c’est d’une humeur enjouée que je prends le train aujourd’hui pour me rendre à Paris.
Depuis quelques semaines, je suis en correspondance avec un autre inscrit et nous avons prévu de nous rencontrer aujourd’hui. Après le train, un peu de métro et c’est avec une vingtaine de minutes d’avance que j’arrive à notre point de rendez-vous. Je visite un peu le quartier et, 5 minutes avant la bonne heure, je reviens près du kiosque à journaux ou doit avoir lieu notre rencontre. Un court moment d’attente et mon téléphone sonne. C’est Henri qui me dit être très proche et, effectivement, je le vois arriver à une dizaine de mètres. Nos regard s’accrochent et nous rangeons nos téléphones.
Une poignée de mains en guise de bonjour et nous nous regardons. Il a la petite soixantaine, un peu plus petit que moi, un peu enrobé (comme moi), des lunettes, et un sourire contagieux.Je lui propose de prendre un café dans un établissement voisin mais il me dit résider près d’où nous nous trouvons et que sa cafetière est opérationnelle. J’accepte donc de me rendre chez lui.
Passé une porte cochère, un petit ascenseur nous force à nous rapprocher mais, discrétion oblige, ce ne sont que nos mains qui osent se toucher. Deuxième étage, il ouvre la porte de son appartement et pénètre en m’invitant à le suivre. Le voyant ôter ses chaussure, je fais de même sous son regard amusé.
« entre dans le salon et mets toi à l’aise, je passe par la cuisine pour préparer le café et je te rejoins » me dit-il.
J’entre donc dans cette pièce, enlève ma veste et la pose sur une chaise et observe les lieux.
Deux des murs sont couverts de livres et je m’en approche pour en voir les titres.
Absorbé par mon occupation, je ne l’ai pas entendu me rejoindre et je constate sa présence quand je sens ses mains se poser sur ma taille, son corps se coller à mon dos et ses lèvres se poser sur mon cou. Agréablement surpris, je me colle à lui et tourne la tête. Ses lèvres quittent mon cou, se posent sur ma joue, et continuant mon mouvement de rotation, permettent à nos lèvres de se trouver et de s’ouvrir pour permettre à nos langues de se mêler dans un baiser profond.
Tous en nous embrassant, nos mains partent à la découverte de nos corps. Je sens les siennes caresser mon torse alors que les miennes glissent sur son dos et lèvent son tee shirt pour sentir le grain de sa peau. Elle est douce et, ses mains s’étant glissées sous mon léger vêtement caressent maintenant ma poitrine.
Nous écartons légèrement nos torses et cessons un très cour instant de nous embrasser afin d’ôter nos vêtements et, peau contre peau et bouche contre bouche nous continuons l’exploration de nos corps. Ma main caresse un de ses sein qui me montre son plaisir en se dressant rapidement entre mes doigts alors que ses mains se glissent entre nos ventres et débouclent ma ceinture de pantalon, ouvrent le premier bouton. Mon pantalon tombe alors et ses mains se posent surs mes fesses. Je m’empresse de dégrafer son pantalon et nous nous retrouvons slip contre slip, le pantalon tire-bouchonné sur les chevilles. A l’aide de mes pieds, je parviens à dégager ce vêtement de mes jambes et je me baisse pour libérer les chevilles de mon partenaire. Je quitte sa bouche et mes lèvres descendent le long de son torse, sur son ventre, alors que je m’agenouille pour ôter totalement son pantalon.
Mon visage est maintenant à la hauteur de son slip et je prend plaisir à poser ma joue sur son sexe tendu et enfermé dans ce vêtement. Je pose maintenant mes lèvres sur cette protubérance et mes mains font descendre lentement ce dernier rempart. Son gland se place naturellement entre mes lèvres et je le lèche lentement avant d’ouvrir ma bouche et le faire entrer jusqu’au fond de ma gorge. Il est chaud, tendre, et la petite goutte qui perlait déjà a un goût sucré.
De ses mains il me fait comprendre que je dois me relever, ce que je fais à contre cœur, et nos bouches se retrouvent et nos langues s’emmêlent à nouveau pendant qu’il fait glisser mon slip le long de mes cuisses. Nous nous retrouvons donc debout, peau contre peau et sexe contre sexe.
« viens dans la chambre » me dit-il en me prenant par la main « nous y serons mieux ».
Nous nous sommes donc rendus dans la pièce voisine tout en nous embrassant et il me fit tomber sur le lit, sur le dos. Il s’est agenouillé près de moi, sa bouche a parcouru le chemin partant de mes seins vers mon ventre, mon pubis et ses lèvres se sont posées au sommet de mon gland. Je sentais sa langue tenter de se glisser dans mon méat puis il est descendu le long de mon sexe vers mes testicules qu’il a pris un à un dans la bouche avant de me lever les cuisses et poursuivre sa caresse buccale vers mon petit trou. C’était bon, je me laissait faire et j’ouvrais mes cuisses au maximum. Sa langue s’est posée sur ma rosette, a tourné autour puis a tenté d’en forcer le passage.
« tu veux ? » me demanda t-il
J’ai compris qu’il me demandait si j’acceptais qu’il me prenne et j’ai écarte mes fesses pour lui donner ma réponse.
Il a alors repris a caresse buccale pour bien me détendre, m’a relevé un peu plus les fesses et a fait glisser son membre tendu le long de mon sillon. J’ai senti son gland se poser sur ma rosette, il m’a regardé dans les yeux et a pesé lentement sur moi pour forcer le passage de mon sphincter. Sa lubrification et sa façon de me détendre ont du être efficaces car la douleur de la pénétration n’a été que très faible. Je le sentais me pénétrer lentement, par petites poussées, et ses poils pubiens ont caressé mes couilles. Il était entièrement en moi. Il a attendu quelques secondes et a commencé de lents mouvements de va et vient tout en me regardant dans les yeux. Je savourais ce moment et ses mouvements se sont accélérés, parfois il sortait entièrement de moi pour y entrer très vite.
« Où veux-tu que je vienne ? » demanda-t-il
« aujourd’hui, dans ma bouche »
Il a encore effectué quelques aller et retour, est sorti de mon fondement, s’est agenouillé au dessus de mon torse et m’a présenté son sexe à sucer. Je ne me suis pas fait prié et c’est d’une bouche gourmande que je l’ai mis au chaud et que ma langue l’a caressé tout en le pressant contre mon palais. Je l’ai senti palpiter un peu plus et sa liqueur chaude est venue envahir ma bouche pour glisser dans ma gorge. J’avalais toute sa semence puis ma langue s’est délectée à caresser tout son gland pour bien le nettoyer.
« Mais toi, tu n’as pas eu ton plaisir…. »
Il s’est alors tourné et sa bouche s’est occupée de mon sexe qui n’attendait que sa bouche chaude. Sa langue tournait autour de mon gland et c’est dans un râle que je me suis vidé entre ses lèvres. Il m’a regardé, m’a souri et est venu poser ses lèvres sur les miennes afin que nous mêlions nos sucs d’amour avec notre salive.
Après un moment de détente et de caresses légères, nous nous sommes levés car le café devait être prêt à être bu.
Puis nous nous sommes quittés en nous promettant de nous revoir.
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