une grande beauté de la taille de Patricia, peut-être un peu plus forte, paraissait aussi autoritaire ou bourgeoise, je ne sais pas trop. C’était un couple qui avait l’air de savoir se faire écouter à la maison comme en dehors. La maison était très joliment décorée avec des tableaux de maîtres mais des imitations bien évidemment. Il y avait des boiseries partout, des escaliers grinçaient quand on les gravissait. Grâce à ces bruits révélateurs, on savait où se trouvaient les personnes dans la maison à tout instant ; il y avait même une salle de loisir où se trouvait un magnifique billard, pour ce qui est du terrain, on n’en a pas vu grand-chose mais Claude nous a expliqué qu’il le faisait entretenir faute de temps.

Juste collé à la maison, se trouvait une fontaine avec de l’eau qui en jaillissait et dans le bassin se trouvaient des poissons rouges et des coyes. Le bruit de cette fontaine était vraiment très plaisant à entendre comme bruit de fond. Ils nous firent visiter la maison dont ils étaient manifestement très fiers, Patricia avait l’air très curieuse car elle a regardé en détail chaque pièce qui nous était présentée. Ce qui n’était pas très protocolaire à mes yeux, c’est qu’en entrant dans chaque pièce Muriel invitait ma femme en l’accompagnant de sa main dans le dos. Déjà tout à l’heure, quand nous montions les escaliers pour le début de la visite, j’avais trouvé que Muriel regardait avec insistance les jambes de ma femme qui était devant elle. Au fur et à mesure que nous avancions dans la maison je réalisais que cette main descendait lentement mais sûrement pour arriver en haut des fesses à la fin de la visite. Le plus beau c’est que j’ai réalisé que Claude faisait la même chose avec moi, de mon côté cela m’a rapidement mis une érection, bien évidemment j’étais habillé en femme en dessous.

Ce matin Patricia m’avez fait mettre une guêpière avec des bas attachés à cette dernière, du coup le moindre de mes mouvements dans mon pantalon me faisait déjà de l’effet ; alors imaginez par-dessus ça les effleurements réguliers de Claude dans mon dos. Je pense qu’à force de passer sa main dans mon dos, il a dû réaliser que j’avais autre chose qu’un t-shirt en dessous. Je ne sais pas dans quel état était ma femme, même si je m’en doutais un peu, mais de mon côté mon sexe était au garde-à-vous. Pendant que Muriel était partie montrer sa collection de roses à ma femme, Claude s’est chargé de me montrer sa collection d’étiquettes de bouteille de vin dont il était très fier. En plus de garder l’étiquette, il essayait d’avoir le bouchon qui correspondait ; c’était un oenographile passionné. J’ai personnellement été impressionné par la finesse de son travail pour mettre en valeur les étiquettes les plus rares.

C’est à cette occasion, dans cette pièce un peu excentrée de la maison, qu’il en a profité pour un peu se coller à moi, je ne sais pas si c’est moi qui l’avais mis dans cet état mais il a fait un sexe énorme que son pantalon avait du mal à dissimuler. Il y avait une fenêtre ouverte et nous entendions les femmes converser dans le jardin, pendant que lui était tranquillement en train de me coincer dans cette salle où se trouvait aussi le magnifique billard. Plutôt que de poser les étiquettes qu’il me montrait sur le bureau qui se trouvait devant la fenêtre il faisait attention à les déposer délicatement sur le billard. De toute façon il n’y avait pas de risques de l’abîmer, ce dernier était recouvert de deux planches amovibles. L’avantage pour lui, c’est que pendant que je regardais ses trésors, lui en profitait maintenant pour se coller dans mon dos. Je n’osais rien dire car c’était le patron de ma femme, je ne voulais pas mettre le bazar en tapant un scandale qui puisse ensuite se répercuter sur le travail de ma belle.

Quand il est venu se caler dans mon dos en venant me caresser la pointe de mes seins il n’y avait plus de doute j’étais en train de me faire draguer et chauffer par Claude. Maintenant je n’arrivais plus à me concentrer à admirer sa collection, j’avais plus peur qu’il constate combien il me faisait bander. Ne pouvant réagir je me retrouvais soumis à cet homme désireux et cela n’était pas pour lui déplaire à moi non plus.

– Fais-moi voir ce que tu portes en dessous.

C’est sur ces mots qu’il venait de me retourner et me débarrasser de ma chemise ; je devenais la proie et lui le prédateur. J’étais face à lui dans ma magnifique guêpière qu’il se mit immédiatement à caresser, l’instant suivant il m’avait débarrassé de mon pantalon ; il venait de me saisir par mon point le plus sensible. Je ne savais plus quoi faire quand il m’a pris par la main pour m’emmener dans une autre pièce, j’étais maintenant pieds nus avec mes bas, mon tanga et ma guêpière.

Nous sommes arrivés dans une pièce aussi richement décorée et c’est là que j’ai découvert le dressing de Muriel. Par la fenêtre je l’ai entendu appeler sa femme pour donner un coup de main manifestement cette dernière savait ce qui se passait vu qu’elle est arrivée directement dans la bonne pièce. En franchissant la porte elle se mit à siffler.

– Voilà une jolie fille qu’il va falloir habiller.

Quelques secondes après Patricia arrivait dans la pièce.

– C’est le péché mignon de mon mari depuis des années et en plus il adore maintenant sortir ainsi vêtu.

Claude nous a quittés il m’a laissé en compagnie de ces deux femmes qui avait l’air prêtes à s’occuper de moi pour me faire belle.

– En plus il est épilé.

– En plus de cela, vous allez constater au combien il est soumis quand il est en femme.

– Je ne sais pas ce qui a mis la puce à l’oreille de mon mari, mais il s’est tout de suite rendu compte qu’il y avait un travesti sous ses vêtements.

– En même temps vous savez Patricia, mon mari est homosexuel depuis plusieurs années ; il ne me touche plus.

– Vous savez Muriel, cela me fait tout drôle d’entendre ça, car j’avais l’impression par moment qu’il me faisait la cour au boulot.

Grand fou rire Muriel qui explique à ma femme que celui qui craint le plus dans la maison c’est moi.

– Vu la tournure que cela prend quand Franck sera joliment habillé je pense que mon mari va s’en occuper.

Pendant que les deux femmes papotaient, Muriel en profitait quand même pour me trouver une robe magnifique ainsi que des bottines qui m’allaient parfaitement car nous avions manifestement la même pointure. C’est la maîtresse de maison qui dirigeait les opérations et une fois déguisé, elle m’a emmené dans la salle de bain pour me maquiller de la façon la plus plausible possible. Nous étions désormais trois femmes à l’étage et j’adorais marcher avec les bottines à talons. Muriel est partie chercher un appareil photo pour immortaliser ma tenue, elle m’a même fait prendre plein de poses, certaines un peu évocatrices. Je me sentais vraiment femme ainsi vêtu d’autant plus que je savais que Claude allait s’occuper de moi mais je ne savais pas trop comment et quand.

Une fois bien dans ma peau de femme, Muriel partît chercher du parfum avant que nous descendions toutes les trois dans le séjour où Claude nous attendait assis dans le canapé.

– Je me doutais bien qu’il y avait une petite pédale qui se cachait derrière cette chemise et ce pantalon.

– Je te remercie ma chérie pour lui prêter tes vêtements histoire de la rendre plus appétissante.

Je me laissais guider par les deux femmes qui lentement mais sûrement m’approchaient du prédateur qu’était devenu Claude. Sa femme a reculé la table basse pour que je puisse me retrouver face à son mari quand ce dernier s’est relevé. De mon côté je préférais penser à autre chose en admirant toute la décoration de cette pièce. Muriel s’est chargée de faire tomber le pantalon de son mari qui dissimulait un boxer très fin, on pouvait admirer l’énorme érection de monsieur. À ma grande surprise Patricia s’est jointe à sa nouvelle amie pour libérer le sexe de son patron, j’ai l’impression que ça lui faisait tout drôle de toucher un sexe de cette taille.

Mine de rien Claude avait un sexe qui devait faire vingt-deux centimètres de long pour cinq de diamètre, moi qui étais fier avec mes vingt centimètres je pouvais me rhabiller. Maintenant que son dard était libéré, ce dernier me caressait la robe ; j’ai honte à l’avouer mais cela m’excitait. Muriel m’a invité à m’agenouiller, je savais ce que cela voulait dire et Patricia me regardait en approuvant la demande d’amie. C’est ainsi que je me suis retrouvé nez à nez avec le pieu de Claude à quelques centimètres de ma bouche. Il sentait bon l’homme désireux avec une petite odeur de vieux sperme quand même, les deux femmes se sont mises à le masturber tout en douceur. Pendant ce temps, de sa main droite, Patricia était en train de m’approcher du fruit défendu, soumis et obéissant que j’étais devenu en quelques instants ; je me laissais guider par ma femme en laquelle j’avais une grande confiance.

– Je compte sur toi pour faire du bien à mon patron, voilà trois quarts d’heure qu’il te désire.

C’est sur ces mots, que pour la première fois de ma vie, un sexe masculin rentrait dans ma bouche.

En espérant que ce premier chapitre vous ait plu.

Je vous fais des gros bisous.

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